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  1. Contrôle des chômeurs. À Pôle emploi, la politique de radiation bat son plein. Alors que le gouvernement exige le renforcement des contrôles sous couvert de remettre les chômeurs récalcitrants au travail, les privés d’emploi, notamment de longue durée, vont être également soumis à ce flicage pour faire baisser les statistiques. « L es demandeurs d’emploi qui ne démontreront pas une recherche active verront leur allocation suspendue. » Cette phrase couperet, prononcée par le futur candidat Emmanuel Macron, le 9 novembre, n’a pas tardé à être suivie d’effet. Depuis le 1er décembre et jusqu’en mai 2022, les contrôles des chômeurs sont intensifiés, avec une hausse de 25 % pour atteindre 250 000 procédures dans les six prochains mois (500 000 au total en 2022 contre 400 000 en 2019). Dans cette vaste opération de flicage, les personnes identifiées sur les métiers en tension (bâtiment, aide à la personne…) et celles en projet de création d’entreprise depuis plus de six mois sont ciblées en priorité. « Bas salaires, conditions de travail pourries » « On n’arrête pas de nous parler de ces 200 000 à 300 0000 offres non pourvues sur ces professions où il est difficile de recruter, mais on oublie souvent de dire que les conditions de travail sont pourries et les salaires bas », rappelle Guillaume Bourdic, représentant syndical de la CGT Pôle emploi. La ministre du Travail, Élisabeth Borne, a tenté de justifier ces contrôles accrus : « C’est bien normal, alors qu’on accompagne comme on ne l’a jamais fait les demandeurs d’emploi, qu’on s’assure qu’ils cherchent effectivement du travail. » Qu’importe si les effectifs de Pôle emploi n’ont été renforcés que de 100 équivalents temps plein pour cette année et que seules 941 000 offres soient actuellement disponibles sur le site Internet de l’établissement public pour 6,5 millions de chômeurs, il s’agit de faire baisser les statistiques. Source et suite de l'article.
  2. goods

    Un jour, un tableau!

    Francisco de Goya ( 1808-1812), Les Vieilles.
  3. À Noël, le RN bûche sur les législatives RÉCIT - À partir du 15 janvier, le parti va lancer des formations au niveau régional pour ses candidats . Une élection en cache souvent une autre. Tout occupée à sa campagne présidentielle, Marine Le Pen voit son parti, le Rassemblement national, d’ores et déjà bûcher sur les élections législatives. Une échéance capitale en cas de défaite comme de victoire en avril 2022. D’autant que s’y joue, outre le nombre de députés, la dotation publique que recevra le parti chaque année et pour cinq ans. Depuis le mois de septembre, Jordan Bardella, sacré dirigeant par intérim du mouvement, préside deux fois par mois la commission nationale d’investiture pour pourvoir en candidats les 577 circonscriptions que compte l’Assemblée nationale. Revient ensuite à chaque candidat de trouver son suppléant. En trois mois, le parti revendique avoir ainsi déjà investi 250 candidats sur toute la France. Le cap des 300 devrait être franchi lors de la prochaine commission d’investiture, le 10 janvier. Source et suite de l'article.
  4. Inde: deux singes, accusés d'avoir tué près de 250 chiens, capturés. En Inde, deux singes s'en prennent aux chiens d'un village depuis quelques temps. Selon les villageois, il s'agirait d'une histoire de vengeance après la mort d'un bébé primate. En Inde, dans l'État de Maharashtra, deux singes ont été capturés, accusés d'avoir tué près de 250 chiens. Selon les habitants, ces primates ont commencé à s'en prendre aux animaux domestiques après qu'un chien a tué un de leurs petits. Depuis, selon un villageois cité par ANI, agence de presse indienne relayée par le Guardian, les deux singes se vengent régulièrement. Ils amènent les chiens vers des hauteurs, et les jettent en contrebas. Selon les locaux, il n'y aurait aujourd'hui presque plus de chiens dans le village. Source et suite de l'article.
  5. Sciences Po Grenoble dénonce une décision « politique » après la suspension de financements par Laurent Wauquiez Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes va arrêter de financer l’école après un arrêté visant un professeur d’allemand, suspendu pour « propos diffamatoires ». La direction de Sciences Po Grenoble a regretté, mardi 21 décembre, la décision « politique » du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, de suspendre les financements de la collectivité à l’école, sur fond de débat autour la liberté d’expression. L’affaire a suscité, mardi, une cascade de prises de position, de Marine Le Pen à Eric Zemmour, en passant par Valérie Pécresse. La décision de sanction financière est intervenue après un arrêté interne visant Klaus Kinzler, un professeur d’allemand qui avait été accusé d’« islamophobie » en début d’année : il a été suspendu, lundi, de ses fonctions par la direction de Sciences Po Grenoble qui lui reproche d’avoir tenu, depuis, des « propos diffamatoires ». Qualifiant la décision de M. Wauquiez de « regrettable », la direction de l’Institut d’études politiques (IEP) précise dans un communiqué que « le soutien financier de la région (…) ne consiste pas en des subventions mais, essentiellement, en l’attribution de bourses aux étudiants ». Source et suite de l'article.
  6. goods

