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Bonjour, Six mois après l’entrée en vigueur de la loi pour le plein emploi, son volet sanctions, condamné unanimement par les associations et les syndicats, a été formalisé dans un décret publié le 31 mai au Journal officiel. Il prévoit la suspension d’au moins 30 % de l’allocation des demandeurs d’emploi, dont les bénéficiaires du RSA, pour une durée allant jusqu’à quatre mois. Cette loi impose depuis janvier dernier une inscription d’office dans les fichiers de France Travail à l’ensemble des 1,2 million d’allocataires du revenu de solidarité active (RSA), mais aussi aux 1,1 million de 16-25 ans suivis par les missions locales, ainsi qu’aux 220 000 personnes en situation de handicap qu’épaule Cap emploi. Tous sont tenus de se plier à 15 heures d’activité hebdomadaire, via un contrat d’engagement, sous peine de représailles, détaillées dans ce décret. Article entier : https://www.humanite.fr/social-et-economie/chomeurs/suspension-des-allocations-pendant-1-a-4-mois-voici-les-nouvelles-sanctions-ciblant-les-chomeurs
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Bonjour, Le gouvernement collégial de Nouvelle-Calédonie a alerté vendredi sur l'urgence d'agir face à la dégradation du pouvoir d'achat dans l'archipel, confronté à une grave crise économique et sociale depuis les émeutes de 2024. Il y a près de 12 000 nouveaux chômeurs - pour 68 000 salariés du privé - depuis la crise de mai 2024. Les prix de l'alimentation, supérieurs de près de 78% aux prix de l'Hexagone avant la crise, ont encore progressé de 5,7% sur les douze derniers mois. Un dispositif de chômage partiel spécifique jusqu'en juin a été mis en place à la suite des émeutes, mais il pourrait s'arrêter au 31 mars faute de financement. Article entier : https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/pouvoir-d-achat-fortement-degrade-en-nouvelle-caledonie-des-gens-ne-peuvent-plus-se-nourrir-1563466.html
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Bonjour, La CGT chômeurs a extrait du site de France Travail toutes les offres d’emploi des secteurs de l’industrie, de la santé et des services à la personne, dans onze villes cibles. Sur les 1844 offres trouvées, 55 % sont illégales si on se fie au Code du travail. Il y a une différence avec l’étude de France Travail qui a choisi aléatoirement dans toute sa base de données 2500 offres vérifiées par un de leurs agents et 2500 offres de partenaires. Résultat : 7 % d’offres illégales sur leur site, ce qui est déjà trop, d'autant que ce chiffre est faussé puisque en réalité 80 % de leurs offres proviennent de partenaires extérieurs, et non pas seulement 50 %. Il est indiqué dans le Code du travail que toutes les offres doivent être le strict reflet du contrat de travail qui sera signé et ne pas comporter de mention susceptible d’induire en erreur. Ce n’est pas le cas de la majorité des annonces publiées. Par exemple, indiquer qu’une offre de CDD peut déboucher sur un CDI est illégal parce que cela ne correspond pas à la réalité du contrat signé. Sinon, il s’agirait d’une période d’essai d’un CDI. Il y a aussi des offres littéralement bidon, qui n’existent pas. Elles sont sur le site de France Travail, mais en cliquant sur le lien pour aller sur le site du partenaire, il est indiqué que l’offre a déjà été pourvue, mais n’a pas été retirée du site. Et enfin il y a aussi des offres frauduleuses. Ce sont des annonces déposées par des entreprises privées avec pour objectif que les précaires postulent. C’est surtout le fait d’entreprises de travail temporaire qui proposent des contrats allant par exemple jusqu’à 18 mois. Mais quand on les contacte, on se rend compte que le poste n’est que pour quelques jours. Cela crée du désespoir chez les personnes précaires. Nous avons eu des témoignages de privés d’emploi qui nous expliquent que ça fait des mois qu’elles postulent à des offres sur le site de France Travail, mais que les employeurs ne répondent jamais. « Qu’est-ce que je peux faire ? », nous demande-t-on. On sait qu’il y a plus de dépressions et de tentatives de suicides chez les personnes privées d’emploi. Ces offres illégales contribuent fortement à accentuer ces sentiments. Article entier : https://www.humanite.fr/social-et-economie/assurance-chomage/plus-de-50-des-annonces-demploi-sur-le-site-france-travail-sont-bidon-alerte-la-cgt-chomeurs
