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Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics
Skanderbeg a posté un sujet dans Société
Aujourd'hui, des associations alertent sur ces quartiers où les femmes deviennent indésirables dans l'espace public. Se promener en jupe ou boire un café en terrasse peut alors devenir un vrai défi pour elles. http://www.francetvinfo.fr/societe/societe-quand-les-femmes-sont-indesirables-dans-les-lieux-publics_1958225.html Dans ce bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes. "Dans ce café, il n’y a pas de mixité", assure sèchement un homme. Aller dans un bar, ici à Sevran (Seine-Saint-Denis), c'est braver un interdit pour une femme. « T'es dans le 93 ici ! (...) C'est une mentalité différente ! C'est comme au bled ! »- 102 réponses
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Peut-on concevoir "l'égalité" sans d'abord accepter la supériorité ?
Guillaume_des_CS a posté un sujet dans Philosophie
Je défie (rien que ça !) qui que ce soit d'expliquer "l'égalité" sans passer par la case (préalable) de la supériorité (donc de l'infériorité). Supposons que j'aie raison, qu'aucun-e de vous n'y parvienne : dès lors "l'égalité" n'est-il pas un concept (philosophique) vide de sens ? PS : Notez s'il vous plaît, chers ami-e-s Forumeur-e-s (il me semble quand même que les femmes sont assez peu présentes ici ?... Pourtant, en philo...), que j'ai bien dit "supposons"...- 106 réponses
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Je viens de relire la déclaration des droits de l'homme, et je l'ai trouvé bizarrement pas si intelligente que ça. Je me demande si ce texte n'a pas un peu vieilli et se baserai sur des principes et valeurs culturelles un peu vieillotte, et ne prenant pas en compte certaines notions découvertes depuis. Je me demande aussi si d'autres utopies ne sont pas aussi légitime et intéressantes, même en étant basé sur d'autres principes. Je préviens, mes remarques vont remettre en cause les principes premier de la démocratie ou de l'égalité des citoyens, je prend ces réflexions sur le plan philosophique. Et non politique. Rappel des droits de l'hommes : Vis à vis de l'égalité des citoyens devant la loi... Je me demande si l'organisation en système de caste n'est pas aussi intéressant. Du point de vu de mes valeurs, je suis contre la qualification de "supériorité" ou "d'infériorité" d'un individu ou d'une caste par rapport à une autre. Toutefois la différence n'est pas la "supériorité" ou "l'infériorité". La main ou le pied (ou le foie) sont différents, on ne dira pas que l'un est "supérieur" à l'autre. Je me demande dans quel mesure une "utopie" ne pourrait pas distinguer différentes castes, avec des droits différents, adapté a ses rôles, et chacune développant sa propre culture, de manière a obtenir une plus grande efficacité de la société dans son ensemble. La déclaration universelle des droits de l'homme me semble un peu trop individualiste et passer un peu sous silence le fait que les individus, et leur aptitudes intellectuelle ou physique sont en grande parties acquise par l'expérience et l'entrainement, et sont donc le fruit d'une culture. Faire baigner un individu dès sa naissance dans une culture adaptée au rôle de sa caste me semble pouvoir avoir des avantages non négligeable pour la société dans son ensemble. Et si du point de vu de l'intérêt particulier, l'individu en question peut obtenir la reconnaissance professionnelle et sa place dans la société, il me semble parfaitement pouvoir s'y épanouir individuellement. Je tiens à préciser qu'un système de caste n'est pas nécessairement fermé, les individus peuvent passer de l'une à l'autre suivant certaines conditions, test et rituels de passage etc... Un système de caste est caractérisé par l'institutionnalisation de groupe différents, dont les individus sont soumis à des règles différentes. ———————————— La propriété est précisé comme un droit inaliénable des individus... Je me demande si cette mesure est sage dans l'absolue. Mes valeurs de justices et de liberté des individus les un par rapports aux autres me font tout de même remarquer que la propriété divise, et peut instaurer des pouvoir extrêmement important d'un individu sur un autre. J'avais cru comprendre que cette déclaration avait été instaurée par les bourgeois. Défendre la propriété me semble logique dans leur intérêts, toutefois, je me demande si cette