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Père de 102 enfants, il tire la sonnette d'alarme : "Pas un de plus"
Atipique a posté un sujet dans International
«Leurs mères m'aident à les identifier» Père de 102 enfants, il tire la sonnette d'alarme : "Pas un de plus" «Au début c'était une blague (...), mais maintenant ce sont des problèmes»: en Ouganda, Musa Hasahya Kesera est le père de 102 enfants et peine à subvenir à leurs besoins... ou même à se souvenir de leurs prénoms. https://www.bluewin.ch/fr/infos/faits-divers/un-pere-de-102-enfants-mais-pas-un-de-plus-2175728.html#:~:text=En Ouganda%2C un père de,mais pas un de plus&text=A 68 ans%2C il est,mais il s'arrêtera là. -
Salut, J'ai lu tout à l'heure cet article (en anglais): "Pourquoi mes enfants n'ont pas le droit à une vie privée" Je vais traduire l'article ci-dessous pour les non-anglophones. """ Mon amie Kim a écrit un article dans le Huffington Post, sur le fait qu'elle ait lu le journal intime de sa fille de cinq ans. Kim savait que sa fille y avait écrit et elle se demandait ce qui se passait dans sa tête. Elle a pris la clé et ouvert le livre, appréhensive. Elle avait peur de découvrir que sa fille soit triste, ou en colère, ou qu'elle cachait quelque chose. Mais au contraire, elle y lut que sa fille était heureuse et aimait sa vie. Kim a alors écrit un joli texte sur cette anecdote et sur son soulagement de voir que sa fille était heureuse et en bonne santé. Bon: le Huffington Post est connu pour avoir certains commentateurs des plus aigris, coléreux, et trollesques. J'imagine beaucoup d'entre eux vivant dans des vans au bord d'une rivière [note: en gros, comme des pauvres dans des trailer park, ce style] ou se léchant des miettes de Cheetos [céréales infectes] des doigts en écrivant leurs posts rageux dans la cave sombre de chez leur maman. Eh bien, Kim les a titillé avec son post, et ces vans et ces caves ont vibré de rage. Une tonne de personnes sont venues crier sur Kim qui "violait la vie privée de sa fille", qui "trahissait sa confiance", et la qualifier de mauvaise mère. Tous ces commentaires m'ont fait réfléchir. Si ils ont pensé que Kim était une mauvaise mère, alors je devais en être une HORRIBLE. Je ne voyais rien de mal à ce que Kim a fait. Certains ont fait le distinguo quant au fait que sa fille n'avait que 5 ans, et que ç'aurait été un problème si elle en avait eu 15; bla bla. Je ne suis pas d'accord. J'ai toujours été claire quant au fait que mes enfants n'acquièrent même pas l'idée qu'ils auraient droit à avoir une vie privée dans ma maison. Bien sûr, ils peuvent prendre un bain seuls ou fermer la porte de leur chambre, mais ils n'ont pas le droit d'avoir des journaux intimes ou des tiroirs auxquels je n'aurais pas accès (moi ou mon mari). Pourquoi pensons-nous que les enfants méritent une vie privée? Pourquoi pensons-nous que nous trahissons la confiance de notre bout de chou par le fait de lire ses textos ou ses mails? Je ne trahis pas leur confiance, je suis dans mon rôle de parent. Ils n'ont pas le droit d'avoir des secrets. Ils n'ont pas le droit de partir de la maison sans me dire où ils vont, avec qui, et l'heure de leur retour. Ils ont le droit à avoir une opinion et ils peuvent me dire que mes règles sont nulles, mais je m'en fous. J'ai un job à faire: mon job, c'est de les éduquer et de les protéger, et de faire en sorte qu'ils ne soient pas des petits cons croyant que tout leur est dû [note: la traduction de entitled est difficile à rendre en français, mais en gros ça correspond à cette notion]. Seuls ceux-là exigent un droit à la vie privée. Ce sont des enfants! Ce ne sont pas des adultes. Même les adultes n'ont pas de liberté totale. Je sais que j'ai dû faire beaucoup de concessions [littéralement: pisser dans plein de petits gobelets] pour trouver un travail et je sais que mes mails étaient lus et mes conversations téléphoniques écoutées. C'est la vie. Mes enfants n'auront jamais de vie privée: je suis leur mère. Et c'est ma maison. Je suis déterminée à savoir tout ce qui se passe sous ce toit. Je ne suis pas stupide au point de croire que je saurais toujours tout ce qui s'y passe, il y aura certes des secrets qu'ils arriveront à garder, mais je ne suis pas non plus stupide au point de croire que mes enfants me diront tout de ce qui se passe dans leur vie. Je dois être un parent actif. Je ne peux pas être paresseuse ou complaisante/auto-satisfaite et penser que mes enfants sont de bons enfants juste parce qu'ils ont de bonnes notes et que leurs amis ont l'air OK. Vous savez pourquoi? Parce que les enfants