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Bonjour je vais essayer de la faire courte même si cette histoire est longue... j'ai 26 ans et lui 46 ans. il a une femme et des enfants. on travaille dans la même entreprise. L'annee dernière à la soirée de fin d'année de l'entreprise on a mangé à côté. Il me taquinait déjà un petit peu à l'époque. Mais ce soir là dès qu'il se lever ou me réserver à boire il avait cette manie de poser sa main sur ma cuisse (comme une petite tapette). Bref après cette soirée il était venu boire un verre chez moi , c'était drôle parce que je ne savais pas si c'était parce qu'il était soûl ou pas mais il me fixait tout le temps dans les yeux. Bon je savais pas trop mais en tout cas jetait fatigué du coup il est parti après. On s'est pas revu avant la semaine dernière parfois on se croisait au taff et il avait toujours ce sourire grand jusqu'au oreilles. Puis cette année on est amenés à travailler ensemble sur un projet du coup on discutait par sms et il me disait toujours oui ma collègue préférée ou encore t'es une marrante toi. Bref et la y'a une semaine on était conviés à la même soirée pour un spectacle, ce jour là je mangeais le midi avec l'équipe et je le vois qui arrive et s'installe à côté de moi. Il commence à me faire la bise et me dis ben alors t'as déjà commencé sans moi et puis il me serre un verre et commence à me taquiner avec ses gestes à me pincer les hanches pour me chatouiller je lui disait t'as pas bientôt fini de me touchée de partout et il me sort son plus grand sourire en me fixant dans les yeux . Bref après je suis partie le faire maquillée l'aprem et je le vois débarquer , il met sa main sur mon cou et commence a me masser pendant deux trois minutes. Ça faisait du bien et puis je suis partie m'installer dans la salle pour voir le spectacle mais en fait c'était ennuyant à mourir du coup je suis aller boire un verr au bar et en débarquant je le vois avec une de nos collègues et il dit haut et fort de sorte à que j'entende « ah ma collègue préférée , je la kiffe celle la » il passe sa main autour de mes hanches et me dit je te paye une bière ? j'ai dis oui et il remarque que j'ai des paillettes en haut de ma poitrine il en prend une avec sa main et de la colle à la joue. La je commence vraiment à me poser des questions oui avec son sourire la ! Et voilà que se termine le spectacle , on mange avec l'équipe le soir et j'étais avec ma collègue quand monsieur se ramener avec sa chaise à côté de moi et pose ses jambes sur mes genoux , bref l'équipe s'en va et nous on reste tout les deux à discuter ensuite il se range chez moi une bière et il me dit en me regardant dans les yeux (halala son regard me perturbe) « ton maquillage te faisant un regard incroyable ce soir » quoiii! Mais il est malade de me dire des trucs comme ça bref il boit son verre et s'en va , il met sa main autour de ma taille et essaye de me touchée le nez avec son doigt , j'évite en tournant la tête et il me fait la bise et lui ça le fait rire. La semaine on a fait que de discuter et lui toujours a m'embêter" tu me fatigues " "t'es mignonne " "demmerdes toi " à chaque fois c'était ce genre de phrase mais dans un sens taquin avec es sillets . Puis hier je vais faire les courses je passe devant chez lui pour y aller... je lui dis et il me dit arrête toi au retour. Du coup je dis ok mais que pour 10 min , résultat je suis restée 1h avec lui , on a beaucoup discuter et bon il avait toujours des gestes à me taquiner et à m'embêter que j'évitais et lui ça le faisait rire , il souriait toujours et je ne sais pas pourquoi son sourire me fascine. tout ça pour dire qu'il a une femme et des enfants et je ne sais pas quoi en penser parce que là je me pose vraiment des questions et je suis séduite par lui , le truc c'est que je sais que ce n'est pas bien d'avoir des envies sexuelles envers lui mais j'ai terriblement envie de ça et des pulsions que j'arrive à même pas imaginer . Je sais que c'est mal et de toute façon je veux pas une histoire d'amour avec lui mais il me plaît . Bref les questions que je me pose maintient et dont j'ai besoin d'avoir votre avis c'est : C'est juste de l'amitié? Cherche t'il à me séduire ? C'est moi qui me fait des idées ? je ne cherche pas à ce que vous répondiez par un jugement mais plus ce qui s'en traduit dans ses faits et gestes.
