Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'science'.
33 résultats trouvés
-
EST-CE QUE LE DIVIN EXISTE ? Ce texte présente ma pensée personnelle. Il est très important que vous sachiez que je ne veux absolument rien vous imposer. Je précise que je suis catholique de naissance, mais ma foi est tournée vers ce que j’appelle la divinité. Je m’adresse d’abord à celles et ceux qui disent ne pas vivre selon la religion. Je vais commencer par relever quelques caractéristiques de la vie humaine que j'ai constatées. Chaque humain a des connaissances historiques, qu’il s’agisse de sa vie ou de celle des autres. Chaque humain passe par des cérémonies au cours de sa vie. Chaque humain a des idées sur ce qui est bon et mauvais, ou sur ce qui est pur. De plus, chaque humain a un point de vue sur la mort. Remarquons aussi que chaque humain fait partie d’une communauté, à commencer par la communauté humaine. Bien entendu, ces caractéristiques sont acquise au cours de la vie. Or, il se trouve que toutes ces caractéristiques sont présentes chez la femme et chez l’homme de foi, et c’est justement par ces caractéristiques que l’on reconnaît des personnes croyantes. Donc, toute personne qui présente ces caractéristiques se rapproche d’un certain état de religiosité. Selon moi la différence entre une personne qui se dit athée et une personne croyante réside du fait que la personne croyante accepte le principe divin. Mais qu’est-ce que le divin ? D’après moi le divin est distinct de l’humain car il est au-delà. Cependant, chacun peut y avoir accès. Le divin influence la vie humaine, car il a des attributs particuliers : le pouvoir absolu, le pouvoir de création, l’éternité, la sagesse, justice, mais surtout l’amour. Maintenant, nous les scientifiques disons parfois que l’on ne croit pas en cela. Mais ne croyons nous pas à des lois physiques primordiales (le pouvoir absolu), à l’apparition de la vie sur terre (le pouvoir de création), à l’existence du temps (l’éternité), à l’harmonie de la vie (la sagesse), aux lois de la conséquence (la justice) et à la reproduction de la vie (l’amour) ? Peut-être n’appelez vous pas divin ce en quoi vous croyez, mais peut-être que vous reconnaissez qu’il y a une existence au-delà des hommes, et que l’on peut y avoir accès. Par exemple, après la mort les atomes qui nous constituent continuent d’exister... Donc, pour les raisons évoquées je pense que tout être humain vit d’après une religion divine, qu’elle soit appelée science, philosophie, etc. Je m’adresse ensuite à ceux qui disent vivre selon une religion monothéiste. Frères et sœurs, nous pouvons suivre l’exemple du bahaïsme, ce courant qui a compris que toutes les religions sont l’émanation de Dieu. En effet divers peuples l’appellent à leur manière, mais chacun d’entre eux sait qu’il n’y en a qu’un. Je vous propose de ne pas rejeter les messagers et les prophètes que Dieu a envoyé, mais n’en faisons pas des idoles non plus. Frères et sœurs, essayons, si vous le voulez bien, de voir plus loin et de reconnaître que tout comme les monothéistes, les païens croient au principe divin, supérieur, et en cela nous sommes semblables. Je pense aussi qu’il ne faut pas confondre l’éthique et la morale. Il y a des règles religieuses qui sont valables pour certaines époques donc ce n’est pas juste d’en faire des principes éternels. Je m’adresse pour finir à toutes les femmes et tous les hommes, quels qu’ils soient. Au delà de la magie, de tous les noms de Dieu et de la science, il y a l’existence divine, selon moi plus pure que tout ce que nous pouvons imaginer. Pour moi l’humanité toute entière est le peuple élu de la divinité. Vous voulez en savoir d’avantage sur le divin ? Vous pouvez imaginer toutes les règles édictées par les femmes et les hommes de foi depuis l’aube des temps et faites-en une synthèse harmonieuse. Vous pouvez aussi imaginer la puissance d’amour de toutes les déesses et tous les dieux réunis. Et puis il y a aussi l’idée de Dieu selon Spinoza, la religiosité cosmique d’Einstein, la théorie Gaïa. Et puis vous pouvez conceptualiser une raison au-delà de l’intelligence, une beauté plus puissante que l’art. Vous obtiendrez ainsi une ébauche des principes divins que je vous conseille d’ajuster à votre propre expérience. Je vous le dis, il n’y a pas un seul prophète qui soit plus élevé qu’un autre. Si vous affirmez que l’un est plus grand que l’autre vous entrerez en guerre contre votre frère et d’après moi cela est impur. Je pense que tous les prophètes sont une émanation de la divinité au même titre. Cependant, chacun en considère un en particulier comme étant plus agréable, et de là naissent les différences… « Nous devons apprendre à vivre tous ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. » (Martin Luther KING). « Nous n’avons pas besoin d’une fraternité communautaire mais d’une fraternité universelle. » (Albert CAMUS). Merci à tous ceux qui ont aidé à la rédaction de ce texte. Qu’en pensez-vous ?
