Vous n'avez jamais souhaité être immortel, comme éternel ? Eh bien moi, voyez-vous, mon problème est là : malgré ma persévérance, impossible de mourir. J'ai pourtant tout essayé, récentes comme anciennes méthodes. Je vous épargne les quelques détails morbides, mais les faits sont là. Pourtant, ce n'est pas la motivation qui manque. Parce qu'en réalité, vivre cent ans, deux ans, passe encore. Mais quand vous atteignez le millénaire, que vous avez plus que rêvé tourné en rond, et que la dernière c
07/12/2016
Paul Walker is such a dork. He's the only one in his films who constantly slips when running. Running... is that such a feat in the end?
What's surprising is that I have barely watched any of his films. Yet I was there, in front of a tv (or was it a tv?), watching him and his friends perform some crazy and ridiculous stunts before my amused eyes.
Yup, Paul is definitely more comfortable behind a steering wheel than he'll ever be on his legs. Wow, that's actually quite rude of me, j
L'année de son ouverture, nous avons mené toute l'école à Eurodisney.
Quelle sensation;féérie de l'architecture de carton pâte,mêlée aux infrastructures commerciales et hôtelières et aux manèges et jardins somptueux.Divers univers se juxtaposent en décors magnifique.
Un retour à l'enfance.Dans Mainstreet Les élèves de quartiers nords m'interpellent de tous les côtés.
-Maîtresse regarde ceci,maîtresse regarde cela !dingo défile puis Mickey,ils sont ravis.
Et moi, inquiète dans la cohue, je le
Il se réveille lentement, sans sentir son corps. Seules les paupières s'étaient animées. Devant lui, l'entrée du petit chalet, tout en bois; les étagères à un côté, la porte en face, une ouverture vers la pièce attenante à l'autre côté, à sa droite. En haut de la porte, un petit rectangle de verre triple-vitré laisse apercevoir le jour naissant — encore sombre — en pleine tempête de neige. Quelques flocons s'accrochent à la vitre. Est-il donc encore vivant? Il tente de mouvoir ses membres: c'est
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Nos coups de fourchettes résonnaient dans la salle oblongue, et se mêlaient à ceux des tables voisines. De l'extérieur, il n'en avait rien paru, mais dans ce petit restaurant se donnaient manifestement rendez-vous un bon nombre des villageois. Ce lieu était lui aussi pittoresque. Ici, pas de carte; sur un tableau noir était écrit, à la craie en lettres d'écolier, les deux plats du jour, les deux entrées et l'unique dessert. Derrière le zinc, un autre tableau, celui-
L'université est décidément une source de stress.
29 juin
Le jour des résultats est arrivé. Je suis peu rassurée et à la fois impatiente d'être fixée. Les événements des derniers jours nous ont tué moralement. Les inondations et les mauvais résultats de mon frère nous laissent un arrière-goût amer de la vie. Je m’apprêtais à recevoir le coup de grâce. Heure de la dépression programmée à 18h30.
18h : On ferme le magasin et je me connecte sur la plateforme en ligne de l'université dans l'espoir
:cool:
Pour déguster les neuf épisodes précédents, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.
http://www.forumfr.c...ustation-9.html
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Pour découvrir ce que m'avoue ma délicieuse admiratrice,
il suffit de cliquer sur sa belle image, ci-dessus...
:cool:
Elle aime la saucisse - Dégustation 10 -
La saucisse de Quimper
Je téléphone à Clémentine. J'entends bien, au son de sa voix, que la jeune fille est très émue de m'entendre.
