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Bonsoir, Je pense savoir des affaires en science. Mais je pense pas avoir eu le cours officiel. Qu'est-ce que la science. Ma définition: les éléments forment le monde; et le vent, l'air et les autres affaires interagis avec ces éléments. Ce qui fait la science. Ensuite, je pense qui a la science de religion. La science de l'univers. Et toutes les autres sciences.
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... ou comment continuer à défendre la rigueur et l’intégrité lorsque l’intégrité même de notre savoir scientifique est menacée par des pratiques de plus en plus répandues et insidieuses ? L'article ci-dessous montre à quel point la qualité de la publication scientifique en général s'est détériorée ces dernières décennies du fait d'une fraude systémique en croissance exponentielle. L'article le formule en ces termes (traduction automatique) : La fraude scientifique se développe beaucoup plus rapidement que l'entreprise scientifique dans son ensemble. https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2420092122 (en anglais uniquement) Résumé (traduction automatique) La science se caractérise par la collaboration et la coopération, mais aussi par l'incertitude, la compétition et les inégalités. S'il y a toujours eu une certaine inquiétude quant au fait que ces pressions pourraient pousser certains à dévier de l'éthique de la recherche scientifique – c'est-à-dire à ne pas contribuer véritablement à la production de connaissances ou à la formation d'une main-d'œuvre experte – l'attention s'est principalement portée sur les actions d'individus isolés. Récemment, cependant, les signalements d'activités frauduleuses scientifiques coordonnées ont augmenté. Certains suggèrent que la facilité de communication offerte par internet et la publication en accès ouvert ont créé les conditions propices à l'émergence d'entités – les "paper mills" (c'est-à-dire les vendeurs de recherches fabriquées en masse, de faible qualité et falsifiées), les intermédiaires (c'est-à-dire les intermédiaires entre les producteurs et les éditeurs de recherches frauduleuses), les revues prédatrices, qui ne procèdent à aucun contrôle de qualité des soumissions – qui facilitent la fraude scientifique systématique. Ici, nous démontrons par des études de cas que 1) des individus ont coopéré pour publier des articles qui ont finalement été retirés de plusieurs revues, 2) des intermédiaires ont permis la publication à grande échelle dans des revues ciblées, et 3) au sein d'un domaine scientifique, toutes les sous-disciplines ne sont pas également ciblées par la fraude scientifique. Nos résultats révèlent certaines des stratégies qui permettent aux entités promouvant la fraude scientifique d'échapper aux interventions. Notre analyse finale suggère que cette capacité à échapper aux interventions permet au nombre de publications frauduleuses de croître à un rythme bien supérieur à celui de la science légitime. Quelques mots sur la méthode d'étude L'étude se base sur des données statistiques, sur des dizaines de milliers de publications entre ~2000 et 2022, impliquant des centaines d'éditeurs et de journaux. L'article s'intéresse également aux auteurs et à leurs affiliations, et pays d'origine. Plusieurs aspects sont étudiés pour qualifier une publication de "suspecte" : La publication a été rétractée - généralement : fraude, fausses données, plagiat avéré ... La publication a reçu des commentaires négatifs, conduisant souvent (mais pas toujours) à la rétractation (voir ci-dessus) La publication contient une ou plusieurs image dupliquée, provenant d'articles déjà publiés, permettant d'émettre un doute quant à l'originalité voire à l'honnêteté de l'étude La publication contient un taux anormalement élevé de phrases "alambiquées" (souvent le signe de mauvaise qualité - remplir les pages par du contenu sans intérêt) Dans les très grandes lignes, la méthode consiste à établir le ratio entre le nombre de publications "suspectes" (vérifiant l'un des critères énumérés ci-dessus) et de relever, selon l'éditeur, les affiliations, lesquels ont un taux de publication d'articles rétractés "trop supérieur" à ce que le pur hasard devrait donner. Résultats (en très bref) L'article identifie ensuite ce qu'il appelle les "paper mills" - ceux qui fabriquent massivement de la fausse information voire corrompent des éditeurs en influençant leur processus éditorial. Il démontre la collusion entre des revues, des éditeurs et auteurs et l'aspect systémique du phénomène. L'existence de réseaux frauduleux est démontrée par le fait que : De plus en plus de journaux / éditeurs ont un taux anormalement élevé de publications "suspectes" (au sens évoqué plus haut) mais publiées Réciproquement, de plus en plus d'entités / auteurs ont une tendance forte à cibler des journaux jugées "suspects" - la majorité de leurs publications étant adressées à ceux-ci pour maximiser leurs chances d'être publiés. Puis il identifie le procédé de "journal hopping". Un journal ayant