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Lors du débat d'hier soir sur LCI avec Fr. Bayrou, au sujet de l'immigration, on retiendra sa phrase au sujet de l'immigration, "un sentiment de submersion". Que faut-il comprendre ? J'imagine que dans certaines villes de France (quartiers) et même certaines communes belges, ce "sentiment de submersion", doit être parfois être perçu par certains comme bien plus qu'un simple sentiment... Réalité ou non ?
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Nos politiques tuent -
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Aller c'est reparti pour un énième acte de barbarie gratuit commis par un déchet multirécidiviste laissé en liberté par une justice au laxisme criminel. Le Parisien L'acte de barbarie c'est le viol de cette jeune femme avec un manche à balaie qui lui a perforé l'intestin jusqu'au diaphragme. Inutile de dire que contrairement aux racailles qui se tuent de leurs propres chefs en raisons de leurs comportements dangereux, irresponsables voir criminels, cette victime innocente elle ne génèrera aucune émeute. Mieux peut-être même que trop s'émouvoir de son sort et soulever la responsabilité de la justice dans cette affaire, pourrait etre qualifié comme étant une odieuse récupération d'extrême-droite.
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Sondage : 4 français sur 10 favorables à une immigration zéro. C’est d'ores et déjà l’un des principaux thèmes de la campagne présidentielle de 2022. D’après un sondage réalisé par l’Institut CSA pour cnews, dévoilé ce jeudi 7 octobre, un peu plus de 4 Français sur 10 seraient favorables à une immigration zéro en France. Dans le détail, 41% des personnes interrogées se déclarent ainsi favorables à l'idée de stopper totalement l'immigration dans l'Hexagone, qu'elle soit légale ou illégale, lorsque 59% des répondants se disent contre. Autre enseignement, une tranche d’âge se distingue particulièrement par sa volonté de freiner les flux migratoires. Ce sont les Français de 65 et plus qui sont pratiquement un sur deux (45%) à être pour une immigration zéro. Ils sont suivis des 18-24 ans (42% pour, 58% contre), et des 50-64 ans (42% pour, 58% contre également). Concernant le statut social, les inactifs sont ceux qui affichent le taux d'adhésion le plus fort (45% sont pour une immigration zéro), devant les CSP – (43%). Fait à souligner : seul un tiers des CSP + (33%) soit la catégorie de Français les plus privilégiés, comme les chefs d'entreprise, les professions libérales ou celles à plus fort revenu du secteur privé - pour reprendre la définition de l'INSEE - adhère à cette idée. Source et suite de l'article.
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D'après l'auteure du Tweet, initialement enregistrée sur Snapchat la scène se déroule à Aulnay-sous-bois dans le 93. http://www.fdesouche.com/893451-tranche-de-vie-de-prof-se-gifler-plein-cour
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Des musulmans pénètrent dans une église pendant la messe et hurlent des prières islamiques en Allemagne
Invité a posté un sujet dans Religion et Culte
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Le maire de Florence ne veut pas de banlieues à la "française"
Skanderbeg a posté un sujet dans International
Le maire de gauche de Florence, Dario Nardella, un proche de Matteo Renzi, a réclamé aujourd'hui des mesures pour limiter la proportion d'étrangers dans les cités HLM d'Italie, en évoquant le danger d'un "effet banlieue" à la française. "Les critères d'attribution des logements sociaux doivent être revus parce que dans certains quartiers périphériques, on risque de créer des ghettos avec un tiers d'Italiens et un tiers d'étrangers hors Union européenne", a déclaré M. Nardella dans un entretien samedi au quotidien Corriere della Sera. "Le modèle français des banlieues est un échec", a-t-il insisté. (...) "Ce n'est pas une question de racisme, c'est une question de civilisation", a-t-il lancé à la radio. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/03/04/97001-20170304FILWWW00043-le-maire-de-florence-ne-veut-pas-de-banlieues-a-la-francaise.php- 112 réponses
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Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics
Skanderbeg a posté un sujet dans Société
Aujourd'hui, des associations alertent sur ces quartiers où les femmes deviennent indésirables dans l'espace public. Se promener en jupe ou boire un café en terrasse peut alors devenir un vrai défi pour elles. http://www.francetvinfo.fr/societe/societe-quand-les-femmes-sont-indesirables-dans-les-lieux-publics_1958225.html Dans ce bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes. "Dans ce café, il n’y a pas de mixité", assure sèchement un homme. Aller dans un bar, ici à Sevran (Seine-Saint-Denis), c'est braver un interdit pour une femme. « T'es dans le 93 ici ! (...) C'est une mentalité différente ! C'est comme au bled ! »- 102 réponses
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Le Père Henri Boulad, prêtre catholique égyptien, a livré une homélie que l'on n'avait plus l'habitude d'entendre. Il pose les limites de la charité, qu'elle soit individuelle ou collective dans le cadre du « flot d'immigration qui se déverse du Proche Orient sur l'Europe ». « Des gens qu'on accueille, qui veulent vous imposer leurs lois et leurs principes, et leurs valeurs, et leurs habitudes, et leurs coutumes, et leur culture (...) L'Europe est en train de se perdre. » « Au nom du vivre-ensemble, au nom de la gentillesse, on laisse passer, on accepte, on avale des couleuvres (...) » « Si le Seigneur nous a donné un coeur pour aimer, il nous a donné une tête pour penser, et quand les deux ne vont pas ensemble c'est fini. » « Je dois accueillir mon prochain, l'inconnu, l'étranger (...) mais si celui-ci se comporte comme en pays conquis, je le remettrai en place, et pas au nom d'une fausse charité je vais m'écraser et me taire. » « Sauve ta propre identité. Être d'abord soi-même. »
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Le pape François appelle les États européens à « la prudence » dans l'accueil des réfugiés Alors que le pape François, depuis le début de la crise des réfugiés en Europe avait toujours appelé les États à ouvrir généreusement, et par principe, leurs portes aux réfugiés – fustigeant «l’égoïsme» de ceux qui ne le faisaient pas, – il a opéré, mardi après-midi, une nette correction, en appelant les gouvernements européens à veiller à ne pas accueillir au-delà de leurs possibilités. À savoir pouvoir offrir aux réfugiés, insiste-t-il, « un toit, un travail, une école, l’apprentissage de la langue» en vue de leur « intégration». Sans quoi, a-t-il prévenu, on peut « payer politiquement une imprudence dans ses calculs en recevant plus de réfugiés que l’on peut» (...) Et de conclure: « Quel est le danger? Si le réfugié n’est pas intégré, permettez-moi ce néologisme, il se ‘ghettoïse’, il devient un ghetto. Et sa culture ne se développe pas en relation avec l’autre culture. Ce qui est très dangereux. » http://www.lefigaro....es-refugies.php
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Grande Bretagne – Rezzas Abdulla a laissé la petite Layla-Jean couverte de salive dans sa poussette après lui avoir fait subir une agression raciste odieuse. Rebecca Telford, jeune maman britannique de 25 ans, se promenait avec son enfant de neuf mois à South Shields quand elle a croisé Rezzas Abdulla, 33 ans. L'homme s'est alors penché sur le landau du nourrisson pour cracher sur son visage et crier à Rebecca « les Blancs ne devraient pas se reproduire ». Rezzas Abdulla, déjà condamné à deux reprises pour des agressions racistes contre des femmes blanches, a été reconnu coupable d’agression aggravée après un procès au tribunal de South Tyneside, auquel il n’a pas assisté. https://www.thesun.co.uk/news/2918885/man-spat-babys-face-shouted-white-people-should-breed/ http://www.independent.co.uk/news/uk/crime/man-spits-baby-face-mother-white-people-breed-abdulla-rezzas-south-shields-a7594016.html http://www.dailymail.co.uk/news/article-4245344/Race-hate-attacker-SPAT-nine-month-old-BABY-S-face.html
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Comme vous le savez sans doute, un passeport retrouvé sur les lieux des attentats appartenait à un migrant. La France va t-elle changer / doit-elle changer sa politique vis à vis des migrants suite à ces révélations ?