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Bonjour, Après avoir suivi quelques sessions d'une formation plus que douteuse, des demandeurs d'emploi dénoncent les failles d'un système censé les aider à retrouver un emploi. Entre promesses d'embauche et employeurs fantômes, ils ont obtenu l'aide de France Travail ce matin à Montreuil. C'est une formation de "contrôleur technique énergique", dispensée par KELLY formation, seul centre à proposer une formation de ce type, qui est pointée du doigt. Le prix ? 8600 euros payés par France Travail, pour apprendre à vérifier la conformité des logements et bureaux suivants les règles de la transition énergétique. Les demandeurs d'emploi ont signé une POEI, préparation opérationnelle à l'emploi individuelle, qui permet à un employeur de faire financer via France Travail, la formation du personnel qu'il cherche à recruter. En contrepartie, l'employeur signe des promesses d'embauche pour des CDI et ce n'est qu'à la signature de ces contrats, que le centre de formation encaisse l'argent. Ici 70 000 euros au total selon la CGT. Pour les participants, il n'y a plus aucun doute, ils étaient au centre d'une escroquerie entre Kelly formation et les différents employeurs comme MK Finances ou encore 2MD Vitrerie... Article entier : https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-saint-denis/france-travail-des-chomeurs-soupconnent-une-arnaque-suite-a-une-formation-2978738.html
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Bonjour, À chaque annonce de projet de réforme de l’assurance-chômage (et elles sont fréquentes), une même question revient dans le débat public : le système français serait-il trop généreux, « parmi les plus généreux d’Europe » selon les mots de l’actuel ministre des Finances Bruno Le Maire ? Simple dans sa formulation, cet exercice de comparaison est en fait rendu difficile par la variété des critères utilisés dans chaque pays pour déterminer le versement (ou non) d’une allocation chômage, son montant, le complément ou la substitution par d’autres aides ou allocations d’assistance (le RSA en France par exemple…) mais aussi par l’évolution parfois rapide de ces critères. C’est au Danemark que ces prestations sont relativement les plus fortes, la France occupant une position intermédiaire, tandis que le système forfaitaire britannique apparaît pour ce qu’il est : un dispositif d’indemnisation résiduel. Le taux général apparaît à première vue relativement plus faible en France (57 %) que dans d’autres grandes économies européennes, même si ce constat peut être nuancé car pour les salaires les plus faibles il peut atteindre 75 %. Le taux général est légèrement plus élevé en Allemagne, et prend potentiellement en compte la situation familiale à la différence de la France. Le Danemark présente le taux le plus important et s’approche le plus d’un dispositif de maintien du niveau de vie (pour les salariés éligibles), alors que nombre de pays disposent de taux intermédiaires (70 % à 80 %) et dégressifs avec l’allongement de la durée d’indemnisation : c’est le cas de l’Espagne, de l’Italie, des Pays-Bas et de la Suède (ainsi que de la France depuis 2019, mais uniquement pour les hauts revenus). Article entier : https://theconversation.com/avec-les-chomeurs-la-france-nest-pas-plus-genereuse-que-ses-voisins-229545
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Bonjour, Les chômeurs, déjà contrôlés, vont l'être encore plus : cela faisait partie des promesses de campagne de Macron. Les syndicats et patronat vont se voir détailler, ce lundi 19 mars au ministère du Travail, les mesures prévues dans ce but. Jacqueline Balsan, présidente du Mouvement national des chômeurs et précaires (MNCP), s’exprime à ce sujet : "Ce n’est pas en multipliant les contrôles aléatoires qu’on « remobilise » les chômeurs pour reprendre le terme du gouvernement qui ne nous a même pas consultés. Être radié deux mois ou deux semaines n’a jamais remobilisé personne ! C’est hypocrite de renforcer les contrôles des chômeurs en sachant qu’il n’y a pas d’emplois pour tout le monde. Parler d’un contrôle soi-disant bienveillant est scandaleux. On accrédite l’idée que les chômeurs sont des fainéants ou qu’ils fraudent. En réalité, seuls 41,89 % des chômeurs sont indemnisés sur les 6,6 millions d’inscrits et il n’y a que 200 000 à 300 000 offres disponibles. Cessons de pointer la responsabilité des chômeurs." À propos de l'offre raisonnable : "personne n’a jamais pu définir précisément ce qu’est une offre raisonnable ! Un chômeur sans permis de conduire en milieu rural est-il fondé à rejeter une offre d’emploi située à plusieurs kilomètres de chez lui ? Dans son cas, qu’est-ce qu’une offre raisonnable ? Vouloir régir tout cela est hypocrite de la part du gouvernement." Un plus grand flicage des chômeurs ? "C’est évident quand je vois que 400 salariés de Pôle emploi voient leurs missions de conseils et d’accompagnement se transformer en contrôle. En intensifiant le contrôle des chômeurs, on leur met la pression pour accepter n’importe quel job et situation précaire. Pour réduire à tout prix le nombre des chômeurs, on crée davantage de précarité." Le MNCP appelle à une grande mobilisation dans les grandes villes ce mercredi 21 mars. Article entier