mentent. Tout le temps. Quand mes enfants seront adolescents, ils sauront qu'à n'importe quel moment je pourrai leur demander de me donner leur téléphone, leur ordinateur portable, n'importe quel équipement qu'on aura à cette époque, afin que je puisse y vérifier avec qui ils parlent et sur quels sujets. Pouvez-vous imaginer si les parents des garçons à Steubenville avaient eu des parents respectant cette règle? [note: deux lycéens ont agressé et violé une camarade dans cette ville en 2012 et ont pris photos/vidéos] Pouvez-vous imaginer regarder le téléphone de votre fils et y voir des photos d'une fille violée par lui et ses amis? Pensez-vous que ces garçons auraient pris ces photos s'ils suspectaient que leurs parents pourraient les voir? Pensez-vous qu'ils auraient mis des vidéos sur youtube riant de leur victime et l'insultant s'ils pensaient un instant que leurs parents pourraient accéder à leur compte youtube? Je ne pense pas. Mais je ne suis pas surprise de savoir que ces garçons à Steubenville n'avaient pas ce genre de règle. Ces enfants étaient des petits cons et ils avaient des parents qui leur ont permis d'être des petits cons. À mon avis, ces enfants-là avaient une vie privée. Ces enfants-là avaient des parents qui ne voulaient pas trahir leur confiance ni envahir leur espace personnel: bullshit. (Bien entendu je ne suis pas en train de dire que tout enfant ayant droit à une vie privée deviendra un violeur ou un con, mais les chances que ça arrive sont élevées. Bien fait pour vous si vous avez élevé un enfant en lui laissant une vie privée!) Il y a quelques semaines j'ai déjeuné avec une amie qui a une fille adolescente. Mon amie était énervée car sa fille avait envoyé des photos inappropriées d'elle à quelqu'un. La mère du garçon en question avait fait une recherche au hasard sur le téléphone de son fils, comme à son habitude, et avait ainsi trouvé des photos d'une jeune fille peu vêtue. Elle a exigé de savoir qui était la fille et son fils lui a dit. Elle a retrouvé mon amie et lui a parlé des photos de sa fille. Les deux mères se sont mises d'accord pour effacer les photos et punir les ados. Pouvez-vous imaginer si la mère n'avait pas trouvé cette photo? Pouvez-vous imaginer si le garçon avait décidé pour une raison ou une autre de partager cette photo avec le reste de l'établissement? Des jeunes filles se suicident à cause de photos comme ça. Un enfant, ça prend des décisions stupides. Ils n'ont pas l'équipement approprié pour réfléchir sur les conséquences de leurs actions. C'est pourquoi nous devons jouer notre rôle de parent. Nous devons être là pour les guider, les aider et les superviser. Et pour moi, ça signifie: pas de vie privée. Quant à leurs journaux intimes? Je vais lire leurs journaux, intimes ou pas, et tout autre chose qu'ils écrivent. Trop d'enfants ont des problèmes de dépression, d'addiction, de faible estime de soi, et le meilleur endroit pour les détecter, c'est dans leurs écrits. Je préfère abuser de leur confiance et lire le journal de mes enfants et les aider, plutôt que de garder la tête dans les nuages en espérant qu'ils me disent d'eux-mêmes ce qui les tracasse, alors qu'en fait ils pensent déjà au suicide. Trop d'enfants se font du mal, à eux-mêmes et aux autres, parce qu'ils souffrent et ont besoin d'aide. Je ne peux pas juste rester là et espérer que mes enfants me disent ce qui les soucie. Donc, leurs journaux intimes et textos et emails seront lus par nous. Leurs tiroirs seront fouillés par nous. Je fais cela non pas parce que je suis à la tête d'un état policier ou parce que j'ai écrit le Patriot Act (ce dont un commentateur brillant m'a accusé), mais parce que je suis responsable pour eux et je les aime et je veux les guider et les aider. Je suis tout pour l'idée que les enfants apprennent de leurs erreurs, mais je veux que ces erreurs soient de rater un test de math ou d'avoir une heure de colle parce qu'ils ont remis des exercices trop tard. Je ne veux pas d'erreur du type envoyer un texto en conduisant, puis accident tuant un enfant sur le chemin du retour de l'école. Je ne veux pas d'erreur du type envoyer par mail des photos nues au capitaine de l'équipe de football en espérant qu'il les garde pour lui. Je ne veux pas d'erreur du type de l'enfant tellement déprimé qu'il se fait du mal, à lui et à ses camarades. J'aime mon enfant, férocement, et je ne veux pas devenir ce genre de parent disant "On n'avait aucune idée qu'il se sentait comme ça". Peut-être que vous pensez que je suis une mauvaise mère, mais je m'en bats les couilles. """ — Vos réactions?