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Bonjour, J'en appelle aujourd'hui à votre aide. Étudiante à l'université, j'ai un oral à faire sur le sujet "I am for immigration" ("Je suis pour l'immigration"). Étant pour l'immigration, j'ai déjà beaucoup d'arguments en tête, mais il me semblerait intéressant d'avoir les vôtres, car je voulais faire une partie "Qu'en pensent les français ?". :) Alors, quels sont vos arguments en faveur de l'immigration ? P.s: Ce post n'est pas là pour créer un débat. Je n'ai rien contre ceux qui sont contres, et ils ont tout à fait le droit d'avoir des arguments. Mais ici je ne recherche vraiment que les arguments pour.
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un petit rappel avant l'article du blog = La fuite partie II : Les haineux à la montagne Comme durant l'été dernier en méditerranée, une opération de communication ridicule qui s’est soldée ENCORE cette fois par une fuite, mais en raquettes cette fois, de ces haineux pathologiques de génération d'identitaire. Voir ci dessous article de La Dépêche et les passages en rapport : https://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2018/04/22/col-de-l-echelle-les-militants-de-generation-identitaire-devraient-quitter-les-lieux Extrait : 13 H 58 : Un important dispositif de forces de l'ordre est déployé au passage de la frontière franco-italienne à Montgenèvre. Des manifestants antifascistes devraient, depuis Clavière en Italie, rejoindre le poste de frontière de la PAF. Des gendarmes de Briançon, le Psig et le sous-préfet de Briançon sont sur place. 13 H 19 : Le groupe Génération identitaire a définitivement quitté le Col de l’Échelle, les derniers membres encore sur place ce matin ont été escortés par les quatre gendarmes dépêchés sur place. 12 H 36 : Les militants de Génération Identitaire sont redescendus du col de l'Échelle. Ils devraient quitter les lieux. Quatre gendarmes sont présents sur place après un appel à manifestation de la part de militants antifasciste italiens. Aucun d'entre eux n'est cependant présent sur place. En effet, seulement quelques minutes avant que ceux ci soient face à 200 - 300 de nos camarades Italiens à l'initiative de cette traversée solidaire et nos camarades français, rejoins dans le cortège par quelques exilé(e)s qui ont tenu à les accompagner malgré les risques, ces "valeureux", “courageux” identitaires ont mis littéralement les voiles, escortés par les flics qui n'avaient bien sur pas eu l'ordre jusque là, d’un ministre depuis toujours complice, de se bouger afin d'intervenir pour déloger ces vermines sous couvert de "col fermé ou de gesticulations". On oubliera pas Par contre, ils ne se sont naturellement pas gênés pour s'interposer afin d'essayer d' empêcher l'ascension des Humanitaires. Raté ^^ .....(......)..... Nous comprenons là que les forces plutôt du désordre devaient se ménager et garder leur énergie pour s'en prendre voir tabasser les étudiant(e)s, zadistes, réfugié(e)s, solidaires..manifestants revendiquant nos droits et essayant de garantir à tou(te)s un avenir meilleur.. Une fois de plus, l'état complice de ces milices fascistes (terroristes ?), nous a fait une démonstration criante et sans équivoque de ce qui nous attend et de ce pourquoi / pour qui nous nous battons à chaque instant. Chacun d'entre nous doit prendre enfin conscience que l'autodéfense populaire, la Solidarité et un antifascisme international nous permettra d'avancer dans nos luttes. Voici un extrait d'un article et des propos de nos camarades mobilisé(e) : "Nos vallées nous appartiennent et nous ne pouvons pas laisser les fascistes libres de se déplacer quelques jours avant le 25 avril. Les partisans qui ont tout donné, même la vie, dans ces montagnes se retournent dans leur tombe », disent les manifestants. La mobilisation a été lancée hier soir, samedi 21 avril, par le mouvement No Tav et a été immédiatement relancée par les pages sociales du centre social Askatasuna . Ce matin, de Bussoleno, plus d'une centaine de militants sont partis pour Clavière et Nevache en réponse aux militants de droite." Et un communiqué de l'entreprise s'est faite abusée et à qui appartient les hélicoptères : ............................................(.................................................)................................... source
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- génération identitaire
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Avec l'immigration, il y a une polarisation du débat avec d'un côté des anti-immigration et de l'autre des pro-immigration. J'ai l'impression de comprendre les arguments anti-immigration, même si je n'y adhère pas. Phénomène de bouc émissaire économique, peur de changement culturel, etc. Par contre, je ne comprends pas vraiment les arguments pro-immigration. Avez-vous des idées sur le sujet ?
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Je suis tombé sur une note d'un think tank, crée par Thomas Hollande, qui cherche à analyser le vote Front National. Dans cette note, l'auteur constate que le principal sentiment à l'origine de ce vote est un sentiment de colonisation inversée liée à une immigration africaine majoritaire submergeant le pays. http://thinktankdiff...FN-V-Martin.pdf Que pensez-vous de cette analyse ? Personnellement je serais tenté de partager à la fois l'analyse et le sentiment d'une immigration démesurée.