tendance à publier de la fraude finit par se faire pincer et disparaît (deindexing). Cependant, un autre apparaît subitement, puis son nombre de publications augmente tout aussi subitement, laissant entendre l'existence préalable d'une entente entre organisations / auteurs et journaux. L'article montre que cette tendance est en augmentation, et évoque l'exemple de l'ARDA dont le taux de journal désindexé est de 33% (très anormalement haut) et qui contient beaucoup trop de journaux dont le thème des publications n'a rien à voir avec la thématique du journal lui-même. Discussion Cette tendance à la fraude serait due à : Compétition féroce, et fonds limités. Inégalités et perception d'injustice - certains laboratoires, voire pays sont bien mieux pourvus que d'autres. Des mesures punitives insuffisantes. Dans les faits, peu d'articles suspects sont effectivement rétractés, et les articles reconnus comme frauduleux a posteriori sont rarement retirés du circuit. Cependant, cette fraude n'est pas limitée aux pays émergents. C'est mondial et très présent en UE et aux USA. Solutions potentielles Séparer les tâches : détection, l'investigation et sanction Éviter les conflits d'intérêt des institution de recherches et des rédacteurs de revue Augmenter les ressources (humaines et matérielles) Développer un vocabulaire unifié pour mieux caractériser la fraude
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Le Palais de la découverte à Paris est menacé de fermeture sans qu’une raison valable ne soit donnée. Le vulgarisateur scientifique Micmaths en parle dans un short. L’émission La science CQFD a consacré une heure à ce sujet. Podcast => Palais de la Découverte : un musée en danger Une pétition a été lancée sur le site change.org. > PETITION < Le doute paraissait inimaginable il y a encore un an. Les équipes d’Universcience, mais aussi les commissaires scientifiques du futur Palais, les dizaines d’experts qui nous accompagnent, de nombreux prestataires externes, œuvrent depuis cinq ans à la réouverture du Palais de la découverte, et d’importants budgets ont déjà été dépensés. Mais la question de son avenir est désormais posée, notamment depuis qu’en conseil des ministres du 12 juin, il a été « mis fin aux fonctions » du président d’Universcience, Bruno Maquart, sans motif annoncé. Le même jour, la ministre de la Culture, Rachida Dati, tenait dans Le Figaro des propos inquiétants quant à l’avenir du Palais de la découverte. Exposé d’électrostatique Universcience Cela fait suite à une série d’annonces alarmantes depuis plusieurs mois : réduction de la surface attribuée au Palais de la découverte au sein du Grand Palais (octobre 2024) ; démenti brutal du ministère de la Culture concernant la préouverture (mars 2025) ; déclarations du président du Grand Palais, Didier Fusillier, suggérant de déplacer le Palais de la découverte à la Cité des sciences et de l’industrie ; annonce dans Le Parisien, par le ministère de la Culture, du lancement d’une mission interrogeant « le modèle économique et l’emprise bâtimentaire d’Universcience » (juin 2025). Pourquoi s’en émouvoir ? Le Palais, c’est tout bonnement un lieu privilégié de transmission du savoir auprès d’un large public (avec en moyenne 80 % de visiteurs non parisiens). C’est un savoir-faire unique de vulgarisation scientifique portée par les médiatrices et médiateurs, ceux que le prix Nobel de physique, Pierre-Gilles de Gennes, nommait en 1982 « les chargés d’expérience » : l’incarnation vivante de la science face au public. Vue prospective d’une galerie du futur Palais de la découverte Philéas/Casson Mann/Cros&Patras/Loma Le Palais de la découverte et la Cité des sciences et de l’industrie ont deux vocations différentes : au Palais, les fondamentaux scientifiques et la recherche en train de se faire ; à la Cité, l’approche science et société, et les applications techniques et industrielles. Soit deux piliers essentiels et complémentaires de la culture scientifique ! Bref : ces deux musées ont des identités propres ; et les réunir sous prétexte qu’ils présentent tous les deux « de la science » serait aussi absurde que de confondre le Louvre et le centre Pompidou. Expulser le Palais de la découverte du Grand Palais, ce serait le condamner à disparaître. C’est pourquoi nous, personnels d’Universcience, appelons les chercheurs(ses), ami(e)s et professionnel(le)s de la culture (scientifique ou non), enseignant(e)s, partenaires, mécènes, prestataires artistiques et techniques, visiteurs(ses), citoyens(nes) à signer cette pétition. Nous demandons aux tutelles de l’établissement - ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et ministère de la Culture - de confirmer au plus vite leur engagement en faveur de la réouverture du Palais de la découverte au Palais d’Antin, dans le Grand Palais. Source : change.org > PETITION <
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On me dit que je suis fait d'hydrogène. Je commence à croire que c'est vraie. Je pense que les femmes sont plutôt dans l'air et l'oxygène. Vous?