règle n'entre pas précisément en contradiction flagrante avec leur valeur d'égalité des individus. Certains individus, de par leur propriété, (et de part leur naissance bien souvent) possèdent les pouvoirs de nations entière. Surtout à notre époque. Je ne trouve pas ça normal. Je pense assez évident qu'il y a un non respect des principes même des droits de l'homme dans cette clause même des droits de l'homme. La propriété ne devrait elle pas être limitée à une certaine quantité ? Qui resterait une valeur à échelle humaine. Je ne parles pas nécessairement de la privatisation des biens de production. Mais de la limitation de la propriété de chaque individu. Les grands groupe privés devant alors de fait être détenus par un grand nombre de petits actionnaires. Qui auraient des pouvoirs à peut près semblable, et instaurerai un fonctionnement beaucoup plus démocratique dans les grandes entreprises qu'un fonctionnement accordant uniquement le pouvoir à celui qui détiens le plus d'argent. (pas forcément le plus compétent) ———————————— Le pouvoir est accordé à la Nation comme seule source légitime... Je me posais aussi des questions sur la pertinence de la vision "unifié" de cette "Nation". Ne pourrait on pas concevoir certains principes majeurs différent de la Nation pouvant posséder légitimement un pouvoir. Déjà pour reprendre le système de caste, chacune constituerai une sorte de "Nation". Ensuite je me demande si certain principes comme "l'écologie", ou la "santé", voir la "science" ne pourraient pas posséder leur propres pouvoirs et autorités. Elles obéissent à des logiques différente de la logique démocratique ou "libérale". Et je ne pense pas que les concepteurs de cette déclaration avaient à cette époque conscience que d'autres principes non basé sur la "démocratie" pouvaient avoir une légitimité à posséder une autorité. Un ensemble de système de pouvoir chacun centré autours de principes différents, articulés ensemble, me semble pouvoir être aussi intéressant qu'un pouvoir centralisé hégémonique supérieur, contrôlant tout. Voilà, j'ai certainement d'autre critiques, mais j'y reviendrai plus tard, pour ne pas pondre de (trop gros) pavés.
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Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits
Hussard Noir a posté un sujet dans International
Allemagne : l’association zoophile réclame l’égalité des droits[DESC][/DESC] En réponse au projet de loi qui vise à interdire la zoophilie en Allemagne, l’association allemande de défense des Droits des zoophiles (Zeta), selon laquelle il y aurait 100.000 zoophiles en Allemagne, a décidé de porter plainte contre cette future loi devant la Cour constitutionnelle. Mi-décembre, le parlement allemand a adopté une loi afin d’interdire les actes zoophiles et de les condamner à une amende de 25.000 euros. Une loi zoophilophobe réactionnaire, qui n’a pas manqué de faire réagir les militants de la Zeta, un organisme qui milite pour le progrès, l’égalité et la liberté et qui a donc décidé de porter plainte contre cette loi zoophilophobe auprès de la Cour constitutionnelle allemande. Michael Kiok, un bibliothécaire président de l’association, en couple avec sa chienne bergère allemande prénommée Cessie et âgée de 8 ans et demi, a expliqué la position de son association progressiste par la volonté d’empêcher « la discrimination et la persécution des zoophiles en Allemagne ». « Nous voyons les animaux comme des partenaires et non comme un moyen de gratification. Nous n’avons pas à les forcer à faire quoi que ce soit », a-t-il ainsi déclaré dans une interview pour le journal Spiegel. Il a également précisé qu’il était facile pour un zoophile de savoir si un animal est consentant ou pas et que par conséquent, aucun mal ne leur est fait. « Les gens ont essayé de créer la fausse impression que nous faisons du mal aux animaux », a-t-il dénoncé. Une belle leçon de tolérance. L'article... Source: 24 heures actu- 532 réponses
