Classement
- dans toutes les zones
-
Date personnalisée
-
Tout le temps
15 avril 2011 - 18 septembre 2025
-
Cette année
18 septembre 2024 - 18 septembre 2025
-
Ce mois
18 août 2025 - 18 septembre 2025
-
Cette semaine
11 septembre 2025 - 18 septembre 2025
-
Aujourd’hui
18 septembre 2025
-
Date personnalisée
12/06/2025 - 12/06/2025
-
Tout le temps
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/06/2025 dans toutes les zones
-
Non c'est certain, surtout un ado : on éduque comme on peut, on préfère la bienveillance (je parle des parents aimants/responsables) on donne des règles de base comme des horaires de sorties... après ils vivent leur vie d'ado, comme nous avant eux. Est-ce qu'il est vraiment possible d'anticiper ce genre de geste, franchement je ne sais pas. Des histoires sordides il y en a eu partout et à toutes les époques, et comme à toutes les époques on va en médiatiser une en particulier. Par contre je reste persuadée de l'efficacité ou non de l'éducation au foyer. Pas forcément parentale, certains enfants sont sous tutelle, on parle donc bien des responsables légaux. Quand un comportement alerte ou que l'alerte est donnée, ne pas se voiler la face.5 points
-
Encore faut-il qu'ils le sachent, et quand bien même ils n'ont pas à en parler en public.4 points
-
Pour rajouter.. tous les jeunes pris la main dans le sac, et qui meurent "accidentellement" parce qu'ils prennent les flics pour des crétins, et pour qui l'on fait des marches blanches, malgré un pédigrée à faire pâlir un mafieux alors que même pas majeur, sont toujours des enfants modèles, bien sous tous les rapports! Overdose de marches blanches pour ces assassins en puissance...4 points
-
Une fois qu'on a compris que, dans n'importe quel drame (viol, meurtre, agression,...) c'est toujours la faute de la victime, et bien on se sent mieux, ça évite de se poser trop de questions !4 points
-
Il m'est arrivé de signaler de jeunes gamins à plusieurs reprises. Limite si la hiérarchie ne m'a pas stigmatisée moi-même ce dont j'ai dû parfois me défendre. De plus en plus ravie d'être à la retraite, moi! Et de ne pas faire partie depuis longtemps du grand naufrage de l'école primaire, signalé par le dernier rapport de la cour des comptes.4 points
-
Pourquoi "les isoler"? plutôt déjà voir ce qui ne va pas...la famille? un problème psy? ou tout simplement un manque d'implication des parents dans l'éducation de leur môme... A une époque, le môme était suivi à l'école par un psy scolaire... Comme vous le dites, à cet âge là ils sont malléables...un peu d'attention, de recadrage comportemental peut faire des miracles!4 points
-
Cela avait été envisagé il y a plusieurs années. Mais avait été mis en avant le risque de stigmatisation de mômes de 3 ou 4 ans. Un môme à la maternelle est aussi et surtout une matière malléable, ce qui sera décelé à 3 ans, n'existera peut-être plus à 6. Cette détection de "troubles potentiels" est particulièrement difficile et elle ne doit pas permettre d'isoler des gamins de maternelle sur de simples suppositions ou estimations.4 points
-
Les Beach Boys ce n'est pas seulement - et peut-être pas essentiellement - de la surf music pour ados californiens décérébrés et insouciants. C'est aussi , après 4 ans de marketing (à partir de 1966), ça, des mélodies sombres, une ambiance de recueillement parfois quasi-mystique, du désarroi, de la profondeur, du désespoir même :4 points
-
Percutant. Véridique. Courageux. Donald Trump incarne la tentation dictatoriale fasciste au coeur même des Etats-Unis. Il tente de faire ce que Poutine a fait avant lui 25 ans plus tôt en Russie. Mettre sous coupe réglée la démocratie américaine par l'intimidation, la violence et la Terreur de masse.3 points
-
Il y a quatre-vingts ans naissait la Sécurité sociale. La socialisation d’une part de la richesse allait permettre d’éradiquer la misère des retraités. Mais, plutôt que la célébration de cet anniversaire, 2025 pourrait marquer un tournant pour des citoyens français transformés en « actionnaires malgré eux », et inaugurer le retour de la pauvreté parmi ceux qu’on avait cherché à protéger. C’est une figure éculée du discours conservateur : plaider l’audace pour justifier un tête-à-queue sur l’autoroute du progrès social. « Osons la retraite par capitalisation ! », s’intitulait une tribune signée par quarante-quatre sénateurs dans Le Figaro du 2 mars 2023. Tandis que des centaines de milliers de Français défilaient contre le projet de réforme du gouvernement de Mme Élisabeth Borne, la prise de position des parlementaires participait de la contre-offensive (1). Car, au fond, on connaîtrait la solution miracle pour sauver le système. Au sein du « conclave » réuni depuis fin février à la demande du premier ministre François Bayrou, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) et le Mouvement des entreprises de France (Medef) y reviennent. Les futurs retraités devraient épargner auprès d’institutions privées chargées de faire fructifier leur pécule avant de le leur reverser sous forme de rente. « Sur la capitalisation, nous n’avons pas de tabou », déclare pour sa part la secrétaire générale de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) Marylise Léon (Le Figaro, 22 mai 2025). Le gouvernement saura opposer cet état d’esprit, constructif, à la rigidité des autres syndicats. Car la ministre du travail Astrid Panosyan-Bouvet regrettait précisément un « tabou dans les discussions sociales » dans Le Parisien (25 avril 2025). Alors, oui, levons-le. En passant en revue les idées reçues qui érigent la capitalisation en évidence. MYTHE n°1 : « La générosité de la répartition creuse l’écart entre