-
Bonjour, La zoosémiotique vise à décrypter la langue et le langage des animaux pour mieux les comprendre, les protéger et peut-être un jour pouvoir dialoguer avec eux. Chercheurs en sciences du langage, historiens, éthologues, vétérinaires… De très nombreuses compétences se retrouvent dans la Société française de zoosémiotique (SFZ) fondée en 2017 à la Sorbonne. Un nom savant qui cache l’étude des signes appliquée aux animaux. Après la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles (qui ressentent la douleur, le chaud, le froid…) en 2015 en France, la SFZ s’attelle désormais à faire reconnaître certains animaux comme êtres qui ressentent des émotions (la peur, la joie, l’angoisse, la farce…). La SFZ a déjà acquis une première victoire avec l’entrée du mot « sentience » dans le Larousse en 2020 et travaille actuellement sur l’établissement d’une liste de ces animaux, parmi lesquels tous les vertébrés (poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères) mais aussi d’autres comme la pieuvre, et peut-être même certains insectes. Article entier : https://www.20minutes.fr/planete/animaux/4113400-20241004-journee-mondiale-animaux-quoi-science-permettra-jour-dialoguer À propos de la sentience, voici ce qu'en dit Wikipédia : La sentience (du latin sentiens, de sentire « percevoir par les sens ») désigne la capacité d'éprouver des choses subjectivement, d'avoir des expériences vécues. Les philosophes du XVIIIe siècle utilisaient ce concept pour distinguer la capacité de penser (la raison) de la capacité de ressentir (sentience). En philosophie occidentale contemporaine, la sentience désigne la conscience phénoménale : la capacité de vivre des expériences subjectives, des sensations, appelées aussi qualia en philosophie de l'esprit. Dans les philosophies orientales (comme la philosophie bouddhiste), la sentience est une qualité métaphysique qui implique respect et sollicitude. Le concept de sentience est central en éthique animale car un être sentient ressent la douleur, le plaisir, et diverses émotions ; ce qui lui arrive lui importe. Selon cette philosophie, ce fait lui confère une perspective de sa propre vie, des intérêts (à éviter la souffrance, à vivre une vie satisfaisante, par exemple), voire des droits (à la vie, au respect). Ces intérêts et ces droits impliquent l'existence de devoirs moraux de la part des humains envers les autres êtres sentients.
-
Pour celles et ceux qui veulent vivre une religion humaniste.
