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L'acteur accusé d'agressions sexuelles par deux plaignantes L'affaire avait éclaté le 23 février 2024 après qu'une décoratrice ensemblière a porté plainte contre l'acteur. Déjà dans la tourmente depuis sa mise en examen en août 2018 pour « viols » et « agressions sexuelles » sur la comédienne Charlotte Arnould, Gérard Depardieu doit cette fois répondre à des accusations d'agressions sexuelles, de harcèlement sexuel et d'outrages sexistes. https://www.lepoint.fr/societe/proces-de-gerard-depardieu-quels-sont-les-faits-reproches-a-l-acteur-23-03-2025-2585473_23.php#11
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Bonjour, À Caen, les habitants d'un immeuble du centre-ville sont désemparés. Régulièrement intimidés, parfois menacés par le locataire d'un appartement du rez-de-chaussée, certains envisagent de quitter les lieux, d'autres l'ont déjà fait. Le mis en cause est hébergé par une association qui essaie en vain de le déplacer. Cela s'est passé récemment : une jeune étudiante, de retour de soirée, s'apprête à ranger son vélo dans le garage commun aux habitants de son immeuble. Sur sa terrasse du rez-de-chaussée, son voisin a sorti un piano. Visiblement ivre, il joue et chante à tue-tête bien qu'il soit minuit et demi. Lorsqu'il la voit, il se rue sur elle pour lui prendre son vélo. Un passant intervient et protège la jeune femme qui reprend sa monture, la range et file se cloîtrer chez elle. "Ma fille n'a pas dormi de la nuit. Le lendemain, elle n'est pas allée en cours, et n'a pas mangé pendant trois jours", rapporte sa mère. Inquiète, elle l'accompagne chez le médecin. Même si elle ne présente aucune marque visible de l'agression, le praticien constate "un état psychologique choqué, accompagné de stress et d'anxiété". Partie au commissariat pour porter plainte, elle ne pourra déposer finalement qu'une simple main courante. En réponse à ses interrogations et ses craintes sur la suite des évènements, les policiers lui recommandent... de quitter son appartement. Article entier : https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/calvados/caen/faut-il-un-viol-ou-un-meurtre-pour-agir-il-terrorise-ses-voisins-surtout-les-femmes-au-point-de-les-faire-fuir-3036710.html Toujours la même rengaine, faudra qu'il y ait un viol ou un meurtre !
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Ici lyon mag Vers 2h du matin, un homme accompagné de sa compagne a été violenté par un groupe qui lui a volé sa sacoche. La victime aurait été frappée, sa femme poussée selon nos confrères. Sur place, les policiers ont réussi à interpeller un suspect, un SDF âgé de 28 ans en situation irrégulière. On ne parle plus trop de la Guillotière, c’est passé de mode, mais ça ne change pas des masses.
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- guillotière
- agression
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L'agression s'est produite dans le 9e arrondissement de Paris. (Archives) L’ancien secrétaire d’Etat a reçu des coups au visage pour sa montre de luxe. L’ancien secrétaire d’Etat chargé de la Réforme de l'Etat et de la Simplification entre février 2016 et mai dernier et sénateur de l’Essonne, Jean-Vincent Placé, a été victime d’un vol dans la nuit de samedi à dimanche, a révélé RTL. Selon nos informations, l'agression s'est produite rue Bleue, dans le 9e arrondissement de Paris, aux alentours de 2h du matin à la terrasse d'un café. Trois individus lui ont volé sa montre, d'une valeur de 7 000 euros, son téléphone portable et sa carte bleue. https://fr.news.yahoo.com/jean-vincent-placé-agressé-à-paris-montre-à-180500563.html On ne risque pas de voler ma montre, je n'en ai pas.
