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Coucou par ici. Je viens vers vous car je me retrouve confronter à un souci qui, pour moi, n'en est pas, mais en serait un pour le DITEP dans lequel mon fils de bientôt dix ans par une moitié de ses journées la semaine pour un trouble du comportement reconnu par la MDPH (Maison Départementale des Personnes handicapées). Depuis la mi-décembre, mon Loustique a le droit de se promener tout seul dans le quartier en fin de semaine et quand il fait jour, que se soit à pied ou en vélo et à l'occasion, il en profite pour aller voir les copains au parc à proximité de l'école (il s'avère qu'il n'est pas scolarisé dans son école de secteur mais cela est du à notre arrivée en cours d'année scolaire quand il avait trois ans et qu'à son entrée en CP, mon mari et moi voulions qu'il reste dans le même groupe scolaire pour lui éviter de nouveaux changements), qui se trouve à 10 minutes de la maison. On lui impose une sortie d'une heure, montre au poignet et il respecte bien cette heure de retour. Je sais qu'au cours de ses pérégrinations dans le quartier, en plus de voir les copains, il en profite pour faire ses petites emplettes de bonbons et de matériel scolaire quand il lui manque quelque choses. Jusque là, rien d'inquiétant mais pour le DITEP qui accueil mon fils, cela est problématique car d'après eux, un enfant de neuf ans et demi de devrait pas se promener seul car il l'estime encore petit et qu'il n'aurait pas la maturité pour cela (je veux bien, mais comment faire quand il doit rentrer seul le lundi de l'école car je termine le travail à 20h et que mon mari est en déplacement professionnel en début de semaine ?) Mon fils arrive à un âge où il commence à vouloir être plus indépendant et autonome et je veux bien répondre à cette demande avec un cadre posé et précis (respect du périmètre de promenade, respect de l'heure de départ et d'arriver, ne pas parler à des inconnus dans la rue, m'appeler quand il se retrouve seul à la maison quand il rentre de l'école où du DITEP quand je ne suis pas à la maison) mais si on me dit que cette demande n'est pas encore de son âge, je me vois mal lui expliquer le contraire de sa demande que mon père et moi lui autorisons. Je suis pour moins septique les arguments du DITEP mais cela me travaille et je n'arrive pas comprendre pourquoi. Mais la question qui me vient à l'esprit est de pourquoi limiter la demande d'autonomie d'un enfant de neuf ans et demi s'il en est demandeur et que celle-ci est cadrée par des règles.
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le justicier Mon fils je ne peux pas retourner la terre cette année, je sais que si tu n’étais pas en prison, tu m’aurais aidé. Aujourd’hui je suis trop vieux, je ne peux pas le faire tout seul. Le fils lui avait répondu, qu’il ne doit pas planter les pommes de terre car il a planqué l’argent dans le jardin. Les autorités de la prison en interceptant la lettre ont vite fait de labourer tout le jardin, mais ils n’ont rien trouvé. Le jour suivant le fils écrit à son père ! - Maintenant plante tes patates papa, c’est le mieux que je puisse faire d’ici. Tu m’emprisonnes, mais mes idées et ma sagesse resteront en liberté. Tu peux mettre tout un peuple derrière les barreaux ils auront en plus la hargne de reprendre ce qu’ils ont perdu, LA LIBERTE car les pensées et les actions font des miracles
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Bonjour, je dois trouver un plan pour répondre à cette problématique en philosophie. J'ai déjà fait une analyse préalable, mais j'aimerais d'abord prendre connaissance de vos éventuelles idées. Je pense par exemple, une partie sur : est-ce que le travail nous libère t-il de la nature que pour nous asservir à la technique ou bien : - Il ne nous asservit pas à la technique - Il nous asservit à autre chose - Le travail ne nous libère pas de la nature mais nous asservit quand même à la technique J'aimerais vraiment avoir d'autres points de vue, pour éviter de faire un hors sujet ou alors manquer des éléments importants. Merci beaucoup.
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La liberté se trouve-t-elle dans la limitation du pouvoir individuel en faveur du bien-être collectif? Si oui, ce collectif ne se cantonne-t-il qu'à l'humanité? Oui ou non, pourquoi?