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Vous en pensez quoi de : « Nous resterons jusqu’à la fin juin nous battre dans la province d’Oran, et à y ruiner toutes les villes, toutes les possessions de l’émir. Partout il trouvera l’armée française, la flamme à la main (mai 1841) ». « Mascara, ainsi que je te l’ai dit, a dû être une ville belle et importante. Brûlée en partie et saccagée par le Maréchal Chauzel en 1855 ». « Nous sommes dans le centre des montagnes entre Miliana et Cherchell. Nous tirons peu de coups de fusil, nous brûlons tous les douars, tous les villages, toutes les cahutes. L’ennemi fuit partout en emmenant ses troupeaux ». « Entouré d’un horizon de flammes et de fumée qui me rappelle une petit Palatinat en miniature, je pense à vous tous et je t’écris. Tu m’a laissé chez les Brazes, je les ai brûlés et dévastés. Me voici chez les Sindgads, même répétition en grand, c’est un vrai grenier d’abondance... Quelques-uns sont venus pour m’amener le cheval de soumission. Je l’ai refusé parce que je voulais une soumission générale, et j’ai commencé à brûler (Ouarsenis, octobre 1842) ». « Des tas de cadavres pressés les uns contre les autres et morts gelés pendant la nuit ! C’était la malheureuse population des Beni-Naâsseur, c’était ceux dont je brûlais les villages, les gourbis et que je chassais devant moi (région de Miliana, 1843) ». « J’ai laissé sur mon passage un vaste incendie. Tous les villages, environ deux cents, ont été brûlés, tous les jardins saccagés, les oliviers coupés (Petite Kabylie, mai 1851) ». Le général Bugeaud écrit le 18 janvier 1843 au Général de la Moricière : « Plus d’indulgence, plus de crédulité dans les promesses. Dévastations, poursuite acharnée jusqu’à ce qu’on me livre les arsenaux, les chevaux et même quelques otages de marque... Les otages sont un moyen de plus, nous l’emploierons, mais je compte avant tout sur la guerre active et la destruction des récoltes et des vergers... Nous attaquerons aussi souvent que nous le pourrons pour empêcher Abdelkader de faire des progrès et ruiner quelques-unes des tribus les plus hostiles ou les plus félonnes ». Le 24 janvier, il écrit au même : « J’espère qu’après votre heureuse razzia le temps, quoique souvent mauvais, vous aura permis de pousser en avant et de tomber sur ces populations que vous avez si souvent mises en fuite et que vous finirez par détruire, sinon par la force du moins par la famine et les autres misères ». ....(...).... lire en entier sur : http://rebellyon.info/Le-24-janvier-1845-en-Algerie-Je.html
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En amour : de l'homme qui possède et de la femme qui appartient
Marc'heg a posté un sujet dans Philosophie
À l'heure de l'indifférenciation des sexes, il est vivifiant de respirer un peu d'air nietzschéen : Malgré toutes les concessions que je suis prêt à faire aux préjugés monogames, je n'admettrai jamais que l'on puisse parler chez l'homme et chez la femme de droits égaux en amour : ces droits n'existent pas. C'est que, par amour, l'homme et la femme entendent chacun quelque chose de différent, - et c'est une des conditions de l'amour chez les deux sexes que l'un ne suppose pas chez l'autre le même sentiment. Ce que la femme entend par amour est assez clair : complet abandon de corps et d'âme (non seulement dévouement), sans égards ni restrictions. Elle songe, au contraire, avec honte et frayeur, à un abandon où se mêleraient des clauses et des restrictions. Dans cette absence de conditions son amour est une véritable foi, et la femme n'a point d'autre foi. -L'homme, lorsqu'il aime une femme, exige d'elle cet amour-là, il est donc, quant à lui-même, tout ce qu'il y a de plus éloigné des hypothèses de l'amour féminin; mais en admettant qu'il y ait aussi des hommes auxquels le besoin d'un abandon complet ne serait pas étranger, eh bien, ces hommes ne seraient pas - des hommes. Un homme qui aime comme une femme devient esclave; une femme, au contraire, qui aime comme une femme devient une femme plus accomplie... La passion de la femme, dans son absolu renoncement à ses droits propres, suppose précisément qu'il n'existe point, de l'autre côté, un sentiment semblable, un pareil besoin de renonciation : car, si tous deux renonçaient à eux-mêmes par amour, il en résulterait - je ne sais quoi, peut-être l'horreur du vide? - La femme veut être prise, acceptée comme propriété, elle veut se fondre dans l'idée de « propriété », de « possession » ; aussi désire-t-elle quelqu'un qui prend, qui ne se donne et ne s'abandonne pas lui-même, qui, au contraire, veut et doit enrichir son « moi » par une adjonction de force, de bonheur, de foi, par quoi la femme se donne elle-même. La femme se donne, l'homme prend, - je pense que l'on ne passera par-dessus ce contraste naturel ni par des contrats sociaux, ni même avec la meilleure volonté de justice : si désirable qu'il puisse être de ne pas toujours avoir devant les yeux ce qu'il y a de dur, de terrible, d'énigmatique et d'immoral dans cet antagonisme. Car l'amour, l'amour complet et grand, figuré dans toute sa plénitude, c'est de la nature et, en tant que nature, quelque chose « d'immoral » en toute éternité. - La fidélité est dès lors comprise dans l'amour de la femme, par définition, elle en est une conséquence; chez l'homme, l'amour peut parfois entraîner la fidélité, soit sous forme de reconnaissance ou comme idiosyncrasie du goût, ce qu'on a appelé « affinité élective », mais elle ne fait pas partie de la nature de son amour, - et cela si peu que l'on peut presque parler d'une antinomie naturelle entre l'amour et la fidélité chez l'homme : lequel amour est un désir de possession et nullement un renoncement et un abandon; or le désir de possession finit chaque fois qu'il y a possession... De fait, c'est le désir subtil et jaloux de l'homme, qui s'avoue rarement et de façon tardive cette « possession », qui fait durer encore son amour; dans ce cas, il est même possible que l'amour grandisse après l'abandon de soi -l'homme se refuse à avouer que la femme n'a plus rien à lui « abandonner ». Nietzsche, Le Gai savoir, 363. -
Financer l’allocation universelle Mai 2013 « Mais ce serait impossible à financer ! » Voilà, d’ordinaire, la première objection faite aux promoteurs d’un revenu universel déconnecté de l’emploi. La première, mais sans doute aussi la plus faible. Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le revenu disponible (après versement des prestations sociales et prélèvement des impôts directs) s’y élevait à 1 276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus. Nous disposons donc de ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1 276 euros si l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. C’est nettement plus que le seuil de pauvreté actuel, fixé en France à 60 % du revenu médian (1), soit 960 euros par adulte. Qui peut le plus pouvant le moins, la France a donc sans nul doute les moyens d’assurer à tous ses résidents un revenu au moins égal au seuil de pauvreté. Lire la suite de l'article Source: Le Monde Diplomatique
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http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/lycees-l-academie-de-nantes-demande-aux-garcons-de-se-mettre-en-jupe-le-16-mai-5320/#xtor=AL-155
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Comme tout français passionné par la france et son histoire, certains " grand personnages " étaient pour moi dans le panthéon des monstres sacrés. Mais là, depuis quelques années, et de plus en plus aujourd'hui, un grain de sable fiche en l'air la mécanique. Ce sont en fait ces ' déclarations ' qu'ont faites ces ' héros ' qui ternissent leurs auras : " On ne peut se mettre dans l'idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une ‚âme, surtout une ‚âme bonne, dans un corps tout noir. (...) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. " Montesquieu " Je vous défie de soutenir jusqu'au bout votre thèse qui repose sur l'égalité, la liberté, l'indépendance des races inférieures. Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. " Jules Ferry " En Afrique les filles foisonnent, mais elles sont toutes aussi malfaisantes et pourries que le liquide fangeux des puits sahariens " Guy de Maupassant. etc... etc... etc... Ce qui m'aidait à assumer toutes les nuances possibles chez ces personnages, était le grand argument du " contexte historique " mais à vrai dire, ce prétexte ne suffit plus pour parvenir à les garder sur leurs des piédestaux, pour la simple raison que certains êtres humains baignant dans les mêmes dogmes ou des plus anciens et archaïque encore se sont montré plus ' éveillés et plus pointus ' dans leurs raisonnement et façon d'interagir avec le monde, exemple : " L' Afrique est le berceau du raisonnement scientifique " ( jean michel champolion ) " Les Français veulent l'égalité, et quand ils ne la trouvent pas dans la liberté, ils la souhaitent dans l'esclavage. " ( Alexis de Tocqueville ) " cette race d'hommes noirs, aujourd'hui notre esclave et l'objet de nos mépris, est celle-là même à qui nous devons nos arts, nos sciences et jusqu'à l'usage de la parole ". ( Compte de Volney ) Comment faites vous pour assumer la face obscure de notre histoire ?
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