retraités et actifs » « Les retraités ont un meilleur niveau de vie que la population française », avance le site de BFM TV (22 janvier 2025). À cet égard, pour ses promoteurs, l’instauration d’un dispositif par capitalisation serait vectrice de justice sociale, par rapport au système par répartition. Si le niveau de vie des retraités — apprécié en tenant compte de la propriété éventuelle de leur logement — se compare à celui des actifs (une catégorie qui comprend les chômeurs), voire l’excède légèrement, ce constat général masque des disparités. Le montant moyen des pensions s’élève à 1 662 euros net par mois ; 15 % des retraités ont un niveau de vie mensuel — après soustraction du coût du logement — égal ou inférieur à 1 020 euros. Plus bas que celui de l’ensemble de la population (14,5 %), le taux de pauvreté des retraités (10 %) reste supérieur à celui des salariés (6,1 %) (2). Certes, il y a des retraités riches. Mais leur niveau de vie repose moins sur les retraites qu’ils perçoivent que sur leur patrimoine accumulé. Bref, les retraités riches ne le sont que parce qu’ils ont été des actifs riches. MYTHE n°2 : « La capitalisation est une solution novatrice » « La retraite par capitalisation est l’incontournable solution d’avenir », clame M. Marc Fiorentino, cofondateur du site Meilleurtaux Placement (Midi libre, 21 février 2025). Il s’agit pourtant d’un mécanisme éprouvé, aux défauts bien connus. Les premières caisses de retraite mises en place au milieu du XIXe siècle puis le premier système de retraite national instauré en France en 1910 reposaient sur cette logique. Incapables de servir des pensions permettant aux retraités d’échapper à la pauvreté et inadaptés aux périodes de forte inflation (fréquentes à l’époque), ils furent abandonnés. À la création de la Sécurité sociale, on leur préféra la répartition. Elle a depuis démontré sa capacité à faire face aux crises financières et à progressivement sortir les retraités de l’indigence : leur taux de pauvreté en France est l’un des plus faibles d’Europe (3). MYTHE N°3 : « La capitalisation existe, la justice sociale implique de l’ouvrir à tous » Les pharmaciens ou les fonctionnaires jouissent déjà de retraites qui s’appuient en partie sur la capitalisation. La tribune des sénateurs précitée vante les mérites d’une généralisation : « Passer d’une capitalisation limitée qui ne bénéficie qu’à quelques-uns à une capitalisation collective permettra de limiter les inégalités patrimoniales et de faire bénéficier à tous des plus-values du capital. » « Un vrai rêve marxiste ! », renchérit l’économiste Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet de lobbying propatronal Asterès (L’Express, 28 novembre 2024). Pour l’heure, le projet réjouit surtout les assureurs et les sociétés proposant des produits financiers. La capitalisation permet d’ouvrir au privé la plus grosse part du gâteau de la protection sociale, soit 355 milliards d’euros en 2022. Si le projet devenait réalité, ils ne seraient d’ailleurs pas seuls à festoyer : le développement de la capitalisation — tout comme la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sociale promue par le patronat et soutenue à demi-mot par le chef de l’État lors de son intervention télévisée le 13 mai — permettrait d’envisager une diminution des cotisations des employeurs. Karl Marx aurait-il applaudi à cette adhésion contrainte des futurs retraités au capitalisme boursier ? Ou encore au remplacement de la solidarité qui, aujourd’hui, lie les générations par une autre, entre retraités et actionnaires ? Les premiers en viendraient à plaider pour qu’on satisfasse les seconds — quitte à nuire aux travailleurs, aux générations futures et à la planète. Le « capitalisme malgré soi », celui qui contraint les actifs à recourir à l’emprunt, promeut l’actionnariat salarié ou, avant même l’entrée sur le marché du travail, fait ployer les étudiants sous le poids de la dette. Ne manquait plus qu’un moyen de toucher les seniors. En faire des actionnaires offre de surcroît des perspectives intéressantes en matière de maintien de l’ordre social dans un pays où les plus de 60 ans, toujours plus nombreux, votent davantage que les autres. MYTHE N°4 : « On n’introduit qu’une dose de capitalisation, de façon à sauvegarder le système actuel » « Il ne s’agit pas d’une révolution, plaident les sénateurs, mais d’une optimisation. Un système à deux étages dont le socle serait la retraite “universelle” garantie par notre système de répartition actuel, auquel viendrait s’adosser une retraite par capitalisation. » L’expérience suggère toutefois que l’introduction d’un dispositif à deux vitesses, même généralisé, enfonce un coin entre les classes sociales. Il devient plus facile pour les gouvernements de réduire encore les contributions alimentant le mécanisme solidaire, et de circonscrire peu à peu les logiques de répartition. Plutôt que de préserver la nature « universelle » de la protection sociale, la capitalisation accentue son individualisation. M. Jean-Philippe Delsol ne s’y trompe pas : la capitalisation, explique cet avocat fiscaliste, « contribuerait à responsabiliser chacun et favoriserait ainsi la résolution de cette crise de la responsabilité qui est peut-être la crise majeure que vit notre société biberonnée depuis trop longtemps à l’État-providence » (L’Opinion, 9 octobre 2024). MYTHE N°5 : « Les oppositions à la capitalisation sont avant tout idéologiques » « À la gauche du spectre politique, estime M. Bertrand Martinot, ancien conseiller de M. Nicolas Sarkozy et auteur d’une étude pour la Fondapol, un think tank libéral, l’idée selon laquelle les salariés seraient liés au