Je lui annonce ma venue pour ce soir, aux environs de
La vente multiniveau ou, selon qui l'emploie, marketing relationnel, marketing à paliers multiples, vente en réseau par cooptation, vente par réseau coopté (V.R.C.), marketing de réseau, etc., en anglais multi level marketing ou MLM, est une structure du réseau de vente dans laquelle les revendeurs (ou distributeurs) peuvent parrainer de nouveaux vendeurs, et être alors en partie rémunérés par une commission évaluée en pourcentage sur les ventes des recrues. La vente multiniveau élimine les coût
Ses yeux brûlent. — La lumière reflétée par la neige est intense, aveuglante; l'œil croit déceler des couleurs douloureuses dans le champ blanc et bleu qui se confond de plus en plus. Alors l'homme baisse la tête et regarde le moins possible autour de lui, juste ce qu'il faut pour vérifier la direction de ses pas. Il sait également que la douleur optique est une illusion créée par le cerveau, lorsque chacun des deux yeux perçoit quelque chose d'éblouissant — fermez un œil, et la douleur disparaî
Petrov ordonna d’appeler une ambulance. Je parlais en même temps que lui pour dire d’éviter de marcher tout près du corps afin de relever d’éventuelles empreintes. Personne ne tint compte de ma suggestion ou presque. Les soldats commençaient à regarder divers éléments dans et autour du véhicule. Sarah était partie avec deux hommes vers la forêt d’où nous étions venus. Ils ne remarquèrent aucunes traces autres que celles que nous avions faites en venant. À leur retour, un violent éclair projeta f
Nous nous enfonçâmes avec précaution dans la forêt où la bruine nous surprit. Nous nous arrêtâmes tous les dix pas pour scruter l’environ à l’aide de nos torches mais la visibilité était très mauvaise et le sol glissant. Il m’arrivait de finir sur la cuisse en foulant une mousse trop humidifiée. Malgré les conditions, nous continuâmes à avancer. Je découvris alors une sorte de fosse naturelle qui serpentait sur plusieurs mètres et jusqu’à disparaître dans le brouillard. Je me disais qu’autrefois
Visages figés et mouillés, parapluies retournés aux baleines apparentes, le vent de ce 11 novembre longeant les douves du château traverse et la place et les hommes.Les gerbes déposées sous la plaque de ces enfants morts , volent au vent comme pour balayer un passé douloureux.Les cols sont remontés, les chapeaux tenus sous des mains glacées.La place du château semble comme une photo de Doisneau, figée malgré ce vent d'ouest poussant une pluie dense fouettant les visages exsangues.La cérémonie
Sarah dormait encore quand le réveil se mit à vibrer nerveusement. D’un coup imprécis et brusque, j’y mis fin. La lune avait disparu. Il gisait dans la chambre un silence bleuté et une vapeur de souvenirs étranges. J’étais restée quasiment éveillée toute la nuit en regardant le plafond, songeant aux soupirs rêveurs de Sarah ou en m’attardant les yeux fermés sur un bruit extérieur de provenance inconnue, parfois les pas lents et crépitants d’une sentinelle sur un gravier voué à signaler la présen
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La porte de la maison était en bois massif, un bloc vieillissant qui avait dû être fixé là depuis des décennies. Nous étions dans une courte ruelle, approximativement parallèle à la rue de l'auberge, juste à côté; c'était là qu'habitait l'ancien maître d'école du village. Le sol était pavé irrégulièrement, de roches qui s'étaient arrondies avec le temps, au fil des pas. Pourtant, on aurait dit que personne ne devait jamais passer par ici.
Nous tapotâmes à la porte; un
Le lendemain, c'est vraiment par hasard que je retrouvais la Mouche, en pleine négociation magouille je pense.
Ma main sur son épaule le fit se retourner d'un bond.
- merde, préviens tu m'as foutu la trouille!
- tu aurais des choses à te reprocher, j'y crois pas?
- alors?
- écoute la mouche, je vais avoir besoin de toi !
- j'ai pas de fric si c'est ça.
- non rassure toi et ce n'est pas non plus sexuel .
- oui, et bien je ne vois pas .
- pas grave essaie de me suivre, et tu comprendra
Puis subitement l'envie d'un café me fit me lever et me diriger vers le fond du hall de la gare. Des militaires discutaient en attendant leur train, sans doute en avance comme moi. La machine à café était bruyante, mais elle me fit toutefois un café. Mon gobelet à la main je regagnai ma place quand le coup de coude d'un énergumène attifé comme un as de pique me le renversa d'un coup. J’attendais ses excuses, quand je reconnus la Mouche, je failli éclater de rire .Il avait un bonnet trop grand
Partie 1
Partie 2
J'étais assise à la fenêtre, grande ouverte pour que le vent circule dans mon appartement et que la chaleur ne s'y accumule pas trop, et je sentais mon cerveau encore affecté par la veille. Oui: le réveil avait été difficile – puis la marche, le retour au petit matin – et maintenant j'avais toujours la sensation que quelque chose me collait encore à la peau, une chape lourde et immatérielle; – alors je m'étais douchée deux fois, je frottais avec le savon jusqu'à m'écorcher la
— "Il faut doubler les tours, comme cela les Blancs prennent le contrôle de la colonne d."
