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Elisa*

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  1. Ok ok… Ta réaction est on ne peut plus légitime !
  2. J’ai tenté de le faire, il est vrai : j’ai été un peu longue. Loin de moi l’idée de te donner une leçon de sémantique : c’était juste quelques propositions pouvant peut-être s’approcher de ce que tu voulais exprimer.
  3. Ernst Pignon-Ernest les extases 2008 Quand, en 2008, Ernest Pignon-Ernest a dessiné la grande série des extases qui est consacrée aux grands mystiques dont les corps en souffrance rêvaient en quelque sorte se dématérialiser, il a présenté ses dessins sur de grands papiers enroulés se reflétant sur un sol miroir. ICI
  4. Mais qu’est-ce que tu racontes ?! Lunaire… complètement lunaire comme discours.
  5. Ben non quand même pas tout autant car c’est lui, l’infâme pédophile, pas ceux pouvant éventuellement apprécier le contenu de ses émissions tout en déplorant qu’il en soit à la tête.
  6. La haine est un sentiment violent, négatif qui submerge au point irrépressible de vouloir faire du mal -ou le lui souhaiter- à la personne qui a pu faire souffrir atrocement. Comme il est indiqué plus haut, cette haine se manifeste pas seulement envers une personne, elle est multi-factorielle : dirigée contre soi, contre quelque chose en particulier qui fait terriblement mal, une chose contre laquelle on ne peut changer le cours, une situation inextricable, etc… A partir de là, je me demande si l’on peut contrôler ce que l’on ressent quand ce sentiment est d’une telle force. Je ne suis pas certaine que l’on puisse lutter pour l’effacer ou tout au moins l’atténuer. En ce sens, elle a un côté presque inéluctable chez certains individus, est plutôt représentative de nos failles : c’est quelque part notre humanité totalement imparfaite qui ressort. Bref… c’est un sentiment humain qui dévore celui/celle qui l’éprouve dans ses entrailles. Par contre, elle n’est pas incontournable pour certaines personnes dont je fais partie. Peut-être une question/combinaison de tempérament et/ou l’immense chance de ne pas avoir vécu de choses atroces. Quand je parle de tempérament, je crois qu’il existe une part d’inné et une autre d’acquis. Ceci se manifeste par un refus catégorique de se laisser ronger, envahir par ce sentiment dévastateur pour soi avant de l’être pour un autre ou pour autre chose. Une façon indirecte de vaincre en quelque sorte l’adversité en ne lui laissant peu/pas de prise sur soi. Lui préférer le bon, le beau, la vie.
  7. Euh… on n’a pas la même définition du mot !
  8. Au choix : « Est-il fondé, justifié, logique, cohérent de haïr quelqu'un qui vous a fait atrocement souffrir ? »
  9. C’est une honte qu’il continue comme si de rien était !
  10. C’est moi qui l’ai dit !
  11. Peut-être… je n’ai pourtant pas vécu que des trucs hyper cools dans ma vie. On déteste ce qu’elle a pu faire de mal mais pas forcément la personne en tant que telle. Je n’ai pas dit qu’on souhaitait lui ressembler.
  12. Je suis pas sûre même de ça : combien d’enfants maltraités par un/des parents, continuent à les aimer malgré l’horreur qu’ils vivent. Pour autant, ils ne reproduisent pas tous, loin s’en faut. A contrario, ceux qui reproduisent la même chose -voire bien pire encore- sur d’autres, sont me semble-t-il le plus souvent dans la haine.
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