Un couple d'amis me fait connaître un karaoké restaurant tex mex à Marseille.On y mange des mets originaux:pavé de kangourou, steak de requin ou
filet d'autruche,fajitas et tacos.A neuf heures on chante,vers onze heures les serveuses sortent une barrique de tequila et préparent la tequila rapido avec du sel.(Pour moi non merci ,l'alcool nuit aux cordes vocales et si c'est pour chanter avec une voix de rogomme,très peu pour moi!)l
Techniquement parlant,le vidéo disque vient de sortir donc dans
Né en hiver 1977,le petit garçon que j étais pesé 3,9kg a la naissance.
Après avoir passé quelques jours en observation car je me démarquais déjà des autres par un appétit au dessus de la normale, je rejoins la maison de famille avec mes parents, mon frère et mes soeurs.
Dès les premiers mois, je me distinguais des autres par mon calme et ma tranquillité dans mon berceau.j avais déjà mon petit coté zen que j'ai encore maintenant.Ma mère avait l habitude de me laisser seul jouer dans mon parc c
Un chemin de terre parsemé de pierres plates, devenues lisses sous l'effet du temps et du souffle ensablé, mène dans un désert vert, autrefois cité romaine. Cette nature crépitante de vivacité sous le soleil ocre de la méditerranée, nourrit l'intensité du ciel bleu d'un reflet brillant, et comme un duvet d'été dans les collines lançonnaises de Provence, elle s'anime au gré des éléments. Seuls les massifs calcaires sur lesquels se sont enracinés Cyprès, Pin d'Alep, Micocoulier donnent l'illusion
Deux petits textes
1. Jolie fleur que fais-tu ?
Ne sais tu point que tu as besoin de soleil pour vivre ?
Car les fleurs sans ces rayons ne vivent qu’un temps.
2. Les arbres regagnent leurs feuilles, les oiseaux, de retour, nous bercent de leur chant mélodieux.
Comment se fait-il donc que je sois si morte en dedans,
Moi qui portant se fait caresser par ce soleil brûlant?
Une chambre, grande, où partout dans l'air flotte une odeur de poussière. Le peu de lumière qui traverse les vitres sales des fenêtres donne à la pièce une allure spectrale. L'on devine les contours de quelques meubles sous de grands draps blancs; au sol, des tapis d'un teint gris. Et çà et là, quelques piles de livres et de vieux papiers. — Est-ce donc là la chambre secrète de la maison?
Il avait fallu sonder, un par un, tous les murs du rez-de-chaussée et de l'étage; donner de petits coups se
Ce texte a été composé suiteau visionnement de Samsara
Si je savais apprécier l'inappréciable, sans doute aurais-je réussi à écouter ce long métrage dans son ensemble. De la même manière qu'on se permet de passer les pages d'un livre, de les gribouiller, de les déchirer, mes yeux fatigués décidèrent d'ignorer une certaine partie de ce qu'ils devaient visionner.
On ne me surprendrait guère si on m'apprenait qu'on attribue une quantité considérable de prix à ce long et pénible défilement d'imag
Je cours sans m'arrêter avec la folie qui me poursuit, et je cours encore jusqu'à être fatiguée. Vidée, je finis par tomber comme happée par une chose qui m'a traquée. Jetée je ne sais où, je m'écrase sur un sol brunâtre moucheté d'un vert translucide, sorte de brûlure à l'acide chlorhydrique. Tout est cependant coagulé. Je parviens à me relever, enfonçant mes doigts dans cette substance visqueuse qui veut me retenir. Je me débats. L'atmosphère est âcre, sombre et vaporeuse. Il n'y a pas de lumi
Il marche dans la nuit, l'air égaré, le pied hésitant; passant parfois d'un trottoir à l'autre. La journée, le soir, ces avenues seraient bruyantes et peuplées — à cette heure-ci cependant, personne; et le silence. Seuls ses pas résonnaient contre les façades, comme ils le font dans un grand appartement encore vide.
