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  1. NuitDencre

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 02/07/2021 dans toutes les zones

  1. J’ai dit le contraire ? Je dis juste que les vaccins ne semblent pas assez fiables pour l’instant, et que les mutants semblent le démontrer. Regarde ma source du Figaro, ça en dit long.
    5 points
  2. Putain moi aussi j’étais assesseur j’ai fait un youyou de a voté au facho notoire enfin celui qui ne se cache pas quoi et pas l’ombre d’un article. Et même pas ça parle de moi pendant 2 heures a l’assemblée.
    5 points
  3. Henri "Le Douanier" Rousseau - Deux Lions à l'Affût Dans la Jungle
    4 points
  4. ta source ne montre pas grand chose, Le Figaro n'est pas un journal scientifique, il ne fait que relater des articles et des enquêtes déjà existantes. un virus peut muter pour entrer plus facilement dans une cellule mais en général, il évite de tuer son hôte car si plus d'hôte, il disparait lui-aussi... donc si même Delta est plus contagieux, je m'en fous car il semble ne pas être plus létal que son parent immédiat. de plus, les vaccins abaissent sa dangerosité de façon satisfaisante... je dis: bravo! si tu veux attendre mille ans, tu peux... pour avoir des résultats fiables, viables, faits et refaits, calculés, randomisés, encore et encore; tu peux mais je t'en prie, reste chez toi et surtout ne sors plus. on vous nourrira par sas anti virus interposé, comme cela, vous serez tous heureux comme des bébés, bien protégés et sans vaccin du tout sauf les obligatoires, DTpolio et un ou deux de plus. alors heureux? il semble que oui... mais quand c'est pour nous souler avec des vidéos d'hurluberlus totalement azimutés, là, notre ami solatges trouve cela très pertinent.
    4 points
  5. Pour compléter ce que vient d'écrire Jacky : Un virus qui reste sur un milieu stérile et non biologique ne mute pas : il est ! Ce virus qui entre dans un milieu biologique favorable va se faire multiplier dans les cellules. Chaque personne atteinte va disséminer le virus et ces duplications deviennent rapidement exponentielles. C'est lors de ces duplications que des erreurs apparaissent. Lorsque ces erreurs sont défavorables à la multiplication, le virus perd de sa contagiosité et l'épidémie finit par s'éteindre. Si les mutations sont favorables à sa contagiosité, l'épidémie accélère. C'est ce qui se passe avec les différents variants alpha...delta. Ces mutations ne concernent que la protéine d'accrochage qui semble plus efficace chez le delta que chez le alpha. Si d'autres mutations concernent la structure interne qui commande la "toxicité" , alors la gravité des symptomes pourrait être augmentée et donc le nombre de morts augmenterait. Cette agravation n'est pas à l'avantage du virus puisqu'un mort arrête de disséminer le virus ! Une autre évolution serait la banalité de la covidose : le nombre de malades augmente toujours mais la maladie est bénigne. C'est le cas de beaucoup de rhumes !
    4 points
  6. Je n’ai pas cette vision de la France. Il y a les bourses les logements Crous les aides aux transports…
    4 points
  7. Missionnaire mangé par un Jaguar (par Noé León, 1907).
    4 points
  8. Elles fonctionnent, mais avec d'autres appellations, la sociologie est là pour ça, certains osent même appeler ça science, peut-être ne font ils pas la difference entre science et discipline Par exemple la fragilité blanche très prisé chez les sociologues, pour faire simple tu es blanc tu es forcement raciste il faut te rééduquer, bref vaste sujet... Un exemple rigolo, lors du débat Schiappa / Bardella, Schiappa utilise le terme en vogue mansplaining, pourtant il n'avait pas de ton paternaliste ou je sais quoi, chercher l'erreur ?