    Commémoration Samuel Paty

    La plaque du square Samuel-Paty a été dégradée à Paris, deux mois après son inauguration Selon la maire du Ve arrondissement de Paris, Florence Berthout, "la référence au caractère 'islamiste' de l'acte terroriste commis à l'encontre de Samuel Paty" a été "effacée à la bombe". La plaque du square Samuel-Paty situé à Paris, face à La Sorbonne, a été dégradée avec le rayage du mot "islamiste" dans la mention "victime du terrorisme islamiste", deux mois après son inauguration en hommage au professeur assassiné. "La référence au caractère 'islamiste' de l'acte terroriste commis à l'encontre de Samuel Paty" a été "effacée à la bombe", a indiqué mardi la maire (DVD) du Ve arrondissement Florence Berthout, dénonçant une "dégradation inacceptable". Lundi, Nicolas Gavrilenko, trésorier de l'Union des familles laïques (Ufal), avait signalé la plaque "vandalisée", un acte qui signe selon lui "l'aveuglement volontaire de certains". "C'est bien du terrorisme islamiste dont a été victime Samuel Paty", a-t-il ajouté. "Vouloir supprimer le caractère islamiste de cet acte odieux est insupportable", a ajouté Florence Berthout, qui indique avoir déposé plainte. Les services de la Ville ont remis la plaque en état mardi, a-t-elle précisé. Source et suite de l'article.
  7. Covid : l'inquiétude face à la cinquième vague entame la confiance des Français L'inquiétude des Français face à l'épidémie remonte à un niveau jamais enregistré depuis mai 2021, selon un sondage OpinionWay. Ils redoutent aussi à nouveau les conséquences sur l'emploi et la croissance. C'est l'un des effets corollaires de la reprise épidémique : avec la vague Delta puis la vague Omicron qui arrive, l'inquiétude des Français remonte elle aussi. Dans notre sondage OpinionWay-Square pour « Les Echos » et Radio Classique, dont l'enquête de terrain a été réalisée les 15 et 16 décembre, avant le dernier Conseil de défense sanitaire , le niveau d'inquiétude des Français face au coronavirus remonte à 6,4 sur 10. Un taux jamais atteint depuis le printemps 2021. « On retrouve les niveaux du confinement d'avril dernier. Après l'embellie de la rentrée, les Français sont comme face à une nouvelle vague de stop-and-go. L'inquiétude est notamment due à ce nouveau variant », explique Frédéric Micheau, directeur général adjoint d'OpinionWay. Opinion très partagée Avec l'inquiétude face à la vague épidémique, c'est la confiance dans le gouvernement pour limiter les effets de la pandémie qui, elle aussi, s'effrite. Les Français sont très partagés sur le sujet avec 50 % d'entre eux qui ne lui font pas confiance, contre 49 % qui accordent leur confiance au gouvernement. Là encore, après l'embellie de la fin de l'été et de la rentrée qui a vu la confiance monter à 55 % avec la hausse de la vaccination et l'instauration du passe sanitaire, c'est une petite alerte. L'opinion est toutefois très loin de l'état de défiance dans lequel elle se trouvait de l'automne 2020 au début de l'été 2021 avec 64 % de Français qui n'accordaient pas leur confiance, note Frédéric Micheau. Politiquement, le gouvernement bénéficie de la confiance d'une majorité des sympathisants de tout le spectre politique allant du PS à LR. A l'inverse, les plus forts taux de défiance sont enregistrés chez les sympathisants du RN et aussi, dans une moindre mesure, ceux de LFI. Ce sont aussi les partis qui ont marqué la plus grande opposition au passe sanitaire et désormais au passe vaccinal que veut instaurer le gouvernement . Source et suite de l'article.