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Naissance de l'existence . Le miroir se brise, maman me regarde étonnée. -Ou vas tu mon chéri? -Sais pas, papa, a ba, levant son petit bras en direction du jardin... Attention Amour vas doucement ne te fais pas mal. Elle le regarde s'éloigner, à mi pattes mi genoux, à mi ventre, il trace son chemin. C'est sa premiere escapade, il n'y pense même pas ... Son intuition lui commande de pousser jusqu'au fond du jardin; pas si facile se dit il à mi course. Il se retourne, maman ne l'a pas quitté des yeux. Leurs deux existences ont basculé en un instant. Papa vient juste de rentrer. Vite, poser la veste, ou plutôt la jeter sur le canapé, et rejoindre le fond du jardin. Les Alteas qu'il avait commandé avaient été enfin livrés.. Pas une minute à perdre, les plantations n'attendrons pas. Le moment tant attendu était arrivé. Une semaine entière de vacances, le rêve, revivre, exister enfin. Maman les observe de loin. De longues semaines seule dans cette magnifique demeure, occupée à si peu de choses. Son petit monde est aujourd’hui réuni. Elle sourit, la douceur du printemps, les senteurs, le bruissement des feuilles dans les arbres. Elle lève les yeux, tout est si doux maintenant, une existence de rêve. Saxo
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Le bien et le mal sont contextuels, ils changent avec l’époque et le lieu. Le bien et le mal conditionnent les peuples en fonctions des lieux et des époques. Le bien et le mal sont des valeurs morales non immuables. (Exemple : Le pape Nicolas V à considéré l’esclavage de l’Afrique comme une bonne chose et l’a légalisé à l’époque l’esclavage et a permis que s’effectue la traite négrière, ainsi à cette époque l’église à permis l’un des plus grands drames de notre ère en considérant ceci comme « bien »). Ainsi pour être libre, nous ne considéreront pas les choses en termes de bien et de mal, car ceci n’a aucune valeur réelle. La morale change avec les gens et les époques. Ainsi dans une quête sincère du bonheur et de liberté , les critères moraux ne peuvent être pris sérieusement en compte. D’autres critères devront alors entrer en jeu… https://donnerunsensalavie.home.blog/2019/11/24/la-liberte-a-legard-de-la-morale/
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La marque Decathlon fait face aux critiques ce mardi 26 février après avoir annoncé la commercialisation prochaine, en France, d'un "hijab de running" à destination des femmes voilées qui souhaitent pratiquer la course à pied. Mais qu'en pensent les principales concernées ?L'association féministe et antiraciste Lallab répond à LCI. L'affaire aurait pu en rester là. Circonscrite, sur les réseaux sociaux, à deux ou trois tweets rageurs. Mais le désormais célèbre "hijab de running", bientôt proposé à la vente par le groupe Decathlon en France, a finalement accédé, en quelques heures, au rang de polémique. Source et suite de l'article
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Bonjour, Hier c'était la journée contre l'homophobie... On rappelle, encore une fois, que le terme est déformé en voulant dire qu'un homophobe est quelqu'un de haineux envers la "cause" des gays et des lesbiennes. Mais la "phobie" ne se contrôle pas, ni ne se soigne, la phobie c'est la peur, la peur qui vient du plus profond de soi sans savoir pourquoi. Il y a des gens qui ont la phobie des rats, souris, araignées et même des bananes, c'est dire si ce n'est pas voulu ! Il y a aussi des gens qui peuvent vomir face à certaines visions, pensées, etc... J'ai vu, par exemple, une personne allant jusqu'à vomir devant du pain trempé dans de l'eau ! Bref, tout cela pour dire que si dans la nature il existe des personnes attirées l'une vers l'autre malgré le même sexe, il existe des gens qui peuvent être perturbé par cette idée. Alors je pose la question, sans avoir de haine à l'égard des gays et des lesbiennes: A-t-on le droit de ne pas accepter le concept et de ne pas soutenir, ni adhérer à leur cause ?
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Hello... Suite à toutes ces discussions politiques qui me gonfle au plus haut point... Je me posais une question, vu que l'on sait parfaitement que l'on décrit le français moyen comme étant raciste, n'aimant pas et n'ayant pas envie de partager avec ceux qu'il décrit comme étant, à ses yeux, des étrangers. Si en France, on avait le droit d'être raciste ? Raciste veut dire: Avoir le droit de penser librement que l'étranger n'a pas à recevoir d'aide de la France, que l'étranger vole le boulot des français et fait augmenter le chômage, etc... Avoir juste le droit, de le penser ! Est-ce que la France offre cette liberté à ses citoyens ?
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Hello tout le monde... Je n'ai pas de camp et je n'en choisi pas un, mais je trouve que la démocratie en prend un sérieux coup, lorsque les journaux quasi dans leur ensemble, ne s'exprime que contre le FN et ses partisans ! Je regardais hier, l'émission "quotidien" et je dois dire que là, vraiment, à part casser du FN, je ne voyais rien d'autre ! Alors je pose la question: "Et si un jour, ça n'était plus sale de voter FN", le FN gagnerait-il les élections ? Paradoxalement, on n'a pas arrêté de parler des élections en Turquie où l'opposition était sous pression et que tous les gens votant pour l'opposition devaient se faire discret, alors que l'Europe les soutient totalement ! Voilà qu'en France, il faut se faire discret lorsque l'on vote FN !!! Drôle de monde quand-même !