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Pour moi, PROPOSER sa religion à son ou ses enfants, c'est attendre sagement qu'ils aient l'âge de "comprendre" ce qu'est la croyance religieuse, d'être disponible pour les éclairer s'ils en font la demande et le faire de la manière la plus objective possible. C'est le cas idéal, qui était beaucoup plus rare autrefois qu'aujourd'hui dans les familles croyantes. IMPOSER, celà va du bénin "catholique comme tout le monde" baptisé d'office "comme tout le monde" etc. à la manipulation perverse la plus extrème comme les juifs ultra-ortodoxes, les integristes musulmans et les fondamentalistes chrétiens. Entre les deux se trouvent les graduations manipulatrices comme : "une cuillerée pour papa, une cuillerée pour maman, et fait ta prière on t'aimeras (encore plus) très fort... Ce chantage affectif chez les très jeunes enfants n'a même pas besoin d'être pervers, tant l'amour qu'ils attendent de leurs parents est une donnée incontournable. Ce serait intéressant que chacun témoigne de SON expérience et que l'on puisse débattre sur ce sujet "hautement sensible"...
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Selon l’OCDE, la France est l’un des pays où le milieu social influe le plus sur le niveau scolaire
Invité a posté un sujet dans France
Ce que les observateurs des inégalités sociales savaient déjà a été confirmé une nouvelle fois par l'OCDE. Avec son système pyramidal et d'évaluation sclérosant, la France arrive en tête des pays où le milieu social impacte le plus la réussite scolaire. "Cette mauvaise position peut s’expliquer par un grand nombre de facteurs. L’apprentissage de la lecture est précoce en France, à un moment où les inégalités dans la maîtrise du vocabulaire sont grandes. Les programmes valorisent la culture académique et la maîtrise d’un savoir mathématique théorique. L’expérience a peu de place. Les évaluations à répétition dévalorisent et contribuent à l’échec des plus faibles, qui reçoivent peu d’encouragements. Les compétences demandées aux enfants sont mal explicitées par les enseignants, ce qui pénalise les milieux populaires." source -
Pour une dictée équivalente, les élèves de CM2 ont fait en moyenne 17,8 erreurs en 2015, contre 14,3 en 2007 et 10,6 en 1987. On aimerait le croire compliqué. « Le texte ne présente pas de difficultés linguistiques particulières, apprend-on à la lecture de cette note d’information. (...) Et cette perte ne concerne pas seulement quelques-uns : près d’un élève sur cinq (19,8 %) commet 25 erreurs en 2015 ; ils étaient 11,3 % dans cette situation alarmante en 2007, et seulement 5,4 % en 1987. « Le nombre d’élèves cumulant les difficultés orthographiques est ainsi multiplié par deux à chaque constat », écrit la DEPP. (...) A l’augmentation « sensible » du nombre d’erreurs se conjugue une « plus grande disparité des résultats » : de moins en moins d’enfants orthographient correctement le texte. L’augmentation des erreurs semble transcender les catégories socio-économiques. http://www.lemonde.fr/education/article/2016/11/09/le-niveau-en-orthographe-des-ecoliers-francais-plonge_5028192_1473685.html
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L’école à l’épreuve du créationnisme Stimuler l’esprit critique des élèves et renforcer leurs connaissances scientifiques : deux armes capitales pour lutter, en classe, contre la pénétration du discours religieux. Cet article est un extrait du hors-série 184 de Sciences et Avenir "Dieu et la science", daté janvier/février 2016. "L’évolution du vivant est-il un enseignement à risque" dans les écoles de la République française ? La question qui mobilisait les pédagogues comme Maryline Coquidé et les chercheurs comme Guillaume Lecointre ou Pascal Picq dès 2008, notamment après l’envoi de luxueux manuels créationnistes dans nos établissements scolaires par le gourou turc Harun Yahya, reste d’une brûlante actualité. Certes, la communauté intellectuelle et éducative a, depuis, fourni des outils pédagogiques et des manuels remarquables aux professeurs confrontés à une résistance politico-religieuse de la part de certains de leurs élèves musulmans, chrétiens ou juifs. Mais cette dernière persiste… tout comme le désarroi, l’indifférence ou la complaisance de certains enseignants. "Hasard du calendrier, au lendemain des attentats du 7 janvier 2015, j’ai animé une conférence pour l’académie de Créteil, témoigne le biologiste Olivier Brosseau, auteur d’enquêtes fouillées sur les créationnismes en Europe. Certains des tout jeunes enseignants n’avaient jamais entendu parler du problème et deux autres m’ont interpellé, trouvant mon approche "agressive" – une première ! Ils ont défendu le "soft overlap", une doctrine qui plaide pour un recouvrement, un concordisme entre sciences et religion." Lire la suite : http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/evolution/20160226.OBS5362/l-ecole-a-l-epreuve-du-creationnisme.html
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Donneriez vous une éducation religieuse à vos enfants?