  8. Sciences Po Grenoble: Laurent Wauquiez suspend le financement de la région Auvergne-Rhône-Alpes. La région ne veut plus financer Sciences Po Grenoble. L’annonce survient après la suspension d’un enseignant de l’IEP de Grenoble qui avait dénoncé une «chasse idéologique» au sein de l’établissement. Le conflit qui oppose Klaus Kinzler, professeur d’allemand et de civilisation allemande, à la direction de Sciences Po Grenoble prend une tournure politique. «Sciences Po Grenoble est depuis trop longtemps dans une dérive idéologique et communautariste. Ce n’est pas ma conception de la République, a écrit sur Twitter, lundi 20 décembre, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez. La Région suspend donc tout financement et toute coopération avec l’établissement». Sur Facebook, l’ancien président du parti Les Républicains a apporté son soutien à l’enseignant. Le montant des subventions allouées par la région à l’établissement est d’environ 100.000 euros par an «hors investissement sur projets, selon l’exécutif» régional, rapporte l’AFP. «Aucun compromis avec le communautarisme» Dans un communiqué de presse, daté du 10 décembre, qu’a pu consulter Le Figaro, la Région dénonce la «longue dérive idéologique et communautariste de la direction de l’Institut d’Études Politiques de Grenoble» qui «vient de franchir un nouveau cap avec la suspension d’un enseignant accusé d’avoir publiquement fait état de la dégradation des conditions d’enseignement dans cet établissement». «Les militants de théories “woke”, de l’écriture inclusive, ou de pratiques communautaristes, ont aujourd’hui confisqué le débat au sein de cet établissement sans que la direction ne prenne la mesure de cette dérive préoccupante», poursuit le communiqué de presse. «Élèves et enseignants qui s’opposent à ce nouveau diktat sont aujourd’hui la cible de pressions inadmissibles. Il est indigne de leur faire payer le renoncement et l’abandon d’une direction qui s’est soumise à cette minorité.» Et de conclure: «La Région Auvergne-Rhône-Alpes ne tolérera aucun compromis avec le communautarisme.» Source et suite de l'article.
  9. Des soutiens de Zemmour s’entraînent à tirer sur leurs « cibles » : LFI, Macron, les antifas… Différentes vidéos montrent deux hommes lourdement armés « s’entraînant » à tirer sur leurs « cibles », parmi lesquelles Emmanuel Macron ou les insoumis Raquel Garrido et Alexis Corbière. Les hommes seraient des soutiens d’Éric Zemmour. « Aujourd’hui on va s’entraîner à tuer du Garrido sauvage ». Lourdement armé, sourire aux lèvres, un homme menace l’ancienne porte-parole de La France insoumise (LFI), Raquel Garrido. « C’est de la truie très poilue et très vorace », s’amuse-t-il sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux par le groupe Jeune Garde antifasciste. L’homme vise un tunnel vide et tire une première balle. Puis une seconde, cette fois dédiée au conjoint de l’avocate, Alexis Corbière, député LFI et bras-droit de Jean-Luc Mélenchon. « Deux balles, trois morts, ça a ricoché sur un antifa[sciste] derrière », plaisante l’homme, avant de décliner son identité via un pseudonyme : Miles Christi, « Chevaliers du Christ » en latin. Dans une seconde vidéo obtenue par Mediapart, un autre homme est coiffé d’une casquette portant l’inscription « Ben voyons », le gimmick d’Éric Zemmour brandi comme argument d’autorité face à chaque contradicteur du polémiste. Source et suite de l'article.
  10. Et les cas en phase pré-symptomatique, tu as des chiffres ?
  11. On notera tout de même que s’il est faible, il progresse très vite. Voici l’évolution du cumul des cas d’Omicron détectés en France : Cumul du nombre de cas d'Omicron en France Évolution du cumul du nombre de cas d'Omicron détectés en France: Plusieurs spécialistes alertent sur l’arrivée d’Omicron, qui pourrait provoquer une sixième vague et succéder à Delta dès janvier en France. Source et suite de l'article.
  12. goods

    Le pass sanitaire.

    Tu es resté environ combien temps malade ?
  13. Apparemment rien mais lors d'un contrôle s'il n'a pas son QR code sur lui , il risque d'être sanctionné. .
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