    4 points
  9. Le en même temps de Macron finalement c'est rien pour le peuple et tout pour les potes. Il parle de racialisation, incroyable, suffit de faire un tour dans les universités ou de voir toutes les organisations financer par l'argent public qui alimentent les discriminations, allez appelons ça "woke" Des Yassine Belattar maitre de cérémonie au CCIF, Rokaya Diallo qui a compté parmi les administrateurs de l'EMISCO ou pour rire ou pas des personnes comme Mathilde Cohen payé avec notre argent (CNRS) la cuisine française est raciste, bref la liste est sans fin. Une courte vidéo sur le mouvement woke, bref raciste et discriminatoire, et je ne pense pas que le gars sois d'extrême droite :
    4 points
  10. Bjr Bel, moi j' en veux aux politiques ce sont eux les vrais responsables. La seule chose sur lequel ils sont tous d' accord, c'est de taper sur ceux qui osent faire le constat de la faillite de la politique d' immigration gangrenée par Bruxelles et les autoproclamés qui nous dirigent . Rien contre les immigrés, ne pas se tromper de cible
    4 points
  11. Bin quand même , entre la France des années 20 et celle de nos jours il y a quand même eut un sacré changement ethnique et racial dans nos rues non ? lol mais bon perso j'ai rien contre ce phénomène . c'est juste la surprise du propos d'un homme politique qui semble s'étonné d'une racialisation d'une société alors que depuis 1945 on favorise l'immigration ..... m'enfin quoi....il joue les vierges effarouchés ?? ou il fait mine d'innocence ? Cette racialisation de nos sociétés est le résultat des politiques migratoires alors il ne faut pas s'en étonner c'est tout , ça ete une volonté politique sans vraiment demander son avis aux français .
    4 points
  12. Il s'agit plus de bêtise complotiste ordinaire que de polémique ① – Antivax : le Covid-19 n'a rien inventé Inutile, contre-nature ou carrément dangereux… le vaccin concentre les peurs et les critiques. Et ça fait des siècles que ça dure. Retour sur l'origine d'un mouvement sociétal plus que jamais d'actualité. ► https://www.ladn.eu/nouveaux-usages/antivax-histoire-mouvement/ Aujourd’hui, ils complotent sur WhatsApp, s’échangent des remèdes alternatifs sur Facebook et expriment leurs doutes sur Twitter. Mais les réfractaires à la vaccination n’ont attendu ni les réseaux sociaux, ni le Covid-19 pour émerger. Il y a toujours eu des antivax – même avant l’existence des vaccins à proprement parler. Avant Pasteur et Jenner, inventeur de la vaccine, les Occidentaux découvrent au début du XVIII siècle un procédé venu d’Orient : l’inoculation. Ancêtre du vaccin moderne, la pratique consiste à transmettre une version atténuée artisanalement de la variole à un sujet sain grâce à du pus séché. On passe d’une médecine curative à une médecine préventive. Au mieux, l’idée suscite le doute et l’incompréhension. Au pire, la peur. « Dès qu’il y a eu vaccin, il y a eu anti-vaccin », synthétise Laurent-Henri Vignaud. Un débat loin d’être inutile ou infondé comme le souligne l’historien. Le risque zéro n’existe toujours pas, mais avant qu’on ait les connaissances actuelles en immunologie, de vrais accidents vaccinaux ont eu lieu et ont nourri les arguments puis les fantasmes des anti-vaccins. « Chez les antivax, le rôle de lanceur d’alerte s’est toujours associé à un contre-discours qui contient beaucoup d’erreurs, rappelle l'historien. C'est ce qui a rendu tout débat serein impossible. » Suite de l'article...
    4 points
  13. Voila,j'ai un pote arabe (c'est pas une insulte) issu d'un milieu très défavorisé qui a fini pneumologue et quand on lui parle d'ascenseur social bloqué,il répond ben oui l'ascenseur ètait bloqué alors j'ai pris l'escalier !!
    4 points
  14. Résumé de tes propos ! Il y a ceux qui savent se démerder à se faire du fric, quand d'autres ne font que des petits boulots, attendent aussi de l'Etat du maternage pour le sortir de sa galère. Et, comme il faut des coupables, c'est forcément les riches et le gouvernement.