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1] Le voile islamique est-il un choix ? L'islam dicté par les intégristes*, laisse-t-il le choix aux femmes, de porter (ou pas) le voile* ? Si oui, c'est dit où ? Merci pour l'information. 2] Le voile islamique doit-il être un choix ? Métaphore: Un enfant a-t-il le droit d'avoir le choix de se couper une jambe, ou de couper la main du voisin ? Autrement dit: Faut-il donner le droit de choisir, à des gens qui n'ont pas les moyens d'être juge* ? 3] Le voile islamique est-il un signe misogyne ? Pourquoi ne touche-t-il que les femmes musulmanes intégristes ? Pourquoi faut-il utilisé un vêtement pour cacher les femme musulmanes intégristes ? 4] Le voile islamique, c'est quoi pour vous ? C'est bien d'avoir un avis, sur ce genre de sujet. Mais un avis, c'est comme le trou du cul, tout le monde en possède un ! Alors pour cette question, je vous demanderais de sourcer votre avis, ou de détailler la construction logique qui vous à amener à l'avoir. Merci Avis de l'auteur: Personne ne devrait être obligé de suivre un culte (matériel), pour devenir croyant (spirituel). C'est quoi ces divinités à la noie ? Le Hidjab est un vêtement comme un autre, ce n'est pas le problème. Le problème du Hidjab, c'est son symbole misogyne, prosélytique et totalitaire, instrumentalisé par certains cultes. Quant aux Tchador, le Niqab, la Burqa, ou le Burkini, se sont des objets qui viennent du moyen-âge (ou d'escroc misogyne), et qui n'ont pas leur place dans les civilisations qui essaye d'améliorer les droits et l'image de chacun (ce n'est pas facile, il y a des dérives dans tous les sens, mais ça se travaille). Enfin, mise à part la religion. Quand une femme (ou tout humains) porte le voile (ou tout autres vêtements excessifs remettant en cause mon regard) en ma présence, je me sens insulté ! Je suis un homme hétérosexuel, donc les femmes m'intéressent dans une relation; mais je suis avant tout un être humain qui se veut réfléchit et respectueux ! La femme sans le voile n'est pas une "tentatrice", c'est un être vivant, ensuite une humaine, et enfin une femme. Je respecte les femme, donc je souhaiterais que certaines intégristes ne m'imposent pas leur intolérance vis-a-vis de ma capacité de contrôle, et/ou de respect. *: Il n'y a pas une seule façon de croire en Allah ! Certains sont extrémistes, quelques uns pratiquent un peu, et d'autres musulmans sont non-pratiquant, etc. Personne n'est obligé de suivre un culte, pour devenir croyant. Et heureusement d'ailleurs. La religion musulmane n'est pas une dictature. Si ? C'est pour ça que je parle de "l'islam des intégristes". Cela ne concerne pas tous les musulmans, seulement les intégristes. *: Je parles de ceci: *: Difficile de comprendre "la misogynie", dans une culture où le rabaissement de la femme est normal. Beaucoup de femmes à travers le monde, et différentes cultures, sont conditionnés à croire qu'elles ne peuvent pas être l'égale (en société) d'un homme. Est-ce raisonnable d'être juge, bourreau et victime en même temps ? Le QI, le niveau d'étude, la notoriété, la richesse, ou la beauté n'ont aucune influence sur ces questions. Personne n'est parfait, n'importe qui, peut se faire avoir.
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En effet, il paraît insensé qu'un être infiniment heureux, puissant et omniscient ait éprouvé le besoin de créer l'univers. Toute une série de question si elles sont bien posées permet de mettre en lumière que quelque chose ne tourne pas rond dans le monothéisme. Sans même tomber dans une régression à l'infini (Qui a créé Dieu? etc...) tout acte nécessite le manque, et si l'univers avait bien un but, quel pourrait-il être? L'univers étant un outil au service de Dieu, que chercherait-il à obtenir en créant l'univers? Cela n'implique-t-il pas un manque chez lui et donc une imperfection? Quel peut-être le but de la création de l'Univers s'il n'y a rien en dehors de Dieu et de l'univers? Il n'y a qu'une seule réponse possible : l'univers est utile à Dieu, puisqu'il n'y a que Dieu à part l'univers dans les existants. Dans tous les cas, et c'est là où je veux finalement en venir, il y a une profonde contradiction entre l'idée d'un dessein/objectif divin et l'idée de la liberté humaine. Un Être parfait et tout puissant a-t-il vraiment besoin de l'univers pour atteindre son objectif? La liberté humaine ne menace-t-elle donc pas ses desseins? Si la liberté humaine est indifférente à l'objectif de la création, pourquoi avoir créé l'Homme et en avoir fait le sommet de la planète, alors que la toute puissance de Dieu aurait dû lui permettre d'obtenir le même résultat plus simplement?
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Hier je zappais entre BFMTV et itélé et j'ai soudain entendu un invité parler d'un Patriot Act à la française avec toute les dérive que cela a provoqué au USA... Quel choc ! Si les armes et la sécurité est de culture américaine, ce n'est, à mon avis, pas la notre. Seriez-vous près à sacrifier un peu de votre liberté pour plus de sécurité ?