capital et non pas uniquement aux fruits de leur travail, c’est-à-dire les salaires, pose un problème doctrinal. » D’un côté, donc, la rigidité idéologique ; de l’autre, le bon sens, à chacun selon son mérite — un principe que peuvent défendent aussi les tenants de la retraite à points tels que Thomas Piketty (4). La capitalisation s’inscrit, en réalité, dans un projet au long cours : la casse de la Sécurité sociale comme instrument de solidarité et de socialisation. L’ancien numéro deux du Medef Denis Kessler fixait l’objectif aux réformateurs de « défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance » et « tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception » (Challenges, 4 octobre 2007). On a connu pragmatisme moins doctrinaire. MYTHE N°6 : « La capitalisation permet de doper la croissance » « En dotant l’ensemble des travailleurs d’un portefeuille d’épargne-retraite collectif, on orienterait l’épargne nationale vers des secteurs stratégiques », conjecture Bouzou, plein d’enthousiasme. Avant d’ajouter : « Une fois en place, ce système (…) alimenterait l’innovation et réconcilierait justice sociale et performance économique. » « Les cotisants seraient ainsi indirectement impliqués dans l’économie de leur pays », renchérit M. Delsol, qui semble oublier que, pour cotiser, il faut le plus souvent travailler, ce qui n’est pas la moindre des « implications » dans l’économie de son pays. En achetant des actions, soutiennent les partisans d’un changement de système, les particuliers doteraient les entreprises des fonds requis pour investir et croître. Toutefois, la capitalisation ne donne pas naissance à une myriade d’investisseurs sensibles à l’intérêt national, mais à une poignée de fonds de pension : des mastodontes dont la priorité reste d’obtenir les meilleurs rendements possibles. Dans ces conditions, « investir » revient en réalité à spéculer. Aux États-Unis, la durée moyenne de détention des actions était de cinq mois et demi en juin 2020, alors qu’elle se situait autour de cinq ans des années 1940 aux années 1980 (5). À un tel rythme, le marché ne consolide pas les finances des entreprises, il en fragilise le pilotage et dénature le fonctionnement même de l’économie réelle. MYTHE N°7 : « Les marchés croissent plus vite que l’économie réelle » « La capitalisation est (...) significativement plus performante que la répartition », soutient le rédacteur d’une note récente pour le think tank Terra Nova (6). Pourquoi ? Car « le rendement du capital est structurellement supérieur à la croissance », explique Bouzou, qui semble ignorer que la finance ne produit aucune richesse. Les profits qu’elle dégage sont tirés de l’économie réelle. De surcroît, la financiarisation de l’économie et l’extraction de rendements supérieurs à ceux de l’économie productive sont facteurs d’instabilité. Donc de crises. Ce qui explique leur retour à partir de la dérégulation enclenchée au cours des années 1970. « C’est compter sans l’encadrement des pratiques ! », rétorqueront ceux qui, comme Bouzou, misent sur la réglementation pour tempérer l’esprit animal du capitalisme. Des mesures d’encadrement similaires à celles imposées aux institutions financières à la suite de leurs « dérives » ? Ces initiatives interviennent toujours après que les petits porteurs ont été détroussés. Avant, on lâche la bride aux spéculateurs. Ainsi Washington vient-il d’annoncer la levée des mesures prises à la suite de la crise des subprime, en 2008 (Financial Times, 15 mai 2025)… MYTHE N°8 : « Les autres pays ont choisi la capitalisation, il nous faut en faire autant » « Choisir la capitalisation, c’est aussi faire le pari de ce qui fonctionne à nos portes. Nos voisins, l’Allemagne, les Pays-Bas ou encore la Suisse, l’ont fait », plaident les sénateurs. Aux États-Unis, par exemple, elle contribue à environ 40 % des pensions perçues. Avec certains risques : lors de la crise financière de 2008, par exemple, la valeur des actifs détenus par l’ensemble des fonds de la planète a reculé de 25 % (7), contraignant les Américains qui le pouvaient à retarder de plusieurs années leur départ à la retraite, et les autres à accepter une diminution significative du montant de leurs pensions. Et au Chili ? Le premier pays à avoir imposé la capitalisation individuelle privée, sous la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990), tend à en revenir. Les trois quarts des retraités y touchent une pension plus faible que le salaire minimum (Le Monde, 2 février 2025). MYTHE N°9 : « De toute façon, le modèle actuel est condamné par le vieillissement de la population » « Le système français par répartition est à bout de souffle pour des raisons démographiques », plaide Le Figaro le 24 mars 2023. « Lorsque la population vieillit, détaille Sud-Ouest, le nombre de retraités augmente par rapport au nombre d’actifs et le système peut devenir moins soutenable financièrement » (27 février 2025). Pourtant, de l’avis même de l’ancien chef économiste de la banque Natixis, l’introduction d’une dose de capitalisation ne serait « pas efficace » (Le Point, 18 janvier 2025). Dans une société qui vieillit, explique Patrick Artus, le rendement des actions peut diminuer faute de bras en quantité suffisante pour créer de la richesse et du fait de retraités qui consomment moins que leurs cadets. À cela s’ajoute, selon Artus, le problème des années de transition d’un système à l’autre, pendant lesquelles les actifs subiraient une double contribution. « Une fois pour leur propre retraite (dans le cadre de la capitalisation) ; une autre pour celle de leurs aînés (dans le cadre de la répartition), admet Terra Nova. Le coût