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À propos de Engardin
- Date de naissance 01/07/2024
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On est d'accord ! Maintenant c'est comme les chasseurs : "c'est maintenant mais..."
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Mais tu t'en fous ! 14h 30 c'est pas le présent, DONC ça n'existe pas !
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J'ai un ami, Loulou B qui a toujours eu le sens du comique du paradoxe et de la caricature -visuelle-... Un jour, qu'il s'était couché tard et devait se lever tôt il nous a sorti "Comme j'avais gère de temps -et il joignait le geste à la parole !- je me suis accroché aux montants du lit pour DORMIR VITE !"
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Le cerveau je sais pas comment il marche, mais là j'ai mis Brassens comme par hasard !... Vous parlez d'un hasard ! Je viens à l'instant de me souvenir que cette nuit, Brassens est venu à la maison ! Alors j'ai voulu lui montrer mes chansons ! Pour les lui donner même s'il voulait en faire quelque chose ! Je lui ai demandé s'il connaissait Emile Debraux... -- Il avait des titres de chansons qui ressemblaient aux vôtres : "l'orage", "le grand chêne"... "Et rendez-moi mes vieux sabots" c'est la même idée que "le joueur de fluteau" ! -- Bien sûr que je le connais qu'il m'a répondu ! J'ai voulu lui chanter "les sabots" de Debraux, mais je ne me souvenais plus des accords ! Alors j'ai cherché mes partitions mais je ne pouvais plus les retrouver. Parce qu'on avait déménagé pour revenir dans l'ancienne maison de la Grand Rue !... (Brassens était encore... vivant à cette époque...) J'étais furieux ! Pour une fois que je pouvais les montrer à quelqu'un que ça pouvait intéresser ! Et je me disais : Brassens est ici, je peux pas perdre mon temps à fouiller dans mes papiers, c'est pas sérieux, il faudrait que je reste avec lui ! Alors je me suis réveillé. Et j'en voulais au monde entier ! 4 h du matin ! Heureusement je me suis rendormi. Et du coup j'ai oublié... Pour tenter de faire la lumière, Il me faut admettre que hier quand j'ai écrit "je n'ai pas vu le temps passer', la chanson de Brassens "le boulevard du temps qui passe" était déjà ... en "sous-couche" ! En plus c'est une de ses rares chansons que je connais très peu... Et je ne m'en étais même pas rendu compte ! Et je l'ai redécouverte ce matin ! Bon, Brassens à la Maison, je me devais de vous le dire ! J'en suis quand même assez fier !
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Merci d'avoir si bien tout... "ressenti " ! C'est quasiment une suite ou une conclusion de :
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Oui ! Il est passé par ici il repassera par là... Comme le furet (du Curé Dubois) ! Je viens de repenser à Brassens :
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T'as raison ! Ca restera une journée marquée d'une pierre argile blanche ! Une journée semblable à aucune autre ! La journée où j'ai débouché l'évier du cellier !
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En me réveillant j'étais tout feu tout flamme pour écrire ça mais mon enthousiasme fantasmé après plusieurs heures et surtout après avoir fait plein de choses bien réelles et bien matérielles --comme descendre à la boulangerie acheter le pain, de l'autre côté du village, (une bonne trotte), puis ouvert le magasin, puis préparé un mélange d'argile et de silice blanches, puis débouché l'évier du cellier-- s'est un peu estompé... je vais quand même tenter de le remettre à flots ! Même si ce genre de réflexion est devenu un peu surfait... un peu inutile... --Mais qu'est-ce qu'y dit ?!!! Je n'ai pas vu Le temps passer Pas vu non plus Le monde changer. Et il a beaucoup changé ! Je ne suis plus "chez moi"! "Ici et maintenant" c'est plus chez moi ! Et mon chez moi n'existe plus ! Si en dedans à plus de quatre-vingt pour cent je suis toujours le même, Au dehors, j'ai énormément changé ! C'est simple : je ne me reconnaitrais même plus ! J'en évite les miroirs. Je suis un autre ! Mais voilà que dès que je m'endors, je me retrouve ! Cette nuit, par exemple, dans la rue qui passe sous la Coopée, j'ai rencontré Gilberte ! (Et je ne sais pas si vous êtes au courant, mais la Coopée n'existe plus ! Elle a été remplacée par des HLM... Or dans mon vrai chez moi, elle est bien toujours là ! Et je ne préciserai pas non plus qu'après la Coopée et avant d'arriver à la fontaine, en suivant la rue, on doit passer devant la remise où est entreposé le Corbillard... Ca me