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2013, l’année du chaos ? 04/01/2013 Le Français moyen pense que ça n’arrivera jamais, comme en 1937 il ne pensait pas que 1940 fut possible. Mais la catastrophe approche, inexorablement, mathématiquement. On peut la humer à distance, comme une bête sauvage aux relents de malheurs, qui se faufilerait dans les sous-bois économiques. Les branches craquent dans la nuit, on l’entend toujours plus près, mais on préfère se blottir au fond du lit, en espérant que tout cela n’est qu’une légende. Et pourtant… Les médias ne peuvent plus cacher la réalité, c’est à cela qu’on voit ce qui se prépare. Nous avions déjà le président Hollande qui annonçait une année 2013 durant laquelle le chômage ne cesserait d’augmenter, ce qui, pour un homme au pouvoir, était une première assez couillue ! Nous avions cet étrange docu-fiction de France 2 qui jouait à nous faire peur : « 2013, le scénario noir »… Et puis, le réveillon à peine digéré, ce dossier paru dans Le Parisien, évidemment repris à la télé (France 3) : les véritables chiffres du chômage enfin dévoilés. Une bombe atomique qui a explosé à l’heure où, personnellement, je sortais mes lentilles du micro-ondes. « 9 Millions de chômeurs en France à ce jour ». Je n’osais pas en croire mes oreilles. Même un dur à cuire du FN n’aurait pas osé ce chiffre de malade. Dire que je passais pour un néo-nazi quand j’annonçais cinq millions de chômeurs dans les dîners en ville… La réalité éclaboussait tout. Aux 3 millions et quelques d’inscrits métropolitains à Pôle Emploi, on ajoutait ceux de l’Outre-mer. On atteignait alors 5 millions et demi de sans emploi ou en activité (très) réduite. Pour une fois inspirés, les journalistes avaient la terrible idée de continuer l’addition maudite. Et vlan, encore 1 300 000 bénéficiaires du RSA ; et vlan, 1 500 000 personnes « en temps partiel subi » qui vivotent au gré de CDD au rabais. Et bang, encore 830 000 « découragés » qui ont abandonné toute démarche. Sale décompte, sale total. Au pourcentage de la population active, cela fait donc… 30 % de sans emplois. Un chiffre ahurissant, digne des heures sombres de la République de Weimar ! Pour corser le tout — j’avais tout juste fini d’avaler mes lentilles —, une jolie présentatrice enfonçait le clou : le secteur automobile français obtenait son pire résultat depuis 1997 avec moins 14 % de vente en 2012. Après six mois de plans sociaux à répétitions, la France peut regarder avec terreur ses voisins s’enfoncer. De l’Espagne à la Grèce, c’est à qui plongera le premier. « Ils » pourront multiplier les réunions de la dernière chance pour sauver l’euro, remonter les cours de la bourse au cric, au bout d’un moment, l’étincelle jaillira. On ne sait pas où, pas quand. Peut-être en mars, peut-être en septembre. En tout cas, la machine infernale de l’immigration (300 à 500 000 personnes qui débarquent chaque année en France) ne va pas ralentir, au contraire. Préparez-vous. Le chaos, c’est demain. L'article... Source: Boulevard Voltaire
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Le parti Islam veut s'installer en Wallonie 03/11/2012 « un parti ouvertement islamiste » ... Après avoir obtenu deux élus en région bruxelloise, le parti Islam vise les villes wallonnes: Charleroi, Liège et Verviers en particulier, où se concentre une partie importante de la communauté musulmane, et donc un réservoir de voix. A Verviers, le PS a perdu les dernières élections communales sur le thème de l'immigration, et l'arrivée d'un parti ouvertement islamiste n'est pas vue d'un bon œil. Verviers qui compte cent onze nationalités est un champ à labourer pour son parti, estime Redouane Ahrouch, le nouvel élu islamiste anderlechtois. Mais à Verviers, l'arrivée du parti Islam n'est pas perçue comme positive. En particulier au Parti socialiste (...) Une liste Islam pourrait tenter une partie de l'électorat socialiste issu de l'immigration musulmane. Le PS et Ecolo de Verviers qui ont des élus musulmans ont le plus de voix à perdre face à une liste ISLAM. Avec ses trois candidats dans les communes d'Anderlecht, Molenbeek et Bruxelles Ville, le parti Islam qui étant encore inconnu il y a trois mois, est parvenu à décrocher deux élus. (...) Redouane Ahrouch était colistier de Jean-François Abdullah Bastin en 2009 et dix ans plus tôt, il avait déjà créé le parti Noor, dont le programme se décline en 40 points dont par exemple, le rétablissement de la peine capitale, favoriser le mariage dès l'adolescence, être plus sévère en matière de divorces ou encore la révision de la mixité dans certains lieux publics. L'article complet... Source: RTBF
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Salut, Il est difficile de nier que la France subisse de graves problèmes identitaires, pour partie liés à la question de l'immigration notamment africaine. Je pense que le prénom est central dans l'identité d'un individu, et certains pays comme le Maroc et l'Algérie l'ont pris en compte en acceptant uniquement les prénoms arabes. Pensez-vous que nous devrions faire de même et n'accepter que les prénoms français ou tout du moins occidentaux à l'état civil ? Un article de Libération : L'intégration chinoise, affaire de prénoms Nicolas, Céline, Simone, Régine, mais aussi Kevin ou Winnie : à la différence des autres enfants de migrants, tous les petits Chinois nés en France portent des prénoms bien français. S'ils étaient nés en Italie, ils porteraient des prénoms italiens, et, en Bulgarie, des prénoms bulgares. ...