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Comme tout français passionné par la france et son histoire, certains " grand personnages " étaient pour moi dans le panthéon des monstres sacrés. Mais là, depuis quelques années, et de plus en plus aujourd'hui, un grain de sable fiche en l'air la mécanique. Ce sont en fait ces ' déclarations ' qu'ont faites ces ' héros ' qui ternissent leurs auras : " On ne peut se mettre dans l'idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une ‚âme, surtout une ‚âme bonne, dans un corps tout noir. (...) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. " Montesquieu " Je vous défie de soutenir jusqu'au bout votre thèse qui repose sur l'égalité, la liberté, l'indépendance des races inférieures. Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. " Jules Ferry " En Afrique les filles foisonnent, mais elles sont toutes aussi malfaisantes et pourries que le liquide fangeux des puits sahariens " Guy de Maupassant. etc... etc... etc... Ce qui m'aidait à assumer toutes les nuances possibles chez ces personnages, était le grand argument du " contexte historique " mais à vrai dire, ce prétexte ne suffit plus pour parvenir à les garder sur leurs des piédestaux, pour la simple raison que certains êtres humains baignant dans les mêmes dogmes ou des plus anciens et archaïque encore se sont montré plus ' éveillés et plus pointus ' dans leurs raisonnement et façon d'interagir avec le monde, exemple : " L' Afrique est le berceau du raisonnement scientifique " ( jean michel champolion ) " Les Français veulent l'égalité, et quand ils ne la trouvent pas dans la liberté, ils la souhaitent dans l'esclavage. " ( Alexis de Tocqueville ) " cette race d'hommes noirs, aujourd'hui notre esclave et l'objet de nos mépris, est celle-là même à qui nous devons nos arts, nos sciences et jusqu'à l'usage de la parole ". ( Compte de Volney ) Comment faites vous pour assumer la face obscure de notre histoire ?
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Voilà je voudrais soulever un débat que je trouve très fréquent, on parle souvent de Liberté, pourtant dès qu'on tente de la définir on se rend compte que chacun à une définition différente du concept.. alors pour vous, en quoi consiste la liberté? 1) Pour les anarchistes, la liberté c'est pouvoir faire ce qu'on veut, quand on le veut, vivre sans Dieu ni maître. L'ordre venant uniquement de la liberté, un gouvernement ne peut qu'entrainer le désordre. 2) Pour Kant, la liberté se trouve dans l'autonomie (=se donner une loi à soi-même), et assimile liberté et morale. Nous sommes libres uniquement quand nous agissons moralement, l'action morale étant donné par ses impératifs catégoriques (ex : "Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être ériger en loi universelle"). En gros, pour être libre il faut viser le Bien. 3) Les stoïciens considèrent que l'univers obéit à un ordre inéluctable, et que tout le monde y obéira quoi qu'il advienne. Pour eux, la seule liberté possible consiste en la manière dont on reçoit et accepte son destin. Pour prendre une image : le monde est un théâtre, chacun a un rôle qu'il est obligé de jouer, la seule liberté consiste à choisir si on joue notre rôle de bon gré ou mal gré. 4) Sartre défend l'idée que l'homme n'a pas de nature pré-définie et est libre de se définir lui-même par ses choix. Cette liberté implique une responsabilité, dans le sens où l'homme établit un modèle pour l'humanité entière en choisissant de se définir de telle ou telle manière. On ne peut pas échapper à sa liberté de choix, et invoquer des motifs pour tenter d'y échapper c'est faire preuve de "mauvaise foi". Pour le citer : "L'homme est condamné à être libre." 5) L'homme ayant peur de se confronter à la Vérité (l'homme est assujetti à toutes sortes de règles), il invente un concept qu'il appelle Liberté pour se soulager. 6) De nos jours, plus on est riche, plus notre choix d'activité s'élargit. Ainsi, l'argent nous permet d'avoir un toit, de se nourrir, de mieux vivre. Plus on a d'argent, plus on est libre de faire ce qu'on a envie de faire. 7) Une autre réponse, à préciser en commentaire... P.S : j'ai essayé de défendre chacun de ces points de vue du mieux que j'ai pu, sans tenir compte du mien (je penche nettement du côté de Sartre), mais vous pouvez bien évidemment compléter/améliorer
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Peut-on tout dire sur Internet et de n’importe quelle manière ? Jusque-là, il était difficile de répondre à cette question. Le web est mondial et, selon l’endroit d’où l’on publie et où se trouve les serveurs qui hébergent les informations, loi ne s’applique pas de la même manière. Pour preuve, l’affaire des tweets antisémites ou homophobes qui sont légaux aux États-Unis, où se trouve Twitter, et interdit en France par le code pénal. Ces dérapages qui viennent de se régler devant les tribunaux ont conduit le gouvernement à lancer une réflexion sur la liberté d’expression sur Internet. Selon Médiapart, qui révèle cette information, la sénatrice écologiste Esther Benbassa a été chargée d'animer un groupe de réflexion dont les travaux devraient déboucher sur le dépôt, à la rentrée prochaine, « d'une loi nouvelle sur la liberté de l'internet ». "Domestiquer" la liberté d'expression en ligne Le site indique aussi que parmi les pistes de réforme déjà évoquées, figure notamment une réforme en profondeur de la loi sur la liberté de la presse de 1881. En touchant à ce texte sacro-saint, il s’agit de « faciliter la répression des propos sur les réseaux sociaux, ou encore l'obligation pour chaque site ou plateforme de se doter d'un « directeur de la publication » responsable devant la loi de tous les contenus publiés. » Sur son blog, la sénatrice ne cache pas cette intention même