Emilio65 a posté un sujet dans Religion et Culte
Je m’adresse d’abord à celles et ceux qui disent ne pas vivre selon la religion. Pour présenter ma pensée je vais commencer par relever des caractéristiques de la vie humaine. Chaque humain a des connaissances historiques, qu’il s’agisse de sa vie ou de celle des autres. Chaque humain passe par des cérémonies au cours de sa vie. Chaque humain a des idées sur ce qui est bon et mauvais, ou sur ce qui est pur. De plus, chaque humain a un point de vue sur la mort. Remarquons aussi que chaque humain fait partie d’une communauté, à commencer par la communauté humaine. Bien entendu, ces caractéristiques sont acquise au cours de la vie. Or, toutes ces caractéristiques sont présentes chez la femme et chez l’homme de foi, et c’est justement par ces caractéristiques que l’on reconnaît des personnes croyantes. Donc, toute personne qui présente ces caractéristiques se rapproche d’un certain état de religiosité. La différence entre une personne qui se dit athée et une personne croyante réside du fait que la personne croyante accepte le principe divin. Qu’est-ce que le divin ? Le divin est distinct de l’humain car il est au-delà. Cependant, chacun peut y avoir accès. Le divin influence la vie humaine, car il a des attributs particuliers : le pouvoir absolu, le pouvoir de création, l’éternité, la sagesse, l’amour et la justice. Maintenant, nous les scientifiques disons parfois que l’on ne croit pas en cela. Mais ne croyons nous pas à des lois physiques primordiales (le pouvoir absolu), à l’apparition de la vie sur terre (le pouvoir de création), à l’existence du temps (l’éternité), à l’harmonie de la vie (la sagesse), à la reproduction de la vie (l’amour) et aux lois de la conséquence (la justice) ? Peut-être n’appelez vous pas divin ce en quoi vous croyez, mais je sais que vous reconnaissez qu’il y a une existence au-delà des hommes, et que l’on peut y avoir accès. Pour toutes ces raisons je pense que tout être humain vit d’après une religion divine, qu’elle soit appelée science, philosophie, etc. Je m’adresse ensuite à ceux qui disent vivre selon une religion monothéiste. Frères et sœurs, commençons par suivre l’exemple du bahaïsme, ce courant qui a compris que toutes les religions sont l’émanation de Dieu. En effet divers peuples l’appellent à leur manière, mais chacun d’entre eux sait qu’il n’y en a qu’un. Ne rejetons pas les messagers et les prophètes que Dieu a envoyé, mais n’en faisons pas des idoles non plus. Frères, nous devons voir plus loin et reconnaître que tout comme les monothéistes, les païens croient au principe divin, unique et indivisible, et en cela nous sommes semblables. Ne confondons pas l’éthique et la morale. Il y a des règles religieuses qui sont valables pour certaines époques, n’en faisons pas des principes éternels. Je m’adresse pour finir à toutes les femmes et tous les hommes. Au delà de la magie, de tous les noms de Dieu et même de la science, il y a l’existence divine, plus pure que tout ce que nous pouvons imaginer. L’humanité tout entière est le peuple élu de la divinité. Vous voulez en savoir d’avantage sur le divin ? Imaginez toutes les règles édictées par les femmes et les hommes de foi depuis l’aube des temps et faites en une synthèse harmonieuse, vous obtiendrez ainsi une ébauche des principes divins. Je vous le déclare, il n’y a pas un seul prophète qui soit plus élevé qu’un autre. Si vous affirmez que l’un est plus grand que l’autre vous entrerez en guerre contre votre frère, et cela est impur. Tous les prophètes sont une émanation de la divinité au même titre. Cependant, chacun en considère un en particulier comme étant plus agréable, et de là naissent les différences. Qu'en pensez-vous ? -
L'univers est-il stupide ou intelligent ?