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Ma théorie est que nous avons été créé pour le plaisir et d'autres affaires compliquées. Et que le créateur à été engendré par des trains paradisiaques. C'est à dire que genre de super machines qui veulent leur air et leur eau et d'autres affaires bonnes. C'est nouveau en ville cette théorie!
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EST-CE QUE LE DIVIN EXISTE ? Ce texte présente ma pensée personnelle. Il est très important que vous sachiez que je ne veux absolument rien vous imposer. Je précise que je suis catholique de naissance, mais ma foi est tournée vers ce que j’appelle la divinité. Je m’adresse d’abord à celles et ceux qui disent ne pas vivre selon la religion. Je vais commencer par relever quelques caractéristiques de la vie humaine que j'ai constatées. Chaque humain a des connaissances historiques, qu’il s’agisse de sa vie ou de celle des autres. Chaque humain passe par des cérémonies au cours de sa vie. Chaque humain a des idées sur ce qui est bon et mauvais, ou sur ce qui est pur. De plus, chaque humain a un point de vue sur la mort. Remarquons aussi que chaque humain fait partie d’une communauté, à commencer par la communauté humaine. Bien entendu, ces caractéristiques sont acquise au cours de la vie. Or, il se trouve que toutes ces caractéristiques sont présentes chez la femme et chez l’homme de foi, et c’est justement par ces caractéristiques que l’on reconnaît des personnes croyantes. Donc, toute personne qui présente ces caractéristiques se rapproche d’un certain état de religiosité. Selon moi la différence entre une personne qui se dit athée et une personne croyante réside du fait que la personne croyante accepte le principe divin. Mais qu’est-ce que le divin ? D’après moi le divin est distinct de l’humain car il est au-delà. Cependant, chacun peut y avoir accès. Le divin influence la vie humaine, car il a des attributs particuliers : le pouvoir absolu, le pouvoir de création, l’éternité, la sagesse, justice, mais surtout l’amour. Maintenant, nous les scientifiques disons parfois que l’on ne croit pas en cela. Mais ne croyons nous pas à des lois physiques primordiales (le pouvoir absolu), à l’apparition de la vie sur terre (le pouvoir de création), à l’existence du temps (l’éternité), à l’harmonie de la vie (la sagesse), aux lois de la conséquence (la justice) et à la reproduction de la vie (l’amour) ? Peut-être n’appelez vous pas divin ce en quoi vous croyez, mais peut-être que vous reconnaissez qu’il y a une existence au-delà des hommes, et que l’on peut y avoir accès. Par exemple, après la mort les atomes qui nous constituent continuent d’exister... Donc, pour les raisons évoquées je pense que tout être humain vit d’après une religion divine, qu’elle soit appelée science, philosophie, etc. Je m’adresse ensuite à ceux qui disent vivre selon une religion monothéiste. Frères et sœurs, nous pouvons suivre l’exemple du bahaïsme, ce courant qui a compris que toutes les religions sont l’émanation de Dieu. En effet divers peuples l’appellent à leur manière, mais chacun d’entre eux sait qu’il n’y en a qu’un. Je vous propose de ne pas rejeter les messagers et les prophètes que Dieu a