si elle tente de rassurer les défenseurs de la liberté du Net : « Il n'est pas question de limiter [la liberté], mais d'en tracer prudemment les contours, comme il est déjà en général d'usage dans la presse. » Par contre, elle affirme clairement que selon elle, « La loi sur la liberté de la presse de 1881 n'est plus appropriée aux nouvelles technologies. » Quant au premier amendement de la constitution américaine sur lequel s’appuient les réseaux sociaux pour expliquer qu’ils ne peuvent, ni ne veulent, filtrer certains propos, Mme Benbassa répond par les différences culturelles avec l’Europe. « Nous ne sommes pas élevés de la même façon qu’aux États-Unis. On n’a pas la même société, on n’a pas la même vision. Nos enfants ne sont pas éduqués dans cette liberté d’expression. Nous n’avons pas su la domestiquer comme les Américains l'ont fait. C’est pour cela que nous avons besoin de légiférer. » Face à cet aveu d'échec de la société française, la sénatrice ne dit pas si elle compte proposer un cours pour apprendre aux jeunes à mieux utiliser cette liberté. http://www.01net.com/editorial/587171/la-france-veut-une-loi-pour-encadrer-la-liberte-d-expression-sur-internet/
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Cette après-midi, sur les bancs de l'amphi, j'ai trouvé un charmant tract (avec en guise d'en-tête, l'aigle ci-dessus). En fait, il avait été distribué à pas mal de mes camardes (Université d'Avignon et pays du Vaucluse, site Sainte-Marthe, centre-ville) Dans l'ennui morbide qu'est mon cours de socio, je décidai donc de le lire, (oui je suis maso), et je vais tâcher de vous recopier le texte en intégralité (je mettrais un scan du tract dès vendredi soir, mais la j'ai pas de scanner sous la main). "Notre mouvement a pour objectif de défendre les principes fondamentaux sur lesquels notre nation a été établie. Notre peuple ne doit plus être le peuple du déshonneur, de l'autodestruction et du manque de foi, il doit redevenir fort. Fort dans son esprit, fort dans sa volonté, fort dans sa ténacité, fort dans son sens du sacrifice. Sa pérennité constitue le but suprême de notre combat. Nous devons mettre toutes nos forces dans la lutte nationale, la flamme sacrée qui nous anime ne s'éteindra jamais ! Notre mission est de détruire un par un les vices qui empoisonnent notre race et la maintiennent dans l'ignorance et la servitude. Nous combattons ainsi les principes de la révolution bourgeoise dite "Française" de 1789,avec ses droits de l'homme et leur fausse conception de la liberté. Ce n'est qu'en rupture totale avec la démocratie que nous pourrons donner à nos enfants le bien le plus précieux qui nous a été arraché: notre patrie. L'engeance destructrice qui s'est emparée de l'ensemble de notre pays est en mesure de saisir les postes clés de notre vie intellectuelle et spirituelle, mais aussi de notre vie économique et politique. De ces positions clés, elle contrôle et surveille toute la nation. Pour l'anéantir, une seconde révolution nationale doit s'élever au plus vite, il en va de la survie de notre nation et de notre civilisation. "Courage on les aura !" Philippe Pétain" Voilà ce qui circule aux portes des amphis. Même mes potes qui votent FN trouvent ça débile, moi-même je pas tellement à droite, devant l'énormité de la chose...je me suis demandé si c'était pas une connerie, une blague...et bien non Lien vers le site des jeunesses nationalistes Leur exploit figure tout en haut, première page... Mes idées sont mes idées, mais j'essaye de rester ouverte à la discussion...mais citer Pétain...c'est un peu inacceptable. En attendant d'en toucher deux mots en doyen, vous qu'en pensez vous ? NB: Je ne publie pas ce topic pour diaboliser le FN...j'ai bien conscience que tout ceux qui s'en revendiquent ne vont pas jusque là dans le délire, enfin je l'espère. Finalement, j'ai fait une capture d'écran aussi, à partir du site:
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L'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo consacre la une de son édition du 19 septembre aux manifestations qui agitent le monde musulman depuis une semaine. Avec le ton qui lui est propre, le journal publie de nouvelles caricatures de Mahomet, dont certaines – en quatrième de couverture surtout – mettent en scène le prophète musulman dans des positions particulièrement osées. Une publication qui inquiète le ministère de l'intérieur, dans un contexte particulièrement tendu. Quand je vous dis que la liberté d'expression diminue. Le 1er ministre désapprouve (a t'il un mot à dire sur la presse?), Fabius condamne (idem). Même le gouvernement dit que c'est mal de dessiner...
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Au sens habituel, le blasphème se définit comme une offense verbale (orale ou écrite) contre une religion en générale ou l’un de ses dogmes en particulier. Ce caractère verbal distingue le blasphème du sacrilège, qui consiste en un acte offensant une religion. Pratiquement, cette distinction importe peu, car blasphème et sacrilège provoquent souvent les mêmes réactions, allant jusqu’à la mise à mort. Du point de vue religieux, se pose la question de savoir ce qui constitue le caractère offensant du blasphème ; autrement dit : où finit la “simple” critique, celle qu’on peut et même qu’on doit accepter, et où commence l’offense (le blasphème) et donc l’inacceptable ? Le simple fait de dire « Dieu n’existe pas » constitue-t-il par exemple un blasphème ? Dans les faits, le blasphème n’est la plupart du temps considéré comme tel que s’il comporte une dimension jugée “violente”, méprisante ou simplement humoristique (indépendamment du bon ou du mauvais goût de cet humour). Il semble donc que ce soit moins le contenu d’une idée que la manière dont elle est exposée qui constitue le blasphème.
