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BIOGRAPHIE : Aubagne, 28 février 1895, naissance de Marcel, fils de Joseph et d'Augustine Pagnol. En 1897, la famille Pagnol s'établit à Saint-Loup, dans la banlieue de Marseille. 1898, naissance de son frère Paul. En 1900, les Pagnol habitent en plein centre de Marseille, aux Chartreux. Germaine Pagnol naît en 1902 ce qui oblige la famille à déménager une nouvelle fois pour s'installer rue Terrusse. La même année, Joseph et Augustine décident de passer une partie de l'été à la Bastide Neuve, non loin de la Treille. 1909 voit naître le dernier enfant, René. Un an plus tard, Augustine meurt d'une congestion pulmonaire. En 1913, Marcel obtient son baccalauréat en philosophie (mention assez bien). Il est mobilisé à Nice puis réformé en janvier 1914. Il devient alors répétiteur aux collèges de Digne et de Tarascon. 1916 : mariage avec Simone Collin. Marcel passe cette année-là une licence de Langues et de Littérature. A partir de 1917, il est nommé professeur-adjoint dans différents collèges, puis rejoint le lycée Condorcet à Paris en 1922. A ses heures perdues, il s'essaye à la poésie et, à l'occasion d'une rencontre avec Orane Demazis en 1923, se met à écrire pour le théâtre.Marcel Pagnol décide de vivre de sa plume et abandonne l'enseignement en 1927. Ses pièces Marius (1929) et Fanny (1930) sont des succès. Pagnol se tourne dès 1930 vers le cinéma parlant. Il a une liaison avec Kitty Murphy, qui lui donne un fils, Jacques. Il quitte Paris pour Marseille en 1932, où il monte ses propres studios. Il achète, en territoire d'Aubagne, 24 hectares de terres et de garrigues, avec l'intention d'y édifier une cité du cinéma, une sorte de "Hollywood provençal", pour y tourner ses films en plein air. Joffroi (1933), Angèle (1934), Merlusse et Cigalon (1935), César (1936), Regain (1937) et d'autres succès y seront réalisés. En 1933, naissance de Jean-Pierre, fils de Marcel Pagnol et d'Orane Demazis. Yvonne Pouperon sera la mère de son troisième enfant, Francine, en 1935. En 1941, Marcel divorce d'avec Simone. 1942 voit la vente de ses studios à la Gaumont. En 1944, il est élu président de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. La même année, il rencontre Jacqueline Bouvier, qu'il épouse un an plus tard. Frédéric, quatrième enfant, nait en 1946. Marcel Pagnol est élu à l'Académie Française la même année. En 1951 naît le deuxième enfant du couple, Estelle, qui décédera trois ans plus tard. 1951 est aussi l'année de la mort de Joseph Pagnol. Marcel Pagnol publie La Gloire de mon Père (1957), Le Château de ma Mère (1959), et Le Temps des Secrets (1960). Il publie L'Eau des collines : Jean de Florette et Manon des Sources (1962), puis se consacre à la télévision en signant plusieurs adaptations. Marcel Pagnol s'éteint square de l'avenue-du-Bois, à Paris, le 18 avril 1974. Une école précoce et buissonnière. En 1897, le jeune ménage s'établit dans le logement de fonction de l'école de Saint-Loup. Lorsqu'elle allait au marché, sa mère le laissait dans la classe de son père, qui eut un jour la surprise de le voir lire couramment, alors qu'il n'avait pas cinq ans. Puis, à la rentrée 1900, Joseph étant nommé « instituteur titulaire à l'école du Chemin des Chartreux, la plus grande école communale de Marseille », la famille emménage au 54 de l'avenue des Chartreux. En 1902, les Pagnol emménagent rue du Jardin des Plantes, puis rue Terrusse, dans ce « grand rez-de-chaussée, que complétait un sous-sol, éclairé, sur le derrière, par un petit jardin », où Marcel passera une grande partie de son enfance. La Bastide neuve - printemps 2008é partir de 1904, soucieux de la santé fragile d'Augustine, Joseph décide de louer pour les vacances une « villa dans la colline, juste au bord d'un désert de garrigue qui va d'Aubagne jusqu'à Aix ». Cette Bastide Neuve, située à la sortie du village de La Treille, à la périphérie de Marseille, et ses collines constitueront ce paradis de l'enfance heureuse où se déroulent les plus beaux épisodes de ses fameux Souvenirs d'enfance. Reçu second à l'examen des bourses, il entre au lycée Thiers en 1905 où il poursuit de