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Dimanche soir, le nouveau numéro du magazine de M6 présenté par Ophélie Meunier s’intéresse avec efficacité à la «révolution des relations parents-enfants» des cinquante dernières années. « En 50 ans, l’éducation a changé du tout au tout. » En partant de ce constat dans le magazine « Zone interdite », la réalisatrice Laetitia Kretz détaille le contraste saisissant entre les usages des années 1970 et ceux d’aujourd’hui. Un simple repas de famille où trois générations se confrontent illustre la différence des vécus et des points de vue : les plus anciens se souviennent d’une éducation stricte où les gifles, les fessées voire les coups de martinets étaient d’usage et déplorent les méthodes trop permissives de leurs descendants. [...] https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/actu-tele/un-demi-siecle-d-evolution-de-l-education-des-enfants-decrypte-dans-zone-interdite-20250406
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Bonjour, Victime de violences et de harcèlement de la part du père de ses enfants, Eva Ngalle 34 ans a lancé, en décembre 2023, une application pour permettre aux parents séparés de rester en contact de façon sécurisée, lorsque cela est nécessaire. Modération des insultes, conservation de l'historique, création d'un nouveau numéro de téléphone, choix des horaires des notifications, accès à une aide juridique... TI3RS, imaginée par Eva Ngalle, permet une communication et des échanges maîtrisés entre ex-conjoints. L'application a été pensée conjointement par des victimes, des associations, des juristes et des commissariats. Femmes et hommes peuvent s'inscrire. Il n'y a pas de critère de genre bien que, sur les près de 1 400 utilisateurs, 95% sont des femmes. L'application modère également les insultes grâce à un filtre avec la mention "langage fleuri" pour éviter à la victime d'être confrontée à cette violence. Mais l'historique enregistre tous les échanges dans une version non censurée : c'est l'un des aspects fondamentaux de l'application en matière de preuve, notamment devant la justice ou à l'occasion d'un dépôt de plainte. Il suffit alors de télécharger cet historique : inutile de remonter dans la conversation, de conserver des captures d'écran et de constituer tout un tas de preuves... Article entier : https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/temoignages-les-violences-conjugales-ne-s-arretent-pas-a-la-separation-comment-l-application-ti3rs-pourrait-revolutionner-la-communication-entre-parents-separes_6825353.html
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Bonjour, C’est le constat du rapport de la fondation Abbé Pierre, publié ce jeudi : le nombre de jeunes adultes hébergés chez leurs parents ne cesse d’augmenter, atteignant les 5 millions en France. Un chiffre en croissance constante depuis 10 ans, qui inquiète les parents. En 2020, environ 4,92 millions d’adultes vivaient chez leurs parents, contre 4,67 millions en 2013. La majorité de ces adultes sont âgés de 18 à 24 ans, une augmentation de 13,5 %. Le terme "Tanguy" fait bien sûr écho à la comédie éponyme d’Étienne Chatiliez sortie en 2001, qui raconte la cohabitation tumultueuse d’un couple avec leur fils presque trentenaire. Mais la situation réelle de ces jeunes adultes n’a rien de comique. Article entier : https://www.ladepeche.fr/2024/05/18/les-tanguy-toujours-plus-nombreux-en-france-pourquoi-de-plus-en-plus-de-jeunes-adultes-decident-de-rester-chez-leurs-parents-11956673.php
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Des stages existent pour les parents ayant commis des violences sur leurs enfants. Ils peuvent être ordonnés par la justice pour éviter des poursuites devant un tribunal, ou en complément de peine. Ordonné par la justice pour éviter des poursuites devant un tribunal, ou en complément d'une peine pour les parents condamnés, ce stage pédagogique est organisé en groupes de parole. L'ambition est de responsabiliser ces parents, et de les guider vers une autre manière d'éduquer leurs enfants. Le stage commence toujours par une explication de la loi. Un moyen de délier la parole, et de constater aussi que les auteurs de violences en ont souvent d'abord été les victimes. Suite : https://www.francetvinfo.fr/societe/education/maltraitance-immersion-au-c-ur-d-un-stage-pour-parents-violents_6515810.html