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Dimanche dernier, soir du second tour des élections qui annonçait Marine Le Pen perdante, deux jeunes hommes se sont fait agresser près de Nantes par 4 individus. Le plus jeune des deux victimes nous raconte qu’après lui avoir demandé si il était militant antifa, ils l’ont tabassé avec des barres de fer et des bouteilles en verre. Son ami, lui quelques mètres devant, venait de se faire agresser par la même bande. Il est depuis hospitalisé et inconscient. L’une des deux victimes nous explique ce qui s’est passé. Propos recueilli par Maryline Dujardin « Dans la nuit de dimanche a lundi entre minuit et une heure nous rentrions en vélo avec mon ami Erwan du centre ville et puis on s’est fait agresser rue Du Chaffault. Ils étaient 4 ou 5 et sont sortis d’un buisson et m’ont mit à terre. A ce moment-là je pensais que Erwan était en vélo bien plus loin, qu’il avait roulé plus vite que moi. J’arrivais en vélo et là ils m’ont demandé si j’étais militant antifa. Je ne leur ai rien répondu et alors ils m’ont frappé à coup de barre de fer et de bouteille en verre. .........................(..............................)............................................. C’était des jeunes de 17/20 ans, ils étaient 4 ou 5. On avait des vélos ils auraient très bien pu nous les voler mais c’était pas du tout pour ça, c’était vraiment pour frapper. Plus tard on a était pris en charge par les pompiers. Depuis Erwan, qu’ils ont battus à mort, il est en réanimation et il va passer en assistance respiratoire. J’avais mis un appel à témoins avec les photos d’Erwan mais facebook l’a supprimé, ils doivent penser que c’est trop choquant ! Pour le moment Erwan il est dans le coma, il a une fracture au visage, une fracture à la nuque, les cervicales déplacés, des impacts au niveau du cerveau les médecins ne savent pas si il pourra parler normalement, s’il se réveille, ou si il va pouvoir marcher à nouveau. en entier sur http://www.revolutionpermanente.fr/Temoignage-Ils-m-ont-demande-si-j-etais-militant-antifa-et-ils-m-ont-agresse?fb_action_ids=187946525060412&fb_action_types=og.comments
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- extrême droite
- fachos
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Parce qu'elle portait un bracelet aux couleurs du drapeau espagnol, une jeune fille de 20 ans s'est fait violemment agresser par un groupe d'antifas, à Murcie en Espagne, dans la nuit de samedi. Deux des agresseurs ont été arrêtés. Les trois autres ont été identifiés et sont recherchés par les agents en charge de l’enquête. la jeune femme de 20 ans se remet peu à peu des blessures causées par ses agresseurs, une bande de militants de l’ultragauche. Elle a perdu un morceau de dent, des hématomes sur le corps, le coin de son oeil a été endommagé par un coup de pied et elle souffre de trois traumatismes au crâne. La Gaceta a pu s’entretenir avec la jeune femme brutalement agressée à Murcia. Elle raconte qu’elle prenait un verre avec des amis dans un bar et qu’elle est sortie fumer une cigarette. Au moment où elle regarde en direction de la porte, une fille du groupe d’agresseur la bouscule brusquement. Le groupe la couvre d’injures : « Sale truie, on va te tuer », dit-elle avoir entendu. Puis, la jeune femme à l’origine de l’agression se met en retrait et les garçons du groupe se mettent à la frapper. (…) La jeune fille relate qu’alors qu’elle tentait de se protéger au sol, « ils ont commencé à me shooter dans la tête ». (…) Interrogée sur la cause de l’agression, elle affirme : « je ne portais aucun signe politique. Seulement un bracelet aux couleurs du drapeau espagnol. C’est pour ça qu’ils m’ont frappée. Ils veulent nous interdire d’arborer notre drapeau. » La jeune fille assure qu’elle ne milite dans aucun groupe politique et n’a jamais eu par le passé le moindre contact avec les agresseurs (…). La police de Murcie assurent à la Gaceta que « nous sommes face à un mode opératoire propre à ces groupes « antifascistes » autoproclamés, qui attaquent toujours en groupe et en surnombre ». Nos sources confirment que parmi les personnes identifiées, plusieurs ont des antécédents avec la police, ce qui leur a permis de présenter des photos à la victime. http://gaceta.es/noticias/declaraciones-gaceta-pegaron-llevar-bandera-espana-23012017-1624 http://gaceta.es/noticias/brutal-agresion-grupo-antifascistas-joven-23012017-1055
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- antifa
- extrême gauche
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Grande Bretagne – Rezzas Abdulla a laissé la petite Layla-Jean couverte de salive dans sa poussette après lui avoir fait subir une agression raciste odieuse. Rebecca Telford, jeune maman britannique de 25 ans, se promenait avec son enfant de neuf mois à South Shields quand elle a croisé Rezzas Abdulla, 33 ans. L'homme s'est alors penché sur le landau du nourrisson pour cracher sur son visage et crier à Rebecca « les Blancs ne devraient pas se reproduire ». Rezzas Abdulla, déjà condamné à deux reprises pour des agressions racistes contre des femmes blanches, a été reconnu coupable d’agression aggravée après un procès au tribunal de South Tyneside, auquel il n’a pas assisté. https://www.thesun.co.uk/news/2918885/man-spat-babys-face-shouted-white-people-should-breed/ http://www.independent.co.uk/news/uk/crime/man-spits-baby-face-mother-white-people-breed-abdulla-rezzas-south-shields-a7594016.html http://www.dailymail.co.uk/news/article-4245344/Race-hate-attacker-SPAT-nine-month-old-BABY-S-face.html
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- racisme
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Argenteuil : nouvelle nuit d'émeute après la mort d'un jeune de 18 ans à moto ayant perdu le contrôle de son véhicule ( selon le parquet, il n'était pas poursuivi par la police https://www.nouvelobs.com/faits-divers/20200518.OBS28989/echauffourees-a-argenteuil-apres-la-mort-d-un-jeune-de-18-ans-en-moto.html Vénissieux : les forces de l’ordre avaient mis sur pied mercredi soir à Vénissieux une opération de contrôle des deux-roues, de nombreux habitants se plaignant de rodéos sauvages. C’est au cours de cette opération qu’un motard de la FMU (formation motocycliste urbaine) a été pris à partie par un groupe de six-sept individus et violemment agressé. https://www.leprogres.fr/edition-est-lyonnais/2020/05/07/un-motard-de-la-police-attire-dans-un-guet-apens https://www.lyoncapitale.fr/actualite/pres-de-lyon-des-policiers-caillasses-dans-un-guet-apens/ Beziers : des policiers attirés dans un guet-apens pendant le couvre-feu ; ils avaient été appelés pour une intervention dans le quartier populaire de la Devèze, à Béziers, où ils ont été la cible de jets de projectiles https://www.20minutes.fr/faits_divers/2754015-20200403-beziers-policiers-attires-guet-apens-pendant-couvre-feu Sartrouville : la police tombe dans un guet-apens, alors qu'ils intervenaient dans un incendie de mobilier urbain http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-la-police-tombe-dans-un-guet-apens-a-sartrouville-08-04-2020-8295987.php Essonne : guet-apens contre les policiers à Massy https://www.le-republicain.fr/faits-divers/essonne-guet-apens-contre-les-policiers-a-massy Ces attaques contre nos forces de l'ordre ont pour point commun de ne pas faire fréquemment la une. Faut-il y voir un manque d'intérêt de la part des médias ou est-ce autre chose ? Perso, je trouve choquant que la racaille inverse les rapports de force sans réaction de la part des dirigeants ; et même s'ils se font arrêtés, la justice les relâche aussitôt !