brillantes études, malgré une vie de demi-pensionnaire mouvementée, épopée savoureuse dont il nous régalera dans les deux derniers tomes de ses Souvenirs (Le temps des secrets, Le temps des amours). C'est là qu'il commence à écrire des poèmes qui paraîtront à partir de 1910 dans la revue Massilia. Il a pour condisciple Albert Cohen avec lequel il se lie d'amitié. Il n'a que 15 ans lorsqu'il perd sa mère, avec laquelle il entretenait une relation fusionnelle et quasi-¿dipienne. Un coup de froid ayant aggravé sa fragilité pulmonaire, Augustine meurt « des suites d'une congestion » le 16 juin 1910, à l'âge de 36 ans. Elle sera inhumée au cimetière marseillais de Saint-Pierre, puis à La Treille. Joseph s'installe alors avec ses enfants au quatrième étage du 17 cours Lieutaud. Il se remarie en 1912 avec Madeleine Julien, qui n'a que huit ans de plus que Marcel et que ce dernier acceptera très mal, au point de se brouiller avec son père. En 1913, à 18 ans, il obtient son baccalauréat de philosophie avec mention assez bien, et commence ses études de lettres à l'université d'Aix-en-Provence. Le 10 février 1914, il fonde, avec quelques copains de khâgne, la revue littéraire Fortunio (qui deviendra ensuite Les Cahiers du Sud), dans laquelle il publie quelques poèmes et son premier roman, Le Mariage de Peluque. Puis, la Première Guerre mondiale éclatant, il est mobilisé au 163e régiment d'infanterie de Nice en même temps que son ami Lili des Bellons (de son vrai nom, David Magnan), puis réformé en janvier 1915 pour faiblesse de constitution. Le 2 mars 1916, il épouse Simone Collin. En novembre de la même année, il obtient sa licence des lettres et littératures vivantes (Anglais). Nommé répétiteur d'anglais, il enseignera successivement aux collèges de Digne, Tarascon, Pamiers sur Ariège et Aix-en-Provence, avant d'être promu professeur adjoint au lycée Saint-Charles à Marseille de 1920 à 1922. Durant cette dernière année, il écrit deux drames en vers : Catulle puis, en collaboration avec Arno Charles Brun, Ulysse chez les Phéaciens. Chronologie 1889 Nomination de son père, Joseph Pagnol, au poste d'instituteur public à Aubagne 1893 Joseph Pagnol épouse Pauline Henriette (dite Augustine) Lansot, le 28 décembre 1894 Naissance de Maurice Pagnol le 2 avril à Aubagne. Décès de celui-ci le 18 août à Aubagne 1895 Naissance de Marcel Pagnol le 28 février, au numéro 16 du cours Barthélemy à Aubagne 1897 Installation de la famille Pagnol à Saint-Loup (Marseille) 1898 Naissance de son frère, Paul Pagnol (le Petit Paul) le 28 avril à Marseille (Saint Loup) 1900 Déménagement à Marseille où Joseph Pagnol est nommé à l'école des Chartreux 1902 Naissance de sa s¿ur, Germaine Pagnol le 2 février à Marseille (54 chemin des Chartreux) 1904 Premières vacances à la Bastide Neuve 1905 élève au Lycée Thiers à Marseille 1909 Naissance de son frère cadet, René Pagnol 1910 Mort de sa mère, Augustine Pagnol. Premiers poèmes dans la revue Massilia 1913 Marcel obtient le Baccalauréat de Philosophie avec mention Assez bien 1914 Fonde la revue littéraire Fortunio. Mobilisé à Nice, puis réformé pour faiblesse de constitution 1915 Répétiteur au collège de Digne, puis de Tarascon 1916 Mariage le 2 mars avec Simone Collin. Obtient la licence de Langues et Littérature Vivantes 1917 Répétiteur d'anglais au collège de Pamiers sur Ariège, puis au lycée Mignet d'Aix-en-Provence 1918 Décès de « Lili des Bellons » (David Magnan) le 23 juillet à Vrigny (Marne) 1920 Professeur-adjoint au lycée Saint-Charles à Marseille. Catulle, drame en vers 1922 Professeur-adjoint d'anglais au lycée Condorcet à Paris 1923 Rencontre d'Orane Demazis à Paris, pour qui il créera ensuite le rôle de Fanny 1926 Séparation d'avec Simone (le divorce ne sera prononcé qu'en 1941) 1930 Rencontre de Kitty Murphy, jeune danseuse anglaise, à Paris 1930 Naissance de Jacques Pagnol, qui fut son assistant après la guerre, puis cameraman pour France 3 Marseille 1932 Décès de son frère, Paul Pagnol, à l'hôpital de Courtrai (Belgique) le 28 Juillet 1933 Orane Demazis lui donne un fils, Jean-Pierre Pagnol 1935 Rencontre d'Yvonne Pouperon, sa collaboratrice dans les bureaux de la rue Fortuny 1936 Yvonne Pouperon donne naissance à Francine Pagnol 1938 Rencontre de Jacqueline Bouvier en août, qui n'entrera dans sa vie qu'en 1944. 