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2013, l’année du chaos ? 04/01/2013 Le Français moyen pense que ça n’arrivera jamais, comme en 1937 il ne pensait pas que 1940 fut possible. Mais la catastrophe approche, inexorablement, mathématiquement. On peut la humer à distance, comme une bête sauvage aux relents de malheurs, qui se faufilerait dans les sous-bois économiques. Les branches craquent dans la nuit, on l’entend toujours plus près, mais on préfère se blottir au fond du lit, en espérant que tout cela n’est qu’une légende. Et pourtant… Les médias ne peuvent plus cacher la réalité, c’est à cela qu’on voit ce qui se prépare. Nous avions déjà le président Hollande qui annonçait une année 2013 durant laquelle le chômage ne cesserait d’augmenter, ce qui, pour un homme au pouvoir, était une première assez couillue ! Nous avions cet étrange docu-fiction de France 2 qui jouait à nous faire peur : « 2013, le scénario noir »… Et puis, le réveillon à peine digéré, ce dossier paru dans Le Parisien, évidemment repris à la télé (France 3) : les véritables chiffres du chômage enfin dévoilés. Une bombe atomique qui a explosé à l’heure où, personnellement, je sortais mes lentilles du micro-ondes. « 9 Millions de chômeurs en France à ce jour ». Je n’osais pas en croire mes oreilles. Même un dur à cuire du FN n’aurait pas osé ce chiffre de malade. Dire que je passais pour un néo-nazi quand j’annonçais cinq millions de chômeurs dans les dîners en ville… La réalité éclaboussait tout. Aux 3 millions et quelques d’inscrits métropolitains à Pôle Emploi, on ajoutait ceux de l’Outre-mer. On atteignait alors 5 millions et demi de sans emploi ou en activité (très) réduite. Pour une fois inspirés, les journalistes avaient la terrible idée de continuer l’addition maudite. Et vlan, encore 1 300 000 bénéficiaires du RSA ; et vlan, 1 500 000 personnes « en temps partiel subi » qui vivotent au gré de CDD au rabais. Et bang, encore 830 000 « découragés » qui ont abandonné toute démarche. Sale décompte, sale total. Au pourcentage de la population active, cela fait donc… 30 % de sans emplois. Un chiffre ahurissant, digne des heures sombres de la République de Weimar ! Pour corser le tout — j’avais tout juste fini d’avaler mes lentilles —, une jolie présentatrice enfonçait le clou : le secteur automobile français obtenait son pire résultat depuis 1997 avec moins 14 % de vente en 2012. Après six mois de plans sociaux à répétitions, la France peut regarder avec terreur ses voisins s’enfoncer. De l’Espagne à la Grèce, c’est à qui plongera le premier. « Ils » pourront multiplier les réunions de la dernière chance pour sauver l’euro, remonter les cours de la bourse au cric, au bout d’un moment, l’étincelle jaillira. On ne sait pas où, pas quand. Peut-être en mars, peut-être en septembre. En tout cas, la machine infernale de l’immigration (300 à 500 000 personnes qui débarquent chaque année en France) ne va pas ralentir, au contraire. Préparez-vous. Le chaos, c’est demain. L'article... Source: Boulevard Voltaire
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Bonjour, Nous apprenons ce jour que François Rebsamen demande un contrôle renforcé des chômeurs ! Encore et toujours les vilains chômeurs qui profitent de l'argent du contribuable en touchant le RSA et autres au lieu de bosser ! * * Montant RSA = 499,31 €, c'est vraiment le régime sec donc, que voudrait-on nous faire croire. Mr Rebsamen s'appuie sur le fait que 350.000 emplois ne trouveraient pas preneurs. Sauf que tout le monde ne peut pas tout faire parce que tout le monde ne sait pas tout faire, et que, si ces emplois en question ne trouvent pas preneurs, la faute en revient certainement au fait que trop peu de gens soient formés pour. Concernant le contrôle de Pôle Emploi, que pourrait-on faire de plus ? Il y en a déjà un en place, qui talonne sans relâche les inscrits. En conséquence, comme toujours, c'est tout le troupeau qui doit payer pour les quelques uns qui ont outrepassé la ligne rouge aux fins de réellement profiter indûment. Tous discriminés au nom de quelques uns, comme c'est valorisant pour tous ces gens qui souffrent de la conjoncture actuelle ! Il est vrai que, depuis un peu plus de deux décennies, c'est devenu une vraie mode de casser du chômeur, responsable des caisses qui se vident, saignées à blanc par tous ces tire-au-flanc qui se reposent sur les aides et ne cherchent pas de travail, comme si c'était possible d'en bénéficier sans justification. Qui a commencé à répandre cette idée folle ? Balladur ? Sarkozy ? Peu importe, ce qui est grave, c'est que le commun des citoyens ait suivi