    4 points
  15. Ce matin-là, la douleur avait été trop forte. Impossible de l'ignorer plus longtemps ; les espérances qu'elle s'estompe durant la nuit s'étaient dissipées. Au moins, j'avais réussi à dormir quelques heures — mais si elle devait continuer, s'intensifier, alors cela deviendrait impossible de répéter cela la prochaine nuit. Je n'arrivais pas à comprendre ce qui accablait mon corps. Par moments, c'était comme un poids diffus, depuis le ventre jusqu'à la poitrine ; à d'autres, des pointes de douleurs, comme si des ongles grattaient contre moi depuis l'intérieur de mon corps. Comme si en moi m'agrippait une main étrangère, qui me haïssait. Ça n'était pas toujours au même endroit, donc je pensais que ça ne pouvait pas être une crise d'appendicite. Je me remémorai un par un tous les ingrédients des trois derniers repas, sans en trouver un qui aurait pu être la cause de tout cela. S'allonger sur le sofa, un gant mouillé posé sur le front ; une tasse de thé brûlant, avec un peu de citron ; rester immobile des heures, les mains posées sur l'abdomen — tout n'apportait que des répits momentanés. Il aurait fallu attendre que tout passe — mais je ne pouvais plus attendre, craignant surtout que ce fût là le premier symptôme d'un mal plus inquiétant. Ça ne pouvait pas être une simple indigestion. Je n'allais pas chercher sur Internet : là-bas, toute sensation trahit un nouveau cancer. Finalement, je pris sur moi et, réalisant que je pouvais marcher sans trop souffrir — peut-être était-ce un bref moment de répit avant que la douleur ne reprenne et que les ongles à nouveau râpent mes entrailles — j'appelai le médecin. Un peu plus tard, je me trouvai dans le bureau boisé du Dr. Lewy. Elle me posa les questions habituelles — les aliments, les moments des premières douleurs ; si je prenais d'autres médicaments. Pression sanguine normale. Je sentis le froid du stéthoscope se poser sur mon dos, sur mon thorax, sur mes côtes. Ce fut à ce moment que je perçus quelque chose de différent chez le docteur. Elle avait pris un air soucieux, ses sourcils s'étaient froncés, comme si un nouveau problème venait de lui apparaître. — "Vous sentez des gargouillis ?", demanda-t-elle. — "Non." Je précisai : "Ce sont plutôt des pointes de douleur. Des griffes." - et elle gardait un air perplexe, étrange. — "Vous avez voyagé récemment ?" Non plus. Le dernier voyage datait d'il y a plusieurs mois ; et, lui apprenant que ç'avait été en Europe, elle hocha de la tête, mettant cette hypothèse de côté. Elle avait dû soupçonner une sorte d'infection tropicale. J'avais l'impression que mes organes changeaient de place, et je lui en fis part. Elle s'arrêta un instant, et réfléchit, essayant de se remémorer nos précédentes rencontres. — "Vous avez un situs inversus ? Je ne le vois pas sur votre dossier médical..." — "..." — "Vos organes ne sont pas disposés du côté habituel. J'aurais dû m'en rappeler..." — "Mais... il me semble que je vous aurais entendu le dire la première fois..." — "Vous avez dû l'oublier." J'allais protester, mais je vis bien que son ton sec était sans appel. Une fois encore, c'était le médecin qui avait décidé, tranché. C'était la seule hypothèse qui fasse sens dans son esprit, et maintenant elle ne voulait plus en entendre d'autres ; pourtant je l'aurais bien su si j'avais possédé une disposition originale de mes organes... On me l'aurait dit, le souvenir serait évidemment resté — ça ne s'oublie pas, une découverte de ce type. Et puis — portant la main par réflexe à mon cou, puis sur la poitrine — je pouvais bien sentir mon cœur un peu plus à gauche. Je ne comprenais pas pourquoi elle disait cela. — "Vous devriez voir un spécialiste, faire une radio. Au cas où il y ait quelque chose." — J'imaginais donc que le