est colossal ! » En vérité, les discours sur le déficit du système de retraite français — que les cassandres annoncent abyssal au cours des prochaines décennies — doivent être relativisés. Les prévisions les plus pessimistes ne le placent qu’à 1 % du produit intérieur brut (PIB), loin d’un « dérapage » incontrôlé. L’accent mis sur l’urgence à réformer et sur la capitalisation comme solution permet surtout d’esquiver la discussion d’autres options. Comme la contribution de certains revenus, notamment issus de placements et du patrimoine, au financement de la protection sociale. Ou l’augmentation des salaires — et la suppression des inégalités salariales entre les femmes et les hommes (8) —, qui se traduirait par une hausse des cotisations favorisant l’équilibre du régime. Dans de telles conditions, faut-il vraiment « oser » la retraite par capitalisation ? (1) Lire Grégory Rzepski, « Capitalisation, l’autre nom de la réforme des retraites », Le Monde diplomatique, mars 2023. (2) « Les retraités et les retraites. Édition 2024 », direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), 30 octobre 2024. (3) Lire Michael Zemmour, « Bientôt, la retraite à 70 ans ? », Le Monde diplomatique, novembre 2022. (4) Lire Martine Bulard, « Retraite à points… de non-retour », La valise diplomatique, 4 décembre 2019. (5) Thibault Le Flanchec, « Investir n’est pas spéculer », 1er janvier 2023. (6) Éric Weil, « La retraite par capitalisation obligatoire : l’obstacle du coût de la transition », 19 mai 2025. (7) François Charpentier, « Selon l’OCDE, les fonds de pension ont perdu 5 400 milliards de dollars de 2008 et appauvri des millions de retraités », 23 juin 2009. (8) Lire Christiane Marty, « Emplois, salaires, pensions, debout les femmes ! », Le Monde diplomatique, mars 20233 points
-
Musk va à Canossa ... https://www.huffingtonpost.fr/international/article/elon-musk-fait-un-demi-mea-culpa-envers-donald-trump-apres-leur-clash_251195.html A-t-il peur de tomber d'une fenêtre façon Russie de Poutine pour avoir oser défier le potentat local?3 points
-
On se fout TOTALEMENT des crimes commis par les Musulmans contre les Juifs depuis le ... 7ème siècle ??? Doit-on vraiment vous rappeler que les pires crimes récents commis contre les Juifs ... l'ont été par des pays européens (et pas que l'Allemagne !) ??? Qui ont, de façon totalement délirante, pensé qu'ils aller se "racheter" de leur antisémitisme endémique en leur octroyant, de façon totalement artificielle, un territoire ... où vivaient depuis des centaines d'années une énorme majorité de musulmans ?3 points
-
Mascarade pitoyable… faut vraiment être aveugle ou d’une mauvaise foi à toute épreuve pour ne pas s’en apercevoir.3 points
-
L'indécence à l'état pur, comme l'autre qui s'est faite "kidnapper". Par qui, combien de temps, contre quoi? Moi maintenant quand je vais filer un sandwich à quelqu'un je dirai que je l'ai kidnappé. Je ne comprends pas qu'on lui paye encore un mandat parlementaire, ceci dit elle n'est pas la seule députée à qui on ne devrait plus avoir à verser. Quelle honte.3 points
-
Quel message ? Je fais une grève de la faim de 15 secondes pendant qu’à quelques kilomètres de là des enfants meurent de faim ou sous les bombes. je fais la grosse otage pendant qu’il y a des otages Dieu seul sait dans quel état dont les familles n’ont pas de nouvelles depuis des mois.3 points
-
Oui, si effectivement les antécédents du gamin sont violents (comme ce serait le cas ici sur des camarades) faire l'économie de séances de psy me paraît hasardeux.3 points
-
Après ils se plaignent de ne plus avoir de candidats...ne pas oublier que ce sont les élèves d'hier, ils connaissent la musique! Ce serait risible si ce n'était pas aussi grave.... Si moins de 16ans l'expulsion définitive est impossible..ils se contentent de le refiler à un autre collège... L'habit ne fait pas le moine...combien de comportements de sa part passés à l'as? Un vrai psychopathe cache bien son jeu...mais les parents ne peuvent pas l'ignorer..si?3 points
-
Le manque de moyens est l'excuse éternelle de la bureaucratie...et en France, elle pèse son poids, la bureaucratie!3 points
-
C'est dès la maternelle que devrait être fait un bilan psy. un gosse qui n'a aucun "code" à cette époque, 99% du temps par manque d'éducation ou mauvais traitements familiaux...ça ne pourra que s'amplifier et l'on se retrouvera avec les mêmes 10 ans plus tard!3 points
-
Oui, mais dans ce cas précis, c'est presque la moitié du pays qui est concernée. Et la justice, elle a déjà essayé sans grand succès; maintenant, ceux qui auraient pu agir comme garde-fou ont été virés aussi. Je maintiens que Trump doit avoir des dossiers compromettants sur la plupart des politiciens en place, ce qui expliquerait leur attitudes de poules mouillées envers lui. C'est en tous cas de cette maniere qu'il traitait ses affaires dans l'immobilier. Pourtant, beaucoup de ceux qui ont voté pour Trump sont un peu déçus (bien fait!). Le seul point ou il a encore pas mal de soutient, c'est son attitude ferme sur l'immigration. C'est vrai que si il continue à en faire un peu trop, il perdra même ceux-là qui n'en demandaient pas tant.3 points
-