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La France barbare 17/01/2013 Chaque jour, on recense 13 000 vols, 2 000 agressions, 200 viols. Dans un livre événement, Laurent Obertone nous fait découvrir cette France d’apocalypse. Saisissant. (...) Il suffit d’assister aux audiences d’un tribunal correctionnel, d’une cour d’assises, de bavarder avec des policiers de terrain pour se rendre compte du climat de violence qui embrase, parfois pour un rien, une cité, un lieu public, une famille même. La nuit du réveillon du 31 décembre l’a une fois encore démontré : tel un rituel immuable, en chaque fin d’année, on joue à un drôle de jeu, l’incendie de voitures — 1 193 véhicules ont été brûlés cette fois-ci, selon Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur. Les départements les plus touchés ? La Seine-Saint-Denis, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin et les Bouches-du-Rhône. (...) Selon la DCPJ, en 2011, « un étranger sur dix mis en cause est un ressortissant roumain ». Lequel se trouve souvent impliqué pour des cambriolages, des escroqueries et des vols à l’étalage. Quant à la délinquance des Roumains mineurs, elle a fait un bond spectaculaire entre 2009 et 2011 : plus de 102 % de hausse ! Ce qui représente 5 000 personnes qui agissent surtout dans les grandes villes, principalement sur les lieux très fréquentés par les touristes. Autre nouveauté : l’apparition de gangs de jeunes filles qui n’hésitent pas à s’en prendre violemment à d’autres jeunes filles. Comme ce lundi 7 janvier 2013, où une adolescente de 16 ans, qui se trouvait dans l’impasse près de son lycée à Savigny-sur-Orge (Essonne), a été poignardée par une bande de 4 ou 5 adolescentes… Blessée à l’abdomen, elle a pu avertir une copine du lycée et être conduite aux urgences de l’hôpital voisin. Et l’on pourrait y ajouter un phénomène à l’ampleur décuplée ces dernières années : les bagarres dans les cités entre bandes rivales avides de défendre leur territoire, ici pour développer leur trafic de drogue, là pour des histoires de jalousie… Cette délinquance qui survient chez des adolescents de plus en plus jeunes (12-13 ans) a de quoi inquiéter. Ce samedi 12 janvier 2013, à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), un homme de 65 ans n’a-t-il pas été frappé à mort par un jeune de 13 ans, membre d’une bande qui venait de s’introduire dans un parking privé. Il est vrai que l’autorité, d’où qu’elle vienne — policiers, pompiers, instituteurs —, est devenue pour certains totalement illégitime. Ce n’est pas un hasard si en moyenne 38 policiers et gendarmes sont victimes d’agression chaque jour… Un chiffre impensable au temps de nos sergents de ville ! C’est dire que le livre de Laurent Obertone, 28 ans, la France Orange mécanique, tombe à point nommé (pour voir la présentation). Un livre choc qui recense sinon tous les faits divers, du moins une très grande partie, qui ont secoué, ici une petite — ou une grande — ville, là une bourgade. Un livre qui nous fait découvrir la France barbare. Celle des braquages. Des affrontements violents entre communautés. Du crime organisé. Du crime gratuit, sans mobile apparent. Un livre qui révèle l’existence de bandes en plein Paris — 65 en 2011 — qui n’hésitent pas à tuer “l’adversaire”, autrement dit les membres d’une bande rivale. Comme en avril 2009 où, à proximité de la gare de Lyon, un jeune a reçu un coup de couteau qui l’envoya illico ad patres. Pendant deux ans, Obertone a dépouillé la presse régionale, de l’Union de Reims à la Montagne en passant par la Voix du Nord ou la Dépêche du Midi, pour y découvrir ces faits divers qui en disent long sur l’état de notre société. Même si certaines de ses analyses et certaines outrances toutes littéraires peuvent prêter à discussion, Obertone exhibe un pedigree qui accrédite le sérieux de son travail. Titulaire d’une maîtrise d’histoire qu’il a consacrée à “la délinquance en Franche-Comté sous la Révolution française”, il est également diplômé de l’École supérieure de journalisme de Lille (ESJ). En le lisant, peut-être vous frotterez-vous les yeux, comme ceux qui, voici quarante-deux ans, ont découvert le film de Stanley Kubrick Orange mécanique. Une oeuvre prémonitoire. À ceci près qu’aujourd’hui, nous ne sommes plus dans la fiction. Obertone, c’est ici et c’est maintenant. L'article complet... Source: Valeurs actuelles
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Evangéliste agressé pour avoir dénoncé l’homosexualité
Grenouille Verte a posté un sujet dans Religion et Culte
