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Neko86

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À propos de Neko86

  • Date de naissance 21/11/1986

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  1. Et ce n'est pas que je ne souhaite pas lire quelque chose de particulier, mais je n'ai réellement pas compris de quoi tu voulais parler, si ce n'est ni notre corps que l'on met au service d'un autre ni le sexe dont tu as parlé après. Tu peux expliciter ? Voilà ce que j'ai dit de puis le début. En résumé, que oui il y a de la prostitution qu'il y en aura toujours et qu'il faut faire quelque chose pour protéger les prostituées de proxénètes, de clients violents et améliorer leur hygiène de vie. Il faut respecter les personnes qui font ce choix là et leur garantir cette sécurité. Cela reste malgré tout un métier particulier, pas toujours voulu, avec des situations pas toujours idylliques. J'allais justement parler des camions blancs (que j'ai l'occasion de voir lorsque je vais en ville), les conditions des femmes qui y travaillent doivent être différentes des escorts dites de luxe. En revanche, est ce que les maisons closes remédieront à tout ça ? Je n'en suis pas sûr. Il faut que ce soit parfaitement encadré, définir le cadre des contrats et le droit des prostituées, la rémunération, le recrutement, s'assurer que toutes les personnes présentes le font bien de leur plein gré (rien que dans le milieu de la restauration il y a beaucoup de travail au black, c'est pourtant encadré et cela existe, alors comment garantir qu'il n'y ait pas de réseau qui se créent à l'intérieur des maisons closes?). Au niveau de la sécurité, comment garantir qu'un client ne va finalement pas être violent avec une femme ? Si c'est le cas, il sera certainement expulsé mais le mal est fait. Est-ce que l'on peut imaginer un réseau comme les casinos avec des interdits d'entrée en cas de plainte contre la personne ? Quant au fait que cela arrêtera la prostitution en dehors, je n'en suis pas sûr. Déjà je ne suis pas sûr qu'il y ait suffisamment de maisons closes qui ouvrent et sur tout le territoire pour l'ensemble des clients. Quel tarif sera appliqué ? Est-ce que tous les clients pourront / accepterons de le payer ou essayeront-ils de trouver moins cher ailleurs ? Le fait qu'il y ait des maisons closes n'a jamais empêché le fait qu'il y ait de la prostitution en dehors. Volontaire ou non. Que fait-on des personnes qui le choisissent mais qui ne veulent pas être salariées mais à leur compte pour être plus libre dans leur profession ? Je ne vois pas en quoi je suis l'avocat du diable, je dis juste que ce n'est pas quelque chose qui se règle en un claquement de doigt, qu'il y a plein de questions pour que ce soit encadré et que fait-on de ce qui est en dehors de ces maisons ?
  2. Ah, tu parles de moeurs c'est ça ? Bien-sûr que la sexualité est libre, chacun a ses fantasmes ses désirs, aucun problème là-dessus, chez soi, à plusieurs, dans un club échangiste par exemple, des scénarios, pratiques..... Tout est possible et nulle honte a avoir entre adultes consentants. Il n'y a aucun problème sur le plaisir sexuel. Ma réserve est bien sur la condition des prostituées en tant que telle. D'où la notion "d'envie" face au "partenaire", et surtout le fait des possibles maltraitances subies des travailleurs du sexe.
  3. Ça je suis d'accord, quelle que soit notre profession nous vendons nos muscles ou notre cerveau. Les clients ont leur raison également. Dans mon deuxième message je dis bien que je ne jette pas la pierre ce n'est pas une question de bien-pensance. Mais il faudrait s'assurer que les maisons closes soient parfaitement encadrées, qu'il n'y ait pas de dérive possible. Et on ne peut nier qu'il y a malgré tout une violence à l'encontre des prostituées plus que dans d'autres professions.
  4. Il y a du contrôle, mais cela coûte de l'argent, combien es-tu prêt à dépenser pour récupérer combien ? Malheureusement si le contrôle fini par coûter plus cher que la perte de la fraude c'est contre productif, il faut accepter que certains frauderont toujours et qu'il y aura une perte d'argent dans tous les cas. Ce n'est pas la consommation mais le bénéfice issu de la consommation, la cocaïne coûte beaucoup plus cher. La cocaïne dépasse le cannabis, l'ecstasy et les amphétamines explosent... Quatre chiffres sur la consommation de drogues en France