bonjour, oui ... et non ! tout ce qui n'est pas pour donald, est contre donald , cela semble être son crédo ; et le canard ( boiteux ? ) n'hésite pas à aller au clash pour "prouver" qu'il est le plus "fort" . le jour de son anniversaire ( qui est aussi celui de l'armée ) il "veut" un grand défilé de chars ( alors que lors de son premier mandat cela lui avait été "refusé" ) . et pour faire passer ses ÉCHECS successifs en matière de politique extérieure ( Gaza, l'Ukraine, l'Iran , le commerce mondial, l'immigration, la bourse .... ) , il faut faire preuve de "fermeté" à l’intérieur quitte à faire comme n'importe quel apprenti dictateur . il n'est certes pas hitler mais les arrestations que son administration réalise sont presque du même ordre .... et dans sa dernière trouvaille, on retrouve l'idéologie de la déportation ( vers Guantánamo ) , même si ce n'est pas du même type que la Solution Finale . il est grand temps que les américains comprennent pour qui ils ont voté ... un presque vieillard ( curieux , ayant mal tapé, mon correcteur me propose ... vicelard ! ) sénile qui ne vaut guère mieux que le précédent . bonne journée.3 points
-
Et ça changerait quoi ? Trump se contrefout et s'assoit royalement sur toutes les accusations qui lui collent aux basques depuis des années. Et il n'a aucun mal à museler et tenir au fond du trou une opposition démocrate totalement transparente et tétanisée, incapable de trouver les moyens de faire entendre la moindre voix porteuse dénonçant cette incessante et effrayante gouvernance trumpiste. Jusqu'à quand Donald Trump bénéficiera t il du coma artificiel de toute opposition aux Etats Unis ??3 points
-
L’expérience de pensée est intéressante. Et si l’équipage avait été composé entre autre de Marion Maréchal Lepen et de Bardella et que le bateau avait transporté une cargaison de photos de Viktor Orban et de livres d’Eric Zemmour à donner aux palestiniens, l’armée israélienne aurait-elle ouverte les portes du blocus ?3 points
-
Moi je suis un fan absolu des "Beach Boys", qui incarnent dans mon souvenir les années 60 telles qu'on les rêve. Brian Wilson a composé quelques unes des chansons les plus emblématiques de cette époque, et est l'auteur quasi unique d'un album que Paul McCartney tient pour un chef-d'oeuvre, "Pet Sounds". A force de vouloir concurrencer à lui-seul Lennon et McCartney, il était devenu quasi fou. RIP. Autre morceau, pas de Brian Wilson (c'est un traditionnel), mais qui montre bien quel niveau de virtuosité vocale et instrumentale les "Garçons de la plage" avaient atteint. C'est d'ailleurs le seul groupe américain à avoir pu contester la suprématie des Beatles, dans les années 60 :3 points
-
Trump est persuadé qu'un état peut (doit !) être dirigé comme une entreprise. Et qu'il suffirait donc à l'état/entreprise "dominant" de présenter des exigences clairement excessives pour obtenir un accord/compromis au final très favorable. Mais, bon, ça fonctionne déjà pas forcément bien au niveau des entreprises (il n'était pas inutile de rappeler que Trump a "coulé" bon nombre de ses entreprises ?) mais ça ne fonctionne pas du tout avec des états "économiquement puissants" ... qui sont en capacité de "répondre" factuellement à ces "agressions" ..? La Chine n'est pas plus "perturbée" que ça par les "menaces" US. Et même l'UE ... qui "résiste" TRES bien ! Idem au niveau géopolitique. Faire le "kakou total" avec la Corée du Nord, en leur "promettant le feu et la colère", ou/et en menaçant Poutine de "sanctions économiques épouvantables" ... sans ne jamais rien faire ???3 points
-
« C’est une nécessité sociale et fiscale » Pour faire ruisseler, il faut taxer. Les sénateurs examineront jeudi 12 juin une proposition de loi visant à instaurer une taxation d’au moins 2 % sur les patrimoines excédant 100 millions d’euros, inspirée par l’économiste Gabriel Zucman. « Il serait logique que les grandes fortunes contribuent au budget de l’État, comme les classes moyennes », défend le sénateur Thomas Dossus, du Groupe écologiste – Solidarités et territoires (GEST), qui a inscrit le texte dans sa niche parlementaire. Car c’est l’un des paradoxes de la situation présente : « à partir d’un certain niveau de fortune, le taux d’imposition réel s’effondre par rapport à celui des taxes moyennes », explicite le sénateur. Les ultrariches ne contribuent que très peu à l’impôt. « La question posée à notre assemblée est : y a-t-il un niveau de fortune où on est exempté d’impôt ? », soumet le parlementaire. Lors d’une conférence de presse ce mardi au palais du Luxembourg, la sénatrice écologiste Ghislaine Senée ironisait, lançant « un appel aux millionnaires à se battre avec nous car, eux, ne seront pas touchés ». Une mesure de salubrité budgétaire et sociale Le dispositif proposé est simple. Il ne toucherait que les 4 000 contribuables les plus fortunés, soit les 0,01 % les plus riches, ceux dont le patrimoine excède 100 millions d’euros. Si la somme de leur impôt sur le revenu, de leur impôt sur la fortune immobilière, de leur contribution sociale généralisée (CSG), de leurs contributions au remboursement de la dette sociale (CRDS) et de leur contribution exceptionnelle sur les hauts revenus est inférieure à 2 % de leur patrimoine, ils se doivent de verser la différence. Le rendement escompté d’un tel prélèvement est de 15 à 20 milliards d’euros. « Le patrimoine des plus riches doit faire nation. C’est une nécessité sociale et fiscale. C’est une volonté majoritaire des Français », estime le sénateur communiste Pascal Savoldelli, interrogé par l’Humanité. En effet, la taxe dite Zucman est une mesure de salubrité budgétaire, alors que les exemptions fiscales depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017 s’amoncellent, pour un total de 62 milliards d’euros. Environ quatre milliards d’euros sont ainsi perdus tous les ans du fait de la seule suppression de l’impôt sur la fortune en 2017. La taxe Zucman est aussi une mesure de justice sociale. Les 500 premières fortunes françaises ont, ces dix dernières années vu leur fortune passer de 200 milliards d’euros à 1 200 milliards d’euros ! Celle du premier d’entre eux, Bernard Arnault doté d’un patrimoine de 144 milliards d’euros selon les calculs du magazine Forbes « équivaut au produit intérieur brut du Maroc », compare Ghislaine Senée. L’un des enjeux du prochain budget Le texte, déposé par la députée Eva Sas, est déjà passé à l’Assemblée nationale le 20 février, où il est passé, par 116 voix pour (venant des bancs de la gauche) 39 contre (venant des groupes macronistes, de la Droite républicaine et de l’UDR), et 31 abstentions (essentiellement sur les bancs du Rassemblement national). Les sénateurs écologistes espèrent un vote favorable à leur proposition de loi à la Chambre haute. https://www.humanite.fr/politique/gabriel-zucman/cest-une-necessite-sociale-et-fiscale-la-taxe-zucman-sur-les-001-les-plus-riches-examinee-au-senat2 points