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Bonjour, Depuis la rentrée de septembre, des enfants en situation de handicap subissent le non-remplacement d’enseignants et la pénurie d’AESH dans leur école de l’académie de Lyon. « Je veux juste que mon fils aille à l’école, c’est le souhait de tous les parents, souffle Sophie*. Mais quand on est mère d’un enfant en situation de handicap, on se bat au quotidien. Mais ce combat n’a pas lieu d’être, c’est un droit ! » Depuis la rentrée de septembre, son garçon de 9 ans n’a été scolarisé que 50 % du temps. La raison ? Une enseignante absente, « un manque d’anticipation de l’Education nationale » et des élèves non pris en charge car « handicapés ». « On vit au rythme des SMS du directeur, mais la situation n’évolue pas », dénonce-t-elle. (...) Des enfants en situation de handicap sans AESH livrés à eux-mêmes... « Les élèves en situation de handicap ont droit à des conditions d’apprentissage adaptées à leurs difficultés et ce, quel qu’en soit le coût », écrivent les enseignants. Ils demandent, entre autres, « la création immédiate des places nécessaires dans les établissements sociaux et médico-sociaux », davantage de « postes d’enseignants spécialisés et de personnels médico-sociaux à hauteur des besoins », « un statut et un vrai salaire pour les AESH ». Un appel à la grève nationale a été lancé pour le 25 janvier 2024. Une manifestation est également prévue à Paris pour « porter [ces] revendications au ministère de l’Education nationale ». Article entier : https://www.20minutes.fr/societe/4063572-20231122-lyon-academie-detruit-enfants-handicapes-denoncent-parents-excedes
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Les parents déchirés par l’école «Je ne veux pas sacrifier mon enfant à mes idéaux !» L’entrée en sixième sonne souvent comme un défi pour les familles installées dans les quartiers mélangés. Entre convictions solidaires et souci de protéger sa fille ou son fils, le choix prend des allures de dilemme intime. C’est un iceberg que personne ne voit venir. Qui met à l’épreuve, parfois violemment, dans les familles de gauche, des valeurs qui semblaient ancrées pour la vie. Une déchirure intime, un rite de passage citoyen et politique, la première occasion majeure, souvent, de confronter ses actes à son discours politique. L’aîné entre en sixième. Ceux qui y sont confrontés étaient partis gentrifier les quartiers populaires, ils s’étaient éloignés du centre-ville parce que l’immobilier n’y était plus accessible, ils aimaient croiser leurs voisins d’origine et de classe sociale diverses le dimanche matin au marché. Ils comprennent désormais que vivre dans le quartier, dans cette banlieue, c’est aussi faire grandir les enfants ensemble. [...] Comment articuler, au plus profond de soi, cette décision de ne pas scolariser son enfant dans le quartier, quand on se réclamait en primaire de l’esprit laïque de l’école de la République, et qu’on se faisait élire représentants FCPE aux conseils d’école ? Comment justifier quotidiennement ce grand écart entre le dire («je pense qu’il est important que chacun s’engage pour lutter contre les inégalités») et le faire («je préfère garantir à mon enfant un entre-soi rassurant») ? Certains parents, lucides, assument d’avoir fait le deuil de certaines convictions et expliquent, sans fierté mais sans faux-semblants, avoir établi, la mort dans l’âme, une priorité : mon enfant vaut plus que mes principes. D’autres tentent la quadrature du cercle et plaident le cas particulier. Le petit dernier est trop «fragile». Le grand s’est pris d’une soudaine passion pour le tuba… ça tombe bien, le collège réputé d’à côté propose justement une option instruments à vent. Ou, version plus politique : «Tant que le privé ne sera pas contraint à jouer le jeu de la mixité, pas de raison que je le fasse (et en attendant, je mets mon enfant dans ledit privé)». Entre les mots, il s’agit de se persuader qu’on est toujours de gauche. Qu’on pense toujours «bien». [...] http://www.liberation.fr/debats/2018/01/17/les-parents-dechires-par-l-ecole_1623163
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"Les élèves vous insultent et les parents vous traitent de menteur"
Skanderbeg a posté un sujet dans Société
