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Journal des rêves 3 : fantaisies inexpliquées


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07/12/2016

Paul Walker is such a dork. He's the only one in his films who constantly slips when running. Running... is that such a feat in the end?

What's surprising is that I have barely watched any of his films. Yet I was there, in front of a tv (or was it a tv?), watching him and his friends perform some crazy and ridiculous stunts before my amused eyes.

Yup, Paul is definitely more comfortable behind a steering wheel than he'll ever be on his legs. Wow, that's actually quite rude of me, judging him on a detail that only happened in a dream...

I had to wake up in order to remember that Mr. Walker does not belong to this world anymore.

Punny enough, will he come back to life as a walker?

Anyway, let's hope he is a better walker than he is a runner...

Teehee!

PS : Was that even him?

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13/07/2016

À ce train-là, je vais rêver tout le monde du cinéma d'action !

Un début de rêve que j'oublie.

Une fusillade violente et fortement mise en scène.

Je suis la vilaine ou le vilain. À vrai dire, je ne sais même pas qui je suis, n'ayant pas vu mon personnage d'un œil extérieur... Je suis le MAL.

Ça, en tout cas, je le sais...

Après quelques échanges de coups de feu, nous nous retrouvons précipités dans une pièce, Bond et moi. Un bureau clos et nu, dépourvu de tout mobilier que ce soit. Seule une vitre recouvrait une face entière de la pièce, la plongeant dans un état paradoxal de clarté et d'obscurité. Bond, lui, se tient devant moi en contre-jour. Je distingue sa silhouette et j'imagine son visage (qui est celui de l'acteur Craig).

Je sais sans qu'il ne me le dise que je suis un agent double du MI6 qui a trahi l'institution pour se retourner contre elle. Bond me fait une remarque sarcastique sur la sophistication de mon arme, ce qui m'oblige à la jeter par terre car j'ai encore un minimum d'amour propre (c'est toujours comme ça que ça se passe dans les films sinon le méchant gagne, ce qui ne serait pas juste). J'engage alors contre lui, avec réticence, un combat à mains nues. Nous restons longtemps - trop longtemps - au même endroit à nous dévisager, attendant que l'autre fasse un geste pour riposter.

Mon point faible ? Oui, c'est vrai, tout méchant en a un. En l'occurrence, c'est juste mon épaule droite.

Pardon de vous avoir laissés imaginer que ce serait un point faible bien plus subtil et finement caché.

Oh, et je me souviens du thème musical sur lequel la confrontation s'est produite. Une lente succession de ré# et de fa joués au xylophone et au synthétiseur. Une ambiance pour le moins énigmatique et stressante.

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14/07/2016 dans la nuit

De vieilles couvertures de magazine ont fait resurgir en moi le souvenir d'un rêve que j'avais fait il y a un moment.

Une chambre sortie tout droit des années 80, avec mobilier luxueux mais fortement kitsch, donnant sur une marina typiquement niçoise. Je vois encore dans ma tête la forme d'une lampe de chevet en porcelaine, aux ornements d'or ou de cuivre, posée sur une commode d'un autre temps. Un temps baroque ou classique, dont les derniers éclats se seraient laissés contempler dans un Ritz de la fin des années 70.

L'odeur, elle, pétrifie le reste de mes sens et me fait entrer en transe. Une odeur de grand-mère, sans doute, fortement camphrée et astringente. Ces senteurs réveillaient en moi une nostalgie intense.

Rêvais-je encore ? Sûrement. Un rêve dans un autre.

La musique fantasmagorique que l'on pouvait entendre dans cette pièce ? Je paierais cher pour pouvoir l'écouter à nouveau.

Me voilà dans une sorte de boutique que l'on déménage. Une nouvelle terrible a provoqué depuis quelques jours le deuil de quelques personnes dont le mien. La raison précise, pourtant, m'est inconnue et l'est encore à ce jour.

Un carton traîne à ma gauche, en bas d'une étagère. Je l'ouvre et y découvre une pile de bandes dessinées. Je prends celle du haut et commence à la feuilleter. Un dessin grave et des aventures qui me rappellent XIII ou Corto Maltese.

Tout ceci n'a pas la moindre importance.

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