-
Je vous propose une analogie : Première partie, le coté théorique. Dans un réseau neuronal, les neurones sont organisés en couches. Ajouter une couche, c'est ajouter un niveau d'abstraction. Le réseau reconnait des formes très simples avec une couche, puis des combinaisons -plus nombreuses évidemment- de ces formes avec une deuxième couche. C'est comme notre capacité à faire des généralisations. Et le principe reste vrai, ajouter une troisième couche = ajouter de l'abstraction = ajouter de la complexité, du combinatoire. Deuxième coté de l'analogie, chez nous, la réalité. La dynamique "ajouter de la complexité" est évidente. De l'atome à la molécule à l'organisme, etc. Prenons le cas humain spécifiquement, et le débat "qu'est ce qui fait la spécificité humaine, qui lui a permis de terraformer le paysage". Pour autant qu'on sache ce serait "un ensemble unique et extrêmement puissant de capacités cognitives", pour rester sobre. Ce que l'arrivée de l'humain produit de nouveau sur Terre, c'est sa culture : incluant entre autre la monnaie, les lois, le langage, autant d'inventions qui lubrifient la coopération, rendant notre espèce plus flexible dans son organisation, puisque contrairement aux fourmis par exemple, nous pouvons nous associer en suivant les mêmes codes inventés (langage, monnaie, lois) parce que nous choisissons d'y croire collectivement. Ce que l'arrivée de l'humain produit de nouveau par rapport à avant, c'est une nouvelle couche d'organisation culturelle par dessus la couche naturelle. Une couche culturelle faite d'abstractions. Donc oui, une analogie univers=réseaux neuronaux imbriqués ; réalité=couche d'un réseau ; les réalités s'empilent ; divers réseaux s'imbriquent ; les neurones d'un réseau sont eux-même des réseaux ; etc2 points
-
Le musicien de 82 ans avait été diagnostiqué l'année dernière "comme étant atteint de démence". Brian Wilson, chanteur et cofondateur des Beach Boys, est mort à l'âge de 82 ans, annoncent ses enfants sur son site Internet et ses réseaux sociaux. "Nous avons la tristesse de vous annoncer que notre père bien-aimé Brian Wilson. Nous sommes à court de mots en ce moment. Veuillez respecter notre vie privée en ce moment car notre famille est en deuil. Nous réalisons que nous partageons notre chagrin avec le monde", écrit la famille de l'artiste. Des tubes emblématiques Les Beach Boys, formé par les trois frères Wilson et deux autres membres, est l'un des groupes de rock américains les plus emblématiques des années 1960. Wouldn't it be nice, Surfin' USA, God Only Knows... Le groupe a popularisé la musique surf, caractérisée par une guitare électrique avec effet de réverbération mais sans trop de distorsion, une basse rythmée, et des voix en choeur. Les Beach Boys comptent encore de nombreux fans à travers le monde. Quelque 12 millions de personnes en moyenne les écoutent chaque mois sur Spotify, selon la plateforme de streaming. https://www.bfmtv.com/people/musique/brian-wilson-chanteur-et-cofondateur-des-beach-boys-est-mort-a-l-age-de-82-ans_AN-202506110700.html2 points
-
L’union régionale des professionnels de santé-médecins libéraux ( URPS),a lancé une alerte sur la contamination au cadmium . Si l’on mange du chocolat , des légumes secs et des céréales on ingurgite en plus du nickel . Et voilà , on devient une pile au cadmium-nickel . Il suffit de brancher une prise dans les trous de nez ( ou ailleurs ) et on a une lampe de chevet autonome .2 points
-
Ben étrangler un petit de 6e ça peut être un motif un tantinet violent, pourtant....2 points
-
Tu peux: aucune idéologie, qu'elle émane d'un groupuscule terroriste "normé" ou d'une politique étatique via le bras armé de ses militaires par le terrorisme d'état ("démocratique"), ne justifie la mort massive d'innocents. "Nous imposons un siège total contre la ville de Gaza. Il n'y a pas d'électricité, pas de nourriture, pas d'eau, pas de carburant. Tout est fermé. Nous combattons les animaux humains et nous agissons en conséquence" Yoav Galant Il n'y a rien de conventionnel à essentialiser une population entière à des animaux.2 points
-
Pourtant de nombreux juristes et historiens du monde entier valident avec argumentation étayée le terme de génocide à Gaza. Ce ne sont pas des adeptes du Hamas mais des personnes sensibles et compatissantes pour les pauvres victimes massacrées par l'armée. Je ne suis pas juriste mais j'affirme que Israël commet des crimes épouvantables contre les populations civiles démunies et affamées en vue de coloniser un territoire après éradication d'un peuple.2 points
-
Je ne crois en aucune divinité ! je trouve d'ailleurs insultant lorsqu'un officiel date un fait en disant 200 ans avant J.C. !! c'est du bourrage de crane !! non & non ! Une religion est une mythologie qui a "réussit" Une mythologie est une religion qui a échoué !! C'est tout2 points
-