  5. Premièrement, ce n'est pas parce qu'on est pas d'extrême droite que l'on est de gauche. Ensuite, je n'ai pas dit qu'il ne faut pas protéger les prostitué(e)s, bien au contraire. Je ne nie pas le fait que certaines personnes le font par choix, quelles que soient leurs raison, je ne juge pas ni ne dénigre, mais ce ne doit pas être tout rose tous les jours d'où mon trait qui est volontairement à l'outrance pour l'exemple. Mais ce n'est pas parce qu'il y a des maisons closes qu'il n'y a pas de trafic, il y aurait 40 000 personnes qui font de la prostitution, cela ferait une grande quantité de maisons closes à créer. Miprof-Observatoire-national-des-violences-faites-aux-femmes-Lettre-prostitution-2024_2.pdf Il est estimé que 40 0002 personnes sont en situation de prostitution. 85 % seraient des femmes,3 53 % seraient françaises, et parmi ces dernières, 60 % seraient mineures. Ensuite, il faudrait garantir que les employées soient parfaitement consentantes (pas de travail au noir). Pour les violences, cela tient au type de clientèle, donc il pourra toujours y en avoir, même si le client pourra peut-être se faire refouler plus tard et que ce serait peut-être plus simple de déposer une plainte pour coups et blessures ? Tout ce que je dis c'est que les maisons closes ne règleraient pas tout. L'Allemagne pense à en revenir Le « bordel de l’Europe » : la prostitution en Allemagne à nouveau au cœur des débats - Le Parisien Enfin voici ce que le Parlement européen dit au sujet de la prostitution. A. considérant que les termes sur lesquels se sont accordées les Nations unies et l’Union européenne sont «prostitution» et «personnes/femmes en situation de prostitution», que la prostitution est l’achat d’un acte sexuel et qu’on peut la définir comme le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir un acte sexuel d’une personne en situation de prostitution en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage; que le présent rapport reconnaît que certaines personnes en situation de prostitution se qualifient de «travailleuses/travailleurs du sexe» et que ce terme est utilisé par certaines organisations internationales; qu’il s’agit de l’autodéfinition de certaines personnes qui se livrent à la prostitution et la considèrent comme une activité professionnelle, lesquelles ne représentent toutefois qu’une minorité des personnes en situation de prostitution, même si elles sont bien organisées et bénéficient d’une visibilité publique(6), (7); que le présent rapport souligne l’importance du droit de chaque personne à l’auto-identification à cet égard, mais qu’il utilise délibérément et exclusivement des termes neutres, à savoir «les personnes et, en particulier, les femmes en situation de prostitution», car nous ne voulons pas idéaliser la réalité de la prostitution ni masquer la violence, les abus et l’exploitation qu’endurent la grande majorité des personnes en situation de prostitution, en particulier les femmes et les jeunes filles; que nous souhaitons respecter la grande majorité des personnes en situation de prostitution qui n’y voient pas un emploi normal ou une possibilité de carrière comme une autre, qui quitteraient l’industrie du sexe si elles le pouvaient et qui considèrent la prostitution comme une forme de violence; qu’en utilisant le terme «prostitution» et «femmes/personnes en situation de prostitution», le présent rapport ne cherche pas à discriminer, stigmatiser ou rabaisser qui que ce soit; que cette formulation ne doit pas être considérée comme ayant des connotations morales ou délictuelles; B. considérant qu’il est essentiel de garantir les droits de toutes les personnes afin de respecter l’intégrité physique et l’autonomie individuelle, de protéger la vie privée et d’assurer le respect des droits fondamentaux et de la dignité des femmes dans la société au sens large; que garantir l’égalité et le respect des droits des personnes, y compris de décider de leur propre corps, d’accéder aux soins de santé et de vivre à l’abri de toute discrimination, contrainte et violence, y compris la violence sexuelle, doit être au cœur des politiques des États membres et de l’Union; 7. souligne que le Parlement européen a reconnu, dans sa résolution du 26 février 2014 sur l’exploitation sexuelle et la prostitution et ses conséquences sur l’égalité entre les femmes et les hommes, que la prostitution et l’exploitation sexuelle sont des violations de la dignité humaine, contreviennent aux principes relatifs aux droits de l’homme, parmi lesquels l’égalité entre hommes et femmes, et sont par conséquent contraires aux principes de la Charte ; rappelle qu’il a défini la prostitution comme une forme grave de violence et d’exploitation dans sa résolution du 5 juillet 2022 sur la pauvreté des femmes en Europe Texte intégral : Textes adoptés - Réglementation de la prostitution dans l’Union européenne: implications transfrontières et incidence sur l’égalité entre les hommes et les femmes et les droits des femmes - Jeudi 14 septembre 2023
  6. Cela reste quand même une exploitation du corps des femmes (ou des hommes), dans l'intime. Ce n'est pas anodin quand même. Même s'il y a une transaction financière, l'envie n'est peut-être pas là quand il y a à faire à un vieil adipeux transpirant et velu libidineux qui s'active pour son seul plaisir. Et puis, un salaire pour quel quota par jour ? En 2X8 ? Pour les maladies, est-ce vraiment un gage sûr ?
  7. Neko86