- 5 967 réponses
-
- univers
- intelligence
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bonjour, Les États membres de l’Union européenne devaient se prononcer le 13 octobre à Bruxelles sur la prolongation du glyphostage – ce produit chimique que l'on retrouve dans des herbicides – pour 10 ans, mais n’ont pas réussi à s’accorder : la décision est repoussée à mi-novembre. Un épisode qui vient rappeler la prévalence du lobbyisme au sein des institutions européennes, sur fond de controverse scientifique quant aux effets sanitaires de la molécule prisée des industriels de l’agrochimie. Entretien avec Sylvain Laurens, directeur d’études à l’EHESS et chercheur au Centre Maurice Halbwachs (ENS/CNRS/EHESS). Fin connaisseur des logiques d’influence à Bruxelles et des mécaniques de désinformation scientifique, le sociologue a notamment écrit Les courtiers du capitalisme. Lobbyists and Bureaucrats in Brussels, et a récemment cosigné Les gardiens de la raison aux côtés des journalistes Stéphane Foucart et Stéphane Horel. (...) Passage important de cet entretien : Quels parallèles peut-on tracer avec les autres controverses scientifiques où la science va à rebours des intérêts industriels, comme l’emblématique « fabrique du doute » des industries du tabac ? Si je devais faire un parallèle, ce serait plutôt avec l’amiante qu’avec le tabac. Entre le moment de l’établissement d’un consensus scientifique, la prise de conscience par les pouvoirs publics et l’abandon de ce matériau dans la construction et le lancement des plans de désamiantage, il s’est passé plusieurs années. L’abandon suppose une bifurcation économique que l’État peut accompagner en investissant mais il y a un temps de latence entre la prise de conscience des gouvernements et la limitation des usages de la substance. Mais le point commun de ces controverses, que ce soit sur le tabac, l’amiante ou le glyphosate, réside généralement dans la prétention des industriels ou groupes d’intérêt à parler au nom de la science. Cet enjeu est évidemment très présent pour le glyphosate : une seule institution internationale, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l’ONU, a émis une prise de position en défaveur de la molécule, le classant dans la catégorie des « cancérogènes probables ». Mais c’est une agence qui prend en compte une littérature scientifique qui n’est pas financée par les industriels, là où d’autres agences, comme celles de l’UE, prennent en compte également les publications produites par les industriels ou leurs alliés, avec des papiers parfois signés par des scientifiques, mais rédigés par des experts des firmes : les Monsanto Papers regorgent ainsi de « shadow writing ». Pour ces industriels, il en va de la pérennité de la commercialisation de leurs produits. Il faut donc à la fois instiller du doute, mais aussi éviter toute remise en cause de l’organisation de la filière économique qui permet l’écoulement de leur produit. Et pour tout lire aller sur : https://theconversation.com/le-glyphosate-revelateur-de-linfluence-des-lobbys-industriels-sur-la-science-reglementaire-215604
- 28 réponses
-
- 4
-
- glyphosate
- lobbys
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
La question est sérieuse. D’abord je me présente pour ceux qui ne savent pas qui je suis j’aime la science, je sais que la terre est ronde, je crois qu’il y a eu un big bang, etc. Ensuite j’ai vu récemment un reportage scientifique sérieux où non seulement il parlait du big bang et parlait aussi de la matière noire et de l’energie noire. Les mecs qui en parlaient ressemblaient à des fanatiques religieux. Ils parlaient de matière noire, d’énergies noires nécessaires pour expliquer la forme des galaxies et du fait que les soleils n’en soient pas expulsées. Des objets stellaires dont on n’a aucune preuve, qu’on ne comprends pas, on ne sait même pas si c’est vraiment ça. Dans une moindre mesure, le big bang reste une théorie à laquelle on n’a encore aucune preuve. Et là je me suis dit qu’au final, ils étaient comme des religieux à la différence qu’ils cherchent à prouver leurs théories. Ils croient en la matière noire er encore plus extrême l’énergie noire, comme d’autres croient en un Dieu créateur. La science est pour eux comme une religion. C’est en tout cas l’image que j’en ai eu. Qu’en pensez-vous ?