— "Mais si le fou prend le cavalier en c3? On reprend et..."
— "Non, non. On ne reprend rien du tout: intermezzo, échec en d7, le cavalier fait échec, et ensuite seulement les Blancs reprennent en c3."
— "Oh."
Un groupe de quatre hommes âgés se pressait autour d'une table sur laquelle étaient disposées les pièces d'un jeu d'échecs en bois, formant une position de milieu de partie, qu'ils étudiaient en
Prêtes, nous nous rendîmes pour le dîner au mess, d’un pas lassé et lourd. Nous traversâmes un couloir vitré qui permettait à la lumière naturelle d’éclairer le passage. Ensuite, nous descendîmes avec fracas des escaliers métalliques où l’obscurité s’abritait. Il fallait encore ouvrir une porte qui débouchait sur une cour et c’est là que nous vîmes la lune dont le rayonnement était quasi solaire, avant d’arriver devant le réfectoire qui était vidé de son tumulte quotidien. Nous étions les premiè
Hier soir, alors que l'orage est assez violent dehors, je me pose sur mon lit pour observer la tempête se déchaîner. Le vent est violent et la pluie est dense, ça forme comme un rideau blanc. J'appelle ma maman pour qu'elle puisse constater ce qui provoque mon étonnement. Le tonnerre gronde de plus belle et les éclairs nous flashent régulièrement. Cela dure 5 grosses minutes puis la pluie se calme un peu, tout comme le vent. Avec maman, nous sommes toujours à notre poste d'observation quand soud
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Nous arrivâmes à la maison de "la Marie", après avoir traversé le village et longé le lac. C'était là, à l'orée des bois, que se tenait la bâtisse de petite taille, au toit rouge comme les autres, dont toutefois les contours présentaient une apparence plus défraîchie; ainsi une partie de la voûte paraissait être sur le point de s'affaisser, et par ailleurs une grande partie des murs était recouverte de lierre et d'autre plantes grimpantes. L'on voyait parmi elles de très be
Sarah me réveillait délicatement en secouant légèrement mon épaule tout en me murmurant que nous étions arrivés. Groggy, je décollais alors ma joue pâteuse de la vitre d’où je voyais mal mon reflet. On ne voyait rien au loin, si ce n’est une intrigante masse noire accentuée par l’intensité des rayons de lumière que diffusaient les projecteurs depuis le mirador. J’ai pu remarquer cependant l’inscription cyrillique doublée de sa traduction en anglais, sur un panneau blanc rouillé posé devant le po
20 juin 2002.
— Je regarde le miroir. Ça m'a pris des heures pour finalement rassembler suffisamment de courage pour sortir cet objet longiligne du recoin de l'armoire, et le placer dans un coin de la petite chambre. Au début, il était tourné vers le mur. Puis, je l'ai retourné vers moi, les yeux encore détournés vers le capharnaüm d'objets en tout genre qui encombraient l'espace. J'avais d'abord détaillé chacun d'eux, fait parcourir mon regard sur mon domaine, comme pour gagner du temps: là il
Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse.
Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui.
Tout cela on peut le comprendre sans
Je me demandais : "on ne peut pas répondre ?" Mais oui !
Fallait descendre en bas de page !
Ton raisonnement est juste ! Et pourtant je ne suis pas du tout d'accord !...
J'essaie donc de comprendre pourquoi... C'est peut-être parce que tu considères que le Bien et la Souffrance existe en soi. Qu'ils sont des "entités", presque des sujets. Tu dis par exemple que le bien veut ou peut vouloir ceci ou cela, et la souffrance aussi. Pour moi ils ne sont que des concepts (imaginaires),