    730 livres en 40 ans !!

    Le choix de l'auteur pris en exemple n'est peut-être pas le bon....
  8. Neko86

    "Que des grosses p****"

    Les beaux côtés des concours de beauté, tant de charme ! L'élégance à la Française !
  9. Neko86

    Une crèche à Béziers

    Il me semble qu'un représentant d'un pays arabe n'est pas soumis aux lois de la République Française. Après, c'est juste du respect, convenance, diplomatie. De plus, il ne l'a pas fait, et donc ? "c'est celui qui dit qui est", "puisque tu m'as fait ça, ben je te le refais" ? un peu puéril non ? Ne nous abaissons pas à son niveau et restons nous même et digne.
  10. Neko86

    Une crèche à Béziers

    | Dans quelle mesure les élus sont-ils soumis aux principes de laïcité et de neutralité religieuse ? "Les principes de laïcité et de neutralité s’appliquent avec rigueur à l’ensemble des services publics, ainsi qu’aux bâtiments publics, sur lesquels ne peuvent être apposés de « signes symbolisant la revendication d’opinions politiques, religieuses ou philosophiques » [2]. Ces principes s’appliquent aussi strictement aux agents publics, qui ne peuvent manifester leurs croyances religieuses dans le cadre de leurs fonctions. [...] Aucune disposition législative ou réglementaire ne leur (les élus) fait d’interdiction expresse de manifester des convictions philosophiques ou religieuses. Prolixe sur les questions relatives à la laïcité, la jurisprudence est presque muette sur la question de la neutralité des élus. La doctrine a elle-même été, jusqu’à présent, peu diserte sur la question. [...] La complexité de cette question tient au statut singulier des élus publics. En tant que représentants de l’Etat ou de collectivités territoriales, voire lorsqu’ils exercent des fonctions en qualité d’agents de l’Etat, les élus se doivent de respecter le principe de neutralité de l’Etat. Mais tout en même temps, ils demeurent des hommes politiques qui doivent, en tant que tels, jouir de la plus grande liberté d’opinion, y compris religieuse, et d’expression. [...] Lorsqu’ils interviennent dans le cadre de leurs fonctions publiques, les élus agissent généralement non pas en leur nom propre, mais au nom et pour le compte de l’Etat ou des collectivités territoriales qu’ils représentent. Dans ce cadre là, les élus publics sont assez largement soumis au principe de laïcité de l’Etat et de neutralité des services publics, qui s’applique généralement à l’ensemble des services publics. Il se doivent alors de respecter les principes définis par l’article 1er de la Constitution et la loi du 9 décembre 1905, en respectant toutes les croyances et en garantissant le libre exercice des cultes, mais en ne « reconnaissant » aucun culte. [...] Cette neutralité doit être d’autant plus stricte lorsque les maires et adjoints exercent leurs fonctions en qualité d’officier d’état civil ou d’officier de police judiciaire, et qu’ils agissent ainsi au nom de l’Etat. Dans ce cadre précis, ils sont sans aucun doute soumis aux mêmes exigences que les agents publics, et se trouvent privés du droit d’exprimer leurs convictions religieuses. [...] Les élus publics peuvent donc librement prendre part aux manifestations religieuses auxquelles ils sont conviés, à condition de conserver une attitude neutre (qui exclut les actes « de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande ») et surtout, de traiter de la même manière