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Bonjour, mon histoire est un peu longue donc je vais essayer de resumé du mieux que je peux. merci d'avance pour votre lecture. il y a deux ans j'ai commencé une relation avec un garçon de mon lycée, après avoir flirter pendant 1 an, cette année était très compliqué car il était un peu perdu et je n'était pas la seule avec qui il flirtait, mais quand je commençais à me faire a l'dée que lui et moi ça ne pourrais pas le faire, il m'a avoué ses sentiments et on s'est mis ensemble. on a vécu le parfait amour pendant 6 mois environ, il disait voulour m'épouser et il se projettait énormément avec moi. on était tt les deux la première fois loin de l'autre, j'étais sa première copine et son premier amour et vice versa. Cependant, après ces quelques mois les choses ont changés : avant j'étais sa prioprité numéro 1 mais plus le temps passait, et plus il préferait passer du temps avec ses amis plutôt qu'avec moi, et les seuls fois où on se voyait c'était au lycée. nou sommes restés plus d'un ans ensemble mais j'ai essayer de le quitter à plusieurs reprises car il ne me traitait pas come je le méritais, me négligeait et fasait des actions qui était au bord de la tromperie, mais à chaque fois il me suppliait de ne pas le faire, qu'il allait changé etc mais rien. jusqu'au jour où nous avons eu une énième dispute pendant les vacances de noël, où nous nous étions mis d'accord pour faire une pause, mais le jour de la rentrée j'apprends par du bouche à oreille qu'il m'a quitée alors que ce n'était pas ce qui était convenu. je lui passe un appel le soir même pour lui demander ce qu'il en était, et il m'annonce que notre relation est trop toxique ( il était le seul à la rendre toxique), qu'il a besoin de se concentrer sur lui même et qu'il pense que l'on pourra recommencer quand je reviendrai des etats unis ( je fais un programme d'échange en ce moment). J'ai très mal gerer la rupture,car je me sentais abandonné alors que j'avais tout donner our lui c'était en Janvier de cette année et j'ai souffert pendant 6 mois, car nous étions dans la même classe et je le voyais tous les jours, je me suis senti utilisé et manipulé. Jusqu'a la fin de l'année scolaire, a l'approche du bal de promo où je commençais petit a petit a passé à autre chose, j'apprends qu'il compte m'inviter au bal de promo, ce qu'il a fait, et bien que j'étais sceptique et que je lui en voulait encore pour la manière dont les choses se sont passés entre nous, j'avais toujours de l'amour pour lui, et le jour où il m'a invité, il m'a redis cette phrase ( je suis sûr que quand tu reviendras des states, on pourras recommencer notre relation plus sainement car on sera devenu plus mature), il ne voulait pas faire de relation à distance (et moi non plus) au vu de comment notre relation s'était terminée et qu'il ne pourrait pas bien gérer. mon départ pour les états unis était prévu en août et nous étions en juin, alors on s'était mis d'accord qu'on allait profiter des mois qu'il nous restait et que une fois que je serai au usa, nous allions arrêter de nous parler pour nous concentrer chacun sur nous même. alors c,est ce qu'on a fait, on a fais des sorties, des dates, on s'appelait tous jes soirs et on a même fait un petit voyage et j'étais tellement heureuse car je pensais que tout allait bien se passer, et que ses sentiments pour moi était fort sinon il ne ferait pas autant d'effort, en effet, il est vraiment populaire auprès des filles, et pendant notre rupture, il y en a eu plus du'une qui a essayer de se rapprocher de lui, mais rien n'a abouti car il n'était pas plus interrésser que ça, et bien qu'il ai peut être flirter ( ce que j'ai fais aussi) rien n'était aller plus loin que des messages. à l'approche de mon départ, je décide de lui écrire une lettre sur papier pour bien lui faire comprendre que même si je lui avais padonné la manièrendont il m'a traitée, je n'oublierai par car cela a