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extraits : Construit sur le mode d'un compte à rebours vers une « explosion » finale, La France Orange mécanique n'aborde son réel sujet que dans les derniers chapitres : si la délinquance explose en France, c'est, selon l'auteur, du fait de la « mondialisation », entendez de l'immigration. Le procédé est assez habile. Assommé sous une avalanche de chiffres et 45 pages d'affilée de faits divers relevés dans la presse locale, le lecteur non averti s'engouffre dans l'explication « culturelle » offerte par Laurent Obertone. Le livre, qui prétend casser les tabous, esquisse des solutions ultra-sécuritaires : des juges plus sévères, le retour de la peine de mort ou à tout le moins de la vraie perpétuité, la construction de 300 000 places de prisons, et moins d’immigration. Non « politisé » La France Orange mécanique, comme l'affirme son auteur ? Si sûrement que le député Gilbert Collard et Marine Le Pen en font la promotion depuis plusieurs semaines. « Ce livre, vous devez absolument le lire et le faire lire », vante la présidente du Front national en une du site du parti. <div>Présenté comme un travail scientifique, ce « livre choc » accumule pourtant sans aucune précaution des chiffres souvent non sourcés, erronés, et interprétés au forceps pour coller à la thèse de l'auteur. Détails.......(.....)...... La plupart des exemples de viols (et ils sont nombreux) cités par le livre sont commis dans un lieu public par des inconnus, si possible d'origine étrangère, ces fameux « sous-socialisés ». C'est oublier que la plupart des viols en France sont le fait de proches de la victime, comme le montre l'étude de la sociologue Véronique Le Goaziou, Le Viol, aspects sociologiques d'un crime. Le livre est issu du travail d'une équipe du Cesdip qui s'est penchée sur 425 affaires de viol jugées aux assises de Paris, Nîmes et Versailles. « On voit clairement dans ces dossiers que le viol est un crime de proximité, explique Véronique Le Goaziou dans un entretien au Midi Libre. Le nombre d'affaires dans lesquelles auteurs et victimes ne se connaissaient pas du tout est réduit. Dans la majorité des cas, auteur et victime entretiennent un lien relationnel, plus ou moins fort. Les viols les plus nombreux sont ceux qui interviennent à l'intérieur de la famille (47 % - ndlr). Les viols par inconnu représentent dans ma recherche 17 % des dossiers (29 % à Paris - ndlr). C'est important à dire car on a encore dans nos imaginaires la vision du violeur qui fond sur sa proie inconnue dans une rue sombre, ce n'est vraiment pas le plus courant. » Les viols sont également loin d'être le fait d'une catégorie sociale en particulier. « Les enquêtes de victimation montrent que les viols dont les auteurs sont connus sévissent dans tous les milieux sociaux et dans des proportions comparables », rappelle la chercheuse au CNRS dans un entretien à Mediapart. Mais cette réalité, qui met en cause non plus l'inconnu qui rôde dans nos rues, mais les amis, collègues, et conjoints des femmes vivant en France, est passée sous silence par La France Orange mécanique. Pour son auteur, « le traitement des violences faites aux femmes » ne peut être qu'un leurre médiatique permettant « aux associations, médias et politiques d'incriminer essentiellement les maris et les pères de famille ». lire cet excellent article en entier sur : http://www.raslfront-isere.org/blog/lire-article-557584-9783728-_la_france_orange_mecanique___flagrant_delire_secu.html
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Le 30 juin 2010, dans un quartier habité par une forte communauté maghrébine, une famille ostracisée par son voisinage est exfiltrée de son domicile par les policiers sous un torrent de menaces et d'injures racistes anti-blanc. L'affaire a été jugée ce jeudi dans le silence médiatique. Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public. Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé exactement ? Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police. ... L'article intégral sur le site d'Atlantico
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Pourquoi il est urgent que l’UMP disparaisse… 01/05/2013 À une époque où le trône de l’Élysée est occupé par François Hollande, on peut se demander pourquoi la disparition de l’UMP est plus vitale pour la France que celle du PS. Le fait est que, depuis plusieurs semaines maintenant, a émergé un mouvement de contestation populaire, dont l’opinion catholique est la base et dont la liquidation du libéralisme-libertaire hérité de Mai 68 est la cible. Ce mouvement doit aboutir à terme à la reconfiguration de la droite. Or, il existe un parti classé à droite du nom d’UMP. Et ce parti, malgré un discours parfois juste, se rallie toujours dans les faits aux modes funestes du moment : européisme, mondialisme et immigrationnisme. Rappelons que l’UMP est le parti qui a fait entrer le plus d’immigrés en France, culminant à plus de 200.000 immigrés légaux par an sous l’ère Sarkozy, soit 50.000 de plus chaque année que sous l’ère Jospin. Rappelons le vote du traité de Lisbonne contre la volonté et le vote du peuple français, qui nous priva d’une chance historique de nous émanciper de Bruxelles. L’UMP roule pour le mondialisme et, une fois au pouvoir, ne diffère en rien de la gauche. Le mariage gay ? Certes, on a trouvé des députés y étant hostiles. Mais n’oublions pas que l’UMP ne s’est engagée dans la lutte que très tardivement, une fois le succès du mouvement vérifié. En outre, n’oublions pas que, durant la campagne présidentielle, aucune voix importante de l’UMP, pas même Sarkozy, n’a mis au centre du débat le mariage gay. De quoi se poser quelques questions. Il est patent que l’UMP, par son hégémonie dans les institutions et sa tartuferie, est un verrou à l’émergence d’une droite nouvelle. L’UMP est soumise à l’Union européenne, l’OTAN et au politiquement correct teinté de bobocratie. N’en déplaise à ses ténors, l’UMP est libérale-libertaire ou disons-le plus simplement : l’UMP est de gauche. Il est donc temps que l’UMP disparaisse. Avec la mutation annoncée de la droite, une chance historique se présente à la France. Ne laissons pas l’UMP l’enterrer. Ne laissons plus le peuple de droite se faire circonvenir par l’UMP comme celui de gauche se fait circonvenir par le PS. Aux élections municipales et européennes de 2014, la pire des choses sera de voter UMP. L'article... Source: Boulevard Voltaire