- 101 réponses
-
Voir ce quiz matériaux ! Des questions pas si simples sur les caractéristiques des matériaux ! Créateur Spontzy Type Mode classement Temps 10 minutes Nombre total de questions 10 Catégorie Divers Envoyé 22/02/2019
-
Freud et le trauma du Nobel Sigmund Freud (1856-1939) a été proposé 12 fois pour le Prix Nobel soit de médecine soit de littérature par des personnalités différentes Freud, homme de l'être ou de lettres ? Ni l'un ni l'autre si l'on en croit les comités Nobel qui, non contents de snober l'inventeur de la psychanalyse, ont laissé à la postérité des commentaires vipérins à son endroit. Proposé pour le prix de médecine ou physiologie en 1915 par le neurologue américain William Alanson White, Freud le sera au total 12 fois par des personnalités différentes jusqu'en 1938, un an avant sa mort dans son exil londonien. Freud sera également proposé une fois pour le prix de littérature. En 1937, pas moins de 14 scientifiques, dont plusieurs lauréats Nobel, offrent leur haut parrainage au médecin viennois qui se comparait volontiers à Copernic et Darwin. En vain. Très vite "il a compris qu'il ne pouvait avoir de Nobel scientifique. La psychanalyse était déjà attaquée comme n'étant pas une science. Il en a été blessé", explique Elisabeth Roudinesco, auteure de "Sigmund Freud en son temps et dans le nôtre". En 1929, le professeur Henry Marcus de l'Institut Karolinska – qui décerne le Nobel de médecine – résume cruellement la défiance d'une partie de la communauté scientifique envers les prescriptions freudiennes. "Toute la théorie psychanalytique de Freud, telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui, tient largement de l'hypothèse", la prééminence d'un traumatisme sexuel infantile - si même le traumatisme existe - dans la névrose n'étant pas prouvée, écrit-il dans un document exhumé par l'universitaire suédois Nils Wiklund en 2006. Les délibérations des comités Nobel demeurent secrètes pendant un demi-siècle. Elisabeth Roudinesco en convient: "Ses critiques ont raison sur le complexe d’œdipe, parce qu'il était devenu dogmatique avec ça", mais rayer d'un trait de plume l'ensemble du corpus freudien est une erreur. Avant lui, "tous les psychiatres considéraient la femme hystérique comme une folle, l'enfant masturbateur comme un pervers et l'homosexuel comme un dégénéré", rappelle l'historienne. Devant l'indifférence des comités Nobel scientifiques, la princesse Marie Bonaparte, son amie et traductrice, mobilise ses soutiens dans les années 1930 pour faire obtenir le Nobel de littérature au septuagénaire déclinant qui souffre d'un cancer de la mâchoire depuis 1919. Prix Nobel de littérature 1916 (pour l'année 1915 non décernée), il revient à Romain Rolland de demander le Graal des poètes et romanciers à celui qui n'a pas publié une ligne de fiction de son existence. Le 20 janvier 1936, l'auteur des "Jean-Christophe" écrit à l'Académie suédoise pour proposer Sigmund Freud, avec qui il entretient une correspondance. D'emblée, ce courrier dont l'AFP a pu consulter l'original ambitionne de lever les préventions que l'écrivain français devine chez les académiciens suédois: "Je sais qu'à première vue, l'illustre savant semblerait désigné plus spécialement pour un prix de médecine". Puis il s'enhardit : "Mais ses grands travaux (...) ont ouvert une voie nouvelle à l'analyse de la vie émotive et intellectuelle; et, depuis trente ans, la littérature en a subi l'influence profonde". Rolland omettra de signaler que son ami a reçu en 1930 le prestigieux prix Goethe. Per Hallström, secrétaire perpétuel de l'Académie suédoise à l'époque, reconnaît "l'acuité, la fluidité et la clarté de sa dialectique". "Son style littéraire est aussi incontestablement très bon", poursuit-il, mais il ajoute une nuance assassine: "A l'exception peut-être de l'interprétation du rêve, sur quoi repose toute sa doctrine". Freud, conclut-il, "ne mérite guère les lauriers du poète, quoi qu'il ait poétisé en qualité de scientifique". Contrairement à Freud, avec qui il publia "Pourquoi la guerre?" en 1933, Albert Einstein (1879-1955) a inscrit son nom au tableau d'honneur des Nobel décernés pour la première fois en 1901. Proposé à 11 reprises, il a été récompensé par le prix de physique en 1921. Freud le sut-il un jour? En 1928, Einstein refusa d'appuyer sa candidature au prix de médecine. "Je suis incapable de former un jugement sur le fond des théories freudiennes, encore moins un jugement qui fasse autorité", se justifie-t-il à l'époque, cité par l'historien John Forrester. En 1939, après la lecture de "Moïse et le monothéisme", ultime publication de Freud, le théoricien de la relativité générale lui fera un compliment des plus ambigus: "J'admire tout spécialement cette œuvre, comme d'ailleurs tous vos écrits". Et de préciser, terriblement malicieux : "d'un point de vue littéraire". Source : http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/freud-et-le-trauma-du-nobel_1948225.html
- 112 réponses
-
- 2
-
- science
- psychologie
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Intelligence dépendante des connaissances ? A la base de la base, à la genèse de l'existence dit-on, l'intelligence est-elle parvenue en première ou bien elle s'est perpétuée une fois des connaissances acquises. Peut-on être intelligent sans rien savoir ?