Hébété, un voile médicamenteux sur les yeux, il va et vient, s'arrêtant parfois, repartant de sa démarche triste après un instant. Ce n'était pas le pas mal assuré d'un homme ivre;
En versant ces mots sur un miroir taché de caféine, une question abyssale vient froidement raidir la souplesse de mon cou et me souffle une vapeur blanchâtre qui me redresse promptement. Pourquoi. Je suspends l’écriture et regarde avec attention le reflet de cette brume idée. Il est vrai, à quoi bon vouloir exorciser une maladie dont la tumeur est au fond du cœur cérébral ? Car nul bistouri, nul scalpel, nul remède n’existe pour ce genre de souffrance paradoxale que la réalité maquille chaque jo
Mes amis ont joué le jeu,tous m'ont accompagnée au karaoké,fait découvrir des karaokés différents et quand ils en ont eu marre,j'ai trouvé d'autres amis que cela intéressait.
Ainsi j'apprends de nouvelles chansons,je révise les anciennes et lorsque les soirées de quelques endroits tournent à la même répétition de la même soirée tant les habitués chantent leurs chansons habituelles,je varie en changeant de titres .Et comme je finis par en connaître près de trois cents, le choix est large.
J'ai
À l’heure du déjeuner, l’élasticité de la file humaine s’étend encore sur plusieurs mètres, le long d’une cantine qui a déjà abattu la faim de tant de bêtes. En y pénétrant, les masses creuses se bousculent dans l’embouchure étroite de la rambarde électronique, arrachant un bip mécanique à leur passage animé de rires et de paroles mêlées. Mais mon regard finit par s’échouer sur la bordure roide et angulaire de ma table, d’où je conçois le vertige que peut provoquer cette falaise pour cette miett
Cramère en le ciel gris, trônait sur un royaume céleste.
De sa bouche embourrée de verbes aux couleurs biliaires,
Il châtiait tout infidèle, ennemis amère de la cornière.
Sur tout l'horizon désert, où ne règnent que les hyènes,
Ce dieu fiel emplissait ses vides d'une ambition noirâtre.
Répandre sa bible, établir sa loi, étendre son cadastre.
Sous le joug, prospéraient alors tant de poésies normalisées.
La littérature et le bon mot ? Une prescription qu'il faisait.
Ordonnances sur Ordonna
Ce matin, je regarde du haut de mon balcon la pâleur du ciel froid qui revêt une teinture limpide, bigarrée d’azur, d’ocre et de carmin clairs. Peinture sublimement funeste. Toutes ces nuances diffuses sont comme des gouttes d’encre suspendues dans un temps rompu, dilatées langoureusement sur l’atmosphère aqueuse. Le bouffant vaporeux des nuages, blanc ou gris, est banni par le vent de cette toile où le soleil se fait célébrer en seigneur de guerre.
La scène est solennelle. Tout joue avec pesan
L'écriture est un art que je bafoue sans vergogne.
La sémantique est maltraitée entre mes mains bien trop grossières et rugueuses. Mon esprit psychorigide, dans un élan fou et pathologique, cherche à conjuguer savoir et art.
"Le scientifique cherche, l'artiste trouve"
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Je ne pensais pas grandir sur des mots. Mon esprit enfantin, pourtant, cherchait déjà à expliquer la moindre parcelle de Nature qu'il pouvait fouler, lui donner mot, en l'occurrence. Et le regard a bea
:cool:
Pour savourer ce nouvel opus, il est gourmet de découvrir les deux précédents épisodes.
1 - http://www.forumfr.com/blogs/b1150e6425-elle-aime-la-saucisse-degustation-1.html
2 - http://www.forumfr.com/blogs/b1150e6451-elle-aime-la-saucisse-degustation-2.html
:cool:
Je clique sur l'image pour découvrir ce que me dit ma belle admiratrice...
:cool:
Elle aime la saucisse - Dégustation 3 -
La saucisse de Frankfort
Je reviens de Frankfort. Au téléphone j'en informe Clémentine. Toute h
Si je dis que je crois en Satan, c'est pas bien. Si je dis que je ne crois pas en Satan, c'est pas bien non plus. En psychologie, on parle de double contrainte. Il me semble que l'on peut résoudre ce paradoxe en évitant précisant le sens des expressions "croire en" ou "ne pas croire en".