1939 Rencontre en janvier de Josette Day. Leur liaison dure le temps de leur refuge en zone libre, à Marseille, puis à la Gaude 1941 Le divorce d'avec Simone Colin est prononcé. Acquisition du château de la Buzine 1944 Retiré dans la Sarthe avec Jacqueline Bouvier en attendant le débarquement allié 1945 Mariage avec Jacqueline Bouvier 1946 Naissance de leur fils, Frédéric. Le 27 mars, Marcel Pagnol est reçu au fauteuil 25 de l'Académie française 1951 Naissance de leur fille, Estelle. Le 15 novembre, mort de son père, Joseph Pagnol 1954 Mort de leur fille, Estelle, des suites d'une crise d'acétonémie 1974 Mort de Marcel Pagnol à Paris le 18 avril Aubagne Quelques citations célèbres « L'honneur, c'est comme les allumettes, ça ne sert qu'une fois. » « Tout le monde sait bien que c'est dans la marine qu'il y a le plus de cocus. » « Ne te fâche pas Félix. Je sais bien que si tu es cocu, ce n'est pas de ta faute. » « Si on ne peut plus tricher entre amis, ce n'est plus la peine de jouer aux cartes. » « Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer, alors, n'achetez pas un bateau : achetez une île. » « A-t-on besoin de naviguer pour vivre ? Monsieur Panisse navigue ? Non pas si bête lui, il fait des voiles pour que le vent emporte les enfants des autres ! » « Quand on n'a pas d'enfants, on est jaloux de ceux qui en ont et quand on en a, ils vous font devenir chèvre ! La Sainte Vierge, peuchère, elle n'en a eu qu'un et regarde un peu les ennuis qu'il lui a faits ! Et encore, c'était un garçon... » « De mourir, ça ne me fait rien. Mais ça me fait de la peine de quitter la vie. » « Qu'est-ce qu'ils ont à pleurer autour de mon lit... C'est déjà bien assez triste de mourir... S'il faut encore voir pleurer les autres ! » « Tu n'es pas bon à rien, tu es mauvais à tout. » Lettre à Fernandel : « Mon cher Fernand, hier dans un accès de colère je t'ai traité de pitre et de grimacier ! Mais tu sais que quelques fois dans l'agacement, on dit des choses irréfléchies !... Alors aujourd'hui que le calme est revenu et que j'ai pu réfléchir¿ je te confirme que tu n'es qu'un pitre et un grimacier ! » La Gloire de mon père Résumé Marcel Pagnol raconte son enfance, sa naissance à Aubagne et les origines de ses parents. Joseph Pagnol, instituteur, est nommé à l'école du Chemin des Chartreux et la famille s'installe à Marseille. C'est là que Rose, la soeur d'Augustine la mère de Marcel rencontre l'oncle Jules qui se fait passer auprès de l'enfant pour le propriétaire du parc Borely. Tout semble opposer l'instituteur anticlérical et antialcoolique du truculent Jules, pourtant les deux familles décident de louer une maison de campagne dans la garrigue, la Bastide Neuve pour y passer les vacances d'été. Après un long trajet dans les chemins, derrière la mule tirant les meubles et les provisions nécessaires au séjour, ils parviennent à cette petite villa située aux Bellons après le village de la Treille. Ces vacances sont une révélation pour le jeune Marcel qui tombe amoureux des collines, de sa végétation sauvage, de ses massifs de roche : Garlaban, Tête Rouge, le Taoumé... Il suit en secret Joseph et Jules partis sans lui faire l'ouverture de la chasse, et après s'être égaré, il finit par retrouver les chasseurs au son des coups de fusil tirés par son père qui abat deux bartavelles. Ce doublé magnifique fait la renommée de Joseph dans le village de la Treille, pour la plus grande fierté de son fils. La petite fille aux yeux sombres Résumé Ils sont trois, ils sont amis, ils ont vingt ans. Nous sommes au début de ce siècle et Marseille était alors - elle est encore - une des plus belles cités du monde. Le premier s'appelle Louis-Irénée Peluque : il est gardien au jardin zoologique. Le deuxième s'appelle Félix-Antoine Grasset : il est poète et philosophe, c'est-à-dire qu'il tire longuement sur sa pipe et ne fait rien. Le troisième, qui a trouvé un travail approximatif chez un éditeur, s'appelle Jacques Panier. Cette histoire est son histoire, celle des premières amours