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Jedino

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À propos de Jedino

  • Date de naissance 03/04/1993

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  1. Jedino

    Sarkozy dormira en prison

    Ouin ouin ouin mon délinquant préféré va faire une journée en prison avant de faire sa demande pour en sortir alors qu'il a le luxe d'avoir une chambre rien que pour lui. Et dire qu'il prêche ses bonnes paroles à de nombreux politiques encore ces dernières années. Cela en dit long sur la probité de nombreux autres à une époque où il est difficile de soutenir un "On ne savait pas". Comment peut-on prendre la défense d'un homme déjà condamné définitivement par ailleurs qui, loin d'être un anonyme, devrait être parmi les plus irréprochables puisqu'il a parlé et parle bien trop souvent encore en "notre" nom ?
  2. Désolé, je ne tends pas la main à ceux qui ne s'attaquent pas aux fondamentaux. Ça ne fait pas sérieux.
  3. J'insiste, ce que vous dites est idiot. Si Israël avait été si mal aimé dans le monde auparavant, elle aurait cessé d'exister avant sa naissance. Si cet Etat tombe en disgrâce à présent, ce ne sont que par ses actions et ses discours. Accuser n'importe qui ou n'importe quoi d'antisemitisme y participe largement. Que ce soit l'ONU, Macron ou les 140 pays qui reconnaissent déjà la Palestine. La Shoah est une affaire européenne donc sans aucun rapport, et certainement pas avec l'islam. Quoi qu'il en soit, il n'y a pas besoin d'aimer quelqu'un pour reconnaître un crime de guerre ou contre l'humanité. L'action de l'Afrique du Sud auprès de la CPI l'illustre bien. A priori, les liens de proximité ou de religion ne sautent pas aux yeux. Et plusieurs pays avec une majorité de la population musulmane ont une communauté juive, comme ils ont d'autres petites communautés sur leurs territoires.
  4. Tous les Israéliens ne sont pas Juifs. Donc, en effet, c'est sans rapport avec une quelconque religion ici. Mais je note votre envie de vouloir cacher l'éléphant dans la pièce avec une souris. L'éléphant étant, ici, les actes des Israéliens dans des zones colonisées ou en voie de l'être. Quand votre Etat, votre armée, est à l'origine de si nombreux comportements et actes problématiques, il est effectivement difficile de vous en dissocier. A moins d'être dans une forme de résistance, c'est une acceptation tacite. Si demain mon Président se met à massacrer de façon systématique une population, que je le sais et que je reste là, en tant que Français, à ne rien faire, c'est problématique. De la même manière que si je soupçonne ou sais que mon voisin tape son enfant, ou pire, et que je ne fais rien, cela peut m'être reproché, alors même que je n'ai précisément rien fait. Oui, l'inaction peut être une faute morale. Et, oui, serrer la main n'étant en rien une obligation (les marques de respect obligatoires, donc sportives, ayant été données par ailleurs), il n'y a aucune obligation à l'accorder pour précisément marquer une distance. Chose réussie. Plus précisément, vous auriez le devoir de lutter contre votre Etat dans le cas précis où il partirait dans de pareils travers. D'ailleurs, les contestations sont de plus en plus fortes là-bas aussi.
  5. Parler d'antisémitisme et d'antisionisme, ce n'est absolument pas la même chose. En tous les cas, et encore une fois, rien ne permet de dire si cette personne s'inscrit dans l'un ou l'autre. Il n'y a pas besoin d'être l'un ou l'autre pour comprendre qu'il n'est pas normal de massacrer des gens. Mais je prends note de vos œillères. Après tout, l'ONU elle-même est antisémite, n'est-ce pas ?
  6. Etes-vous un propagandiste ? J'espère au moins que vous touchez quelques pièces pour cela.
  7. Exact, les mots ont un sens. Je cherche encore l'indice dans l'article qui vous permettrait d'affirmer que c'est davantage de l'antisémitisme qu'un simple refus de serrer la main d'une personne dont le gouvernement, l'armée, commet des abjections actuellement.
  8. André, Michel. Mais où est Bernard-Henri pour compléter le trio des références douteuses ?