bonjour, ça se pourrait , ça se pourrait ... mais sans rire, le canard pourrait lui causer pas mal de problèmes si "l'envie" ( ou autre chose ) lui prenait ( il a la dent dure et la rancune tenace le canard ) . sans oublier les contrats gouvernementaux qui pourraient lui passer sous le nez ( qui a dit ... subventions déguisées ? ) . bonne journée ( quelle nouvelle lubie va naitre dans l'esprit plus qu'embrumé du canard ? )2 points
-
Merci à toi d'avoir pris la peine de me lire et, peut-être, d'écouter les quelques titres que j'ai mis en liens. Le "narratif" des journalistes depuis la mort de Brian Wilson hier est lamentable. Ils nous présentent un groupe qui a chanté le surf, la plage et la joie de vivre pendant 60 ans, ce qui est absolument faux, puisque cette période, certes la plus connue, a duré de 1961 à 1965. C'est un groupe que j'aimais beaucoup, pas pour les mêmes raisons que toi (aucune échelle de valeur là-dedans), mais davantage de mon côté pour les aspects sombres et introspectifs. Les albums de 1967 à 1970 en particulier sont d'une tristesse, d'une mélancolie, à fendre le cœur. Enfin, il y a d'autres choses en pop musique que les sempiternels Beatles ou les Stones : Les Kinks, Les Who, les Doors, les Beach Boys... quatre exemples de groupes qui de mon point de vue surpassent largement les deux premiers cités.2 points
-
Ce sont les philosophes marxistes, les plus Hégeliens qui ont été les grands défenseurs du Stalinisme, et du Léninisme (Kojève, Lukacks, etc.). Le matérialisme dialectique tel qu'il est compris par Lénine ou Staline, n'a de sens qu'avec une inversion de Hegel, et non un rejet de Hegel. On est toujours chez ces philosophes dans un rôle actif du Sujet. C'est Althusser, marxiste structuraliste qui fournit une critique du matérialisme dialectique (doctrine officielle du parti) en rejetant Hegel. Ce sont aussi les Freudo-Marxistes qui rejettent la subjectivité. Bref, philosophiquement, ce sont ceux qui rejettent Hegel qui ont le moins partie lié avec le Stalinisme. Les hégéliano-marxistes ont ceci en commun avec les Hegéliens : 1- Ce sont les hommes qui font l'Histoire. 2- C'est la violence qui fait l'Histoire (cf. la dialectique de la conscience de Soi) 3- C'est par le pouvoir d'État qu'on émancipe l'Homme. L'État est la réalisation de la Raison dans l'Histoire. En tout cas bien vu, j'ai encore loupé une occasion de me taire2 points
-
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/gaza-la-rabbine-delphine-horvilleur-sort-du-silence-pour-denoncer-la-faillite-morale-disrael-20250509_GFT2WA6VEND7DL75WXXLW2UHBQ/ Dans un texte publié sur le site Tenoua, l‘écrivaine reconnaît s’être tue trop longtemps sur les responsabilités de l’Etat hébreu dans «la tragédie endurée par les Gazaouis». Elle appelle à un «sursaut de conscience» … Dans un court texte publié ce jeudi sur le site Tenoua, consacré à la pensée juive et dont elle est la directrice de rédaction, Delphine Horvilleur sort du silence. «Toute autocritique menace l’union sacrée, se fait traîtrise ou, pire, carburant pour un ennemi qui cherche à nous détruire», écrit-elle dans un billet intitulé «Gaza/Israël : Aimer (vraiment) son prochain, ne plus se taire». …. Dans son texte sur Tenoua, l’écrivaine poursuit : «Je me suis tue mais, aujourd’hui, il me semble urgent de reprendre la parole. Je veux parler, au nom de “l’amour du prochain” ou plutôt de ce que ce verset biblique (si mal traduit) en dit vraiment.» Soit un amour qui n’est pas «inconditionnel» ou «aveugle», mais qui implique «d‘ouvrir les yeux d‘un proche sur ses fautes» et tend «dans sa direction un miroir pour qu’il s’observe». Et c’est justement «par amour d‘Israël», dit-elle, qu’elle parle aujourd’hui. «Par la douleur de le voir s’égarer dans une déroute politique et une faillite morale. Par la tragédie endurée par les Gazaouis, et le traumatisme de toute une région.»2 points
-
Certes, plus de frexit, plus de retour au franc, soumission aux impératifs budgétaires. Mais le FN/RN doit bien satisfaire et alimenter les bas instincts fructueux de son électorat. Alors Haine omniprésente, Nationalisme exacerbé et Xénophobie à haute intensité restent les valeurs fondamentales du parti frontiste.2 points
-
Bien sûr que si il y avait nécessité de mettre des personnes avec une lumière médiatique. La dernière expédition qui a essayé de briser le blocus imposé par les israéliens s'est soldé par une disaine de morts; Le fait d'ultra médiatiser l'expédition était un moyen de protéger les gens de l'expédition déjà. Et surtout le but, s'ils savaient effectivement que le plus probable était qu'ils allaient se faire arraisonner, c'était de montre la réalité du blocus israélien. Mais visiblement toi tu ne vois toujours rien. La réalité c'est qu'Israel les a arrêté et kidnappé. Ils ont détruit leurs bateaux et confisqué le matériel humanitaire qui s'y trouvait. Ils ont fait ça dans les eaux internationales donc à l'encontre de toutes les lois internationales maritimes. Ils ont montré que sous prétexte d'un embargo sur les armes, ils empêchaient aussi l'aide humanitaire et donc la réalité de la situation de famine qui touche les palestiniens à cause d'Israel. Ils ont montré la réalité de la propagande israélienne, alors que personne de sincère ne peut les soupçonner du moindre lien avec le hamas, cela ne les pas empêché de faire propager l'idée qu'elles sont des militantes pro hamas et antisémites. Ce sont seulement des activistes de la cause palestinienne ... Enfin ils ont montré l'autre mensonge, celui de la fameuse "seule démocratie" de la région. Dans quel monde la justice d'un pays démocratique jugerai les victimes d'un enlèvement emmenées de force dans un pays contre leur gré comme des immigrants entrés clandestinement plutôt que de juger leurs ravisseurs ? Oui c'était de la communication, pour faire parler, et cela fait partie entièrement du conflit, faire voir la vérité quand Israel et ses complices en France nous désinforment depuis des décennies ... De leur action héroique, se créent partout dans le monde des actions similaires ... Voilà ce que ces gens, et en plus de manière totalement pacifique, ont réussit à faire, alors que nos gouvernements ne font RIEN depuis des mois pour arrêter les massacres et protéger les populations civiles.2 points