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1) Sur la pauvreté, les revenus et les patrimoines « La pauvreté a diminué en France entre 2006 et 2009 » Faux. Le gouvernement a publié le 19 octobre 2011 son rapport sur l’évolution de la pauvreté en France, qui conclut effectivement à une baisse de 5% du nombre de personnes sous le seuil de pauvreté entre 2007 et 2009. Mais cette diminution de 5% concerne le taux de pauvreté « ancré dans le temps », contesté par de nombreux experts et associations de lutte contre la pauvreté (voir www.uncitoyenencampagne.com/ ?p=120). Tous les indicateurs de l’INSEE montrent au contraire que la pauvreté et son intensité se sont aggravées entre 2006 et 2009 (on n’a pas d’indicateurs plus récents) : le taux de pauvreté à 60% du revenu médian est passé de 13,1% en 2006 à 13,5% en 2009, soit 8,2 millions de personnes, entre 2000 et 2008, le nombre de personnes sous le seuil de 40% du revenu médian est passé de 2,7 à 3,2 millions (et pas de chiffre en 2009 ! pourquoi ?). Sources : voir en particulier www.insee.fr/fr/themes/document.asp ?ref_id=ip1365 À savoir : on parle souvent des inégalités de revenus, mais c’est surtout au niveau des patrimoines et donc au moment des héritages que les inégalités se creusent : les 10% des ménages les moins aisés détiennent moins de 2 700 euros de patrimoine brut (avant remboursement des emprunts). Les 10% les mieux dotés disposent d’un patrimoine supérieur à 552 300 euros. Soit un rapport de 1 à 205, qui a crû de près d’un tiers depuis 2004. Un écart bien plus important que celui relatif aux revenus, qui était en 2009 de 4,2 entre les 10% les plus modestes et les 10% les plus riches. Source : www.insee.fr/fr/themes/docum… 2) Sur les minima sociaux 2-1) « La France distribue des minima sociaux élevés. » Faux. La France est dans la moyenne européenne. En France, le montant des minima sociaux pour une famille de deux enfants s’élève à 72% du seuil de pauvreté à 60% du revenu médian, alors qu’il est en moyenne de 76% dans l’Union Européenne (source OCDE, cité dans la revue Études et résultats de la DRESS du ministère de l’Emploi, n°464, février 2006) Par ailleurs, le montant des minima sociaux (RSA, AAH) ne connaît pas la même progression que l’ensemble des revenus. En 1988, le Revenu Minimum d’Insertion équivalait à 50% du SMIC. En 2012, le RSA socle est à 42% : soit 474,93 € pour une personne seule. 2-2) « Il n’y a pas assez d’argent dans les caisses pour augmenter les minima sociaux » Faux. D’une part, la moitié seulement des 7,5 milliards € prévus pour le RSA sont effectivement dépensés, à cause des non-recours (voir 2-4). D’autre part, il est possible de prendre des mesures (en particulier de plus grande justice fiscale) afin d’accroître les recettes de l’État et des collectivités territoriales. 2-3) « Les pauvres font des enfants pour toucher des aides et des allocations. » Faux. Ce n’est pas avec les allocations qu’on peut vivre dignement en famille ; une famille proche du seuil de pauvreté s’appauvrit encore plus lorsqu’elle s’agrandit. Démonstration pour une famille de deux enfants. Le seuil de pauvreté est pour elle de 954 € (seuil de pauvreté à 60% du revenu médian) x (1+0,5+0,3+0,3)= 2003 € mensuels. Disons que cette famille a 2100 € de revenus (y compris allocations familiales). Elle se situe juste au-dessus du seuil de pauvreté. Si un nouvel enfant survient, son seuil de pauvreté deviendra 954 € x (1+0,5+0,3+0,3+0,3) = 2290 €. Ses revenus seront augmentés de 161 € d’allocations familiales, soit 2261 €. Elle passera alors sous le seuil de pauvreté. Pour tout nouvel enfant, le revenu de la famille (en l’absence d’autre variation de revenu) s’élèvera de 161 € d’allocations familiales, et son seuil de pauvreté s’élèvera de 0,3x954 € soit 286 €. C’est ainsi que l’on décourage les familles pauvres d’avoir des enfants… 2-4) « Les gens font tout pour toucher le maximum d’aides » Faux. La moitié des personnes éligibles au RSA n’en fait pas la demande (source Odenore http://bit.ly/zfPwiI). Voir aussi 6-4) pour les taux de non-recours aux prestations sociales. Les raisons : la volonté de ne pas dépendre de l’aide publique, la complexité des démarches, le manque d’information, le souhait de ne pas être contrôlé… 2-5) « Les pauvres demandent tous des droits, mais ça va avec des devoirs » Tout à fait. Mais la société doit aussi engager des moyens suffisants pour que son devoir de soutenir les personnes en difficulté ne consiste pas uniquement en du contrôle, mais se traduise en un accompagnement réel. Or « Le suivi des allocataires du RSA paraît s’être dégradé, puisque, pour les seuls allocataires du RSA socle, ils sont un tiers à avoir signé un CER (contrat d’engagement réciproque) alors que près de la moitié de ceux qui touchaient le RMI avaient à l’époque un contrat d’insertion. » (source Odenore, http://bit.ly/zfPwiI). Pour ce qui est de l’accompagnement des chercheurs d’emploi, il n’est pas à la mesure des besoins. Le nombre moyen de demandeurs d’emploi suivis par conseiller de Pôle Emploi était de 85 fin 2008, 95 en 2009, puis 105,8 fin décembre 2010. Le Sénat et le Conseil Économique Social et Environnemental estiment qu’il faudrait se rapprocher de la cible de soixante demandeurs d’emploi par conseiller (Source : rapport du Sénat sur Pôle emploi, juillet 2011, téléchargeable sur www.senat.fr/rap/r10-713-1/r…) 2-6) « On peut s’en sortir mieux au RSA qu’avec le SMIC » « Un couple qui est au RSA, en cumulant les différents systèmes de minima sociaux, peut gagner plus qu’un couple dans lequel il y a une personne qui travaille au SMIC » a déclaré le ministre Laurent Wauquiez le 8 mai 2011. Cette affirmation est fausse. Exemple d’un couple locataire en Île-de-France : (Voir article source) 3) Sur le budget des familles « Le pouvoir d’achat moyen des Français a augmenté entre 2007 et 2010 » Vrai et faux. Le pouvoir d’achat global au niveau de la France a légèrement augmenté. Mais, compte tenu de l’augmentation de la population, le « pouvoir d’achat du revenu arbitrable » (une fois que les dépenses obligées – loyer, assurance, électricité… - ont été payées) par personne a baissé de 0,1% entre 2008 et 2010 (source INSEE http://bit.ly/yVkn0T). Par ailleurs, pour les revenus les plus modestes, la situation est plus grave. Par exemple, de 1992 à 2006, les dépenses incompressibles dans leur budget sont passées de 52 à 74%. Selon le Secours catholique (Message, février 2011) : « se chauffer devient un luxe pour des millions de personnes », 3,4 millions de personnes subissent la précarité énergétique, les demandes d’aide au chauffage ont augmenté de 50% entre 2008 et 2009 au Secours Catholique. Le prix du gaz a augmenté de 50% en 5 ans ; les loyers depuis 2000 : + 30%. ; électricité : + 6% en un an ; carburants : + 15% en un an (source rapport de la CLCV, octobre 2011). Voir aussi le dossier annuel 2011 de la MRIE Rhônes-Alpes, sur http://bit.ly/wjG2to 4) Sur le travail, le chômage et la retraite « Les pauvres ne veulent pas travailler. » Faux. Les études convergent : 64% des chômeurs interrogés dans huit pays européens déclarent qu’ils veulent retrouver un emploi, même si cela ne leur procure pas un gain financier, alors que seuls 48% des personnes déjà en emploi déclarent vouloir conserver leur travail dans une telle situation (source : étude coordonnée par Duncan Gallie en 1999, citée par Jean Gadrey, http://bit.ly/wYVO4W). L’enquête « L’influence des incitations financières sur le retour à l’emploi des bénéficiaires de minima