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C'est ça que cette bande de fou font: faire des crimes et fumer du crack. Incroyable qu'est-ce que une bande de druggé font dans une ville.
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Ce n'est pas dit par le peuple nul part sauf que un être humain ça fait de l'énergie. Et cette énergie, grâce aux apps de Satan peut être voler. C'est ça?
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Bonjour, La ville aux 33 cercueils ferait un bon titre pour le roman de l'année 2022 ! 2022 est l’année la plus meurtrière dans la cité phocéenne depuis six ans. Selon un collectif de familles de victimes, les crimes restent trop souvent impunis. C'est le marché aux pruneaux !
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« Nous sommes un gang, mais pas comme tu l’imagines : nous sommes des révolutionnaires. » De quoi attiser la curiosité de l’anthropologue Martin Lamotte, qui a enquêté pendant quatre ans sur le gang international Los Ñetas, ses codes et ses métamorphoses, du crime à l’action politique. C’est une organisation dont la longévité est impressionnante puisqu’elle a été créée dans les années 1980 et existe encore. Ensuite, la trame historique et la transmission y ont une place très importante alors que d’habitude, ce type d’organisation a une durée de vie plus courte, traditionnellement de l’ordre d’une génération. Mais la particularité principale de ce gang c’est son ambiguïté car il a à la fois une composante criminelle et une composante politique : ses membres peuvent être partie prenante du marché de la drogue et des armes à feu et, en même temps, le groupe a un ancrage politique très fort. [...] Quelles dynamiques sociales et anthropologiques favorisent l’émergence de ce type d’organisations ? Sont-elles présentes dans toutes les sociétés capitalistes ? M. L. L’anthropologue Dennis Rodgers a travaillé sur les gangs au Nicaragua et a établi des comparaisons entre ce type de groupes. Il explique ainsi que les gangs sont situés, c’est-à-dire qu’ils reflètent le contexte local dans lequel ils s’inscrivent. Ce sont également des structures dynamiques, qui se transforment dans le temps. Par exemple, les Ñetas ne sont pas le même groupe à New York en 1990 ou à Barcelone en 2011 ; et le rapport à l’État varie. Néanmoins, ce sont toujours des populations exclues du marché du travail, d’une forme de socialisation et souvent considérées comme étrangères. Les Ñetas sont racisés à Barcelone et à New York, où ils comptent parmi les populations les plus précaires. C’est un phénomène assez classique des sociétés capitalistes. Le terreau social est là mais attention, on ne trouve pas forcément des gangs et des gangsters dans tous les ghettos pauvres. D’ailleurs, dans les travaux du sociologue Frederic Trasher (1892-1962, Ndlr) qui a écrit dans les années 1920 aux États-Unis, les gangs n’étaient pas définis uniquement par la criminalité. C’est à partir des années 1970 et de la guerre contre la drogue déclarée par l’administration Nixon qu’ils ont été perçus sous l’angle criminel uniquement. Justement, si l’une des figures majeures des Ñetas reconnaît que « la Asociación est un mouvement de prisonniers, donc les membres ont commis des crimes », ces derniers luttent aussi contre les violences et trafics, rejoignant alors la politique de « pacification » étatique. Pourquoi les études, le discours politique et médiatique se focalisent-ils exclusivement sur les violences qu’ils exercent ? M. L. Aux États-Unis, la criminologie punitive est née dans le contexte très répressif des années 1970 puis 1980-1990 : après avoir été considérés comme la