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Le syndrome d’Asperger est une forme d’autisme sans déficience intellectuelle, ni retard de langage. Savoir reconnaître une personne atteinte du syndrome d’Asperger est très important car cela permet un meilleur accompagnement de ces personnes qui se sentent souvent incomprises et peuvent souffrir de leur différence. Savoir reconnaitre un autisme asperger est surtout très difficile ! Moi c'est a 48 ans que je l'ai découvert ! Le tout est de savoir comment vivre ce syndrôme quand on n'est pas au courant que l'on a le profile ? Moi a part une rebellion d'adolescent et des angoisses existencielles, j'ai pus vivre de grandes choses malgré cette ignorance ! Et si je l'avais su très jeune, est-ce que cela aurait changer ma vie ? Je suis un aventurié et un artiste, cela m'a permis de vivre de belles années et des difficultées relationnelles aussi ! Je crois que c'est a ces difficultés relationnelles que l'on peu le mieux reconnaitre ce syndrôme... être inadapté sociale n'est pas toujours facile a vivre, mais il y a des richesses dans la différence !
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C'est la continuité d'héritages successifs qui constitue notre être. Notre existence dépend de l'interaction de notre être avec notre environnement conditionnée par notre milieu. Notre identité comme nous la subissons est le résultat de ce lignage. Ainsi nous pouvons ressentir un monde en dehors de nous !
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On peut être autant que l'on puisse en "pleine conscience", être autant que l'on puisse en "osmose" avec le cosmos, ce monde nous rejettera. C'est notre condition de mortel qui fait de nous ici bas, des "monstres". Notre seul élément est le présent et ce monde ne connait pas le temps. Quelle attitude adopter que celui de "coupable" !
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Bon voilà ! je suis de retour sur le premier forum... je vous invite a mieux me connaitre ici !
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- présentation
- identité
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Bonjour, je suis tombé sur un texte en cherchant à me cultiver sur le sujet de l'identité. Celui-ci est suivis de plusieurs questions auxquelles j'ai répondu, dans lobjectif de m'entraîner. Cependant je ne sais pas si j'ai bien cerné ce que l'on me demandais (je suis en phase d'apprentissage). Ainsi, je fait appelle à votre savoir pour m'éclairer si j'ai mal compris l'intérêt de ce texte. Le voici : " Il est maintenant possible de transplanter certains organes, les yeux et les poumons, d'un corps à un autre d'une façon telle que l'organe continue à fonctionner dans son nouvel environnement. Les physiologistes peuvent avoir des raisons pour considérer qu'une telle chose n'est pas possible avec un cerveau humain, mais il est au moins concevable (logiquement. possible) qu'un corps humain puisse continuer à fonctionner normalement si son cerveau était remplacé par un autre cerveau issu d'un autre corps humain. Imaginons donc la situation suivante. Premièrement, supposons que la science médicale ait développé une technique permettant à un chirurgien d'extraire complètement un cerveau humain de la tête où il est logé, afin de l'examiner ou de l'opérer, avant de le réintroduire dans le crâne (en rebranchant les nerfs, les vaisseaux sanguins, et ainsi de suite) sans causer la mort ni un dommage permanent ; nous avons à imaginer que cette technique « d'extraction de cerveau » est devenue une pratique courante dans le traitement des tumeurs cérébrales et autres affections du cerveau. Un jour, pour commencer notre histoire, un chirurgien comprend que son assistant a commis une erreur affreuse. Deux hommes, M. Brown et M. Robinson, ont été opérés d'une tumeur au cerveau. Dans les deux cas, une extraction de cerveau a été effectuée. Cependant, à la fin des opérations, l'assistant a mis par inadvertance le cerveau de M. Brown dans la tête de M. Robinson et le cerveau de M. Robinson dans la tête de M. Brown. L'un des deux hommes meurt immédiatement après, mais l'autre - celui possédant le corps de Robinson et le cerveau de Brown - reprend finalement conscience. Appelons-le « Brownson ». Cependant qu'il reprend conscience, Brownson manifeste un grand choc et une grande surprise en découvrant son corps. Apercevant alors le corps de Brown, il s'exclame incrédule « C'est moi qui suis couché là ! » En se montrant du doigt, il déclare : « Ceci n'est pas mon corps, c'est celui qui est là-bas qui est le mien ! » Lorsqu'on lui demande son nom, il répond automatiquement « Brown ». Il reconnaît la femme et la famille de Brown (que Robinson n'avait jamais rencontrées), et il