Evangéliste agressé pour avoir dénoncé l’homosexualité Mercredi 24 octobre - 10:32 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] Scène assez cocasse dans laquelle on voit un évangéliste d’origine africaine agressé par un passant après avoir dit « repentez vous de la débauche, repentez vous de la pédophilie, repentez vous de l’homosexualité ». « Tu as quoi contre les homos ? » questionne le passant avant de lui sauter dessus. L’évangéliste est secouru par d’autres passants qui expliquent à l’agresseur qu’il a le droit de s’exprimer et qu’ il se fera embarquer de toute façon au cas ou il troublerait l’ordre publique. Suite de l'article... Source: Agora Vox- 293 réponses
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Rhône - Faits divers. « J’étais au mauvais endroit à la mauvaise heure » 01/11/2012 « convaincu d’avoir été victime de racisme anti-blanc » ... Tôt samedi matin, un retraité de 71 ans a été violemment frappé, en pleine rue, par trois hommes qui ont pris la fuite. Samedi, Horst a malheureusement croisé la route de trois voyous qui lui sont tombés dessus. « Ils n’ont pas cherché à me voler, tout ce qu’ils voulaient c’était se défouler », raconte le septuagénaire, le visage tuméfié, quatre points de suture au front et un énorme hématome sous l’œil gauche. « Je marchais sur le trottoir avenue Jean-Jaurès, un parapluie à la main, des journaux sous l’autre bras. Soudain, j’ai entendu des pneus crisser et j’ai vu une Clio de couleur sombre avec trois hommes à bord. Ils avaient maximum 20 ans. L’un d’eux m’a fait un doigt d’honneur par la fenêtre ». Horst dit avoir continué son chemin sans répondre. Les trois hommes insistent, l’un d’eux l’accuse de les avoir insultés. « Ils sont sortis de la voiture. Ils étaient très agressifs, incohérents dans leurs gestes. Ils se sont mis à me frapper, à me cracher dessus. Il y en a un qui m’a dit "vous commencez à m’emmerder" », se souvient le septuagénaire qui parvient à éviter un coup de tête, se défend avec son parapluie mais reçoit un coup-de-poing dans la figure. Il tombe à terre. Sa tête heurte une bordure en béton. Quand il se relève, une profonde entaille au front, le visage en sang, les trois agresseurs prennent la fuite. Dans la rue, il fait encore sombre, il n’y a pas un chat, quelques voitures circulent mais ne s’arrêtent pas. Le septuagénaire trouve refuge auprès de la police municipale. Conduit à l’hôpital Edouard- Herriot par les pompiers, il en ressort avec une ITT de 10 jours. Rudement éprouvé, Horst s’inquiète, convaincu d’avoir été victime de racisme anti-blanc : « Dites, vous n’allez pas mettre mon nom. Je n’ai pas envie d’avoir des ennuis. Ces types, ils avaient les yeux exorbités, comme s’ils étaient drogués. J’étais au mauvais endroit à la mauvaise heure. Ces types qu’est-ce qu’ils risquent ? Qui sait s’ils ne sont pas même prêts à recommencer ? ». Lundi matin, il est allé porter plainte au commissariat de Vénissieux. L'article... Source: Le Progrès
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« Rituel d’anniversaire » : les élèves allemands systématiquement roués de coups par les musulmans 13/12/2012 Ce sont des épisodes de plus en plus fréquents, partout en Allemagne. Par exemple à Menden, dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la semaine dernière : dans un collège de la ville, devant une salle de classe, trois élèves ont sévèrement battu, pendant seize secondes exactement, un de leurs camarades qui fêtait ses seize ans. Ils l’ont roué de coups puis se sont acharnés sur lui à coups de pieds, alors qu’il gisait par terre. La victime ayant dû aller voir un médecin, sa mère a porté plainte. Les agresseurs ont expliqué à la police qu’il s’agissait d’un « rituel » : une seconde de passage à tabac pour chaque année. Policiers, magistrats et journalistes affichent l’étonnement. « Je n’ai jamais rien entendu de pareil », a déclaré le procureur au journal local, la Westdeutsche Allgemeine Zeitung. Les agresseurs « n’auraient pas trouvé cette idée tout seuls. Mais on ignore jusqu’à présent où ils ont appris cet indigne rituel ». Le journaliste signale juste qu’une recherche sur Internet révèle plusieurs cas semblables dans d’autres villes allemandes, dont une série de 80 agressions commises par 65 « jeunes » à Stadthagen en Basse-Saxe, en 2002, et un épisode tout récent, en novembre 2012, dans le quartier de Neukölln à Berlin. Mais il se garde bien d’en dire davantage. Le lecteur doit chercher lui-même pour comprendre de quoi il retourne. Le Tagesspiegel, le grand quotidien de Berlin, avait été plus franc le mois dernier, à propos de l’affaire de Neukölln, où un élève avait, là aussi, dû recevoir des soins après avoir subi un « rituel » de tabassage (avec une variante : un coup par année plutôt qu’une seconde). «L’affaire jette un