sociaux » menée en 2009 par la Direction Générale du Trésor montre bien que la valeur accordée au travail et la volonté d’assurer le meilleur avenir possible aux siens conduisent la plupart des bénéficiaires à accepter la reprise d’un emploi, même sans gain financier immédiat (http://bit.ly/ADZjZG). Les principaux freins évoqués pour la reprise d’un travail sont le manque d’emplois, de moyens de transport, de formations adaptées, de modes de garde accessibles, etc. « Il y a des pauvres qui veulent s’en sortir et d’autres qui ne veulent pas. » Faux. Personne n’accepte de vivre dans la misère. La distinction entre « bons pauvres » et « mauvais pauvres » traverse toute l’histoire de la pauvreté (cf. les ouvrages de Paul Christophe sur le sujet). Cette distinction est surtout le reflet de l’impuissance de l’action publique ou de son manque de volonté de s’attaquer vraiment à la pauvreté. Faute de quoi, on s’attaque aux pauvres : c’est plus facile. « Les bénéficiaires du RSA ne font pas d’efforts réels pour chercher du travail. » Faux. La plupart des bénéficiaires du RSA ont l’obligation de chercher un emploi, sous peine de diminution ou suspension de l’allocation. « Si on veut vraiment travailler, on trouve. » Faux. Dans l’état actuel du marché de l’emploi (entre trois et cinq millions de chômeurs en France en 2012, selon la catégorie que l’on considère), tout le monde ne parvient pas à trouver du travail. De plus, certaines personnes restées depuis longtemps sans travail ont besoin d’être particulièrement soutenues pour revenir à l’emploi. Quelques chiffres Le chômage coûte chaque mois 2,2 milliards d’euros à l’Unedic (source rapport du Sénat (juillet 2011) sur Pôle emploi, téléchargeable sur www.senat.fr/rap/r10-713-1/r…), les plus pauvres cotisent comme les autres pour leur retraite, mais perçoivent moins de retraite dans la mesure où leur espérance de vie est moins importante (voir 6)), Taux de chômage chez les 16-25 ans : 8,7% chez les bac+2, et 35% chez les non-diplômés (voir Voir http://www.cerc.gouv.fr/rapports/ra…, page 36-37). Le taux de chômage des 15-29 ans est en 2009 de 29,5% en zone urbaine sensible et de 16,9% en moyenne nationale (source DARES, Analyses, octobre 2010, n°072). 5) Sur le logement « La construction de logements sociaux se développe à un rythme suffisant en France. » Faux. Le niveau de la production a progressé régulièrement jusqu’en 2007 mais s’est effondré depuis : seulement 333 000 logements ont été commencés en 2009 (contre 435 000 en 2007), ce qui met à mal les objectifs du DALO. On estime que le niveau de déficit va atteindre le million de logements. De plus, la progression des logements sociaux tient surtout à l’augmentation de logements accessibles seulement aux classes moyennes (nombre de logements PLS multiplié par 10 entre 2000 et 2010) alors que les logements accessibles aux familles les plus modestes augmentent bien plus faiblement : le nombre de PLAI a été multiplié par 2 sur la même période (rapport Mal logement 2011 de la Fondation Abbé Pierre). « Les logements sociaux devraient être attribués en priorité aux gens qui travaillent. » Faux. L’impératif de solidarité nationale exige que chacun, qu’il ait ou non un emploi, puisse disposer d’un logement adapté à ses ressources. Le droit à un logement digne est reconnu pour tous les citoyens en France. De fait, on constate malheureusement aujourd’hui que les personnes possédant un emploi accèdent en priorité aux logements sociaux. « En période de restriction budgétaire, il est normal que l’État réduise l’aide au logement social. » Faux. C’est la réalité mais c’est un mauvais calcul. Tout d’abord parce, en contrepartie, "l’ensemble des crédits que l’État consacre à la politique d’hébergement peut être estimé à 1,5 milliard d’euros" chaque année (source Cour des comptes, http://bit.ly/wWR0ZY). Par ailleurs, l’absence de logement stable provoque pour une famille des ruptures durables dans l’emploi, la santé, la scolarité… qui auront des conséquences et des coûts élevés pour la collectivité. 6) Sur la Sécurité sociale et la santé 6-1) « Les pauvres sont des fraudeurs. » Faux. La fraude aux prestations sociales est évaluée à environ 3 Milliards € et concernerait 1% des particuliers (source Cour des comptes, http://bit.ly/pszAmR). 90% de ces 3 Milliards sont récupérés. La CNAF estime le taux de fraude à 0,46% pour les prestations familiales, 3,1% pour l’API (Allocation Parent Isolé), 3,6% pour le RMI-RSA (source : AFP, 29 avril 2010). À comparer avec : la fraude aux prélèvements sociaux, évaluée à entre 8 et 12 Milliards € et concernerait 10% des entreprises (source Conseil des prélèvements obligatoires en 2007) la fraude fiscale en France, évaluée à entre 20 et 25 Milliards € par le Conseil des prélèvements obligatoires en 2007, ou 30 Milliards € par la Direction du Budget, ou encore 50 Milliards € par la Commission Européenne. 6-2) « Les bénéficiaires de la CMU en profitent pour faire des soins de confort dont ils n’ont pas vraiment besoin » Faux. La CMU est très restrictive. 6-3) « Grâce aux bons CAF, les enfants des familles défavorisées ont un accès normal à la culture, au sport, etc. » Oui et non. Ces aides sont appréciables, mais elles nécessitent un financement complémentaire plus ou moins important par les familles. Et il faut anticiper les besoins pour faire les demandes à temps. 6-4) « Grâce à la CMU, à la CMUC et à l’ACS, tout le monde bénéficie d’une protection santé satisfaisante. » Faux. En 2008, 1,5 million de personnes sur les 6 millions de bénéficiaires potentiels ne disposaient pas de la CMU (couverture maladie universelle). Au 31 décembre 2010, une étude du Fonds CMU estimait que le nombre de personnes n’ayant pas recours à la CMU-C (couverture maladie universelle complémentaire) était de plus de 20%. Pour l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (ACS), le taux de non-recours est 80%. Par ailleurs, en 2008, 22 % des bénéficiaires de la CMU-C déclaraient avoir renoncé à certains soins pour des raisons financières au cours des 12 derniers mois (source : Boisguérin, Després, Dourgnon, Fantin, Legal, 2010, Étudier l’accès aux soins des assurés CMU-C, une approche par le renoncement aux soins, In Santé, soins et protection sociale en 2008. Paris : IRDES, 2010/06, 31-40). 6-5) « Pour ce qui est de l’espérance de vie en France aujourd’hui, nous sommes relativement égaux. » Faux. À la fin des années 1990, un ouvrier ayant 35 ans vivra encore en moyenne 39 ans, un cadre 46 ans et un chômeur 28 ans. Ces inégalités d’espérance de vie sont croissantes en France (source : Monteil C., Robert-Bobée I., 2005, Les différences sociales de mortalité : en augmentation chez les hommes, stables chez les femmes, INSEE Première, 1025). 