-
Bonjour à tous, J'ai pu lire sur ce forum divers échanges, parfois constructifs, parfois stériles, en rapport avec la biologie de l'évolution mais déviant souvent vers d'autres sujets souvent non-scientifiques. Aussi je pense que cela pourrait être intéressant d'ouvrir un sujet davantage centrer sur la biologie de l'évolution afin que ceux qui y seraient éventuellement intéressés puissent en discuter sans que cela dévie vers un autre sujet. Aussi dans le présent topic il ne sera question que de biologie de l'évolution, donc de génétique des populations, des enseignements du registre fossile, de biologie des organismes, d'anatomie comparées, de phylogénie, etc, etc... Important ce topic n'est donc pas consacré: À l'origine de la vie c'est-à-dire à l'abiogenèse À l'origine de l'univers Aux croyances religieuses Cependant si vous êtes un anti-évolutionniste acharné vous pouvez argumenter scientifiquement, via des éléments tirés de la biologie, génétique, paléontologie où autre pour contester l'évolution, mais je vous conseille de bien vous renseigner sur cette discipline scientifique avant dans vous lancer dans une critique de celle-ci et d'éviter des sources vaseuses contenant des assertions périmés et déjà réfuté à maintes reprises qui ne tiennent généralement même pas compte des connaissances réelles en biologie de l'évolution. Pour le reste l'évolution peut donc être discuter aussi bien dans ces mécanismes notamment génétiques que dans ses conséquences à savoir la biodiversité. Il y a énormément de connaissances accumulé à ce sujet, chacun est donc encourager à partager ces connaissances éventuelles mais aussi à poser des questions.
- 158 réponses
-
- 4
-
Auguste Comte vers 1850 nous dit que « La seule vérité, la seule voie pour l’humanité est la science, ce qui exclut le religieux et la métaphysique » Vaste débat. Depuis longtemps je me suis fait ma propre opinion. Et la vôtre ?
-
Qui a inventé l'oxygène ?
-
La religion, source de tout ? Bonjour ,bonsoir à tous, Alors aujourd'hui j'aimerai lancer un débat et avoir votre opinion sur une constatation que je fais de plus en plus souvent.Alors quelle est ma constatation me diriez-vous ? Eh bien cela concerne les choses quotidiennes que les gens font/demandent/normalise vient de versets religieux.Je vous présente un exemple : L'avortement dans la religion est interdit sauf exception (Viol,mal formation très grave,etc...) et dans des versets , il est précisé que l’âme de l'enfant est insufflé dans le corps du bébé à 4 mois. Bébé ? 4 Mois ? Avortement ? Cela ne vous rappelle rien ? Eh bien si la législation interdit un avortement après 4 mois de grossesse ... Tiens donc, coïncidence ? Pour moi, la religion devance tout malgré le refus de celle ci de la plupart des gens.Voici pourquoi : Premièrement,je vous redonne une autre exemple : L'Islam dit : Le fer ne vient pas de la Terre mais a été envoyé sur Terre.Aussi étrange que cela puisse paraître,ce n'est que la pure vérité ? Qu'est-ce qui prouve cela ? Et bien les Scientific ont découvert qu'il y'a des milliards d'années la terre fut heurtée par des astéroïdes transportant du fer venant d'étoiles ayant explosées. Ensuite, le peuple (du moins ayant aucune croyance religieuse) demandent des législation sans savoir que cette législation est de base religieuse.Certaines personnes n'étaient t-ils pas contre le mariage pour tous ? Ces personnes n'adhère nullement à la religion et pourtant celle-ci reflète un écrit religieux que voici : « Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination » Lévitique, chapitre 18, verset 22 Pour finir, même de grandes têtes de la science qui se sont battu de toute leur forces pour essayer de détruire des écrits religieux présentant des faits avant leur découverte se sont inclinés devant le divin. Je vous rappelle que Albert Einstein lui même s'est converti à la religion car il était, certes, l'un des plus grands scientifique mais s'est rendu compte qu'il n’était rien face au savoir et à la création divine. Au final, nous avons beau être le maître de la défense de la laïcité,la religion nous influencera toujours !