envoyé, mais n’en faisons pas des idoles non plus. Frères et sœurs, essayons, si vous le voulez bien, de voir plus loin et de reconnaître que tout comme les monothéistes, les païens croient au principe divin, supérieur, et en cela nous sommes semblables. Je pense aussi qu’il ne faut pas confondre l’éthique et la morale. Il y a des règles religieuses qui sont valables pour certaines époques donc ce n’est pas juste d’en faire des principes éternels. Je m’adresse pour finir à toutes les femmes et tous les hommes, quels qu’ils soient. Au delà de la magie, de tous les noms de Dieu et de la science, il y a l’existence divine, selon moi plus pure que tout ce que nous pouvons imaginer. Pour moi l’humanité toute entière est le peuple élu de la divinité. Vous voulez en savoir d’avantage sur le divin ? Vous pouvez imaginer toutes les règles édictées par les femmes et les hommes de foi depuis l’aube des temps et faites-en une synthèse harmonieuse. Vous pouvez aussi imaginer la puissance d’amour de toutes les déesses et tous les dieux réunis. Et puis il y a aussi l’idée de Dieu selon Spinoza, la religiosité cosmique d’Einstein, la théorie Gaïa. Et puis vous pouvez conceptualiser une raison au-delà de l’intelligence, une beauté plus puissante que l’art. Vous obtiendrez ainsi une ébauche des principes divins que je vous conseille d’ajuster à votre propre expérience. Je vous le dis, il n’y a pas un seul prophète qui soit plus élevé qu’un autre. Si vous affirmez que l’un est plus grand que l’autre vous entrerez en guerre contre votre frère et d’après moi cela est impur. Je pense que tous les prophètes sont une émanation de la divinité au même titre. Cependant, chacun en considère un en particulier comme étant plus agréable, et de là naissent les différences… « Nous devons apprendre à vivre tous ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. » (Martin Luther KING). « Nous n’avons pas besoin d’une fraternité communautaire mais d’une fraternité universelle. » (Albert CAMUS). Merci à tous ceux qui ont aidé à la rédaction de ce texte. Qu’en pensez-vous ?
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Bonjour, La Terre a porté quelques êtres aux capacités exceptionnelles, que la sagesse populaire qualifie de "génies" voire de "génies absolus" ; qui à la manière de Mozart composant ses premières symphonies à l'âge de 6 ans ont contribué précocement dans leur discipline ; des personnalités aux existences souvent hors du commun et ayant révolutionné leur(s) domaine(s) de prédilection, voire pour certains, changé à jamais un pan tout entier de l'humanité. J. von Neumann (1903-1957) appartient selon moi à cette catégorie, car il est probablement le dernier scientifique à avoir contribué de façon majeure dans un très grand nombre de disciplines malgré sa courte vie : mathématique (qu'il a révolutionné), mécanique des fluide, physique quantique, intelligence artificielle, informatique, économie, biologie (automates cellulaires) ... ARTE : Reportage Von Neumann (lien Youtube) Et vous, souhaitez-vous nous faire connaître le destin d'esprits hors norme (non nécessairement scientifiques) qui selon vous ont eu un impact majeur sur l'humanité, et qui mériteraient d'être plus connus ?