verdict devait être une possible tumeur, apparue soudainement, et détectée seulement du fait de la naissance d'une gêne douloureuse. Mais que la transition soit aussi rapide et contrastée ? Là encore je ne comprenais pas tout à fait. Je sortis du cabinet sans réel diagnostic, ni aide, à part un conseil vague de prendre du Doliprane... Je m'aperçus finalement que je ressortais de chez le médecin sans aucune réponse et presque avec plus de questions qu'avant d'y rentrer. La douleur s'était assourdie sur le trajet du retour. Tant que je marchais à pas réguliers, elle s'absorbait dans le mouvement ; c'était un balancement inconfortable, mais bien plus plaisant que l'immobilisme. Plus je m'en apercevais, plus j'ajustai mon trajet en y ajoutant quelques détours — par le parc, par la grande avenue — pour m'accorder un plus long répit avant de me retrouver à nouveau sur le sofa à souffrir. Là encore, j'avais de plus en plus l'impression que mon intérieur était en vrac, pêle-mêle. Ce fut dans les derniers mètres du parc que se produit un événement étrange. La grande allée qui menait jusqu'au portail était toujours fréquentée ; sous l'ombre des ormes qui la bordaient, quelques bancs de pierre abritaient des passants venus se reposer assis quelques instants, ou encore des couples profitant du cadre romantique avec vue sur les parterres de fleurs. Mais l'homme qui se mit à me crier dessus n'avait ni l'air d'un passant, ni celui d'un amoureux ; il ressemblait plutôt à un sans-abri africain, l'air sale et menaçant à la fois. Je ne compris que quelques-unes de ses invectives — car il semblait avoir consommé des psychotropes qui lui affectaient la diction. — "Vous faites de la sorcellerie, vous avez un evur !" Je pressai le pas sans répondre, espérant qu'il ne se mette pas à me suivre ou à devenir plus agressif. Ce ne fut heureusement pas le cas. Une fois de retour dans mon appartement, les douleurs reprirent à nouveau. Je réussis à me dévêtir, à prendre une douche froide, puis à m'allonger à nouveau sur le sofa en tee-shirt, espérant que cela passerait après quelques heures. Tant que je ne bougeais pas, la position n'était pas trop inconfortable ; cette pause et la longue marche eurent tôt fait de m'entraîner dans un état ensommeillé, et je m'aperçus que comme je ne pouvais pas vraiment faire autre chose, je pourrais malgré l'heure récupérer un peu de sommeil avec une sieste. Pourtant, malgré la fatigue, c'était le visage aux traits durs de l'homme qui criait qui me revenait incessamment à l'esprit. La mâchoire dure, la joue creusée et sèche. Je ré-entendais ce mot inconnu : evur. — Je m'emparai de mon smartphone, cherchai tant bien que mal — essayant différentes orthographes — ce qu'il avait voulu dire par là. Sans doute quelque chose de lié au mauvais œil ? J'imaginais une sorte de superstition liée à un habit, une couleur, ou encore à ma démarche qui devait avoir été affectée par la douleur intermittente. Finalement, je trouvai une piste... : Ewu, evur, mango, ngwel, inyamba... beaucoup de termes différents semblaient correspondre à un concept proche, plus ou moins celui-ci : certaines personnes étaient nées avec un organe supplémentaire, lequel était l'"organe-sorcier", et celui-ci pouvait avoir un effet magique à distance — s'envolait durant la nuit pour gâter une récolte, affliger un corps... Le pouvoir pouvait être utilisé en négatif ou en positif — en sorcier ou en médecin-guérisseur, dans une procédure proche du shamanisme — mais tout le monde gardait néanmoins ses distances, voyant d'un œil très méfiant les porteurs de l'organe. Qu'avait donc vu en moi le vagabond menaçant ? J'imaginai un instant qu'il avait pu, lui aussi, posséder cette sorte d'émetteur-récepteur et que celui-ci lui avait montré mes