conséquence des conditions de vie des ghettos durant la guerre contre la pauvreté, les gangs en ont été présentés comme la cause, donc comme l’ennemi. D’un point de vue politique, Rudy Giuliani n’aurait eu aucun intérêt à reconnaître que des gangs ne sont pas seulement criminels et qu’ils participent à la pacification des quartiers populaires, car il voulait imposer une politique répressive. En revanche, la Mairie de Barcelone et l’État de Catalogne ont invité Bebo et des membres du gang des Latin Kings pour leur faire signer des traités de paix. Les reconnaître permettait de stopper les guerres de gangs, de les contrôler et aussi de leur faire confiance. Il valait mieux travailler avec eux que lutter contre eux. Les Ñetas parlent souvent de justice, un dirigeant vous a dit : « Être Ñeta, c’est avant tout lutter contre l’abus sous toutes ses formes, s’entraider et progresser aussi bien individuellement que collectivement afin de vivre en paix. » S’agit-il de leur idéologie ? M. L. Oui, l’un des slogans des Ñetas est Progresar y vivir en paz (« S’améliorer et vivre en paix », Ndlr). Il est inscrit sur la page principale du livre Liderato, ce qui montre son importance. À l’origine, il s’agissait de lutter contre les abus de l’administration carcérale puis cela a été étendu à tous les abus. Article complet : https://lejournal.cnrs.fr/articles/los-netas-lemancipation-par-le-crime
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Comprenez-moi bien, je ne suis pas dans l'apologie béate et naïve du féminin, d'autant que j'exècre le discours qui voudrait placer les femmes systématiquement du côté de la vie et de la naissance, et les hommes du côté de la mort et de la guerre. Mais il semble que dans les faits ça soit bien la vérité : -Il y a bien peu de prisons pour femmes ainsi que du nombre de prisonnières en comparaison du nombre de prisonniers. -L'immense majorité des homicides volontaires sont le fait des hommes. -Les femmes qui pratiquent les homicides ont en majorité commis l'infanticide sur leur propre enfant. -La testostérone présente chez les hommes augmente la proportion de leur musculature et les rend plus agressifs en général. Partagez-vous ce constat? Quelles sont les causes de cette différence, et la testostérone explique-t-elle tout?
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Le lundi 6 août 1945 au petit matin, le bombardier Enola Gay s'envolait vers le Japon avec, à son bord "Little Boy", une bombe thermonucléaire de 4,5 tonnes. Larguée au-dessus d'Hiroshima, elle provoqua la mort quasi immédiate d'environ 70 000 personnes. Les estimations du nombre total de victimes (suite aux radiations notamment) varient entre 140 000 et 250 000. Jeudi 9 août, une seconde bombe (Fat Man) était larguée au-dessus de Nagasaki. Nouveau bilan: environ 40 000 morts sur le moment, et plus de 80 000 au total. Le lendemain, le gouvernement japonais faisait parvenir au général Mac Arthur une capitulation sans conditions qui mettait un terme à la Seconde guerre mondiale. Motivation secondaire des américains. Le gouvernement souhaitait aussi, puisque ces deux armes nouvelles étaient désormais opérationnelles (l'une à l'uranium, l'autre au plutonium), les tester et montrer ainsi aux autres pays, en particulier à l'URSS, la supériorité de feu décisive qu'elles donnaient à l'Amérique. Quelles leçons tirer de cet épisode humainement douloureux ? Les questions s'accumulent depuis concernant la qualification ou la non-qualification de cet acte en crime de guerre, sachant qu'Hiroshima comme Nagasaki n'étaient pas des forteresses militaires, mais des villes industrielles composées majoritairement de civils.