coup de projecteur sur le phénomène des “coups d’anniversaire”, qui est répandu dans toute l’Allemagne mais arrive rarement au grand jour ». (...) Les sites communautaristes allemands soulignent effectivement que fêter les anniversaires est strictement interdit en Islam. En effet, « le prophète Mohammed (béni soit son nom) n’a pendant toute sa vie jamais fêté son anniversaire ». C’est une des raisons pour lesquelles les musulmans ne doivent pas fêter Noël : « dans notre religion, il n’est pas permis de fêter les anniversaires ». Pour connaître toute la vérité, il faut pourtant se reporter au très long reportage publié par Die Zeit en octobre 2003, lorsque les agresseurs de l’école de Stadthagen avaient comparu devant le tribunal des mineurs. Pendant plusieurs années, sans que le directeur et les 40 professeurs de l’établissement aient rien voulu voir, certains élèves ont vécu dans la terreur. Ils étaient en particulier systématiquement battus le jour de leur anniversaire, au cri de « Bon anniversaire ». Impossible de passer inaperçus des bourreaux, les dates de naissance de chacun étant affichées dans les salles de classe. Une bonne note ou un nouveau vélo étaient aussi prétextes à raclées. Or, avait souligné courageusement Die Zeit, « il ne s’agit pas seulement de passages à tabac, mais de quelque chose de plus fondamental : de la cohabitation des Allemands et des Turcs dans la ville. L’histoire des coups est celle de l’intégration ou, plus exactement, de la désintégration ». Les élèves allemands de souche figurent exclusivement parmi les victimes. Les agresseurs sont en majorité Turcs ou d’origine turque : « un des rares agresseurs non-turcs est un Albanais du Kosovo ». Lors de leur interrogatoire, les agresseurs avaient du reste assuré que « les raclées d’anniversaire » étaient une tradition en Turquie : une affirmation que le consulat général de Turquie à Hamburg avait qualifiée d’«absurdité». La jalousie peut jouer son rôle mais le motif fondamental est bien le racisme anti-blanc (Deutschenfeindlichkeit) . Le journaliste de Die Zeit avait interrogé « Yusuf » (les prénoms ont été changés mais en respectant les origines ethniques), décrit par les victimes comme le plus violent de tous les agresseurs. « Pourquoi a-t-il donné des coups ? Il ricane. Cela l’amusait, lui et ses amis turcs, d’inspirer de la peur aux “pommes de terre”, comme ils appellent les Allemands, et de se sentir supérieurs ». L'article complet... Source: Novopress
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</h2> Généralement beaucoup aiment bien critiquer la police quand un manifestant est blessé pendant une manif'. Qu'en est il dans ce cas? Les flics sont là pour ça?
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REIMS (Marne). Les femmes musulmanes se sentent de plus en plus rejetées par certains à Reims parce qu'elles sont voilées. Deux agressions ce week-end ont poussé les associations à se rassembler devant le commissariat. C'EST sans aucun doute la répétition des actes anti-musulmans, des actes racistes, qui a fait qu'hier, une centaine de personnes membres ou proches d'associations musulmanes se sont regroupées devant les Compagnons du Devoir puis devant le commissariat de police, suite à l'agression d'une jeune femme. Selon son beau-père, Ali, la femme voilée, turque, qui vit en France depuis dix ans, se rendait avec son mari en voiture à son travail, à 17 h 45. Rue Maldan, elle a été prise à partie par un jeune homme, qui aurait ensuite arraché son foulard en passant la main par la vitre. ......(....)...... Une autre agression a eu lieu dans la zone commerciale de Cormontreuil, samedi. « Ma femme était au volant de la voiture, quand elle a reçu de l'eau et des insultes, car elle porte un foulard. Cela se produit à chaque fois qu'elle sort, elle se fait insulter », nous explique son mari au téléphone. lire l'article en entier sur : http://www.lunion.presse.fr/article/marne/apres-une-agression-le-ras-le-bol-des-associations-musulmanes