l’ensemble des cultes. [...] À cet égard, le congrès national de la Fédération nationale de la libre pensée (FNLP) n’était pas fondé à exiger du Président de la République « l’interdiction de la présence ès qualité de représentants de l’Etat ou d’élus de la République dans des cérémonies religieuses ; et en particulier lors des manifestations placées sous les auspices des autorités religieuses » [16]. Leur seule présence à des cérémonies religieuses auxquelles ils ont été conviés ne contrevient pas au principe de neutralité, dès lors qu’ils s’abstiennent de favoriser un culte et qu’ils gardent une juste réserve. Plus mesurée, l’AMF a précisé sur ce point que « la participation à des cérémonies religieuses, en tant qu’élu, devra se faire dans le strict respect de la neutralité républicaine, c’est-à-dire sans manifestation de sa propre croyance ou non-croyance » (précité), tout en conseillant aux élus d’adopter des « formes de respect ». Ainsi peut-il leur être recommandé, par exemple, de se lever et de s’asseoir en même temps que les fidèles lors d’une messe catholique ou d’un office protestant, ou de se déchausser avant de pénétrer dans le lieu de prière d’une mosquée. Le respect des principes de neutralité et de laïcité n’interdit cependant pas aux élus publics de conserver, dans le cadre privé ou politique, une liberté d’opinion et d’expression et une liberté religieuse pleines et entières." Le Président dans sa fonction représente l'Etat laïc et ne peut montrer de préférence envers une religion. Récap des présidents de la 5ème vis à vis de la religion : De de Gaulle à Macron, à chaque président sa vision de l'Église
  11. Neko86

    Une crèche à Béziers

    Disons que la plupart des cas que j'ai relevé sont extrêmes et que, bien que cela existe, la majorité des Chrétiens ne s'y retrouveront pas je pense. Mais si on se focalise dessus, on y voit une menace venant de la chrétienté. La religion est un instrument de pouvoir qui peut-être utilisé par des hommes pour accroitre leur volonté de domination et de puissance et leur privilège et la majorité d'entre elles sont patriarcales et misogynes. Les dogmes conditionnent les populations au fil du temps (certains positivement d'ailleurs : Tu ne tueras point, voleras point,...). Le problème c'est qu'il ne peut pas vraiment y avoir de contre-pouvoir interne puisque c'est.... la volonté de Dieu. Le contre-pouvoir est externe et vient de la laïcité de notre République qu'il faut protéger. Traditionnelle dans la religion catholique. Uniforme réglementaire historique si tu préfères.
  12. Neko86

    Une crèche à Béziers

    J'ai noirci le trait et été dans l'outrance volontairement et je l'ai dit. c'est juste pour montrer ce qu'on peut dégager d'une religion en se concentrant sur les extrêmes.
  13. Neko86

    Une crèche à Béziers

    Ben non, à la base c'est bien une célébration de la naissance du Christ, ce n'est pas parce que c'est rentré dans la tradition que l'on doit leur enlever. Ou comment tenter de relancer la polémique avec des propositions scabreuses. Effectivement....
  14. Dans le Nord-est, Auvergne et Gironde notamment. J'habite à 2 pas d'un gros foyer à priori mais je n'en ai jamais vu. "Je ne pensais pas que c'était aussi méchant" : des milliers de ratons laveurs envahissent le sud-ouest de la France Ils arrivent à s'évader des pièges !
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