7) Sur le placement des enfants « Les enfants placés ont la chance de connaître une vie meilleure et de découvrir un autre milieu que le leur. » Faux. Pour un grand nombre d’enfants et de parents, le placement est une solution qui crée des ruptures profondes alors qu’il pourrait souvent être évité. "Une personne sans domicile sur cinq a dû quitter le domicile de ses parents avant l’âge de 16 ans - proportion six fois plus élevée que dans le reste de la population" (source www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc…) « Si on place les enfants, c’est à cause de la maltraitance. » Faux. Les causes du placement d’un enfant d’une famille pauvre tiennent souvent aux conditions d’accès de la famille au logement, à la santé, etc. Des difficultés pourraient dans de nombreux cas être résolues par un soutien à la famille qui coûterait par ailleurs moins cher que la solution du placement. « Six milliards d’euros sont dépensés chaque année de façon empirique, sans que l’on cherche à contrôler les acteurs de la protection de l’enfance, ni à connaître l’efficacité de ces interventions » (rapport « La protection de l’enfance » de la Cour des comptes, octobre 2009). 8) Sur la fiscalité et les impôts « Les pauvres ne paient pas d’impôts » Faux. Le taux moyen d’imposition (impôts directs et indirects) des 10% les moins riches est d’environ 40%, celui des 0,1% les plus riches d’environ 37%, et celui des revenus moyens de 45 à 48% (source : calculs effectués par les économistes Saez, Landais et Piketty à partir des données INSEE). NB : pour les plus hauts revenus, les taux réels d’imposition sont souvent très inférieurs aux taux affichés, à cause des niches fiscales. Grâce à elles, une partie des plus hauts revenus échappe à une part de l’imposition. « Les plus pauvres peuvent se faire exonérer de charges et d’impôts » Oui, mais il faut effectuer beaucoup de démarches avant d’obtenir ces exonérations et il faut les renouveler régulièrement. 9) Sur l’immigration 9-1) « L’immigration augmente d’année en année en France » Faux.http://www.insee.fr/fr/themes/table… 9-2) « Si on renvoyait les étrangers [1] dans leur pays, il y aurait moins de chômage en France » ou « Les étrangers prennent des emplois aux Français » ou « Ce sont les étrangers qui creusent le trou de la Sécurité sociale » Faux. Globalement, la présence des populations de nationalité étrangère en France crée de la richesse et donc de l’emploi, grâce à l’apport de consommation, d’impôts et de cotisations (voir 9-6)). Les étrangers sont aussi consommateurs, ils créent une demande supplémentaire et des emplois. Les études montrent que les migrants arrivant créent leurs propres emplois. « En imaginant une augmentation de 10% du flux d’immigration au Royaume-Uni en 2007, le taux de chômage n’augmenterait alors que de 0,01 point au bout de 13 ans. » ( http://dailleursnoussommesdici.org/…). 9-3) « La France est un des pays d’Europe qui accueille le plus d’immigrés » Faux. « Avec un taux d’accroissement naturel de 4 pour 1000 et un taux d’accroissement migratoire de 1 pour 1000, la France est le pays d’Europe dont la croissance démographique annuelle dépend le moins de l’immigration » (tableau 2 page 2 du document « Cinq idées reçues sur l’immigration », source INED pour l’année 2001). En 2010, la part des personnes immigrées sur la population totale s’élevait à : Autriche (16 %), Suède (14 %), Espagne (14 %), États-Unis (13 %), Allemagne (13 %), France (11 %) [ 2], Pays-Bas (10 %), Royaume-Uni (10 %), Belgique (9 %), Italie (7 %) (source INED,http://bit.ly/hK5Qrp). 9-4) « Les familles immigrées font beaucoup plus d’enfants que les familles françaises natives » Pas tant que cela. « Dans la période 1991-1998, le nombre moyen d’enfants par femme était de 1,65 pour les seules françaises natives. Les femmes immigrées avaient en moyenne 2,2 enfants (source document « Cinq idées reçues sur l’immigration », INED, 2004) 9-5) « La France accueille toute la misère du monde » (sous-entendu : « Ce sont les populations les plus pauvres qui immigrent en France ») Faux. « Dans l’ensemble, les migrants représentent par rapport aux non-migrants de la société d’origine une population sélectionnée : en meilleure santé, plus instruite, plus entreprenante, dotée d’un minimum de ressources » (source document « Cinq idées reçues sur l’immigration », INED, 2004). La part des immigrés diplômés de l’enseignement supérieur est passée de 12 à 25% entre 1990 et 2007. La moyenne nationale est de 29% (Insee et http://dailleursnoussommesdici.org/…). 9-6) « L’immigration coûte 48 milliard d’euros à la France en prestations sociales » Vrai. Mais elle rapporte 60 milliards d’euros en impôts et cotisations sociales chaque année (source ministère de la Santé et des affaires sociales et étude de l’université de Lille-II de juillet 2010, voir http://dailleursnoussommesdici.org/…). La population immigrée est en moyenne plus jeune et en bonne santé que les autres habitants de la France. Or dans les prestations sociales la maladie pèse 47% et la retraite 31% (les autres dépenses étant les allocations chômage, le RSA, les allocations logement et les allocations familiales). La population immigrée est donc une chance pour aider au paiement des retraites. En moyenne, la contribution nette de chaque immigré (différence entre ce qu’il verse et ce qu’il reçoit en impôts et cotisations sociales) est de l’ordre de 1500 € par an. Voir "Migrations et protection sociale : étude sur les liens et les impacts de court et long terme" (ministère de l’Emploi, 2010, http://bit.ly/wo0Jxt), ainsi que www.telos-eu.com/fr/article/… ("En l’absence de l’immigration, le besoin de financement de la protection sociale en France augmenterait de 2 points de Produit Intérieur Brut (PIB)". Bien sûr, l’apport de l’immigration à notre pays ne se limite pas à cet aspect comptable. Il est aussi et surtout humain, culturel, scientifique, artistique, etc. 9-7) « Les étrangers peuvent profiter facilement des minima sociaux. » Faux. Il faut être en possession d’un titre de séjour et d’une carte de travail depuis au moins cinq ans pour bénéficier du RSA si on est natif d’un pays extérieur à l’Union européenne. 9-8) « Les étrangers augmentent la délinquance » Faux. 12,7% du nombre de condamnés sont étrangers (source : ministère de la Justice), alors qu’ils représentent environ 8% de la population de la France (voir 9-3)). L’écart n’est pas si important que veulent le faire croire certains hommes politiques. 