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Des fidèles caillassés pendant la messe à Saint-Joseph 27/05/2012 « Les paroissiens, dont beaucoup sont des personnes âgées, ont été fortement choqués par le geste peu respectueux de ces jeunes d’origine maghrébine » ... Hier, à 18 h 20, alors que l’abbé Roger Barthès commençait à célébrer la messe, quatre jeunes, âgés de 14 à 18 ans, ont fait irruption dans l’église Saint-Joseph, avant de lancer des poignées de cailloux sur les 150 fidèles présents à l’office. Aussitôt, des hommes se sont lancés aux trousses des jeunes trublions, mais en vain. Ils sont parvenus à s’évanouir dans la nature, en se dirigeant vers la cité La Conte. Interrompue par cet imprévu regrettable, la messe a finalement pu se poursuivre jusqu’à son terme. Si personne n’a été blessé et que rien n’a été cassé au sein de cette église, sise le long de l’avenue Jean-Moulin, les paroissiens, dont beaucoup sont des personnes âgées, ont été fortement choqués par le geste peu respectueux de ces jeunes d’origine maghrébine. L’un des paroissiens s’est d’ailleurs rendu au commissariat, hier soir, pour y faire une main courante et apporter l’un des cailloux jetés... Cette affaire rappelle étrangement le caillassage dont avaient été victimes les fidèles de la paroisse de Saint-Jacques, dans le quartier du Viguier, le 2 novembre 2010. Ce jour-là, une statue de la vierge avait été légèrement endommagée. On se souvient également qu’une messe de réconciliation avait été célébrée par Monseigneur Planet, évêque de Carcassonne et Narbonne, quelques jours après, en présence de l’imam du Viguier, Mohamed Hanou... Suite de l'article... Source: Midi Libre
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Femmes injuriées dans les rues de Bruxelles : "dans 95% des cas, ce serait par des Maghrébins" 26/07/2012 « porter une jupe pour une femme, c’est déjà risqué » ... Le sexisme en rue, une question d’origine ? Sofie Peeters, étudiante en dernière année à la Haute Ecole flamande Rits, jette un pavé dans la mare, avec son documentaire “Femme de la rue”, diffusé ce jeudi soir (20h) aux Galeries Cinéma, et à la même heure dans l’émission Terzake sur la chaîne néerlandophone Canvas. “Je suis originaire de Louvain, mais je suis venue habiter à Bruxelles, dans le quartier Anneessens, il y a deux ans, pour mes études”, explique la jeune femme. “J’ai été surprise de voir que chaque fois que je sortais en rue, j’étais la cible des remarques des hommes.” Des simples sifflets aux remarques carrément vulgaires du style “c’est combien?”, la demoiselle en a soupé. Elle a alors décidé de canaliser sa frustration dans un documentaire, réalisé dans le cadre de son cursus. Et dans lequel ses conclusions ne laissent pas la place à l’interprétation. “Je ne le dis pas volontiers, mais il s’agit de personnes allochtones (NDLR: comprenez d’origine maghrébine) dans 95% des cas”, grimace notre interlocutrice. Qui se défend, toutefois, de stigmatiser les étrangers. “Non, personne ne m’a jamais taxé de racisme. Car mon constat porte plus sur la condition sociale des individus que sur leur origine ethnique : s’il y a une forte proportion d’étrangers parmi les garçons qui me font des remarques, c’est parce qu’il y a aussi une forte proportion d’étrangers parmi les populations fragilisées.” Elle s’explique. “Les jurons qu’ils nous envoient sont souvent la conséquence de l’ennui. Les jeunes lambinent dans les rues et ne savent pas quoi faire, les plus vieux s’assoient dans les salons de thé. Il y a une méconnaissance de nos cultures respectives. Les Musulmans ont un comportement assez insistant par rapport à la sexualité : porter une jupe pour une femme, c’est déjà risqué.” Suite de l'article... Source: La Nouvelle Gazette
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Marseille : le voile de la discorde 25/07/2012 « Beaucoup de femmes vêtues de burqa cherchent l'affrontement avec les forces de l'ordre » ... Les faits se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi, à Marseille. Vers 0 h 45, alors qu'ils se trouvent à proximité de la mosquée es-Sunna, située dans le 3e arrondissement de la cité phocéenne, des policiers aperçoivent une femme intégralement voilée. Ils décident de procéder à un contrôle d'identité, comme les y autorise la loi sur le voile intégral adoptée en 2010. Mais très vite les choses se gâtent. Louise-Marie, une jeune femme âgée de 18 ans, refuse de décliner son identité et, d'après les policiers, se met à pousser des cris, attirant une horde de curieux, empêchant ainsi tout contrôle. Une altercation éclate entre les forces de l'ordre et quelques hommes. Résultat : deux policiers blessés, un troisième mordu à la main par la jeune femme voilée. Des renforts arrivent alors sur place, quatre personnes - dont la jeune femme voilée - sont interpellées et placées en garde à vue. Elles seront finalement remises en liberté dans la nuit, avec à la clef une simple convocation. "Les autorités les ont remises en liberté, car elles redoutent des troubles manifestes à l'ordre public. C'est un scandale", confie sous le couvert de l'anonymat un policier marseillais. Suite de l'article... Source: Le Point