De plus en plus de profs démissionnent: "L'Éducation nationale m'a dégoûtée du métier" Les enseignants de plus en plus nombreux à claquer la porte de la salle de classe. Selon des données publiées dans un rapport sur le budget de l'Éducation nationale, le nombre de démissions a fortement augmenté depuis 2012, aussi bien chez les enseignants stagiaires que chez les titulaires. En quatre ans, le nombre de démissions d'enseignants stagiaires a triplé dans le primaire et doublé dans le secondaire. Une tendance qui se confirme chez les enseignants titulaires (+ 50% en quatre ans). (...) RMC a rencontré Nora, jeune professeure des écoles de 27 ans, qui a décidé de ne plus retourner en classe et d'abandonner le métier. "L'Éducation nationale, le système actuel, ont réussi à me dégoûter du métier", déclare-t-elle anonymement. Elle raconte: "Un enfant vous lui demandez d'aller se ranger, dans votre dos il va vous insulter. Des insultes qui peuvent être gravissimes. Les parents, vous savez que quand vous allez les prévenir, ils vont vous traiter de menteur. (...) Nora ne comprenait plus les choix de sa hiérarchie. "On change sans arrêt de méthode d'évaluation, de livrets de note. La façon dont on est formé, la façon dont on nous met dans les classes. (...) Je ne suis pas la seule, j'ai connu beaucoup de collègues qui ont fait des dépressions, qui ont abandonné. C'est ça qui est grave aujourd'hui". Face à cette situation, Albert-Jean Mougin, vice-président du Syndicat national des lycées et collèges, appelle à un sursaut de l'Éducation Nationale. "Le nombre de gens qui veulent démissionner va croissant, tout comme le nombre de gens qui souffrent. Nous avons eu des suicides. Il faut trouver des solutions maintenant!". http://rmc.bfmtv.com/emission/de-plus-en-plus-d-enseignants-demissionnent-l-education-nationale-a-reussi-a-me-degouter-du-metier-1076708.html- 220 réponses
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Le grand désarroi des parents face aux ados qui veulent changer de sexe. ENQUÊTE - Qu’ils soient compréhensifs ou plus réfractaires, tous sont inquiets de voir leur enfant prendre des décisions aux conséquences irréversibles, et blâment un «effet de mode» sur les réseaux sociaux. Un jour, ils ont reçu un SMS laconique. Une vidéo. Ou même un diaporama. Avec des mots, des expressions qu’ils ne connaissaient pas dans la bouche de leur enfant. Et plus aucune faute d’orthographe: «À partir de ce soir, vous m’appellerez Louise*», a écrit Louis*. Un jour, leur ado leur annonce qu’il est transgenre, «sans aucun signe avant-coureur», et ces parents se trouvent «complètement désemparés». Alors que le ministère de l’Éducation nationale vient de publier une circulaire pour mieux «accompagner» les élèves trans, que l’Assemblée nationale vient de voter l’interdiction des «thérapies de conversion» visant à «modifier l’orientation sexuelle», mais aussi «l’identité de genre» d’une personne, ils se disent très inquiets: «Comment faire comprendre à nos enfants que leur mal-être n’est pas forcément dû à une transidentité? s’émeut Camille, qui s’emploie à rassembler d’autres parents dans un collectif, en lien avec la fédération internationale de parents Genspect. On a l’impression d’être plongé dans un monde de science-fiction, où énoncer le moindre conseil de prudence devient transphobe.» Petit, Louis était «plutôt branché dinosaures, jamais robe à paillettes». Mais un jour, Corinne tombe sur des photos de son fils de 14 ans en sous-vêtements féminins sur Instagram. Il voulait juste «avoir des likes»… «Louis est plongé dans la culture manga du matin au soir, explique Corinne. Dans ces BD, les personnages passent d’un genre à l’autre sans problème. C’est un gamin haut potentiel, qui a été harcelé au collège. Chez nous, il est joyeux, curieux, mais il y a ces réseaux sociaux…» En mars 2020, il lui envoie un SMS: «Quand tu rentres, tu me dis ‘‘elle”». Ses parents l’entourent avec bienveillance. «Je lui ai trouvé les coordonnées d’un psy trans, je l’ai emmené au rayon fille, je lui ai même proposé de lui apprendre à mettre du fond de teint!», énumère Corinne. Mais le diagnostic de la psychologue est clair: Louis «n’est ni convaincu ni convaincant». «Il ne se reconnaît pas dans le modèle hypersportif et masculin de son père, mais ce n’est pas pour cela qu’il est une fille!, s’exclame sa mère. J’ai vu qu’il était allé sur des sites proposant des hypnoses en transe profonde pour faire une transition ‘‘male to female’’, ou encore une ‘‘bimbofication’’! Et qu’il avait écouté la séance quatre ou cinq fois! Je ne dis pas que cela n’existe pas, je dis juste qu’il doit y avoir un nombre infime d’enfants qui ne sont pas nés dans le bon corps. Mais si nous, parents, on émet une réserve, c’est tout juste si l’Aide sociale à l’enfance ne débarque pas…» Source et suite de l'article.