On pourrait paraphraser "Je crois en A" par exemple par "Je crois que A m'apporte des choses essentielles, me permet d'orienter ma vie et d'avoir du soutien". En d'autres termes, ce n'est pas tant l'existence d
Sur la douzaine de personnes qui passèrent après moi ce soir -là, une seule chanta un morceau placé avec une voix travaillée.Les autres personnes chantaient maladroitement,un peu à la manière des enfants,et comme prévu,les gens les aidaient à venir à bout du morceau qui finissait par des applaudissements encourageants.
La plupart des artistes montent leur numéro,se font connaître, voyagent,se déplacent possèdent leur organisation et leur staff.Je ne sais pas si ils ont une fortune personnelle,
Midi. — Je presse le pas. Les avenues sont peuplées, le temps agréable d'un printemps qui revient; le brouhaha indistinct venant de la place, vers laquelle je me dirige, n'étouffe pas les pépiements des oiseaux. Ses façades sont si distinctes du reste de la ville que l'on a l'impression d'être ailleurs une fois parvenu ici - c'est presque comme le centre d'un village.
Aux terrasses discutent quelques flâneurs; un minuscule marché propose une variété de fruits et légumes le long de quelques étal
Des gens ont transité par wagons dans ma vie;certains pour un laps de temps, de brefs instants,d'autres pour quelques minutes...Passants qui passent ,commerçants...
D'autres pour quelques jours,pour quelques semaines ou pour quelques mois voire des années.(famille éloignée ,camarades de classe,voisins,copains de vacances,collègues,élèves ,profs,ETC...)
A part les gens de ma famille,les grands parents monolithiques tant ils ont eu la solidité du roc,rares sont les personnes qui résistent à l'
Miroir, ô tendre miroir, dis-moi...
Qui est la plus belle ?
(Rêverie)
Charmante Simplicité et son sourire d'opale ?
Ou vindicte Vérité et ses attributs de métal ?
L'une est douce, l'autre guerrière
L'une rassure, l'autre est amère.
(Etonnement)
"Comment ?", me dis-tu, "On ne peut comparer belle et belle" ?
Non, je te dis que différence il y a, et tu vas me le dire fissa !
Je te briserai, menteur invétéré,
Flatteur absurde, flagorneur... périmé !
Oses-tu m'opposer encore ces contre
Dans la rue d'un soir d'été, des marcheurs égarés n'ont d'yeux que dans la lumière bleuâtre de leurs écrans scintillants. Ils ne voient ni visages ni l'ombre naissante, prélude de la nuit, seule la fraicheur les maintient en vie. Les pas pressés résonnent sur le pavé et se coupent nettement au sons des cloches ou à l'aigreur des vibrations qui rythmes la cadence des passants. Le temps leur est indifférent, il n'existe pas là où ils sont. Et comme les chiens de Pavlov, au tintement cuivré, ils se
La conscience est d'autant plus lente que le cerveau est grand. Cela résulte du fait que l'information met du temps a se déplacer. Les petits animaux peuvent percevoir plus d'images par seconde, leur conscience va plus vite. Nous humains, notre cerveau est assez gros, alors il n'est pas très rapide. On compense cela par notre intelligence. Mais on ne pourrait pas avoir un cerveau beaucoup plus gros parce qu'alors notre conscience serait trop lente.
Si l'on imagine une conscience collectiv
Ah ,ce piano, quel cirque pour l'obtenir!Je veux un Clavinova électrique avec des rythmes,des sonorités d'instruments différents et pas d'accordements ruineux à faire réaliser tous les cinq ans et surtout le son d'un piano de concert.
Mais en attendant que l'on nous le livre,le vendeur nous en prête un autre.On verse des arrhes,mais le piano mettra six mois à nous parvenir.Mon mari et forcé de se déplacer en magasin aller faire accélérer le mouvement en tempêtant quelque peu, et moi de faire un
Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse.
Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui.
Tout cela on peut le comprendre sans
Je me demandais : "on ne peut pas répondre ?" Mais oui !
Fallait descendre en bas de page !
Ton raisonnement est juste ! Et pourtant je ne suis pas du tout d'accord !...
J'essaie donc de comprendre pourquoi... C'est peut-être parce que tu considères que le Bien et la Souffrance existe en soi. Qu'ils sont des "entités", presque des sujets. Tu dis par exemple que le bien veut ou peut vouloir ceci ou cela, et la souffrance aussi. Pour moi ils ne sont que des concepts (imaginaires),