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Bonjour, La zoosémiotique vise à décrypter la langue et le langage des animaux pour mieux les comprendre, les protéger et peut-être un jour pouvoir dialoguer avec eux. Chercheurs en sciences du langage, historiens, éthologues, vétérinaires… De très nombreuses compétences se retrouvent dans la Société française de zoosémiotique (SFZ) fondée en 2017 à la Sorbonne. Un nom savant qui cache l’étude des signes appliquée aux animaux. Après la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles (qui ressentent la douleur, le chaud, le froid…) en 2015 en France, la SFZ s’attelle désormais à faire reconnaître certains animaux comme êtres qui ressentent des émotions (la peur, la joie, l’angoisse, la farce…). La SFZ a déjà acquis une première victoire avec l’entrée du mot « sentience » dans le Larousse en 2020 et travaille actuellement sur l’établissement d’une liste de ces animaux, parmi lesquels tous les vertébrés (poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères) mais aussi d’autres comme la pieuvre, et peut-être même certains insectes. Article entier : https://www.20minutes.fr/planete/animaux/4113400-20241004-journee-mondiale-animaux-quoi-science-permettra-jour-dialoguer À propos de la sentience, voici ce qu'en dit Wikipédia : La sentience (du latin sentiens, de sentire « percevoir par les sens ») désigne la capacité d'éprouver des choses subjectivement, d'avoir des expériences vécues. Les philosophes du XVIIIe siècle utilisaient ce concept pour distinguer la capacité de penser (la raison) de la capacité de ressentir (sentience). En philosophie occidentale contemporaine, la sentience désigne la conscience phénoménale : la capacité de vivre des expériences subjectives, des sensations, appelées aussi qualia en philosophie de l'esprit. Dans les philosophies orientales (comme la philosophie bouddhiste), la sentience est une qualité métaphysique qui implique respect et sollicitude. Le concept de sentience est central en éthique animale car un être sentient ressent la douleur, le plaisir, et diverses émotions ; ce qui lui arrive lui importe. Selon cette philosophie, ce fait lui confère une perspective de sa propre vie, des intérêts (à éviter la souffrance, à vivre une vie satisfaisante, par exemple), voire des droits (à la vie, au respect). Ces intérêts et ces droits impliquent l'existence de devoirs moraux de la part des humains envers les autres êtres sentients.
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Pour celles et ceux qui veulent vivre une religion humaniste.
Emilio65 a posté un sujet dans Religion et Culte
Je m’adresse d’abord à celles et ceux qui disent ne pas vivre selon la religion. Pour présenter ma pensée je vais commencer par relever des caractéristiques de la vie humaine. Chaque humain a des connaissances historiques, qu’il s’agisse de sa vie ou de celle des autres. Chaque humain passe par des cérémonies au cours de sa vie. Chaque humain a des idées sur ce qui est bon et mauvais, ou sur ce qui est pur. De plus, chaque humain a un point de vue sur la mort. Remarquons aussi que chaque humain fait partie d’une communauté, à commencer par la communauté humaine. Bien entendu, ces caractéristiques sont acquise au cours de la vie. Or, toutes ces caractéristiques sont présentes chez la femme et chez l’homme de foi, et c’est justement par ces caractéristiques que l’on reconnaît des personnes croyantes. Donc, toute personne qui présente ces caractéristiques se rapproche d’un certain état de religiosité. La différence entre une personne qui se dit athée et une personne croyante réside du fait que la personne croyante accepte le principe divin. Qu’est-ce que le divin ? Le divin est distinct de l’humain car il est au-delà. Cependant, chacun peut y avoir accès. Le divin influence la vie humaine, car il a des attributs particuliers : le pouvoir absolu, le pouvoir de création, l’éternité, la sagesse, l’amour et la justice. Maintenant, nous les scientifiques disons parfois que l’on ne croit pas en cela. Mais ne croyons nous pas à des lois physiques primordiales (le pouvoir absolu), à l’apparition de la vie sur terre (le pouvoir de création), à l’existence du temps (l’éternité), à l’harmonie de la vie (la sagesse), à la reproduction de la vie (l’amour) et aux lois de la conséquence (la justice) ? Peut-être n’appelez vous pas divin ce en quoi vous croyez, mais je sais que vous reconnaissez qu’il y a une existence au-delà des hommes, et que l’on peut y avoir accès. Pour toutes ces raisons je pense que tout être humain vit d’après une religion divine, qu’elle soit appelée science, philosophie, etc. Je m’adresse ensuite à ceux qui disent vivre selon une religion monothéiste. Frères et sœurs, commençons par suivre l’exemple du bahaïsme, ce courant qui a compris que toutes les religions sont l’émanation de Dieu. En effet divers peuples l’appellent à leur manière, mais chacun d’entre eux sait qu’il n’y en a qu’un. Ne rejetons pas les messagers et les prophètes que Dieu a envoyé, mais n’en faisons pas des idoles non plus. Frères, nous devons voir plus loin et reconnaître que tout comme les monothéistes, les païens croient au principe divin, unique et indivisible, et en cela nous sommes semblables. Ne confondons pas l’éthique et la morale. Il y a des règles religieuses qui sont valables pour certaines époques, n’en faisons pas des principes éternels. Je m’adresse pour finir à toutes les femmes et tous les hommes. Au delà de la magie, de tous les noms de Dieu et même de la science, il y a l’existence divine, plus pure que tout ce que nous pouvons imaginer. L’humanité tout entière est le peuple élu de la divinité. Vous voulez en savoir d’avantage sur le divin ? Imaginez toutes les règles édictées par les femmes et les hommes de foi depuis l’aube des temps et faites en une synthèse harmonieuse, vous obtiendrez ainsi une ébauche des principes divins. Je vous le déclare, il n’y a pas un seul prophète qui soit plus élevé qu’un autre. Si vous affirmez que l’un est plus grand que l’autre vous entrerez en guerre contre votre frère, et cela est impur. Tous les prophètes sont une émanation de la divinité au même titre. Cependant, chacun en considère un en particulier comme étant plus agréable, et de là naissent les différences. Qu'en pensez-vous ? -
L'univers est-il stupide ou intelligent ?