Fistone a posté un sujet dans Education et Famille
Salam Personne ne peut nier la relation entre les convictions religieuses et la stabilité psychique de l'individu. Donneriez vous une éducation religieuse à vos enfants? Pourquoi? -
L'Élitisme que nous avons besoin n'est pas que l'intelligence
Mak Marceau a posté un billet dans Politique FR
C'est que peut-être que dans une certain ère, celle de où on viens directement présentement même, il y avait moins besoin de travailleurs mais aujourd'hui, avec les ponts et routes, nous devrions plustot monter les travaillant en haut. De toute les classes et couleurs. Sans compter que selon moi, si nous serions correct envers la Société et Dieu, nous ferions cela en tout temps. Monter les travaillant. Donc, selon moi, ce n'est pas toujours parce que ils/elles ont les meilleurs notes qu'ils/elles sont plus travaillant. Et je pense bien que les travaillant seraient mieux pour nous. Il faut relancer les constructions le plus rapidement possible. Noter que évidement, pour certain postes, comme dans le high-tech, nous avons pas le choix de prendre le/la plus intelligent(e). Juste pour prouver mon point: Ils sont les plus rapide et intelligent mais ils ne travaillent presque pas; La Société QI. Sans compter qui y a bien d'autres points important que l'intelligence et le travail comme par exemple être assez bon pour avoir une famille en même temps. Mais je dis: Mettons l'emphase dans les travaillant pour le moment. Voulez-vous garder vos bagnoles? GMAK -
Un jeune va aujourd’hui dénoncer les imperfections notables de l’éducation nationale française. Travaillant dans un collège, je suis amené à travailler avec les élèves, les professeurs, et l’administration. Ayant déjà dénoncé les grosses lacunes littéraires de la plupart des élèves ici, je vais aller plus en profondeur dans ce coup de gueule en parlant non seulement de l’imperfection de l’éducation nationale, mais aussi et surtout du laxisme de l’éducation parental. Dans le cadre de mes études en psychologie, je suis venu à me demander pourquoi des élèves de troisième ne savent ni lire, ni écrire, ni compter, ni même parler, ou encore être respectueux envers leurs pairs, ou envers nous. Les professeurs pensent que ces élèves sont cons ; les parents pensent que les professeurs manquent de pédégogie. En travaillant avec et les professeurs, et les parents, je peux affirmer certaines choses : certains élèves sont influençables, et immitent les leaders (négatifs pour beaucoup) ; certains professeurs manquent clairement de pédagogie, cela se voit sur les moyennes, les rapports qu’ils ont avec leurs élèves, le comportement qu’ils adoptent en classe, leur manque de patience et de self-control, etc. Mais je peux également affirmer que certains parents ne font pas leur job comme il faut... Prenons l’exemple de l’élève qui manque de respect quand son professeur lui dit « non », qui est arrogant, et insultant avec ceux qui lui tiennent tête. Pourquoi cet élève est comme ça ? Pourquoi réagit-il comme ça ? Posons-nous ces questions. Les professeurs ne comprennent pas ce comportement déviant, et décide de rectifier la trajectoire en punissant l’élève ; récidivant, l’élève se voit être convoqué à un conseil de discipline. Il est viré une semaine de l’établissement, et en revenant, il ressent de la haine envers l’établissement, les professeurs, l’administration... Et ça recommence. Que faudrait-il faire ? Sans doute se demander pourquoi cela se passe comme ça. En travaillant avec cet élève, en évitant le rapport de force, en me mettant à son niveau, les tensions étaient moindres. Pourquoi ? Parce qu’en faisant preuve d’intelligence, et en ne répondant pas bêtement à ces paroles bêtes et sans aucun sens, cet élève a appris qu’il perdait son temps à essayer de me faire péter un plomb. En prenant rendez-vous avec ses parents, j’ai rapidement compris d’où venait le problème. Des parents largement aisés, un père un peu trop naïf, une mère qui lui pique tout son argent (parce qu’elle ne travaille), hautaine et sans rien dans la tête, il y a de quoi débloquer. L’enfant, habitué