maux intérieurs... D'ailleurs, était-ce peut-être pour cette raison qu'il s'était exilé ? Me revinrent en mémoire tant d'histoires sur le traitement réservé aux personnes accusées de sorcellerie ou de mauvais œil dans les pays africains ; et puis les histoires sur ce que l'on imaginait dans les corps... comme cette croyance en Zambézie dans laquelle même les hommes chauves étaient parfois chassés — car on croyait que ce crâne trop lisse abritait de l'or sous la peau, à la place de l'os. Mais non, ça n'était que des vagues rêveries (bien qu'aux conséquences tragiques là-bas) — déjà, si l'organe existait, il aurait été découvert par nos anatomistes qui avaient déjà décrits des déformations internes autrement plus rares. Ensuite, il ne serait pas apparu soudainement, comme ça, après vingt-cinq ans : on naissait avec... Ou alors, était-ce une sorte d'atavisme très rare ? — De toute manière, son mode d'action le plaçait forcément dans le domaine du paranormal. Du moins, c'est ce que je pensais. Je réussis à m'endormir, d'un sommeil étrange — malgré la douleur qui revenait tantôt par à-coups. Comme si petit à petit, je l'avais acceptée, et amortissait ses pulsations en les divertissant petit à petit vers le reste du corps — jusqu'à ce que la fatigue absorbât tout. J'eus à nouveau ce moment où je sentais mon esprit être resté conscient, mais où le corps avait disparu. Et puis, alors, le rêve. — Je volais dans les airs. Étrangement, on ne voyait ni la lune ni le soleil dans les cieux ; juste un profond bleu marine, sombre, statique — le temps comme figé au moment où le crépuscule vacille. À l'ombre que je projetais sur les arbres et sur les immeubles, je me devinais immense oiseau solitaire. Un oiseau de proie. Je fondais vers l'allée aux grands ormes. Ils étaient là : les promeneurs du jour, les artistes perdus de la nuit... et puis cet homme étrange, le même que tout à l'heure. Le seul qui, soudain, regarda le ciel — et sembla m'y percevoir... le visage alors horrifié, les muscles du front si serrés que le contour des veines et artères semblaient être sur le point d'éclater... immobilisé par la peur... car il savait que je revenais pour lui. — Le son d'une sirène d'ambulance au loin me réveilla d'un coup. Les images du rêve encore clairement à l'esprit. Je vis par la fenêtre ouverte que l'après-midi touchait à sa fin ; le soleil se coucherait dans moins d'une heure. La douleur n'était plus là ; elle avait laissé place à une sorte de sensation diffuse — ce n'était plus une main qui me griffait les entrailles, mais une sensation encore légèrement inconfortable : la même main qui maintenant y ajustait la disposition des organes, les uns avec les autres, comme pour y essayer différents rangements et diverses combinaisons... Non, ça ne pouvait pas être une simple indigestion. Il y avait quelque chose en moi.
    3 points
  16. Non parce-que vous prenez de l'homéopathie, je le sais. Plus sérieusement quand tu as une notice sur Psiram (psiram.com) ça craint. Jean
    3 points
  17. Regard du peintre sur l'an 2000 par Raphael Toussaint
    3 points
  18. il n'y a aucune manipulation, il y a simplement le fait que les gens qui vont se faire vacciner comprennent que si ils veulent échapper à un énième confinement avec tout ce que cela comporte, fermetures des magasins, des restos, des bars, des lieux de loisirs, des couvre-feux à la chaine, ils doivent prendre leur responsabilité et agir pour leur bien et le bien de tous sans omettre une possible peur d'attraper ce delta et de risquer de se retrouver en hosto et non pas en vacances. cela fait réfléchir, ils auraient du y penser plus tôt car pour qu'un vaccin soit efficient, il faut une quinzaine de jours pour la première injection... et idem pour la seconde. rires!