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Bonjour, Les États membres de l’Union européenne devaient se prononcer le 13 octobre à Bruxelles sur la prolongation du glyphostage – ce produit chimique que l'on retrouve dans des herbicides – pour 10 ans, mais n’ont pas réussi à s’accorder : la décision est repoussée à mi-novembre. Un épisode qui vient rappeler la prévalence du lobbyisme au sein des institutions européennes, sur fond de controverse scientifique quant aux effets sanitaires de la molécule prisée des industriels de l’agrochimie. Entretien avec Sylvain Laurens, directeur d’études à l’EHESS et chercheur au Centre Maurice Halbwachs (ENS/CNRS/EHESS). Fin connaisseur des logiques d’influence à Bruxelles et des mécaniques de désinformation scientifique, le sociologue a notamment écrit Les courtiers du capitalisme. Lobbyists and Bureaucrats in Brussels, et a récemment cosigné Les gardiens de la raison aux côtés des journalistes Stéphane Foucart et Stéphane Horel. (...) Passage important de cet entretien : Quels parallèles peut-on tracer avec les autres controverses scientifiques où la science va à rebours des intérêts industriels, comme l’emblématique « fabrique du doute » des industries du tabac ? Si je devais faire un parallèle, ce serait plutôt avec l’amiante qu’avec le tabac. Entre le moment de l’établissement d’un consensus scientifique, la prise de conscience par les pouvoirs publics et l’abandon de ce matériau dans la construction et le lancement des plans de désamiantage, il s’est passé plusieurs années. L’abandon suppose une bifurcation économique que l’État peut accompagner en investissant mais il y a un temps de latence entre la prise de conscience des gouvernements et la limitation des usages de la substance. Mais le point commun de ces controverses, que ce soit sur le tabac, l’amiante ou le glyphosate, réside généralement dans la prétention des industriels ou groupes d’intérêt à parler au nom de la science. Cet enjeu est évidemment très présent pour le glyphosate : une seule institution internationale, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l’ONU, a émis une prise de position en défaveur de la molécule, le classant dans la catégorie des « cancérogènes probables ». Mais c’est une agence qui prend en compte une littérature scientifique qui n’est pas financée par les industriels, là où d’autres agences, comme celles de l’UE, prennent en compte également les publications produites par les industriels ou leurs alliés, avec des papiers parfois signés par des scientifiques, mais rédigés par des experts des firmes : les Monsanto Papers regorgent ainsi de « shadow writing ». Pour ces industriels, il en va de la pérennité de la commercialisation de leurs produits. Il faut donc à la fois instiller du doute, mais aussi éviter toute remise en cause de l’organisation de la filière économique qui permet l’écoulement de leur produit. Et pour tout lire aller sur : https://theconversation.com/le-glyphosate-revelateur-de-linfluence-des-lobbys-industriels-sur-la-science-reglementaire-215604
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Intelligence dépendante des connaissances ? A la base de la base, à la genèse de l'existence dit-on, l'intelligence est-elle parvenue en première ou bien elle s'est perpétuée une fois des connaissances acquises. Peut-on être intelligent sans rien savoir ?
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Auguste Comte vers 1850 nous dit que « La seule vérité, la seule voie pour l’humanité est la science, ce qui exclut le religieux et la métaphysique » Vaste débat. Depuis longtemps je me suis fait ma propre opinion. Et la vôtre ?