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Non, je n'ai pas fait de faute, c'est de « moncœur » que je veux parler. Ou plutôt « monccuyieur ». Un mot qui se dit d'une traite, sans respirer. J'ai passé, la semaine dernière, une demi-heure éprouvante dans une salle d'attente face à une mère enamourée qui parlait à son garçon de 3 ans en l'appelant « moncœur » toutes les dix secondes. Faites le calcul. Les trente minutes passent lentement. Et la salle d'attente était si petite que l'on se frôlait dès qu'on tournait une page de Voici. J'ai tout essayé pour ne pas me faire prendre la tête par les rafales de moncœur. Feuilleter le meilleur quotidien français, consulter les courriels sur mon i-Phone, écrire des SMS, lire un livre d'économie, méditer… Rien à faire. « Moncœur, moncœur, moncœur… » « Non, pas comme ça, moncœur (…). Fais attention, moncœur (…). Tu veux colorier, moncœur (…). Reste assis, moncœur (…). Tu gênes le monsieur, moncœur… » Mais, bon Dieu, cet enfant n'a-t-il donc pas de prénom ? Vous savez, un pré-nom. Rappelez-vous, quand son père est allé le déclarer à la mairie, il a écrit quoi sur le registre ? Moncoeur Dupont ? Il y a de quoi les rendre débiles, ces pauvres enfants ...... Suite http://www.lemonde.fr/le-magazine/article/2014/05/02/moncoeur-ou-les-parents-culcul-la-praline_4410130_1616923.html?xtmc=moncoeur&xtcr=1
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Bonjour à tous, Petit topo sur ma situation avant de poser la question: Je vis depuis toujours dans le même appartement appartenant à la société HLM Emmaüs, avec mes parents qui ont donc leurs noms sur le bail (il a 30ans) Il y a 4ans mon père s'est retrouvé handicapé et ne travaille donc plus, et ma mère a un salaire très proche du SMIC. Afin de les aider, je donnes chaque mois l'équivalent de la moitié du loyer. Mon père sera à la retraite au 1er Mai prochain ce qui fait que les revenus de mes parents vont beaucoup baisser. Questions: Est-il possible que ma participation devienne plus officielle en faisant apparaître mon nom sur le bail? Quelles répercutions sur le bail et surtout sur le loyer? Puisque les nouveaux arrivants ont un loyer supérieur au notre, et qu'un avenant pourrait nous faire "bénéficier" de ce statut de nouveau contrat (je suis pas super clair... lol). De même, il n'est pas exclu que mes parents déménage d'ici quelques années afin de profiter de leurs vieux jours. Bien entendu, s'il m'était possible de garder l'appartement, au moins le temps d'avoir une situation professionnelle stable... Outre le fait de demander à apparaitre sur le bail, n'y a-t-il pas un texte de loi qui me permette de quand même rester dans l'appartement? Je vous remercie par avance de m'avoir lu, de m'avoir déchiffré surtout... lol Et Je vous remercie pour vos futurs réponses.
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Bonsoir à vous. Je me pose une question, qui nécessite votre avis. Normalement, quand on déménage, on doit déclarer sur la déclaration de revenus de l'année suivante le nouveau domicile et la date d'entrée dans le logement... lorsque l'on remplit une déclaration de revenus ! Je suis encore rattaché au foyer fiscal de mes parents et je vis en colocation avec ma copine. Je précise que nos deux noms sont sur le bail. Mais si j'y habite depuis maintenant deux ans, je me rends compte que je n'ai jamais déclaré ce déménagement aux impôts (je m'étais jamais posé la question, vu que je n'ai jamais eu à déclarer mes revenus). Ce qui m'a mis la puce à l'oreille, c'est surtout que ma copine (qui elle déclare ses revenus) reçoit la taxe d'habitation à son nom, mais moi je n'ai jamais eu de papier avec mon nom dessus. Du coup je me suis dit que c'était peut-être pas très régulier. Avant d'appeler mon centre d'impôts et subir les arcanes de l'administration, je souhaite savoir si quelqu'un s'y connaît un peu en la matière. Est-ce que je dois déclarer un déménagement et payer une taxe d'habitation alors que je suis toujours rattaché au foyer fiscal de mes parents ? Merci d'avance pour votre aide.
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