    3 points
  19. Euh...je crois pas non. Il faut arrêter de largement surestimer le coût des études. On est pas aux Etats-unis... Anesthésiste, exemple de Julien. 11 ans d'études -> 14 000 euros de frais de scolarité au total. Et là, c'est parce qu'il n'est pas boursier. https://www.letudiant.fr/etudes/combien-coutent-les-etudes-l-addition-pour-9-professions/julien-medecin-14-000-e-pour-11-ans-d-etudes.html Alors certes, bien des choses ne sont pas prises en compte, notamment le logement, la sécu, les transports...Mais quand un mec est issu d'une famille pauvre en général il est boursier. Et dans ce cas, il bénéficie généralement d'un logement étudiant et de l'apl (en fin de compte, il ne paie pas grand chose). Pareil, la mutuelle étudiante est même gratuite pour les plus pauvres. Les transports, les étudiants ont des tarifs réduits. Et pour les frais de scolarité (les 14 000 euros de Juliens)...En tant que boursier, selon l'échelon, ils ne paient rien... S'il y a en France une reproduction sociale, il faut plus chercher du côté familial que financier (donner à ses enfants le goût des études, leur faire comprendre que c'est important, ne pas les pousser à reprendre l'affaire familial ou vouloir qu'ils sortent vite de l'école pour qu'ils rentrent dans la vie active pour se "débarrasser" d'eux).
    3 points
  20. Et aucune source comme d’hab (dixit celui qui cite les complotistes en fait de même).
    3 points
  21. tu penses qu'il va comprendre, Alain! tu es béat d'optimisme! rires! oh évidemment, cette affiche montre que les vaccins fonctionnent contre une hospitalisation toujours possible et contre une mortalité qui peut me pendre au nez quand il y a infection et pour toi, cela serait lamentable? bigre, pour moi, c'est encourageant! nous ne voyons pas les mêmes choses, solatges.
    3 points
  22. Je te demande d'arréter ton flood biquotidien de ton affiche publicitaire préférée. C'est ridicule, encombrant et au final lamentable.
    3 points
  23. La source fiable qui est Le Figaro, n’a rien à voir avec les propos des extrémistes dont Philippot, Le Figaro parle ici du variant Delta qui arrive en grande force en Europe. Certains vaccins ne sont efficaces qu’à 60%… Encore dit sur TF1 il y a quelques jours. Si on considère que le virus va continuer à muter et sans cesse, au final il faudra toujours continuer à développer de nouveaux vaccins et donc se faire vacciner par de nouveaux vaccins pour une protection totale ? Et qu’en sera t’il à force de se faire vacciner ? Y aura t’il des résistances comme souvent dans l’histoire des médicaments et vaccins… Tant que je peux continuer à vivre sans avoir l’obligation de me faire vacciner alors je le ferai et nous sommes plusieurs millions a vouloir en faire de même.
    3 points
  24. je suis allé voir sur internet le prix d'entrée dans les clubs libertin ( faut bien s'instruire!!) ben dis donc c'est pas à la portée du smicard de base!! A moins qu'il y en ait gèré par la CGT et gratos pour les (très) vieux militants comme la carte senior pour les musées à Paris Hongrois avoir tout vu mais non en fait!!
    3 points
  25. en traversant la rue ... Il est vrai que dans les années 80 , les jeunes travaillaient avec un petit boulot chez l'épicier ou le boulanger le dimanche matin ... , des travaux dans les champs en été , on ramassait les pommes de terre fin de l'été pour quelques francs ! aujourd'hui la jeunesse est affalée dans le canapé avec des jeux vidéos aux bout des doigts
    3 points
  26. tu sais, hanss, les pédophiles peuvent être "hétérosexuels" en choisissant une petite fille comme ils peuvent montrer un penchant "homosexuel" en choisissant un petit garçon... mais que cela soit l'un ou l'autre, un pédophile est appelé pédophile, point. un homme attiré par un homme est un homosexuel et une femme attirée par une femme est une homosexuelle. en peu de mots: des gays. et nous n'avons rien à voir avec ces gens baisant des petits enfants.... comme tu dis, il y en a partout et le pire, c'est que cela peut toucher aussi bien leurs propres enfants que les enfants des autres.