à ce que son père lui donne tout, imprégné du comportement insupportable de sa mère, devient rapidement hautaine et insupportable avec ses professeurs. Souffrant d’un net complexe de supériorité, elle ne supporte pas que quelqu’un se hisse au-dessus d’elle. En bref, que faut-il comprendre ? Ce n’est pas la faute des professeurs, ni même celle de l’administration, si l’élève est comme ça. C’est la faute des parents, et aussi de l’éducation nationale. Pourquoi ? L’école est devenu une usine de fabrication à la chaîne. On ne cherche plus à prendre le temps d’enseigner. Il faut que ça aille vite, parce que le programme est long, mais que l’année est courte, entre les vacances, les jours feriés, les ponts, les manifestations, etc. Les conséquences de cette nouvelle éducation sont donc néfastes au bon développement de l’enfant : il ne sait plus rien faire, parce qu’on ne lui laisse pas le temps de comprendre. D’ailleurs, on ne lui demande pas de comprendre, mais d’apprendre par coeur (par exemple, le professeur de français donne la dictée à apprendre par coeur, ce que les élèves font, sans comprendre pourquoi tel mot est écrit comme ça). C’est inutile...
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Vers une éducation plus juste ?
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"Confidences et découvertes scientifiques, un appel vibrant au soin à accorder aux premières années de la vie" L'arbre de l'enfance
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- anne barth
- éducation
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(et 3 en plus)
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En observant 78 études, des chercheurs ont constaté que les moments de jeu entre un père et son enfant permettent à ce dernier de mieux contrôler ses émotions en grandissant. Lien : https://fr.news.yahoo.com/jouer-avec-pere-enfance-repercussions-positives-120532363.html
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- egalité femme homme
- père
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(et 2 en plus)
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Je n'ai aucune patience avec mon enfant Lundi 26 janvier - 10:39 Les parents, épuisés, sortent facilement de leurs gonds, constate la psychologue et psychothérapeute Isabelle Filliozat. Et si leur colère se trompait d'objet? Une télécommande introuvable, un bol de céréales renversé, un pull neuf déchiré... Il suffit souvent d'une broutille pour que vous vous emportiez. Le ton monte aussitôt, vos propos deviennent blessants («Tu pourrais faire attention, une fois dans ta vie?»), une claque s'échappe parfois, que vous regrettez aussitôt. Si on vous avait dit qu'un jour vous frapperiez votre fils ou votre fille... Adulte sous pression «C'est de sa faute, il m'a poussé à bout», plaident les parents, honteux d'avoir réagi de manière disproportionnée. Sans toujours réaliser que leur exaspération n'a pas pour origine la «bêtise» de l'enfant, mais plutôt leur épuisement, leur impuissance à maîtriser les événements. L'adulte sous pression explose à la moindre occasion, comme une Cocotte-Minute dont on ôte la soupape, il «disjoncte». Le hic, c'est que l'adulte s'en prend à un enfant qui n'est pour rien dans ses problèmes de couple ou de travail. Certes, il a fait ou dit quelque chose qui mérite d'être relevé, mais cela justifie-t-il ces débordements si peu éducatifs? Anne Lanchon Suite de l'article... Source: Le Matin
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En réaction à un message lu sur un autre forum de la part d'un jeune avec des origines maghrébines à qui ses parents se sont évertués à donner une identité étrangère arabe (prénom arabe, éducation arabe caricaturale, religion musulmane etc...) et qui se trouve de ce fait dans un état de schizophrénie et de malaise identitaire, j'ai envie de poser cette question : comment peut-on attendre qu'un individu né en France mais l'on élève dans une culture étrangère et à qui l'on donne une identité étrangère (prénom, religion etc...) se sente français et à l'aise du point de vue identitaire ?