énormément affecter ma confiance en moi et que j'espèrais sincèrement que qaund je reviendrai des etats unis, il aura vraiment pris en maturité déjà pour lui même et ensuite pour ses relation, que cela soit avec moi ou pas, ce a quoi il répond que la lettre lui a mis une claque et qu'il est sûr et certains qu'après les etats unis on se reverra. viens le moment de mon départ pour 10 mois aux etats unis, j'étais super triste car je savais qu'on allait arreter de se parler, comme chaque soir on s'appellait, ce soir là nous nous sommes appelé, mais il était neutre alors que j'étais en pleure, au début ça m'avait blessé mais je sais qu'il n'est pas du genre à montrer ses émotions donc je n'ai pas relevé. j'arrive aux états unis le lenbdemain et à ma grande surprise, les jours passait et nous avons continé à nous envoyer des messages, à se dire je t'aime et même à s'appeler de temps en temps. bien que c'était difficiles avec le décalages horaires, nous avions garder une bonne communication pendants les 2 premières semaines d'août. Alors, je pensais qu'il avait peut être changer d'avis et qu'il voulait peut être essayer une relation à distance. Mais après, il a commencé à changer, il ne me disait plus je t'aime, on se parlait de moins en moins, et il n'était plus autant attentionnée. alors pendant un appel, je lui ai demandé s'il voulait qu'on arrête de se parler et voici ce qu'il m'a répondu :" non, je vuex qu'on continue à se parler jusqu'au 1er septembre quand j'aurais ma rentrée à la fac, après on pourra arrêter". Premièrement, il m'a annoncé ça le 25 août, donc 5 jours avant donc si je ne lui aiavt pas demandé il ne me l'aurait jamais dit, mais en plus ce n'est pas ce qui était prévu, car nous étions censé arrêter de nous parler depuis le 1er aout et à entendre ça ça donne " je veux te parler jusqu'à ce que j'ai autre chose à faire de plus interressant" alors, les derniers jours où monsieur voulait me parler, j'étais froide et lui agissait comme si tout était normal, il ne se mettait pas à ma place et quand je le mettais face au problème, il me répondais ( je voulais que tu t'intègres aux etats unis et pas t'abaondonnée comme la dernière fois) sauf qu'une intégration ça peux prendre 1 mois comme ça peut en prendre 3, bref que des conneires. Donc le fameuc jour de sa rentrée j'étais censée partir en weekend avec ma famille d'accueil donc je pensais qu'il allait au moins attendre la fin du weekend pour me dire au revoir mais non il fallait qu'il le fasse ce vendiredi car je cite " c'est ce qui était palnifié" donc pendant que je lui déversais toute ma douleur au téléphone, lui ne faisait que répéter " je suis désolé" comme si ce n'était pas lui qui avait insisté pour recommencer avec moi, et j'essayais en vain de lui faire avouer qu'il n'a en réalité pas de sentiment pour moi et de me le dire pour que je puisse passer à autre chose, mais il ne voulait pas le dire en me répétant "je suis perdu, je ne suis pas sûre, je ne sais pas" alors qu'un mois auparavant, ce n'était pas le même discours. Avant c'était " quand tu reviendras des states on réessayera" et maintenant c'est " je ne sais pas, je préfères pas me projetter, je sais pas où j'en serai et toi non plus" bref, ce jour la j'avais l'impression de revivre la première rupture, alors qu'il m'avait promis qu'il ne me refferais plus ça. on a arrêter de se parler depuis plus d'un mois maintenant mais il continue de me suivre sur tous mes réseaux sociaux ( alors qu'il m'avait unfollow de partout à la première rupture) et il a dit à un ami en commun il y a 2 semaines, qu'il aimerai bcp me reparler mais qu'il ne veux pas me faire ésperer, mais ça n'a strictement aucun sens, comme tt ce qu'il fait. j'aimerais des conseils sur comment surmonter tout ça et surtout si qqun comprends son comportement, car je ne vois pas l'intêret de continuer à me suivre si "il n'est pas sur de ses sentiments" et qu'il veuille me reparler mais sans me faire ésperer ?