  9. Tout ce qui concerne l'employeur lui-même n'a juste aucun rapport avec le salaire net ou brut du salarié. Si vous ne pouvez pas aligner le salaire, vous n'employez personne par définition. Si vous ne pouvez pas aligner assez, vous allez nuire au salarié lui-même. Baisser des cotisations ou baisser le salaire lui-même revient au même : cela détériore à la fin le niveau de vie de la personne qui en bénéficie. Il est vrai, cependant, que les patrons rêveraient de proposer une augmentation des salaires à la baisse. C'est du déjà-vu dans le réel, comme vous le dites. Mais comme c'est peu accepté, il est préférable de le faire magiquement en baissant les bénéfices indirects que sont les cotisations ou l'impôt sur les sociétés. Avec les effets que nous connaissons au niveau collectif.
  10. Pourquoi parler de "charges" dans un cas et de "cotisation" dans un autre ? Seriez-vous biaisé ? Alors que ce sont pour les deux des cotisations ? En tous les cas, ce ne sont pas des taxes. Si je reçois 2000 et que je dois financer pour 1000 pour N services ou que l'entreprise le fasse pour moi pour obtenir les mêmes services, je ne vois là aucune différence. A priori, nous avons tous besoin de ces services à la fin. Dans les deux cas, le patron sortira 2000. Oui, en effet, personne avant les années 2000 n'abusait du système. Il paraît même que les politiques étaient honnêtes. Et, en plus, le patron était sympa. Vous confondez beaucoup de choses. En premier lieu, le volume horaire n'est pas un gage de productivité. Pire, un volume trop grand est un risque et un coût potentiel pour l'entreprise, voire la société, puisque la fatigue accentue largement les risques d'accident ou psychosociaux en général. Sans parler de la baisse de productivité qui va avec. Ensuite, la sécurité sociale n'est pas une assurance mais un service public. Certes, l'assurance maladie en fait partie, mais son action ne s'y limite pas. Enfin, je ne trouve pas normal, en effet, qu'une personne physique ou morale dont le patrimoine ou bénéfice est très élevé paie moins, en proportion, que ceux qui sont en-dessous. Mais il paraît qu'il vaut mieux prendre à ceux en-dessous. Apparemment, ils en ont davantage les moyens. Et puis, ce serait contrevenir à une politique de l'offre.
  11. Il paraît que baisser les recettes et maintenir les dépenses augmente mécaniquement l'endettement. C'est fou, je tombe des nues. Qui irait penser que remonter les recettes réglerait le problème ? Personne n'est à 50 milliards près par an depuis dix ans. Mais le précédent message a raison : nos principaux assistés les retraités pourraient aussi faire sans cet argent. Je suis sûr qu'il sera enchanté de le faire, lui qui est un grand travailleur. Il y a 330 milliards à chercher en leur sucrant tout.
  12. Cela m'aura pris deux secondes de profiter du correcteur automatique de Word : Et il ne relève pas l'erreur sur "Français". Serait-ce à dire que l'éducation, ce n'était pas mieux avant ?
  13. Si vous souhaitez apprendre, il existe mille moyens aujourd'hui de le faire. Je n'ai ni le besoin ni l'envie de le faire. En effet, apprendre, c'est d'abord et avant tout apprendre à apprendre. Je vous invite donc à le faire si c'est si essentiel pour vous. Cela ne fait pas très sérieux, en effet, de rire de la "réussite" (les guillemets sont de vous, car le sous-entendu est là) des autres lorsqu'il nous arrive si souvent de trébucher. Parlez-vous correctement le français, vous ? Le jugement est facile. Mais avez-vous l'exigence que vous avez pour vous-même quand vous parlez des autres ? Est-ce respectueux de votre part de laisser entendre qu'ils ne savent pas lire, écrire ou compter et, surtout, que leur réussite serait forcément factice puisqu'ils sont si nombreux à réussir ? A noter que la réussite, ce n'est pas savoir tout sur tout. Si c'était le cas, nous serions sûrement sur un autre monde. En effet. Et je ne parle aucunement de vos erreurs. Elles sont sans importance. L'essentiel est d'être intelligible et tout le monde peut avoir des difficultés. Votre seule faute est de ne pas avoir l'humilité de reconnaître que vous avez de terribles préjugés, alors même que vous n'êtes pas irréprochable. Car, comme tous ces jeunes qui obtiennent leurs baccalauréats, brevets, ou autres diplômes avant ou après, ils sont dans un processus où ils apprennent une multitude de choses. Et, heureusement, ils continueront à le faire encore après, y compris après l'école.
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