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Bonjour à tous, je me joins à vous pour avoir quelques infos. En mars je passe au tribunal suite à une agression physique. Il y a quelques mois de ça, je me suis fais agressé par mon voisin, en me rendant à mon entrainement. En arrivant à mon véhicule, celui ci ma bousculer, insulter, puis mis des coups. ( coups de poing, coups de tête . Je n'ai pas voulu le frapper donc je l'ai juste ceinturé pour éviter d'en prendre un peu plus. Des témoins étaient sur les lieux, et nous ont séparés. J'ai était aux urgences pour avoir un certificat médical car il m'a cassé une dent, après l'altercation j'avais des douleurs au dos, et au cervical, quelques griffures sur le corps, et une belle bosse à l'oeil. Le lendemain j'ai été porter plainte à la gendarmerie... jusqu'à la tout va bien... Le lendemain de la plainte, il est venu avec sa copine, pleurer ( car il pleurait vraiment) pour que j'enlève ma plainte. Sa copine m'a dit que si je ne levais pas ma plainte, elle irait porter plainte contre moi car j'avais fais mal à son copain. ( Il est aller voir un médecin qui, lui n'a rien constaté) Mais malgrès ces menaces, je n'ai pas retiré ma plainte. Et depuis ce jour, j'ai le droit à des insultes à tout va, des regards de travers et insistant, il se poste devant chez moi pendant 15minutes, tout en regardant chez moi, bizarrement j'ai des rayures quasiment tout les jours sur ma voiture, il me provoque avec ses moto ( il passe sous ma fenêtre , klaxonne, siffle et rupte). Depuis ce jour, je n'ose plus me garer devant mon garage, car il se trouve à proximité de son domicile et j'ai peur de le croiser de l'autre coté de mon grillage. Personnellement je ne peux plus moralement. Rien que de croiser son regard j'ai une hausse de tension, je tremble... La galère quoi. ( J'ai un certificat médical attestant ça.) Du coup je baisse toujours les yeux quand je marche dans la résidence et subit en permanence des injures. J'aimerais savoir comment je peux estimer le préjudice moral. Sachant que j'ai était en arrêt maladie 10jours, j'ai un suivie médical pour la tension, je cherche à déménager pour ne plus le croiser... On m'a parler de faire assigner la CPAM au tribunal pour ma perte de salaire mais je ne sais pas à qui demander. Merci beaucoup pour votre aide.
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Lynchage d’un jeune Grenoblois : 18 mois à 5 ans de prison pour les auteurs 07/10/2011 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] Le tribunal correctionnel de Grenoble a condamné jeudi quatre "jeunes" à des peines allant de 18 mois avec sursis à 5 ans de prison ferme pour le lynchage d’un Français de 23 ans, en avril 2010, en plein centre-ville de Grenoble, le laissant entre la vie et la mort. L'explosion de violence avait eu lieu le 9 avril 2010, vers 23 heures, en plein centre-ville de Grenoble. Et le déclencheur en avait été un prétexte des plus futiles : la petite amie de la victime, un jeune homme de 23 ans, géomètre, prénommé Martin, avait refusé une cigarette à l'un des agresseurs, car elle venait tout juste d'allumer la dernière de son paquet. Aussitôt, Martin avait été violemment pris à partie par une dizaine de jeunes. Roué de coups de poings et de coups de pieds, il avait été poignardé à deux reprises dans le dos et à l'avant-bras. La peine la plus forte, 5 ans ferme, a été prononcée à l’encontre de Saad Bensaou, 21 ans, qui avait reconnu avoir porté un coup de couteau à la victime. A l'encontre de Joris Martinez, 21 ans, une condamnation à trois ans de prison a été prononcée, dont un an avec sursis et mise à l’épreuve. Même peine pour Houari Ghanem, 20 ans, déjà condamné à six reprises dans le passé pour vols aggravés ou violences. Et enfin Aïssa Khodja, 21 ans, s’est vu infliger 18 mois de prison avec sursis. Cinq autres prévenus, mineurs à l'époque des faits, doivent être jugés à une date ultérieure par le tribunal des enfants. Suite de l'article 1... Suite de l'article 2... Source: Le Progrès ; TF1
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Après la récente attaque d'un commissariat à Champigny-sur-Marne et celle d'un régiment de l'Armée de Terre à Castres par une trentaine d'individus, c'est au tour des pompiers de Marseille d'essuyer une attaque en règle par une quinzaine de personnes ayant fait irruption dans leur caserne pour en découdre. Des pompiers agressés dans leur caserne à Marseille. Les assaillants s'étaient rendus à Marseille pour assister à une soirée africaine organisée samedi dans la cité phocéenne. Ils sont une quinzaine à avoir fait irruption dimanche matin à 5h10, dans une caserne du bataillon des marins-pompiers. Les intrus, "apparemment en état d'ébriété", ont d'abord eu des "échanges verbaux" puis "des échanges de coups". Sept pompiers ont été transférés à l'hôpital.