-
L’école à l’épreuve du créationnisme Stimuler l’esprit critique des élèves et renforcer leurs connaissances scientifiques : deux armes capitales pour lutter, en classe, contre la pénétration du discours religieux. Cet article est un extrait du hors-série 184 de Sciences et Avenir "Dieu et la science", daté janvier/février 2016. "L’évolution du vivant est-il un enseignement à risque" dans les écoles de la République française ? La question qui mobilisait les pédagogues comme Maryline Coquidé et les chercheurs comme Guillaume Lecointre ou Pascal Picq dès 2008, notamment après l’envoi de luxueux manuels créationnistes dans nos établissements scolaires par le gourou turc Harun Yahya, reste d’une brûlante actualité. Certes, la communauté intellectuelle et éducative a, depuis, fourni des outils pédagogiques et des manuels remarquables aux professeurs confrontés à une résistance politico-religieuse de la part de certains de leurs élèves musulmans, chrétiens ou juifs. Mais cette dernière persiste… tout comme le désarroi, l’indifférence ou la complaisance de certains enseignants. "Hasard du calendrier, au lendemain des attentats du 7 janvier 2015, j’ai animé une conférence pour l’académie de Créteil, témoigne le biologiste Olivier Brosseau, auteur d’enquêtes fouillées sur les créationnismes en Europe. Certains des tout jeunes enseignants n’avaient jamais entendu parler du problème et deux autres m’ont interpellé, trouvant mon approche "agressive" – une première ! Ils ont défendu le "soft overlap", une doctrine qui plaide pour un recouvrement, un concordisme entre sciences et religion." Lire la suite : http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/evolution/20160226.OBS5362/l-ecole-a-l-epreuve-du-creationnisme.html
-
Bonjour, Que pensez vous de la physique quantique, impossible, ou futur technique qui révolutionnera notre monde et l’être humain en remplaçant la physique générale (actuellement utilisé dans chaqu’une de nos créations). La physique quantique est l’étude de l’infiniment petit, au niveau atomique et moléculaire. En particulier l’étude des Photon (molécule de la lumière). Et la mise en pratique de celle-ci permet de comprendre les phénomènes qui composent et régissent notre univers. Comme la possibilité que matière et onde sont liés et que chaque atome peut être l’une ou l’autre. Car le degrés 0 n’existe pas et que notre univers n’est composé que de matière et d’antimatière. En outre une fois la physique quantique complètement maîtrisé, l’homme pourra façonner et contrôler chaque molécule sans avoir à requérir à une transformation de celle-ci (la physique classique n’est toujours que transformation, n’est jamais de la création). Pour certains la physique quantique est qualifié de magie ou de fiction et n’amène à aucune avancé majeure. Pourtant récemment les scientifiques ont mis au points des procédés ainsi que de nouvelles techniques permettant de nous servir de cette découverte, comme par exemple l’ordinateur quantique qui permettrai de calculer selon les lois quantique, on ne peut alors qu’imaginer les découvertes dans 10/20 ans, ce même ordinateur à calculer et prédis l’effondrement de notre système dans 10 ans (lobbys industriel). Pour moi l’homme aura bientôt dans ses main la possibilité de façonner et d’influencer tout ce qui nous entoure. La physique quantique permettra ce grand pas technologique.