    3 points
  27. Qui parle d'être "ravi" de quoi que ce soit ? Et en effet, quels parents pourraient l'être, en sachant ce que leurs enfants devront endurer... C'est quand même dingue de décider pour les autres de ce qu'ils doivent être ou pas ! Si chacun s'occupait de ses fesses...
    3 points
  28. Ben oui c'est la différence avec les minorités visibles,quand tu est noir tu n'a pas besoin de le dire à ta mère!
    3 points
  29. Tu te trompe sur une chose, que tu sois pour ou contre on te l'impose, si tu ne suis pas la ligne tu va être cataloguer, raciste, fachiste et j'en passe. Suffit de faire un tour du coter des université au US, ou dans les grands groupe comme par exemple Lockheed Martin et leurs stage "tu es blanc tu es raciste", une des pires les studios Disney...
    3 points
  30. Bon, un bobard antivacc' de moins. " Le fait que cette lettre ait été écrite par un virologue qui se présente comme un partisan des vaccins, ne suffit pas à lui donner de la crédibilité. L’idée que les vaccins provoquent l’apparition de mutations plus dangereuses ne repose sur rien. Et l’argumentaire ne fait que reprendre les fausses conceptions mises de l’avant par les opposants à la vaccination. "
    3 points
  31. Pénicaud : "l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans ne changera pas" https://www.lalsace.fr/actualite/2018/10/09/penicaud-l-age-legal-de-depart-a-la-retraite-a-62-ans-ne-changera-pas Les menteurs pathologiques. Et fin du hs.
    3 points
  32. Je le répète car c'est une évidence ... avant Giscard , les travailleurs immigrés retournaient dans leur pays ( et c'est ce qui se fait encore au Quatar , même en europe ) l'implosion des sociétés européennes ( France , belgique , grèce ... mon dieu la grèce ....etc ) ce fut l'ouverture des frontières aux biens et aux personnes et là , mama Merkel a vu tous ses diplômés s'éparpiller par le monde et s'est dit " prenons ceux qui restent pour des cons et faisons croire que tous les nouveaux arrivants sont Bac +5 ! et ce ,comme le dit Elbaid ,sans jamais demander l'avis du peuple .
    3 points
  33. Allons Macron est tout sauf honnête ce qui serait un handicap en politique,le problême pour lui c'est que ça se voit de plus en plus au regarde de sa versalité ,en fait c'est un machiavel de supermarché,un Mittrerand de vide grenier. C'est monsieur: Dites moi ce que vous voulez entendre et je vous le dirais et après je ferais comme j veux et sans garantie d'efficacité,faut pas rêver bande de gens de rien!!
    3 points
  34. Le "pas de chance" existe, mais le problème Français, en général bien sûr, est le manque de volonté de vouloir se sortir d'une situation difficile. Ce n'est qu'aux autres à te sortir de la panade, qui ? L'Etat ! La pandémie a mis en évidence tous nos maux, dans un pays où les aides arrivent à ne pas inciter certains à se sortir eux-mêmes de la galère. C'est aux autres à se mouiller pour soi.
    3 points
  35. Bonjour Stvi, poigne de mains Bien un communiste, de leur part faut s'attendre à tout, ils osent tout. Pour preuve.
    3 points
  36. Avant-gardiste le Modigliani
    3 points
  37. Détruire les heteros ? Mais quel délire !!! Sinon pour info ce sont ceux qui cachent cette différence qui le vivent mal. Les autres vont très bien, merci. Et je parle d'expérience, hein !