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Qui a inventé l'oxygène ?
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La religion, source de tout ? Bonjour ,bonsoir à tous, Alors aujourd'hui j'aimerai lancer un débat et avoir votre opinion sur une constatation que je fais de plus en plus souvent.Alors quelle est ma constatation me diriez-vous ? Eh bien cela concerne les choses quotidiennes que les gens font/demandent/normalise vient de versets religieux.Je vous présente un exemple : L'avortement dans la religion est interdit sauf exception (Viol,mal formation très grave,etc...) et dans des versets , il est précisé que l’âme de l'enfant est insufflé dans le corps du bébé à 4 mois. Bébé ? 4 Mois ? Avortement ? Cela ne vous rappelle rien ? Eh bien si la législation interdit un avortement après 4 mois de grossesse ... Tiens donc, coïncidence ? Pour moi, la religion devance tout malgré le refus de celle ci de la plupart des gens.Voici pourquoi : Premièrement,je vous redonne une autre exemple : L'Islam dit : Le fer ne vient pas de la Terre mais a été envoyé sur Terre.Aussi étrange que cela puisse paraître,ce n'est que la pure vérité ? Qu'est-ce qui prouve cela ? Et bien les Scientific ont découvert qu'il y'a des milliards d'années la terre fut heurtée par des astéroïdes transportant du fer venant d'étoiles ayant explosées. Ensuite, le peuple (du moins ayant aucune croyance religieuse) demandent des législation sans savoir que cette législation est de base religieuse.Certaines personnes n'étaient t-ils pas contre le mariage pour tous ? Ces personnes n'adhère nullement à la religion et pourtant celle-ci reflète un écrit religieux que voici : « Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination » Lévitique, chapitre 18, verset 22 Pour finir, même de grandes têtes de la science qui se sont battu de toute leur forces pour essayer de détruire des écrits religieux présentant des faits avant leur découverte se sont inclinés devant le divin. Je vous rappelle que Albert Einstein lui même s'est converti à la religion car il était, certes, l'un des plus grands scientifique mais s'est rendu compte qu'il n’était rien face au savoir et à la création divine. Au final, nous avons beau être le maître de la défense de la laïcité,la religion nous influencera toujours !
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L’école à l’épreuve du créationnisme Stimuler l’esprit critique des élèves et renforcer leurs connaissances scientifiques : deux armes capitales pour lutter, en classe, contre la pénétration du discours religieux. Cet article est un extrait du hors-série 184 de Sciences et Avenir "Dieu et la science", daté janvier/février 2016. "L’évolution du vivant est-il un enseignement à risque" dans les écoles de la République française ? La question qui mobilisait les pédagogues comme Maryline Coquidé et les chercheurs comme Guillaume Lecointre ou Pascal Picq dès 2008, notamment après l’envoi de luxueux manuels créationnistes dans nos établissements scolaires par le gourou turc Harun Yahya, reste d’une brûlante actualité. Certes, la communauté intellectuelle et éducative a, depuis, fourni des outils pédagogiques et des manuels remarquables aux professeurs confrontés à une résistance politico-religieuse de la part de certains de leurs élèves musulmans, chrétiens ou juifs. Mais cette dernière persiste… tout comme le désarroi, l’indifférence ou la complaisance de certains enseignants. "Hasard du calendrier, au lendemain des attentats du 7 janvier 2015, j’ai animé une conférence pour l’académie de Créteil, témoigne le biologiste Olivier Brosseau, auteur d’enquêtes fouillées sur les créationnismes en Europe. Certains des tout jeunes enseignants n’avaient jamais entendu parler du problème et deux autres m’ont interpellé, trouvant mon approche "agressive" – une première ! Ils ont défendu le "soft overlap", une doctrine qui plaide pour un recouvrement, un concordisme entre sciences et religion." Lire la suite : http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/evolution/20160226.OBS5362/l-ecole-a-l-epreuve-du-creationnisme.html
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Voir ce quiz matériaux ! Des questions pas si simples sur les caractéristiques des matériaux ! Créateur Spontzy Type Mode classement Temps 10 minutes Nombre total de questions 10 Catégorie Divers Envoyé 22/02/2019
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Parmi eux, la libraire avait vaguement entendu parler du Mahabharata. Pourtant la causerie portait sur la guerre. "La tâche de la conscience est de comprendre ce qui s'est passé, et cette compréhension, selon Hegel, est la manière pour l'homme de se réconcilier avec la réalité; sa fin réelle est d'être en paix avec le monde. L'ennui est que si la conscience est incapable d'apporter la paix et de produire la réconciliation, elle se trouve immédiatement engagée dans son genre propre de guerre." Hannah Arendt
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Comme je viens de découvrir cette chaîne qui me semble pas mal du tout, je me permets de la partager par ici, si jamais ça venait à intéresser quelqu'un. Mais je ne doute pas que plusieurs la connaissent déjà !