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L'élève français, ce cancre en langues étrangères 22/07/12 Dans les enquêtes internationales, les élèves français ne sont guère habitués à briller. Une étude européenne sur les compétences linguistiques - la première d'une telle ampleur - menée à l'initiative de la Commission européenne auprès de 54 000 lycéens, dans 14 pays, force encore le trait : les Français se classent derniers... ou presque. Selon les résultats rendus publics le 21 juin, ils sont seulement 14 % à obtenir un bon niveau dans leur première langue étrangère, l'anglais "LV1", et 11 % dans la deuxième langue étudiée, l'espagnol "LV2". Seuls 40 % ont un "niveau de base" leur permettant de saisir le sens d'expressions courantes et de phrases isolées. Autrement dit, de se faire comprendre. Lire la suite de l'article Source: Le Monde
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Adultère, triche, mensonge, drogue, ...Les parents démissionnent et notre société devient de plus en plus immorale. Qu'en pensez vous? D’après votre propre expérience, avez vous reçu une bonne éducation. Donnez vous du temps à vos enfants pour leur apprendre les bons vieux principes de la morale?
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Bonjour à toutes et à tous, Je suis enseignante dans le secondaire depuis 6 ans et plus ça vient plus je vois des élèves auxquels on ne peut pas faire la moindre de remarque sans qu'ils pètent un plomb. Exemple, hier, un élève de sixième "se met à se taper la discute" à voix haute avec un autre camarade qui se trouve à l'autre bout de la classe pendant que je fais cours. Je lui demande son carnet car ce n'est pas la 1ere fois que je le rappelle à l'ordre. Il se met à pleurnicher "j'en ai marre, j'ai rien fait", prend son sac qui contenait ses affaires de sport pour me donner son carnet, balance son survet et ses baskets à travers la classe( tant qu'à faire), se dirige vers mon bureau , soulève son carnet dans ma direction puis le claque violemment sur le bureau. J'ai cru qu'il allait me le claquer en pleine figure. Ses camarades étaient tous choqués par un tel geste de violence sauf un qui s'est bien fendu la poire. Mais bon, d'après ma hiérarchie c'est à moi de changer mon approche avec cet élève, car de toutes façons, je cite "faut pas s'attendre à un changement de leur part". Très optimiste n'est-ce pas. Si j''écris ce poste aujourd'hui ce que moi, je crois à un changement. Je veux faire réagir les parents qui laissent tout passer à leurs enfants. Certes, c'est la chair de votre chair, mais ce sont les citoyens de demain et je sais trop bien que lorsqu'ils ont ce comportement en classe , ils l'ont aussi à la maison où ça peut même être pire.
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Salut Qu'est ce qu'un tue l'amour pour vous ?
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Cette après-midi, un copin a moi c'est fait plaquer par sa copine (qui est ma copine aussi), je sais que en faisant ça elle etais très triste et à pleurer, j'ai parler à mon copin, et devant son abscence de réaction, je lui demande, "pourquois tu ne fait rien, tu pourrait crier pleurer..." et il ma répondu "les garçon not pas le droit de pleurer" et il est partit.
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Punir : le casse-tête parental Mercredi 09 janvier - 09:29 Certains adultes confondent maltraitance et sanctions et n'osent pas punir leurs enfants, considère Patrice Huerre, médecin chef du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent de l'hôpital d'Antony (Hauts-de-Seine). "Une punition vient signifier le fait que les limites ont été dépassées, et nous sommes un certain nombre à rappeler aux parents qu'en cas de transgression de l'autorité, ils ont le droit et le devoir de sanctionner leurs enfants", dit-il. Et pourtant, ce qui peut paraître comme une évidence répugne à une génération de parents échaudés par l'autoritarisme de leurs aînés ou tentés de croire qu'un enfant aimé est naturellement bon. Le punir met alors en évidence les erreurs de leur éducation et génère un sentiment d'échec et de culpabilité. "On a cru qu'en mettant beaucoup d'amour et d'explications, on allait pouvoir brider certains instincts des enfants, explique Didier Pleux, psychologue clinicien. Mais au lieu de développer chez eux le sentiment de l'autre, on a développé l'égocentrisme." Suite de l'article... Source: LE MONDE | 08.01.08