-
Parmi eux, la libraire avait vaguement entendu parler du Mahabharata. Pourtant la causerie portait sur la guerre. "La tâche de la conscience est de comprendre ce qui s'est passé, et cette compréhension, selon Hegel, est la manière pour l'homme de se réconcilier avec la réalité; sa fin réelle est d'être en paix avec le monde. L'ennui est que si la conscience est incapable d'apporter la paix et de produire la réconciliation, elle se trouve immédiatement engagée dans son genre propre de guerre." Hannah Arendt
-
- 8 commentaires
-
Comme je viens de découvrir cette chaîne qui me semble pas mal du tout, je me permets de la partager par ici, si jamais ça venait à intéresser quelqu'un. Mais je ne doute pas que plusieurs la connaissent déjà !
-
- science
- theoreme incompletude
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
La définition de la mort évolue constamment. Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparu le critère de mort cérébrale. De sorte que l’on distingue aujourd’hui plusieurs types de mort : clinique, cérébrale, biologique... Dans le cas de la mort cérébrale, il y a arrêt des activités électriques du cerveau (mesuré par éléctroencéphalogramme), mais le corps peut continuer à vivre (par maintient artificiel des battements du cœur). Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique. Quand un être meurt, "quelque chose" disparaît : il "n’est plus là". Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre "présence", qui disparaît. Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle est la nature du souffle qui nous anime, d'où il vient et où il part lors de notre mort. On est conduit à se poser la question : la mort est-elle un terme ultime à notre vie sur terre ou n’est-elle qu’une étape dans une histoire de vie qui continue http://www.dailymotion.com/video/xcjshu_preuves-scientifiques-dune-vie-apre_news
- 252 réponses
-
Pour être heureux, il est essentiel de donner un sens à sa vie. C'est ce que recherchent certaines personnes en tournant vers des religions, comme le Bouddhisme, l'Islam, le Judaïsme ou le Christianisme. D'autres érigent la Science ou la Politique comme guide leur permettant d'atteindre le bonheur véritable. Et d'autres encore se tournent vers leur famille, qu'ils essaient de rendre heureuse.Et vous, quelle définition donnez vous aux bonheur?Qu'est ce que vous permet d'atteindre le bonheur?
-
On pense que l'Univers est fait de 4.9% de matière "normale", 26.8% de matière noire et 68.3% d'énergie sombre. Il est plus âgé qu'on ne pensait : 13,82 milliards d'années. Son expansion est aussi plus lente qu'on ne pensait. Enfin, il est courbé. Un poil hein, mais ça a de grosses implications, paraît-il. Plus ici (en anglais) : http://www.slate.com/blogs/bad_astronomy/2013/03/21/age_of_the_universe_planck_results_show_universe_is_13_82_billion_years.html
-
Les récits religieux, relatent ils des faits réelles passées ou avenir ou ne sont 'ils qu'inventions et mythes ? Parcourant divers sujets dans la rubrique religion et cultes, j'ai eu a plusieurs reprises des débats sur l’authenticité des faits relayés par les récits religieux, j'ai donc décider d'ouvrir un sujet dédier a cela pour éviter de faire du HS Pour ma part, j'estime que les récits religieux dans leurs divers explication que ce soit de l'univers,terre, homme et des animaux, ne reflètent pas la réalités mais bien une invention. La science a prouvé que ces récits étaient en contradiction avec les faits et les lois physiques
-
La science est-elle une religion? Aujourd'hui, la science domine la plupart de notre vie. On n'est pas scientifique, mais on a une inclination de croire presque tout ce que les scientifiques disent. Mais y a-t-il une superstition pour la science? Est-ce que l'on lui prête trop d'importance?
- 420 réponses
-
- science
- scientifiques
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bonjour à tous. J'ouvre ce topic consacré aux questions diverses et variées concernant l'évolution. Le présent topic étant dans la rubrique «Science» merci d'éviter de faire partir la discussion sur des considérations religieuses, il existe déjà une autre rubrique prévue à cet effet. Les questions sur l'évolution peut aussi bien concerné, la phylogénie, les processus génétiques entrant en jeu dans l'évolution que les enseignements tirés du registre fossile et j'en passe.