de Jacques Panier. L'amour est-il un piège que nous tend le génie de l'Espèce, aux seules fins de se perpétuer ? C'est ce que pensent Peluque et Grasset. C'est aussi l'idée de Jacques Panier, qui a juré qu'on ne l'y prendrait pas. Mais les plus belles idées ne pèsent pas lourd contre la nature, et comment rester philosophe quand on voit passer tous les jours, à la même heure, discrète, silencieuse et timide, une petite fille aux yeux sombres ? Romans, nouvelles et essais 1921 : La Petite Fille aux yeux sombres, roman 1921 : Pirouettes, (premier titre Le Mariage de Peluque), roman 1922 : L'Infâme Truc, nouvelle 1947 : Notes sur le Rire, essai 1949 : Critique des Critiques, essai 1957 : La Gloire de mon père (Souvenirs d'enfance I), roman autobiographique 1957 : Le Château de ma mère (Souvenirs d'enfance II), roman autobiographique 1959 : Le Temps des secrets (Souvenirs d'enfance III), roman 1963 : L'Eau des collines roman en deux parties : Jean de Florette, Manon des sources 1964 : Le masque de fer (remanié sous le titre Le Secret du Masque de fer en 1973), essai historique 1966 : Cinématurgie de Paris, essai 1968 : Les Sermons de Marcel Pagnol, recueil (rassemblés par le R.P Norbert Calmels) 1977 : Le Temps des Amours (Souvenirs d'enfance inachevé IV), roman autobiographique 1984 : L'Infâme Truc et autres nouvelles, recueil d'¿uvres posthumes 1984 : Secrets de Dieu, nouvelle éditée en recueil d'¿uvres posthumes Source Wikipédia.
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Bonjour à tous ! Alors voilà, j'habites en Vendée (euh en dessous de la Bretagne) et je n'aime pas du tout ce département.. Avec mon chéri, on aimerait bien venir vivre dans le sud, bon déjà pour pouvoir voir plus souvent les matchs de l'OM au vélodrome et ensuite parceque ca à l'air bien :) Mais on m'a dit que les gens du sud n'étaient pas accueillant et tout ... :/ J'espère avoir plein de témoignage :D Ciao !
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Marseille : le voile de la discorde 25/07/2012 « Beaucoup de femmes vêtues de burqa cherchent l'affrontement avec les forces de l'ordre » ... Les faits se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi, à Marseille. Vers 0 h 45, alors qu'ils se trouvent à proximité de la mosquée es-Sunna, située dans le 3e arrondissement de la cité phocéenne, des policiers aperçoivent une femme intégralement voilée. Ils décident de procéder à un contrôle d'identité, comme les y autorise la loi sur le voile intégral adoptée en 2010. Mais très vite les choses se gâtent. Louise-Marie, une jeune femme âgée de 18 ans, refuse de décliner son identité et, d'après les policiers, se met à pousser des cris, attirant une horde de curieux, empêchant ainsi tout contrôle. Une altercation éclate entre les forces de l'ordre et quelques hommes. Résultat : deux policiers blessés, un troisième mordu à la main par la jeune femme voilée. Des renforts arrivent alors sur place, quatre personnes - dont la jeune femme voilée - sont interpellées et placées en garde à vue. Elles seront finalement remises en liberté dans la nuit, avec à la clef une simple convocation. "Les autorités les ont remises en liberté, car elles redoutent des troubles manifestes à l'ordre public. C'est un scandale", confie sous le couvert de l'anonymat un policier marseillais. Suite de l'article... Source: Le Point
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Après la récente attaque d'un commissariat à Champigny-sur-Marne et celle d'un régiment de l'Armée de Terre à Castres par une trentaine d'individus, c'est au tour des pompiers de Marseille d'essuyer une attaque en règle par une quinzaine de personnes ayant fait irruption dans leur caserne pour en découdre. Des pompiers agressés dans leur caserne à Marseille. Les assaillants s'étaient rendus à Marseille pour assister à une soirée africaine organisée samedi dans la cité phocéenne. Ils sont une quinzaine à avoir fait irruption dimanche matin à 5h10, dans une caserne du bataillon des marins-pompiers. Les intrus, "apparemment en état d'ébriété", ont d'abord eu des "échanges verbaux" puis "des échanges de coups". Sept pompiers ont été transférés à l'hôpital.