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Bonjour à tous :) Je me demande ce qui représenterait le mieux une notion de liberté, dans le sens (re) prendre sa liberté, briser ses chaînes? Si vous êtes inspirés, merci de partager :)
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J'aimerais comprendre pourquoi nous voyons dans nos rues en France de plus en plus de femmes qui portent le voile. En France les femmes sont libres alors que dans les pays musulmans les femmes se battent pour ne plus porter le voile. Pourquoi les femmes en France veulent porter le voile alors que dans les pays musulmans elles se battent pour l'enlever et avoir plus de considération ?
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Quand Claude Guéant compare les civilisations Dimanche 05 Février - 02:08 Le ministre de l’Intérieur a soutenu que "toutes les civilisations ne se valent pas", hier lors d’un colloque organisé par le syndicat étudiant UNI. Des propos vivement controversés. [/TAB]"Contrairement à ce que dit l'idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas". "En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation". Ces deux phrases figuraient dans le texte d'un discours prononcé hier par Claude Guéant à l’Assemblée nationale, devant des membres de l’association d’étudiants UNI. L’entourage du ministre de l’Intérieur a confirmé l’authenticité de ces citations. [TAB] Le ministre de l’Intérieur, également chargé de l'Immigration, a développé la comparaison des civilisations : "Celles qui défendent l'humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l'égalité et la fraternité, nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique". [...] Ce discours aurait pu rester inconnu. Les convergences (c’est le nom de ces réunions de l’UNI) ne sont en effet pas ouvertes à la presse. Suite de l'article... Source: France Info
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La liberté d'expression bientôt crime international !
faits-dhiver a posté un sujet dans International
Article traduit du site Mon lien L’Union européenne a proposé d’accueillir la prochaine réunion du Processus dit d’Istanbul, une tentative agressive des pays musulmans de faire de la critique de l’islam un crime international. L’annonce intervient moins d’un mois après que les États-Unis aient organisé leur propre Conférence du Processus d’Istanbul à Washington. Le Processus d’Istanbul – son but explicite est d’inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l’islam et/ou de la charia islamique – est dirigé par l’Organisation de la coopération islamique (OCI), un bloc de 57 pays musulmans. Basée en Arabie saoudite, l’OCI a longtemps fait pression sur l’Union européenne et les États-Unis pour imposer des limites à la liberté de parole et d’expression sur l’Islam. Mais maintenant l’OCI redouble d’efforts et elle s’est engagée dans une offensive diplomatique décisive pour convaincre les démocraties occidentales de mettre en œuvre au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (CDH) la Résolution 16/18 qui appelle tous les pays à lutter contre « l’intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation de… la religion et de la croyance ». (On peut trouver ici et ici des analyses sur la guerre de l’OCI contre la liberté d’expression). La Résolution 16/18, qui a été adoptée au siège du CDH à Genève en mars 2011, est largement considérée comme une avancée significative dans les efforts de l’OCI pour faire progresser le concept juridique international de diffamation de l’islam. Toutefois, la résolution du CDH – ainsi que la résolution 66/167 parrainée par l’OCI qui a été discrètement approuvée à l’Assemblée générale du 19 décembre 2011 par les 193 membres des Nations Unies – reste sans effet tant qu’elle manque du soutien solide de l’occident. L’OCI a donc réussi un coup diplomatique lorsque l’administration Obama a accepté d’accueillir à Washington du 12 au14 décembre 2011 une conférence de trois jours du Processus d’Istanbul. Ce faisant, les États-Unis ont donné à l’OCI la légitimité politique qu’elle cherchait pour mondialiser son initiative visant à interdire la critique de l’islam. En suivant l’exemple de l’administration Obama, l’Union européenne veut maintenant entrer en action en organisant le prochain sommet du Processus d’Istanbul prévu pour juillet 2012. Jusqu’à présent, l’Union européenne avait maintenu l’initiative de l’OCI à distance. Mais Ekmeleddin Ihsanoglu, Secrétaire général de l’OCI, déclare que l’offre de l’UE d’accueillir la réunion représente, selon l’Agence internationale islamique d’informations (IINA), organe officiel de propagande de l’OCI, un « changement qualitatif dans la lutte contre le phénomène de l’islamophobie ». Selon l’IINA, « On trouve le phénomène d’islamophobie dans l’Occident en général, mais il se développe dans les pays européens en particulier et de façon différente de celui des États-Unis qui ont contribué à la rédaction de la résolution 16/18. La nouvelle position européenne représente le début du changement de sa réserve antérieure durant des années, par-dessus les tentatives de l’OCI, pour contrer la « diffamation des religions » au Conseil des droits de l’homme et à l’Assemblée générale des Nations Unies. L’enquête de l’IINA se poursuit : « Les fonctionnaires du Département des affaires culturelles de l’OCI ont déclaré que la proposition de l’Union européenne d’accueillir la troisième réunion (la première se tenait à