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- science
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Une étude génétique révèle des croisements Néandertal-humain Vendredi 07 Mai - 17:44 © KEYSTONE | L'étude pourrait aider à résoudre un vieux débat sur le fait de savoir si l'homme de Néandertal (photo) et l'humain moderne ont fait plus que simplement cohabiter. Découverte | Le séquençage du génome de l'homme de Néandertal révèle des croisements avec l'humain moderne. Ils se sont produits au moment où les premiers homo-sapiens ont migré hors d'Afrique. AFPP Suite de l'article... Source: 24heures.ch
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La définition de la mort évolue constamment. Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparu le critère de mort cérébrale. De sorte que l’on distingue aujourd’hui plusieurs types de mort : clinique, cérébrale, biologique... Dans le cas de la mort cérébrale, il y a arrêt des activités électriques du cerveau (mesuré par éléctroencéphalogramme), mais le corps peut continuer à vivre (par maintient artificiel des battements du cœur). Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique. Quand un être meurt, "quelque chose" disparaît : il "n’est plus là". Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre "présence", qui disparaît. Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle est la nature du souffle qui nous anime, d'où il vient et où il part lors de notre mort. On est conduit à se poser la question : la mort est-elle un terme ultime à notre vie sur terre ou n’est-elle qu’une étape dans une histoire de vie qui continue http://www.dailymotion.com/video/xcjshu_preuves-scientifiques-dune-vie-apre_news
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Bonjour à tous, J'ai pu lire sur ce forum divers échanges, parfois constructifs, parfois stériles, en rapport avec la biologie de l'évolution mais déviant souvent vers d'autres sujets souvent non-scientifiques. Aussi je pense que cela pourrait être intéressant d'ouvrir un sujet davantage centrer sur la biologie de l'évolution afin que ceux qui y seraient éventuellement intéressés puissent en discuter sans que cela dévie vers un autre sujet. Aussi dans le présent topic il ne sera question que de biologie de l'évolution, donc de génétique des populations, des enseignements du registre fossile, de biologie des organismes, d'anatomie comparées, de phylogénie, etc, etc... Important ce topic n'est donc pas consacré: À l'origine de la vie c'est-à-dire à l'abiogenèse À l'origine de l'univers Aux croyances religieuses Cependant si vous êtes un anti-évolutionniste acharné vous pouvez argumenter scientifiquement, via des éléments tirés de la biologie, génétique, paléontologie où autre pour contester l'évolution, mais je vous conseille de bien vous renseigner sur cette discipline scientifique avant dans vous lancer dans une critique de celle-ci et d'éviter des sources vaseuses contenant des assertions périmés et déjà réfuté à maintes reprises qui ne tiennent généralement même pas compte des connaissances réelles en biologie de l'évolution. Pour le reste l'évolution peut donc être discuter aussi bien dans ces mécanismes notamment génétiques que dans ses conséquences à savoir la biodiversité. Il y a énormément de connaissances accumulé à ce sujet, chacun est donc encourager à partager ces connaissances éventuelles mais aussi à poser des questions.
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Pour être heureux, il est essentiel de donner un sens à sa vie. C'est ce que recherchent certaines personnes en tournant vers des religions, comme le Bouddhisme, l'Islam, le Judaïsme ou le Christianisme. D'autres érigent la Science ou la Politique comme guide leur permettant d'atteindre le bonheur véritable. Et d'autres encore se tournent vers leur famille, qu'ils essaient de rendre heureuse.Et vous, quelle définition donnez vous aux bonheur?Qu'est ce que vous permet d'atteindre le bonheur?