    3 points
  38. Le sentiment gratifiant de faire ce qui est juste et respectueux envers les autres ; ça m'a toujours suffit.
    3 points
  39. Le président dans le magazine féminin Elle constate et regrette la racialisation de la société française . Dans un entretien à "Elle", Emmanuel Macron s'alarme d'une "société qui se racialise" (bfmtv.com)
    2 points
  40. Place d'Italie avant : Petite fontaine moche mais qui donnait un peu de fraicheur! Place d'Italie maintenant avec une très jolie dalle de béton ( écolo??) qui rafraichit quoi??
    2 points
  41. Dans ce cas il peut avoir une bourse. Par ailleurs un interne est rémunéré . Enfin moyennant un engagement d’installation dans une zone avec peu de médecins , une bourse supplémentaire et des facilités pour s’installer est proposée . Enfin les banques prêtent . J’ai commencé ma vie pro par le rembourser de 1 KE/ mois pendant quelques années , le ROI a été bon .
    2 points
  42. Oui mais il faut le faire bien. Quand toute la famille aide le plus doué plus quelques aides d'état ça le fait! Mais ça c'est plus un trucs d'arabes que de céfrans
    2 points
  43. Salut ☺ Je suis en partie d'accord avec Kant mais confondre loi, morale et justice me paraît hasardeux étant donné que ces mots ont des sens différent. Une loi peut être immorale Une morale peut être injuste La justice peut être hors la loi.
    2 points
  44. J'ai pas tout relu, mais il était plus question d'homosexualité que de transsexualité, non ?
    2 points
  45. N'importe quoi, tous les pays de "l'occident" interdisent les contenus pornographiques aux mineurs, ce n'est pas ça qui choque. Ce qui heurte c'est que la Hongrie interdit aussi la diffusion de toute représentation, même soft, de l'homosexualité aux mineurs
    2 points
  46. Juste ne pas faire à autrui ce qu'on ne voudrait pas que l'on nous fasse. Et sans référence métaphysique qui pourrait pointer le bout de son nez là-dedans.
    2 points
  47. Respecter la morale/justice c'est se comporter selon l'intérêt général de la société. Et cet intérêt général est aussi celui de chacun (donc aussi le mien). Je n'ai besoin d'aucun fondement religieux, aucune référence à la métaphysique pour cela, je l'ai juste appris au contact des autres humains.
    2 points
  48. La famille de mon mari ( tout ce qu’il y a de plus français ) est une famille d’ouvriers ils ont tous commencé à travailler vers 14 ans c’était possible à l’époque jusqu’à leur retraite. Ce sont des bosseurs vraiment. Les femmes ont été couturiere, caissière puis à l’hôpital et les hommes sont dans le bâtiment ou les travaux publics. Mon mari a quitté l’école à 16 ans pour se former en électricité, il a commencé à travailler à 18 ans parce que pour mes beaux parents l’école ne sert à rien, c’est une perte de temps. Il faut travailler vite selon eux contrairement à mon père pour qui on avait plutôt intérêt à bosser et ramener les diplômes. Et c’était valable pour ses collègues de Michelin, le jour où les résultats d’examens étaient publiés dans le journal c’était une grande fierté pour eux à l’usine. Celui qui savait lire le hejj paix à son âme était en charge de leur montrer le nom de leurs rejetons. Et pour l’aspect financier nous avons bénéficié des bourses de l’état et des bourses Michelin. Cela n’a pas été un frein. Donc mon mari est un peu comme ses parents, je suis comme mon père. Résultat : numéro 1 est en fac de droit et passe en 2 eme année, numéro 2 a une passion pour la soudure il ne jure que par cela ( bien sur l’autre jour j’ai accompagné ma copine aix urgences suite à un malaise et il a fallu que je vois un pauvre monsieur qui a pas mis sa protection lors d’une soudure et qui s’était brûlé les yeux rien que je pense à ça maintenant) la pouffe se cherche et me cherche accessoirement et le petit dernier passe en 5 eme et l’école est très importante pour lui. Enfin tout cela pour dire que primo tout le monde riche ou pauvre n’a pas les capacités intellectuelles pour de longues études ni forcément l’envie et il ne me semble pas que cela soit une question de milieu.
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