est capable de décrire par le menu les événements de la vie de Brown, en les décrivant toujours comme des événements de sa propre vie. De la vie passée de Robinson, il ne fait preuve d'aucune connaissance du tout. On observe au cours du temps qu'il manifeste tous les traits de personnalité, manières, centres d'intérêts, goûts et dégoûts, et ainsi de suite, qui caractérisaient Brown auparavant ; et qu'il agit et parle d'une manière complètement étrangère à l'ancien Robinson Que dirions-nous si une telle chose arrivait ? Il n’est guère douteux que la plupart d’entre nous seraient enclins, et nettement, à soutenir que Browson est Brown en dépit du fait qu’il possède le corps de Robinson." Sydney Shoemaker. Self-Kowledge and Self-Identity (1963). Voici les questions associées : Quel est le but philosophique de cette expérience imaginaire ? (=) Quelle thèse semble vouloir soutenir l’auteur du texte ? (réponse = 3 lignes maximum) Quel philosophe avait soutenu des vues similaires ? Dans le cas présent, Shoemaker imagine qu’on a transplanté le cerveau de Brown dans le corps de Robinson. Mais le cerveau est-il à proprement parler le critère de l’identité dans cette fiction ? (réponse = 3 lignes maximum) => Ne peut-on pas envisager une expérience imaginaire science-fictionnelle voisine mais plus radicale et plus nette pour mettre en évidence la même idée que celle de ce texte ? (réponse = 3 lignes max) Cette fiction est-elle entièrement convaincante (je ne fais pas référence à la faisabilité technique etc. de l’expérience mais à un paramètre négligé ou un présupposé peut-être) ? (réponse = 7 lignes maximum) Voici mes réponses associées : Cette expérience imaginaire nous permet de nous questionner quand aux critères qui fonde notre identité. On comprend à travers la dernière phrase que l’auteur soutiens la thèse selon laquelle l’identité serait fondé à travers notre mémoire (ici logé dans le cerveau des individus) Le philosophe John Locke avait soutenues des vues similaire sur ce propos Comme anticipé dans la réponse à la première question, il n’est pas question ici du cerveau en tant que « chose ». Ce qui nous intéresse est plus les capacités que celui-ci offre, la capacité de mémorisation ici notamment. Le cerveau n’est donc pas à proprement parlerle critère de l’ID dans cette fiction On pourrait imaginé que les procédés scientifiques permettent d’extraire uniquement l’ensemble de la personnalité de l’individus (appelons le John), c’est à dire extraire son âme afin de l’intégrer dans un autre corp que l’initial (le corp de Jean par exemple). Ainsi, de manière analogue, on pourrait déclarer que John est Jean. La fiction présenté présuppose nettement qu’il existe une identité une et continue, elle admet l’existence d’un « moi » et vient ainsi négliger l’hypothèse selon laquelle le « moi » est fictionnelle (PDV de Hume) Qu'en pensez vous ? (j'ai considéré qu'une ligne = 10 mots)
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Françaises Français bonjour à vous, Que représente pour vous la nouvelle identité française depuis le début de ce 21eme siècle? Comment comparez vous cette identité par rapport aux autres pays? La multitude ethnique vous gêne t'elle ou au contraire, vous trouvez ça intéressant pour la France? Alors, pour ou contre le multi culturalisme en France? Merci d'argumenter.
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Je tiens tout d'abord à remercier le site de permettre à ses adhérents de pouvoir interagir librement entre eux. Ensuite, je veux préciser que je ne suis pas "racialiste". Au contraire. J'ai discuter avec l'un deux, et cela m'a troublé. Un de ces arguments m'a laissé perplexe et je veux que vous m'aidez à trouver une réponse. Le "racialiste" m'explique que la race blanche existe bien avant la France, des milliers d'années avant elle, qui n'existe que depuis un peu plus de 1000 ans. Et que par conséquent la France ne se definie pas par sa culture (ou autre) mais uniquement la race. L'agument avancé en gros c est que le temps est predominant pour la definition d'une nation. C'est un peu comme quand les gauchistes disent "la france c est rien, ca existait meme pas y a 5000 ans" J'aimerais avoir des réponses la dessus. Cela m'amène a réfléchir. Je ne sais pas quoi répondre de façon rationnel à cet argument, cependant je peux definir ce que qu est la civilisation européenne par paul valery et la france par chzrled de gaulle. Mais l argument temporel me laisse perplexe. Merci de me répondre
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La nation Française n'est elle pas entrain de se fragmenter ? Pouvons nous encore parler d'identité nationale si tant est qu'elle existe toujours ? que signifie pour vous être Français ?