10) Sur l’école « Ce n’est pas à l’école de régler tous les problèmes de la société » Vrai et faux. La loi d’orientation sur l’école de 2005 dit : « La scolarité obligatoire doit au moins garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l’acquisition d’un socle commun constitué d’un ensemble de connaissances et de compétences qu’il est indispensable de maîtriser pour accomplir avec succès sa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnel et réussir sa vie en société. » Cela dit bien que le rôle de l’école n’est pas seulement de transmettre des connaissances, mais aussi de permettre aux élèves de se construire des compétences, dont celle de pouvoir vivre avec d’autres différents de soi. Elle doit aussi permettre à tous d’acquérir ces connaissances et compétences. Mais on constate qu’elle peine à atteindre ces objectifs et à réduire les inégalités sociales, dans la mesure où l’échec et la réussite scolaire sont de plus en plus liés à l’origine sociale. En réalité, le fonctionnement actuel de l’École en France vise aussi un objectif non déclaré : sélectionner les meilleurs élèves qui s’orienteront ensuite vers des études supérieures et les postes de responsabilité. « Dans les familles pauvres, les parents sont démissionnaires et se désintéressent de l’école » Faux. Les parents défavorisés ont souvent peur de l’école car ils sont marqués par leur échec d’enfant. Par ailleurs, 80% des mères non-diplômées s’estiment dépassées pour aider leurs enfants dans leurs études au collège, contre 26% seulement des mères diplômées de l’enseignement supérieur (source INSEE, « L’aide aux devoirs apportée par les parents », 2004). Mais le lien entre pauvreté et échec scolaire n’est pas fatal : il est moins élevé dans la plupart des autres pays développés qu’en France, et très faible dans des pays comme le Canada, la Finlande, le Japon ou la Chine (source étude PISA). « Heureusement que l’école est là pour corriger certaines inégalités sociales ! » Faux. En France, l’impact du milieu social sur la réussite ou l’échec scolaire est plus grand que dans beaucoup d’autres pays, et il grandit au fil des années. En 2009, plus de 75% des élèves dont les parents sont cadres ou professions intellectuelles ont obtenu le bac général, contre 33% pour les enfants d’ouvriers et 41% des enfants d’inactifs (rapport CESE sur les inégalités à l’école) ; le pourcentage de variation de performance des élèves, en lecture expliqué par le milieu socio économique est de 17% pour la France bien au dessus de la moyenne de l’OCDE (14%), le double de la Finlande du Canada ou du Japon (rapport CESE). « Si les enfants pauvres réussissent moins bien à l’école, c’est qu’ils ne travaillent pas » Faux. Les causes sont plus complexes que cela. Par exemple, « le niveau de diplôme des parents (particulièrement celui de la mère) et, de manière plus globale, les possibilités d’encadrement de la scolarité par les familles revêtent une importance au moins aussi grande que leur situation socio-économique » (rapport CESE). « Les enfants d’immigrés sont plus en échec scolaire que les autres. » Faux. C’est la pauvreté qui la plus grande cause d’échec scolaire et non pas l’immigration. À niveau social égal, les descendants d’immigrés ne sont pas en moyennes plus touchés par l’échec scolaire que le reste de la population (CESE). « La mixité sociale dans les écoles nuit à la réussite scolaire. » Faux. Lorsque l’on met en oeuvre une pédagogie adaptée, les résultats scolaires de tous s’améliorent, comme le montrent les expériences de plusieurs établissements scolaires (voir l’exemple des écoles Anne Frank et Hélène Boucher à Mons-en-Baroeul, celui du collège La Durantière à Nantes – Feuille de route sept/oct. 2011 –, celui du collège Évariste-Galois à Nanterre – Feuille de route novembre 2011 –, etc.). Par ailleurs, l’école ne doit-elle pas préparer les enfants et les jeunes à vivre ensemble dans le respect des différences ? 11) Sur les Roms « Les Roms ne veulent pas travailler. » Faux. C’est le contraire : tout est fait en France pour que les Roms de Roumanie et de Bulgarie n’aient pas le droit de travailler : une « période transitoire » les empêche d’avoir les mêmes droits que les autres européens avant fin 2013. Pour travailler, ils doivent disposer d’une autorisation de travail. Les délais d’obtention sont de 3 à 6 mois à partir d’une promesse d’embauche à temps plein. Le plus souvent, l’employeur (qui doit en plus payer la taxe dûe à l’OFII – Office Français pour l’Immigration et l’Intégration – pour l’embauche d’un étranger) ne peut attendre la réponse et embauche quelqu’un d’autre. Le 26 octobre 2009, la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE) a demandé au gouvernement qu’il mette fin à cette période transitoire, ainsi que la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH), dans un avis adopté le 22 mars 2012. Travail réalisé par ATD Quart Monde et la MRIE, Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion en Rhône-Alpes. Source : http://www.atd-quart...-ca-suffit.html
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Femmes injuriées dans les rues de Bruxelles : "dans 95% des cas, ce serait par des Maghrébins" 26/07/2012 « porter une jupe pour une femme, c’est déjà risqué » ... Le sexisme en rue, une question d’origine ? Sofie Peeters, étudiante en dernière année à la Haute Ecole flamande Rits, jette un pavé dans la mare, avec son documentaire “Femme de la rue”, diffusé ce jeudi soir (20h) aux Galeries Cinéma, et à la même heure dans l’émission Terzake sur la chaîne néerlandophone Canvas. “Je suis originaire de Louvain, mais je suis venue habiter à Bruxelles, dans le quartier Anneessens, il y a deux ans, pour mes études”, explique la jeune femme. “J’ai été surprise de voir que chaque fois que je sortais en rue, j’étais la cible des remarques des hommes.” Des simples sifflets aux remarques carrément vulgaires du style “c’est combien?”, la demoiselle en a soupé. Elle a alors décidé de canaliser sa frustration dans un documentaire, réalisé dans le cadre de son cursus. Et dans lequel ses conclusions ne laissent pas la place à l’interprétation. “Je ne le dis pas volontiers, mais il s’agit de personnes allochtones (NDLR: comprenez d’origine maghrébine) dans 95% des cas”, grimace notre interlocutrice. Qui se défend, toutefois, de stigmatiser les étrangers. “Non, personne ne m’a jamais taxé de racisme. Car mon constat porte plus sur la condition sociale des individus que sur leur origine ethnique : s’il y a une forte proportion d’étrangers parmi les garçons qui me font des remarques, c’est parce qu’il y a aussi une forte proportion d’étrangers parmi les populations fragilisées.” Elle s’explique. “Les jurons qu’ils nous envoient sont souvent la conséquence de l’ennui. Les jeunes lambinent dans les rues et ne savent pas quoi faire, les plus vieux s’assoient dans les salons de thé. Il y a une méconnaissance de nos cultures respectives. Les Musulmans ont un comportement assez insistant par rapport à la sexualité : porter une jupe pour une femme, c’est déjà risqué.” Suite de l'article... Source: La Nouvelle Gazette
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Selon CNN, Mohammed est le prénom le plus porté par les bébés garçons nés au Royaume-Uni en 2011. Dans le classement rendu public par le gouvernement britannique c'est Harry qui arrive en premier. Mais la chaîne américaine fait remarquer que si on additionne les cinq différentes orthographes utilisées pour écrire le prénom, Mohammed arrive devant Harry. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/15/97001-20120815FILWWW00126-mohammed-prenom-le-plus-porte-en-gb.php Submergés par l'immigration musulmane ?
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