Istanbul en juillet et la seconde à Washington en décembre) est considérée comme une nouvelle possibilité prometteuse de résoudre ce problème. En organisant la réunion en Europe qui est plus touchée par le phénomène de l’islamophobie et de l’hostilité envers l’islam, le « Processus d’Istanbul » prendra un élan supplémentaire. » L’OCI est particulièrement irritée par son incapacité à faire taire le nombre croissant d’hommes politiques démocratiquement élus en Europe qui ont exprimé leurs inquiétudes sur le refus des immigrés musulmans de s’intégrer dans leur pays d’accueil et la création qui s’ensuit de sociétés islamiques parallèles dans de nombreuses parties de l’Europe. Selon l’IINA, « M. Ihsanoglu » a déclaré « que le rôle croissant en politique de l’extrême droite dans plusieurs pays européens est devenu plus fort que la capacité de l’Organisation (OCI) à expliquer que l’extrême droite, qui (sic) déteste les musulmans, est devenue un levier dans les mains des hommes politiques. Il a ajouté que la montée de l’extrême droite par des élections est devenue une question qu’on ne peut pas contrecarrer compte tenu de la façon démocratique dont ces extrémistes accèdent à leur fonction. Il a souligné le référendum organisé en Suisse comme exemple qui a entraîné là-bas la suspension de la construction de minarets à la suite d’un vote des Suisses. » En d’autres termes, l’OCI est maintenant à la recherche de soutiens de fonctionnaires non-élus au siège de l’Union européenne à Bruxelles pour promulguer une législation paneuropéenne du discours de haine pour limiter par décret ce que 500 millions de citoyens européens – y compris les hommes politiques démocratiquement élus – peuvent et ne peuvent pas dire à propos de l’islam. Il est certain que de nombreux pays européens qui sont dépourvus des protections du Premier Amendement comme aux États-Unis ont déjà promulgué des lois contre les discours haineux qui servent effectivement de procurations pour la législation universelle du blasphème que l’OCI cherche à imposer à l’Union européenne dans son ensemble. En Autriche par exemple, une cour d’appel a confirmé en décembre 2011 la condamnation politiquement correcte d’Élisabeth Sabaditsch-Wolff, femme au foyer viennoise et militante anti-djihad, pour « dénigrement des croyances religieuses » après qu’elle eut donné une série de séminaires sur les dangers de l’islam radical. La décision a montré que si le judaïsme et le christianisme peuvent, dans l’Autriche postmoderne multiculturelle, être dénigrés en toute impunité, dire la vérité sur l’islam est soumis à des sanctions juridiques rapides et lourdes. En Autriche également, Susanne Winter, une femme politique autrichienne membre du Parlement, a été condamné en janvier 2009 pour le « crime » de dire que « dans le système actuel » le prophète islamique Mahomet serait considéré comme « pédophile », en référence à son mariage avec Aïcha. Winter a été également reconnue coupable de « provocation » pour avoir dit que l’Autriche était confrontée à un « tsunami d’immigration islamique ». Winter a été condamnée à payer une amende de € 24.000 (31.000 $), et à une peine de prison avec sursis de trois mois. Au Danemark, Lars Hedegaard, le président de la Société Free Press International, a été reconnu coupable en mai 2011 par un tribunal danois, de « discours de haine » pour avoir dit dans une interview enregistrée qu’il y avait une forte incidence des viols d’enfants et de violence domestique dans les zones où domine la culture musulmane. Les commentaires de Hedegaard, qui a attiré l’attention sur les conditions de vie horrible de millions de femmes musulmanes, a violé l’article 266b tristement célèbre du code pénal du Danemark, une disposition fourre-tout que les élites danoises utilisent pour faire respecter les codes du discours politiquement correct. Hedegaard a fait appel de sa condamnation devant la Cour suprême danoise, où l’affaire est actuellement en instance. Également au Danemark, Jesper Langballe, un politicien danois membre du Parlement, a été reconnu coupable d’incitation à la haine en décembre 2010 pour avoir dit que les crimes d’honneur et les abus sexuels se produisent dans des familles musulmanes. La possibilité de prouver ses affirmations a été refusée à Langballe car en vertu du droit danois, peu importe de savoir si un énoncé est vrai ou faux. Tout ce qu’il faut pour une condamnation c’est que quelqu’un se sente offensé. Langballe a été immédiatement condamné à payer une amende de 5000 couronnes danoises (850 $) ou à dix jours de prison. En Finlande, Jussi Halla-aho Kristian, un homme politique et commentateur bien connu, a été traduit en justice en mars 2009 sur les accusations de « provocation contre un groupe ethnique » et de « violation du caractère sacré de la religion » pour avoir dit que l’islam est une la religion de la pédophilie. Un tribunal d’Helsinki a ensuite abandonné l’accusation de blasphème mais a donné l’ordre à Halla-aho de payer une amende de 330 € (450 $) pour avoir semé le trouble sur un culte religieux. Outré par le rejet des accusations de blasphème par la Cour, le procureur public finlandais a fait appel devant la Cour suprême finlandaise où l’affaire est maintenant en cours de révision. En France, le romancier Michel Houellebecq a été poursuivi en justice par les autorités islamiques des villes françaises de Paris et de Lyon pour avoir appelé l’islam « la religion la plus stupide » et pour avoir