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Bonjour, je souffre de mes origines, je vis une crise identitaire. Je suis français né en France de parents marocain, un père noir, une mère blanche. j'avais déjà posé plusieurs post sur un éventuel changement de nom de famille. Mon prénom est français et mon nom est oriental. J'en ai marre qu'on me dise à plusieurs reprise "t'est de quelle origine"? Question inodine s'il en est, attisé par la curiosité de l'individu qui me pose la question mais qui lorsqu'elle est répété à plusieurs reprise, commence à me faire sentir mal. je le sens comme un réquisitoire, comme si ce que l'on retenait de moi, était que je vienne de l'étranger. Mes parents m'ont toujours parlé en français et n'ont jamais cherché à me pousser dans la religion musulmane. Lorsqu'il faisait le ramadan, je voulais le faire par mimétisme. Ils me disaient "fais comme tu veux". Je l'ai fais de 12 à 18 ans. Mais à 18 ans, j'ai quitté pour la première le domicile familial pour continuer mes études et suis allé vivre dans une grande ville. J'ai connu pour la première le communautarisme, les questions qui déranges, les étiquettes qu'on vous porte. J'étais choqué de voir des gens, qui ethniquement me ressemblait, mais qui se comportait par leur langue, leur leur démarche comme s'il venait de débarquer en France. Ils ne se mélangeait pas ou très peu. Quand ils apprenaient que mes parents étaient marocain, ils me posaient plein de question sur le maroc et sur mes goût concernant la culture orientale. Je ne savais quoi répondre. à part des vacances l'été au Maroc, quand j'étais petit, je ne connais rien de ce pays et je n'ai jamais été attiré. Je suis haut-savoyard. Ma jeunesse en Haute-Savoie fût magnifique. Jamais, on ne m'a jamais fais sentir différent. Jamais, on ne m'a demandé de quelle origine j'étais et c'était la même chose pour mes parents. Vivre dans une grande ville fût une expérience détestable la première année. Je vis une crise identitaire, je pris une vingtaine de kilos. Noirs, blancs, marocains, français, musulmans, je ne savais qui j'étais et je suis tombé en dépression, ratant par la même occasion mes études (que je ne repris que quelques années plus tard). Dans un monde parfait, quand je me présenterais, je donnerais mon prénom et ce sera tout. à l'étranger, quand on me disait d'ou je venais, je disais que j'étais français et j'en étais fière. Je suis un passioné d'histoire et j'aime les grands noms qui on fait ce pays. Je connais l'hymne national, je me sens français. Ce n'est pas une histoire de racisme (ou presque), c'est surtout qu'on me demande de choisir mon camp, à moi, un métisse. Pendant longtemps, j'étais réfractaire à l'idée de donner mon avis, de choisir un camp. Je suis attaqué par des gens non-musulmans qui me demande sans cesse de quelle origine tu est. Il suffit d'être un peu bronzé dans ce pays pour qu'on vous le demande. Et je suis attaqué par les gens marocains, maghrébins musulmans, qui me demande d'être dans la religion et que je ne suis pas et que je ne serais jamais un français. J'ai mal, très mal. j'écris ces lignes avec des larmes aux yeux. Après ma crise identitaire à 18 ans, j'étais retourné en Haute-Savoie et m'était retiré du monde. Et maintenant que j'ai repris mes études (il y a 2 ans), je côtoie à nouveaux les gens et j'ai l'impression de souffrir comme lorsque j'avais 18 ans. Je sais qu'apriori je traduirais mon nom de famille, mais même ainsi, je continuerais à souffrir. Comment faire pour avoir la conscience tranquille? Mes parents savent un peu que je souffre mais depuis quelques année (en vieillisant) et suite à quelques soucis de santé, ils sont rentré un peu plus dans la religion musulmane et me parle un peu plus souvent en arabe. Rien de bien méchant mais j'ai l'impression d'être seul. Il y a des tonnes de métisses mais des "métisse oriental non musulman et fière d'être français", je n'en vois pas.
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En réaction à un message lu sur un autre forum de la part d'un jeune avec des origines maghrébines à qui ses parents se sont évertués à donner une identité étrangère arabe (prénom arabe, éducation arabe caricaturale, religion musulmane etc...) et qui se trouve de ce fait dans un état de schizophrénie et de malaise identitaire, j'ai envie de poser cette question : comment peut-on attendre qu'un individu né en France mais l'on élève dans une culture étrangère et à qui l'on donne une identité étrangère (prénom, religion etc...) se sente français et à l'aise du point de vue identitaire ?
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Bonjour, bonsoir et bonne nuit ! Dans la liste déroulante pour indiquer son pays on trouve : la Guadeloupe, la Guyane, Mayotte, la Martinique, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie Française, Saint-Martin, les Terres australes et antarctiques françaises, Wallis-et-Futuna. À compte là, pourquoi n'y a-t-il pas la possibilité d'avoir les drapeaux régionaux métropolitains, le drapeau européen (pour les europhiles du forum) ou de l'ONU (pour les citoyens du monde) ? Afficher plusieurs drapeaux serait beaucoup mieux !
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