-
https://fr.wikipedia.org/wiki/Karoline_Leavitt C'est Macron tout inversée, mais Macron quand même. Avec des fanatiques pareilles, la dictature se met plus facilement en marche. Elle est intéressante cette question : "Trump a-t-il lancé les hostilités à L.A. pour éviter que la presse et la Justice s'intéressent plus aux messages de Musk ?" Il y a quelque chose à creuser. Trumpedo ou pas pedo ? Et... Karoline Leavitt répond presque littéralement : "le président se fiche des lois, il fait ce qu'il faut pour empêcher les émeutes et les criminels"... Et puis alors, ce discours répété sans cesse : "c'est la faute des autres", "c'est la faute de Biden", "c'est la faute des Démocrates", "c'est pas notre faute si c'est le chaos"... Alors que, bizarrement, avant ce n'était pas le chaos... Étonnant ? Et c'est la journaliste afro américaine qui a été rabrouée... Étonnant ? Armement de l'I.A. et racisme ? Nooonnn... une vue de l'esprit, rien de plus. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gavin_Newsom C'est cela que Trump veut détruire actuellement : l'opposition. Dehors, les LGBTQI+ et les étrangers, parce que c'est l'électorat démocrate. Carrément, oui, le pays est envahi. Sauf qu'il est réellement envahi par l'armée.2 points
-
Des magasins inutiles mais des personnes aux chomages une fois de plus , n'est ce pas le plus important ?2 points
-
Je ne pense pas que le but ait été de livré quoi que ce soit à la population. Si ça avait été le cas, il aurait fallu affréter un bateau avec un équipage neutre. Il n'y avait aucune nécessité d'y mettre des personnes politiques. Connaissant les positions de Rima Hassan, et en montant une opération sans accord, c'était une provocation directe, bien sûr que les Israëliens allaient réagir. C'est comme si un ultra gauche tentait d'aller dans un meeting du RN pour y faire signer une pétition pour le droit d'asile des migrants, le service de sécurité interviendrait de suite. Ce n'était que pour faire parler, que Rima Hassan se montre, et s'il en était besoin, de crisper un peu plus la situation.2 points
-
Tu me diras quelle marque arrive ? parce que pour l'instant je ne vois que des marques qui ferment et rien qui ouvrent2 points
-
Sinon, en ce moment, il y a des négociations entre les U.S. et la Chine, les U.S. souhaitent revenir à la situation antérieure. Sinon, je reconnais le talent du Donald pour occuper l'attention : il a en le plus grand besoin, pour masquer ses échecs, systématiques.2 points
-
OUI. Trump est un apprenti-dictateur qui a pour modèle Poutine, Xi et Erdogan. Refuser de l'admettre est très grave. Et il entend déporter les migrants illégaux et même légaux des Etats-Unis dans des pays d'Amérique Centrale et africains. Sous-estimer sa dangerosité et son pouvoir de nuisance incroyable n'est d'aucune utilité à l'heure où le néofascisme international s'installe au pouvoir un peu partout sur la planète.2 points
-
Revirement sur le Frexit, revirement sur la sortie de l'Euro, revirement ... sur la règle des 3% ... Ce n'est plus le Rassemblement national, c'est le REVIREMENT NATIONAL Revirement stratégique en vue pour le RN qui envisage de se convertir à la règle européenne des 3% de déficit Préoccupé par les marchés et pas pour "faire plaisir à Bruxelles", le député du RN Jean-Philippe Tanguy veut ouvrir "une réflexion interne" sur "une règle d'or" budgétaire permettant de "respecter les 3%" de déficit public. Frédéric Bianchi (avec AFP) https://www.bfmtv.com/economie/revirement-strategique-en-vue-pour-le-rn-qui-envisage-de-se-convertir-a-la-regle-europeenne-des-3-de-deficit_AN-202506100599.html2 points
-
Il était ivre ! qui obus boira !2 points
-
Oui , on peut se demander pourquoi les autres médias n'en font pas autant ; le plus effarant est là .. je me demande dans quelle mesure l'argent du Qatar , qui finance le hamas et des programmes anti-Israel dans les universités américaines , ne profite pas également à certains médias Et oui , cette ambiance de fête et ces sourires détonnent avec la gravité du message que ces propagandistes étaient censés porter ; pour eux, c'est un jeu , une mise en scène qui ne vise qu'à faire du buzz ... avec ce genre d'alliés, les gazaouis n'ont pas besoin d'ennemis2 points
-
Bravo, Caroline Fourest explique vraiment clairement l'inversement de la réalité et la couardise de ses confrères. Mention spéciale à l'épisode des pauvres soudanais qui ont croisé la flottille en plein festin et selfies.2 points
-
C'est marrant comme l'Europe ressemble de plus en plus aux USA. Il y a encore 10 ans quand on entendait parler de fusillades et de morts dans des lycées Américains on disait , ils sont complètement tarés ces Américains... Hé bien on y est 10 morts dans une école en Autriche et plusieurs cas en France ces derniers mois dont le dernier en date cette jeune femme de 31 ans aujourd'hui dans un collège de Haute marne. Tu regardes ce qui se passe aux états unis aujourd'hui et tu connais l'avenir de l'Europe 10 ans plus tard.2 points
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+02:00