fait peur rien que d'y penser...) Revenons à Gilberte : je lui ai proposé de l'accompagner.... Et elle a accepté ! Ce qui veut dire qu'au bout de la rue qui passe sous la Coopée, au niveau de la fontaine (ou je vais souvent prendre l'eau fraîche à midi dans une grosse cruche en terre) on tourne à droite pour remonter la Calade... Jusqu'à la Placette. Là j'arrive devant LA maison où je dois donc m'arrêter. C'est ici que je "reste". Gilberte, elle habite plus haut et doit monter jusqu'au "coin du four" pour tourner ensuite à gauche vers sa maison au bout de la rue. Mais là figurez-vous qu'au moment de se séparer, eh bien... j'ai osé ! Je lui ai fait une bise ! Et je ne blague pas : J'ai encore la sensation sur ma joue de sa joue lisse et fraîche ! C'était donc bien réel. Mais il y a quelques anachronismes. Quand je suis rentré à LA MAISON, mon fils adulte et qui était donc devenu mon père puisque moi j'étais resté petit m'a demandé : -- Mais qui c'est cette Gilberte ? -- Mais tu le sais bien ! Au CM1 on n'est que trois : Elle, Gilberte Grisson, Alain Chiméric et moi. C'est une camarade de classe ! -- Le Alain Chiméric que je connais ? -- Mais oui ! A côté ma femme adulte donc aussi, et qui de ce fait était devenue comme ma mère, ne voyait pas ça d'un très bon œil qui je lui eusse fait la bise à la Gilberte !... J'étais en plein carambolage des époques ! Je me suis alors demandé : mais pourquoi j'ai tenu à raccompagner Gilberte en remontant la Calade jusqu'à notre Placette ? Bon sang mais c'est bien sûr ! Je me suis alors souvenu de ce terrible coming out... Un jour, je descendais cette même Calade depuis la Placette... J'étais avec Nanan. Et je lui ai soudain tout avoué. Comment ? En quels termes ? Je n'ai sûrement pas parlé d'amour, ce mot étrange et trop personnel, trop intime que je ne comprenais pas vraiment. Mais je suis certain de lui avoir dit que Gilberte... c'était ma préférée ! Qu'est-ce qui m'a pris ? Je crois aussi que j'ai regretté aussitôt cette confidence, je me suis aussitôt mordu les doigts de m'être ainsi dévoilé. Et je le regrette encore ! J'ai été fou ! Pourtant, Nanan, le plus gentil et le plus discret des copains n'a jamais cafté ! Et ça n'a rien changé du tout. On n'en a plus jamais reparlé. Je me suis jeté à l'eau et je ne m'y suis pas noyé ! Un coup de chance ! Peut être même que ça m'avait soulagé d'avouer cette... préférence ? Faut croire que j'avais choisi la bonne personne. Non : je n'ai pas vu le temps passer ! Pourtant je remarque souvent que quand je parle, ceux qui m'écoutent ont tendance à mieux me respecter à être plus attentifs... Faut croire qu'avec mes cheveux blancs, je représente pour eux une certaine personnification de la sagesse ! Ca me révolte ! Je revendique le droit d'être d'être aussi couillon que quand j'étais gamin ! Et là je viens un peu de le montrer...
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Merci ! Et Bravo ! C'est exactement et mot pour mot ce que je m'apprêtais à dire ! Même quand elle fait la gueule elle rigole ! Ils lui ont tellement tiré la peau vers les oreilles que la commissure des lèvres ne peut plus descendre... Bon c'est en tout cas ce que j'ai pensé...
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Evidemment !
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Alors je suis tranquille : tu voteras pour moi ! Mince il fallait écrire sa tante ?... Non ! Pour une fois je me suis pas trompé, mais tu m'as mis le doute ! Mon moyen mnémotechnique : la tante c'est "Tata" et pas Teuteu !
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Vous vous souvenez quand même que Kadhafi avait planté sa tente sur une pelouse de Paris ? On l'a tous vue...
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La dinde du Poitou ? Certes c'est pas une épée, mais préférer Sarko... Non ! je redis sa dernière bulle pour ceux qui l'ont ratée : "Même si je dors en prison je garderai la tête haute !" On voit d'ailleurs le résultat. Chez certains il suffit que quelqu'un ait la réputation d'être de gauche, même s'ils ne le sont pas plus que Mitte, Ségo ou Hollande pour qu'ils y voient... rouge ? non Blanc ! qu'il deviennent blêmes... Moi qui suis de gauche, je vous le dis carrément : si j'arrivais au pouvoir je nationaliserais votre Solex ! Ca relèverait l'économie française !
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Jalouse ! je l'ai revue hier... Elle a trente ans !
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Je crois qu'on ne peut dire ça que quand on a quelque chose à se reprocher...