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CAL26

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  1. Parler d'erreurs est moins complexe quand la considération concerne des faits que pour des idées. Mais dans un débat notamment politique au sens large ou philosophique, domaines dans lesquels il serait illusoire de chercher la vérité, ce qui peut être évalué c'est la validité d'un raisonnement. Pour étayer des convictions, l'exigence ne peut concerner que la validité d'un argumentaire dans son respect des règles logiques et la pertinence des savoirs sur lesquels reposent les arguments. L'erreur ne peut en l'occurrence donc pas être dans l'opinion ou la conviction défendue mais dans la validité et la richesse des arguments qui l'étayent. Et comme toutes les opinions ont leur place dans ce genre de débat,la quantité d'argumentaires valides n'est pas limitée et le débat peut vivre si chacun respecte l'argumentaire de l'autre. Alors s'enfermer dans ses convictions consiste à caricaturer, déformer ou ne considérer qu'une partie des arguments de l'autre qui n'a pas les mêmes opinions, ce qui ne permet pas de bien percevoir leur validité ou non validité et empêche le débat de se poursuivre. Par analogie c'est une autre manière de toujours vouloir avoir raison en ne sachant pas questionner ses propres convictions. En sciences, les règles de la méthode expérimentale et la réfutabilité des savoirs constitués sont l'équivalent de ces règles du débat en philosophie ou en politique (encore une fois au sens large d'organisation de la cité) .
  2. Mais l'INSEE n'est ni diététicien ni nutritionniste.
  3. Je ne pense pas que le fait de ne jamais admettre qu'on a tort puisse être considéré comme une maladie psychique mais plutôt comme tu l'as évoqué pour l'hubris, un trait de personnalité ou un mécanisme de défense lié à la fragilité de l'égo. Il y a parfois également un manque de flexibilité cognitive : la difficulté de faire une mise à jour cognitive pour modifier sa perception d'une question ou d'un problème.
  4. Félicitations ! Avec ce genre de tradition on a obtenu Dany Boon. Il faut réfléchir aux conséquences quand même.
  5. Mais ça fera 20 centimes par commentaire engendré. Et c'est comme un appel en PCV, c'est le créateur du sujet qui paye. Simple démarche écologique, le sujet n'est pas réutilisable.
  6. D'abord je ne sais pas ce qu'est un parti sympa. Ensuite Poutine a une vision du monde plus proche de celle de l'extrême droite que celle de l'humanisme et des droits individuels malheureusement mis en valeur par les eunuques à la rose si on veut prolonger l'ironie en se marrant avec Desproges. Or Poutine et la Russie ont incontestablement commencé une guerre qui participe à la montée de l'inquiétude et au délaissement au moins partiel des questions environnementales et sociétales qui devraient pourtant rassembler l'humanité tant elle devrait être globalement et fortement impactée.
  7. Il y a des raisons faciles à identifier mais quand se profile un remède pire que le mal, l'inquiétude vient prendre la place du point d'interrogation.
  8. Mais je n'ai pas parlé que de la Suisse car en cherchant bien tu trouveras "Europe" puis "Monde" dans ma phrase. Et 20 ans c'est quand même relativement récent, la progression de l'extrême-droite ne se faisant pas simultanément on peut inclure 2005 dans une tendance européenne et mondiale.
  9. Je ne connais pas Guy Parmelin et pas plus l'UDC, mais la montée de l'extrême-droite en Europe puis un peu partout dans le monde a de quoi inquiéter. Ce n'est sûrement pas le meilleur moyen pour se préparer aux défis environnementaux et donc sociaux que va prochainement affronter l'humanité.
  10. Toi aussi du veux refaire ce qu'est censé avoir déjà fait le juge d'instruction ? Ce dernier est présumé avoir pris en compte les traces de coups. L'accuser d'être passé outre nécessite des éléments sérieux.
  11. CAL26

    La vie est dure

    Et faire les courses en estimant bien les dates de péremption et le nutriscore. Alors je crois que nous savons déjà la douleur.
  12. Il convient surtout de chiffrer le nombre de grimaces et de rigolage toute seule. Il convient aussi d'évaluer l'intensité de chaque grimace et de chaque rigolage. Il faudra ensuite multiplier le nombre par l'intensité. Mais je ne saurai pas quoi faire du résultat.
  13. CAL26

    Jordan Bardella....?

    Oui et le RN comme l'a redit Bardella dans "quelle époque" ne veut plus d'audiovisuel public. A la place j'imagine que l'empire Bolloré leur convient beaucoup plus. Il est vrai que des émission type TPMP sont quand même plus crédibles pour stimuler la pensée des téléspectateurs que France 5 qui fait chier à tout complexifier.
  14. Tu m'as mal lu : je n'ai pas évoqué des erreurs dans ce dossier en particulier. Globalement il y a peu de condamnations possibles parce qu'il est difficile notamment d'évaluer le consentement et parce que l'énorme proportion de plaintes qui n'aboutissent pas à une condamnation peut laisser fortement supposer qu'une partie importante des violences sexistes et sexuelles (réelles) n'aboutissent actuellement pas à une condamnation du coupable et ce n'est que statistique. Mais en ce nom j'estime illégitime, dangereux et chaotique de négliger même un peu la présomption d'innocence.
  15. Je constate souvent que c'est s'exposer que de rappeler le difficile travail de rendre un jugement et qu'il est donc très compliqué de rationnellement et légitimement contester un verdict rendu par la justice (même en son for intérieur et même s'il s'agit d'un non-lieu) : en réaction il est fréquent d'être insulté. Par contre les émotions ne peuvent pas être débattues. Ce qui peut être mis en débat c'est l'évidence qu'une partie importante des violences sexistes et sexuelles (réelles) n'aboutissent actuellement pas à une condamnation du coupable. Pour réduire cette part de non-condamnation, faut-il prendre le risque de rendre coupable un innocent (mais accusé) pour condamner à tâtons des coupables réels qui échapperaient aux verdicts actuels de la justice ? Est-il nécessaire de s'affranchir des règles du droit actuel pour combattre un fléau ? Personnellement je pense que c'est seulement vouloir combattre la violence par une autre forme de violence et en voulant accélérer le mouvement (de lutte contre ce fléau) il va devenir seulement chaotique. Mais le débat est ouvert.
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