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Début septembre, une dizaine de personnes, visiblement jeunes et portant pour la plupart un tee-shirt blanc à l'effigie du groupe Mouvement populaire-Nouvelle Aurore, se sont réunis autour de la stèle dédiée à Missak Manouchian et à son groupe de résistants, sur une petite place située près du Vieux-Port à Marseille. sur le site YouTube les montre dans une mise en scène chaotique, écoutant l'exposé balbutiant d'un maître de cérémonie, puis déposant un drap blanc sur le buste du résistant communiste, commandant du groupe FTP-Moi et exécuté, avec 22 de ses camarades, au Mont-Valérien en février 1944. Dans ce film de 6 minutes, volontairement flouté pour que les visages ne soient pas identifiables, les participants à cette action qualifient Missak Manouchian de « terroriste venu d'URSS pour déstabiliser la France », de « balance qui a donné tous ses collègues ». « Manouchian, grosse merde, on ne veut pas de ça à Marseille », hurle un des participants à l'action. « UNE LIGNE EST FRANCHIE » Repérée une dizaine de jours après sa mise en ligne, la vidéo a provoqué une forte émotion à Marseille. « Ce n'est pas la première profanation qui vise cette stèle, note Julien Harouyan, président de la JAF. Dans la nuit du 24 au 25 juin, une croix gammée a déjà été déposée sur le socle du buste. Mais là, une ligne est franchie. Cet acte illustre la montée de la haine raciale dans notre ville et le reflet de la montée en puissance de l'extrême droite que connaît la France aujourd'hui. .................(....................................).................................. en entier sur : http://www.lemonde.f...91363_3224.html
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Une élue et un militant FN agressés à Marseille 07/12/2011 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] Une conseillère régionale et un militant du Front national auraient été roués de coups mardi, alors qu'ils collaient des affiches aux abords d'un quartier sensible de la cité phocéenne. Le FN dénonce une "campagne d'exactions". Une conseillère régionale et un militant du Front national viennent de porter plainte pour agression. Ils auraient été roués de coup par deux individus mardi soir, alors qu'ils collaient des affiches dans une cité de Marseille, a-t-on appris mercredi de sources concordantes. Elisabeth Philippe, élue aux régionales en Paca en mars, a eu le petit doigt fracturé. Et le militant qui collait avec elle s'en sort avec le cubitus fracturé, selon une source proche de l'enquête qui n'a su donner aucun chiffre d'ITT. Leur voiture a également été endommagée. Dans un communiqué, le Front national assure que son élue a eu "les deux mains" fracturées et dénonce une "campagne d'exactions visant ses élus et militants" au niveau national. "Les blessures sont assez sérieuses" Mardi vers 21h, Elisabeth Philippe et son camarade ont déjà collé cinq affiches aux abords de la cité Air Bel, un quartier sensible de la ville, quand deux hommes arrivent à leur niveau. Ils leur tombent alors dessus et les frappent avec le manche à balai du collage avant de prendre la fuite, selon les témoignages des deux victimes, rapportés par la source proche de l'enquête. "Les blessures sont assez sérieuses", relevait mercredi le procureur de la République de Marseille Jacques Dallest, ajoutant que l'usage d'une arme (l'objet utilisé pour frapper) et l'action en réunion caractérisent un délit, passible de renvoi en correctionnelle. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale. Source: L'express
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Braquage meurtrier dans un bureau de Poste à Marseille Mercredi 31 Décembre - 13:13 [/Justifier] [Justifier] Un jeune homme a été tué lors d'une fusillade avec la police après l'attaque d'un bureau de Poste mercredi à Marseille. Trois jeunes âgés de 16 à 19 ans se sont fait remettre la caisse d'un bureau de Poste du 13e arrondissement, dans les quartiers Nord de la ville, vers 9 heures. Prenant une employée en otage, ils sont sortis de la succursale devant laquelle les attendaient une dizaine de policiers prévenus de l'attaque. "Un des malfaiteurs a alors tiré en direction de l'otage, sans la toucher. Les policiers ont riposté et ont tué l'un des braqueurs de plusieurs coups de feu", a expliqué le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest. Les deux autres jeunes ont été interpellés après une course poursuite et une fois le butin récupéré, a indiqué la police qui précise que les trois agresseurs étaient connus des services de police pour des faits de délinquance. En état de choc, la guichetière retenue en otage a été prise en charge par les marins-pompiers. lepoint.fr (avec agence) Suite de l'article... Source: lepoint.fr