qui, lorsqu'on lui parle de précarité, proteste que les pauvres ne le sont que parce qu'ils le veulent bien, qu'ils ne sont pas motivés pour gagner leur vie à la sueur de leur front, qu'on devrait supprimer les aides, etc. allant jusqu'à avancer des aberrations du genre "En été dans le sud on cherche des serveurs", comme si tous les demandeurs d'emploi de France et de Navarre pouvaient migrer chaque été dans le sud, telles des nuées d'étourneaux, pour servir dans les restaurants, imaginez la pagaille ! Alors, bien sûr, il fallait s'attendre à une nouvelle chasse aux chômeurs après cette dernière hausse du chômage en juillet 2014 : 26.100 inscrits de plus de catégorie A à Pôle Emploi, soit 3.424 millions. En tout 6 millions de chômeurs toutes catégories confondues. Des chiffres comme ça, il fallait bien que Rebsamen tape sur quelqu'un ou quelque chose. Les chômeurs en l'occurrence. A côté de ça, on sait tous que, chaque fois que des politiques ont défrayé la chronique par leurs affaires douteuses : détournement d'argent, trafic d'influence, harcèlement, etc. on les a toujours vus remonter, tôt ou tard, sur leur perchoir doré serti de diamants, hors cela ne semble choquer personne de savoir que lorsqu'un demandeur d'emploi, au moindre écart : par exemple manquer une convocation à Pôle Emploi par épuisement moral ou lassitude, on lui coupe l'herbe sous les pieds : radiation, coupure des versements, et par dessus tout ça une couche de culpabilisation supplémentaire. Dire que les socialistes se sont tant offusqués des radiations à l'ANPE sous Chirac dans l'objectif de revoir les statistiques à la baisse ! Dire que les socialistes ont tant décrié Sharkozy du temps où c'était lui qui chassait du chômeur ! En 2008 tenez, François Hollande disait "La politique qui consiste à faire des demandeurs d'emploi les responsables de leur sort a déjà fait maintes fois la preuve de sa nocivité et de son inefficacité". Le PS avait alors accusé la droite d'être "prête à tout pour parvenir à afficher une baisse statistique des chiffres du chômage". A cette époque, pour Bruno Leroux, aujourd'hui patron des députés socialistes, il aurait fallu faire la chasse à la précarité plutôt que la chasse aux chômeurs. Encore, lorsque Sharko, au cours de sa campagne en 2012, proposait un référendum pour priver les chômeurs d'indemnités s'ils refusaient un emploi, François Hollande rétorquait :"Il n'est jamais utile pour un président sortant qui est en échec de s'en prendre aux plus fragiles (blablabla). Ce n'est pas ceux qui sont les victimes qui doivent aujourd'hui être les responsables". Il en sort que, de droite comme de gauche, ces politiques ne savent pas lutter autrement contre le chômage qu'en luttant contre les chômeurs. Ils n'admettent pas les effets dévastateurs de la course au profit, des délocalisations, etc. Ils ne connaissent d'ailleurs rien à la vie d'un chômeur. Ils ignorent combien les convocations perpétuelles peuvent apporter leur lot d'angoisses à un demandeur d'emploi, poursuivi plutôt que suivi par Pôle Emploi. Ils ne comprennent pas le découragement des gens devant les panneaux vides, ou clairsemés d'offres de petits boulots crasse, aux horaires improbables (genre deux heures le matin, deux le soir, et puis le jour suivant toute la journée jusqu'à très tard, etc.) qui font que plutôt que de se ruiner en essence ou en billets de transport on préfèrera autant manger grâce aux aides en attendant de trouver mieux. Je vous passerai les patrons qui, sentant une personne bien prise à la gorge au cours d'un entretien, n'hésitent pas à se montrer irrespectueux, cassant au possible ; c'est malheureusement une réalité, et c'est décevant. Vient encore le conseiller Pôle Emploi pas formé pour faire dans la dentelle, qui ne se gêne pas pour critiquer la mise, la coiffure ou la mine tombante du demandeur, coupable d'avoir le moral dans les chaussettes, coupable d'être faible, ou trop humain. Faut-il parler, pour finir, des stages de Pôle Emploi, qui vous bouffent votre temps sans résultats, de la coutume du piston qui gangrène le marché dans certains secteurs, de l'ascenseur social souvent en panne et des plafonds de verre ? Et le besoin de reconnaissance de l'humain dans tout ça ? Celui qui use sa santé pour une misère n'est pas plus reconnu que celui qui se résigne au RSA. Est-ce que c'est encourageant, est-ce que ça file la pêche, franchement ? Si vous voulez mon avis : eh bien non ! Bon voilà, c'est tout pour le coup de gueule. Peut-être que certains parmi vous ne serons pas d'accord avec moi, mais en ce qui me concerne j'ai foi en ce que je viens de dire, et ce n'est pas moi qui jetterai la pierre aux chômeurs. Je ne l'ai d'ailleurs jamais fait.
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