dit que le Coran est « mal écrit ». Au tribunal, Houellebecq (se prononce Wellbeck) a dit aux juges que bien qu’il n’avait jamais méprisé les musulmans, il n’avait que mépris pour l’Islam. Il a été acquitté en octobre 2002. Toujours en France, Brigitte Bardot, la célèbre actrice qui s’est lancée dans la croisade pour les droits des animaux, a été condamné en juin 2008 pour « incitation à la haine raciale » après avoir exigé que les musulmans anesthésient les animaux avant de les abattre. Aux Pays-Bas, Geert Wilders – chef du Parti hollandais de la liberté qui avait dénoncé la menace soulevée par les immigrés musulmans non assimilés pesant sur les valeurs occidentales – a récemment été acquitté des cinq accusations d’incitation à la haine religieuse contre les musulmans pour les commentaires critiques de l’islam qu’il a faits. Le verdict historique a mis fin à une odyssée juridique de deux ans hautement médiatisée. Également aux Pays-Bas, Gregorius Nekschot, pseudonyme d’un dessinateur hollandais opposant déclaré à l’excision islamique des femmes et se moquant souvent du multiculturalisme néerlandais, a été arrêté à son domicile à Amsterdam en mai 2008 pour avoir dessiné des caricatures jugées offensantes pour les musulmans. Nekschot (qui signifie littéralement « balle dans le cou », méthode utilisée selon le dessinateur, par « les fascistes et les communistes pour se débarrasser de leurs adversaires ») a été libéré après 30 heures d’interrogatoire par les représentants de la loi hollandaise. Nekschot a été inculpé pour huit caricatures qui « attribuent des qualités négatives à certains groupes de personnes » et comme telles sont insultantes et constituent des crimes de discrimination et de haine, conformément aux articles 137c et 137d du Code pénal néerlandais. Dans une interview au quotidien néerlandais De Volkskrant, Nekschot a dit que c’était la première fois en 800 ans d’histoire de la satire aux Pays-Bas qu’un artiste était mis en prison. (Depuis cette interview a été retirée du site internet du journal). Bien que l’affaire contre Nekschot ait été rejetée en septembre 2010, il a mis fin à sa carrière de caricaturiste le 31 décembre 2011. En Italie, la regrettée Oriana Fallaci, journaliste et auteur, a été traduite en justice pour avoir écrit que l’islam « apporte la haine, au lieu de l’amour et l’esclavage au lieu de la liberté ». En novembre 2002, un juge en Suisse, agissant sur un procès intenté par le Centre islamique de Genève, a émis un mandat d’arrêt contre Fallaci pour violation de l’article 261 du code pénal suisse ; le juge a demandé au gouvernement italien soit d’intenter des poursuites soit de l’extrader. Le ministère de la Justice italien a rejeté cette demande au motif que la Constitution italienne protège la liberté d’expression. Mais en mai 2005, l’Union des communautés islamiques en Italie (UCOII) liée aux Frères musulmans, a déposé une plainte contre Fallaci l’accusant que « certaines des choses qu’elle dit dans son livre ‘La Force de la Raison’ sont offensantes pour l’islam ». Un juge italien a ordonné un procès de Fallaci à Bergame sur les accusations de « diffamation de l’islam ». Fallaci est décédée d’un cancer en septembre 2006, quelques mois seulement après le début de son procès. 6 janvier 2012 Juste "une minorité" vous diront certains... -
Quand on affirme l'athéisme, on a beaucoup de réactions plaintives des croyants et de non-croyants. En d'autres termes, il y aurait un préjudice subit par les croyants dès lors que l'on affiche son athéisme. Mais alors peut-on évaluer cette souffrance des croyants ? Ensuite, quand bien même l'affirmation de l'athéisme susciterait des sentiments négatifs chez les croyants, on peut justifier que l'on a la liberté de pensée. Or à partir du moment où l'on pense quelque chose, cela transparait dans nos paroles. Les athées devraient-ils refouler ou cacher leur athéisme, ou bien est-il légitime de vivre pleinement et de l'exprimer même si cela suscite des émotions négatives chez les croyants ? Et puis, on pourrait retourner la question. Des athées se plaignent de la présence de la religion. Quel est le préjudice subit par les athées ? Par la présence de l’Église dans les média et dans les instances morales ? Les bâtiments religieux, les sonneries d'églises etc. ? Ensuite, en supposant que la présence de la religion suscite des sentiments négatifs chez les athées, dans quelle mesure les croyants peuvent-ils vivre pleinement leur religion et donc l'exprimer dans leurs propos ? N'y a-t-il pas en fin de compte quelque chose de maladif dans une société où l'on ne peut pas exprimer, sans imposer, la façon dont on se représente le monde ? N'est-ce pas donner une importance exagérée à la parole, qui n'est pas nécessairement dominatrice d'autrui, mais peut simplement être la description d'une façon de voir les choses ? En résumé, pourquoi un athée ne pourrait pas dire qu'il pense qu'il n'y a pas de Dieu et que les croyants se trompent ? Et pourquoi un croyant ne pourrait pas dire qu'il pense qu'il y a un Dieu et que les athées se trompent ?
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France: un homme brûle le Coran sur le web Mardi 05 octobre - 09:30 © KEYSTONE-archive | STRASBOURG | La communauté musulmane de Strasbourg a dénoncé lundi une vidéo postée sur internet dans laquelle un homme brûle une page du Coran, "au nom de la liberté", et urine sur les cendres. AFP Suite de l'article... Source: 24heures.ch