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Dordogne : un père poursuivi pour une gifle au violeur de sa fille 24/05/2012 [DESC][/DESC] Les faits remontent à juillet 2010. Un couple du Sarladais vient d'apprendre que la dernière de leurs quatre enfants, une fillette de 4 ans, a été victime d'un viol. L'auteur est le fils de leurs amis, qui viennent chaque été en Dordogne. Il n'a pas 13 ans. Son jeune âge lui évitera un procès aux assises, il passera devant le juge des enfants de Nice (où il réside). Les parents ne savent pas alors que le garçon ne risque guère plus qu'une sanction éducative avec suivi socio-judiciaire. Le viol devrait être jugé à l'automne. Mais hier, les parents de la fillette étaient poursuivis. Leur avocate, Me Pascale Lascaray, ne cachait pas sa colère de les voir répondre, devant le tribunal de Bergerac, de violences envers l'adolescent. Elles ont été commises en présence de son père, qui n'a pas estimé devoir s'interposer. Mais la mère a porté plainte pour un œil au beurre noir ! Un délit en réponse au crime L'écoute attentive de la magistrate qui présidait l'audience a néanmoins permis de replacer les différents faits, le crime de l'adolescent et le délit des parents, à leur juste place. « Votre colère était légitime, mais on ne peut pas accepter la justice privée. Une engueulade, oui, des coups, non », expliquait le vice-procureur, en demandant une sanction symbolique de 300 euros avec sursis. « Il méritait une trempe ! Et la réaction de mes clients a été très retenue par rapport au viol, totalement reconnu par son auteur. Le père de l'enfant a tendu son poing en disant "si tu étais un homme, je te casserais la gueule". Mais il n'a pas frappé», plaidait Me Lascaray en demandant la dispense de peine. Le tribunal a tranché pour une peine de 200 euros avec sursis. Suite de l'article... Source: Sud Ouest
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Une boule de plus d'un mètre de diamètre qui pète à quelques pieds au-dessus du centre ville, le jour du marché. Et du centre de l'explosion, une boule de feu qui en part et grossi, souffle quelques km² en quelques secondes. Ôte quelques milliers de vie au passage, et quelques centaines d'autres dans les jours, semaines et mois à venir. Les survivants complètement carbonisés au 3ème degré sortent de chez eux sans comprendre ce qui se passe, tout nu. Belle image de la ville d'Evry ! Heuu , d'Hiroshima, pardon. Bonjour ! Vous allez bien ? Sûrs ? J'ai bon espoir que ce sera toujours le cas après la vue de ce document. Cela fait un petit moment que je l'ai observé, et me semble en avoir discutaillé avec quelques gens du fofo mais il n'y a pas de raison de ne pas le partager dans un topic en bonne et due forme. Ce documentaire répond aux questions suivantes : Quels sont les dessous de la mise au point de l'arme atomique (la naissance du Projet Manhattan, ses personnages clés et des correspondances de ceux-ci) ? Qui a financé ce chantier ? Pourquoi Hiroshima ? Pour quelle raison commettre ce crime alors que la guerre était déjà pliée ? C'est bien fait, et sourcé de A à Z ; il y a, une fois de plus, de quoi remettre en cause des tas de choses dont on nous bassine avec depuis toujours (selon moi, bien entendu). Ce documentaire ne répond pas aux questions suivantes : - Pourquoi avoir usé du personnel pour tester les éléments radioactifs (taux limite, effets...), et pourquoi avoir poursuivi ces expérimentations tout en sachant que cela mortel ? - Pourquoi les médecins US sont venus suivre les survivants d'Hiroshima, non pas pour les traiter, mais juste pour notifier les effets et la façon dont les effets de l'arme évoluaient ? - Pourquoi avoir interdit (sous peine d'avoir des ennuis) aux victimes Japonaises de parler du mal qui les atteignait, et pourquoi tout ce qui traitait, de près ou de loin, de la radioactivité et de nucléaire fut censuré dans les journaux jap au lendemain de la guerre, alors que les USA posaient leur valise là-bas ? En effet, il y a des choses desquelles aucune explication raisonnée ne peut venir à bout... bref, assez bavarder et bon visionnage. https://www.youtube.com/watch?v=9QrBmcV5LBs
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À Leicester au Royaume-Uni, des Somaliennes échappent à la prison ferme après avoir violemment attaqué une jeune femme britannique. Les agresseurs ont porté de multiples coups de pied à la tête de la victime en criant « kill the white slag » (tuez la pute blanche), sous les yeux de son petit ami essayant de la protéger mais débordé par le nombre. Les Somaliennes risquaient 5 ans de prison ferme pour ce lynchage mais n’écopent que de 6 mois de sursis, et ont été libérées par le juge... après qu'il ait entendu en circonstance atténuante qu'elles n’étaient pas habituées à consommer de l’alcool parce qu’elles sont musulmanes. Le juge n'a pas tenu compte du caractère raciste de l'agression malgré les injures proférées. Pour Rhea, la victime de 22 ans qui ne connaissait pas ses agresseurs, « Je crois vraiment qu'ils m'ont attaqué juste parce que je suis blanche. Je ne vois pas d'autres raison. » Source : Daily Mail