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Etampes : un policier poignardé au scalpel [DATE][/DATE] Jeudi, un policier a reçu à Etampes, dans l’Essonne, un coup de scalpel à la cuisse L’interpellation a mal tourné, jeudi après-midi dans une rue d’Etampes, dans l’Essonne. Selon le Parisien, l'agresseur, âgé de 28 ans, consommait du cannabis sur la voie publique dans le quartier de Saint-Michel. Au moment de son arrestation, il frappe à coups de poing un des policiers. Et moment d’être menotté, il enfonce son scalpel dans la cuisse du second. [ Lire la suite de l'Article.. ] Source: Ma Chaîne Etudiante TV
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AGRESSION - Dans la nuit du 4 au 5 février, une jeune femme de 22 ans a été violée dans un train entre Paris à Melun (Seine-et-Marne) sous l'œil de plusieurs témoins, passifs. Un suspect a été interpellé et écroué quelques jours après les faits. La jeune femme a été violée dans le train sous l'œil de plusieurs témoins. Malgré la gravité des faits, pas une personne n'a bougé. Dans la soirée du 4 février au 5 février dernier, une jeune femme de 22 ans a été violée par un individu sous l'œil de plusieurs témoins. Ce soir-là, cette étudiante attend tranquillement son train de 23 h 49 à la gare de Lyon (12e) en fumant une cigarette sur le quai quand un homme l'aborde, relate ce lundi Le Parisien. La jeune femme l'ignore, et monte dans le train qui vient d'arriver. C'est là que les choses vont dégénérer… La main dans son pantalon L'étudiante s'installe dans un compartiment. Alors qu'elle vient de prendre place sur une banquette, l'individu qui l'avait accostée sur le quai la rejoint et commence à lui parler. Malgré l'indifférence de son interlocutrice, il insiste, se penche sur elle, lui fait des suçons dans le cou et sur les joues. La suite de l'article.
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Je pense que les témoins devraient être poursuivis par la Justice et être condamnés, comme les derniers des délinquants. Voir de ses propres yeux et à deux ou trois mètres de soi, une personne se faire agresser (pas que sexuellement d'ailleurs), ne pas bouger et faire semblant de ne rien voir, devrait être condamnable. La lâcheté devrait être condamnable. C'est en tout cas ma façon de penser... Suite et source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/04/24/01016-20140424ARTFIG00208-lille-agressee-sexuellement-dans-le-metro-les-temoins-ne-reagissent-pas.php
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Barbarie ordinaire à Évry : un atroce fait divers chez Valls
Savonarol a posté un sujet dans Actualités - Divers
Il est des faits divers de portée générale. Celui-là en est un ; non par son atrocité car notre vie quotidienne en est hélas nourrie, mais par sa signification. Il s’est déroulé le 30 mars, peu après minuit, dans un parc d’Évry, le chef-lieu de la circonscription du premier ministre Manuel Valls. Comme cela s’est passé durant la nuit qui précédait le second tour des élections municipales, cette affaire n’a pas eu le retentissement mérité. Elle le devrait pourtant. Ce soir-là, une jeune fille de 18 ans descend du RER en gare d’Évry. À sa sortie, elle donne un appel de son téléphone portable. Quatre individus se jettent sur elle et l’emmènent dans un parc voisin. Ils la dépouillent de tout ce qu’elle possède, puis la déshabillent et la violent à tour de rôle. Un viol indescriptible de cruauté barbare. Les quatre vont la martyriser pendant plus de deux heures avant de l’abandonner, blessée jusqu’au sang. Un automobiliste la prend en charge, appelle les secours. Elle aura l’énergie de témoigner en portant plainte. Les policiers l’accompagnent aux urgences. On lui donnera trois mois d’arrêt de travail. La voilà choquée pour la vie. Lors de leurs interrogatoires, et sur ce que l’on a pu savoir de l’enquête, les mineurs n’auraient pas formulé le moindre remords. Au contraire, ils ont exprimé leur haine : oui, ils n’auraient pas touché la jeune fille si elle avait été turque ; oui, ils l’ont agressée parce qu’elle était française et que « les Français sont tous des fils de pute ». Le juge qui les a fait incarcérer les a mis en examen pour viol en réunion et barbarie, mais aussi, plus rare, pour racisme. La suite de l'article -
À Leicester au Royaume-Uni, des Somaliennes échappent à la prison ferme après avoir violemment attaqué une jeune femme britannique. Les agresseurs ont porté de multiples coups de pied à la tête de la victime en criant « kill the white slag » (tuez la pute blanche), sous les yeux de son petit ami essayant de la protéger mais débordé par le nombre. Les Somaliennes risquaient 5 ans de prison ferme pour ce lynchage mais n’écopent que de 6 mois de sursis, et ont été libérées par le juge... après qu'il ait entendu en circonstance atténuante qu'elles n’étaient pas habituées à consommer de l’alcool parce qu’elles sont musulmanes. Le juge n'a pas tenu compte du caractère raciste de l'agression malgré les injures proférées. Pour Rhea, la victime de 22 ans qui ne connaissait pas ses agresseurs, « Je crois vraiment qu'ils m'ont attaqué juste parce que je suis blanche. Je ne vois pas d'autres raison. » Source : Daily Mail