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je fais parti de ceux qui ne verseront pas une larme lorsque DSK sera mis en prison pour l'ensemble de ses viols, agressions et autres.. car vu le nombre et m^me s'il y a quelques mensonges et extrapolation, il devrait terminer ses jours derrière les verrous ! On ne peut que se souhaiter que justice soit faite! Mais que penser de Tristane Banon ? cela fait des années quelle fait du viol-spectacle sur les plateaux télés, sur les antennes radios, et voilà qu'elle saisie l'aubaine de l'affaire du Sofitel, pour briller ! La justice nous dira ce qu'il s'est réellement passé, mais cette femme est écoeurante dans sa façon d'exploiter sa situation. Quelle s'attaque à DSK sur la fond...normal.. sur la forme la télé passe visiblement avant le tribunal. Ensuite ce qui m'écoeure, c'est quelle fait tout pour couler François Hollande DSK était favori N°1 des socialistes avant l'affaire, maintenant c'est FH..et comme par hasard elle s'en prend à lui. Pourquoi lui ? Aucune explication ne tient debout Officiellement c'est parce qu'il "savait"... mais des dizaines, voir des centaines de personnes savaient à commencer par sa propre mère qui l'a dissuadé de porter plainte en 2003, puis ses amies et collègues savaient... mais Tristane Banon ne s'en prend qu'à FH Tristane Banon que l'on sait proche de L'UMP, qui travaille pour un maire UMP, etc... Tristane Banon à Bac + 5, elle sait ce qu'elle fait ! Je ne crois pas au hasard ! Cette femme fait du viol-politico-spectacle... lamentable ! Et bien évidement elle est soutenue par les féministes, trop contentes d'en découdre avec les hommes. Bien entendu les féministes passent sous silence cette mère qui a demandé à sa fille de ne pas porter plainte, pour ne pas nuire à sa carrière politique !!! Haro sur François Hollande, c'est un homme donc forcément à combattre, la mère elle est épargnée..femme oblige !
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Le féminisme suscite les passions. Certains discours féministes font un mélange entre de nombreux phénomènes qui n'ont pas grand chose à voir : l'épisode d'un fou qui tue une dizaine de femmes, la violence conjugale, les différences de salaires, l'excision, la violence systématique faite aux femmes dans certains pays, etc. Cela crée une haine de hommes et un sentiment de culpabilité chez eux. Pour comprendre, je pense qu'il faut revenir au texte de la Genèse, qui a marqué les gens pendant des siècles. D'après le chapitre 3, toutes les souffrances du monde ont été causées par le péché originel, qui est la désobéissance à Dieu d'avoir voulu accéder à la connaissance. Or le féminisme, c'est un peu cela, à savoir que des femmes, accèdent à la connaissance malgré les normes sociales, et s'émancipent. C'est sans doute de là que vient l'accusation du féminisme d'être un crime contre l'humanité, puisque, si on croit à ce que dit la Genèse, c'est ce genre de "faute" qui entraine tout ce que peut subir l'humanité. Le féminisme nécessite donc une remise en cause de la religion monothéiste. Ce chapitre affirme aussi que c'est à l'homme qu'appartient de nommer les choses : Il est essentiel de noter que le premier reproche supposément fait par Dieu à l'homme est d'avoir écouté sa femme : En d'autres termes, puisque l'homme à écouté la femme et qu'il a voulu accéder à la connaissance librement, il sera puni en étant ignorant, et en trimant toute sa vie, et dans un mépris final retournera à la terre. Avec un tel conditionnement, les hommes peuvent avoir peur d'écouter leur femme et de donner du crédit à sa parole, étant alors menacé de perdre toute connaissance, de souffrir et de finir dans le mépris. Or les hommes sont censés être des durs, ils refusent donc de parler de cette peur et le dialogue est difficile. Certains féministes ne sortent pas de ce schéma, et se contentent de l'inverser, en accusant les hommes de tous les maux de l'humanité. C'est ainsi qu'on accusera un homme chrétien occidental du sort des femmes musulmanes dans des pays lointains, ou bien qu'on considèrera de la même façon les différences de salaires institutionnalisées ou les violences conjugales de certains. On confond ainsi l'homme individu, les normes sociales, les institutions, et l'on confond les responsabilités des hommes entre eux. Si un homme a fait quelque chose, d'emblée c'est tous les hommes qu'on accuse de complicité. C'est un raisonnement de l'unicité du Mal, symétrique à celui dans la Genèse où la femme est tenté par un serpent qui parle, assimilé à Satan. Souvenez-vous Harry Potter. Je pense donc pour un féminisme sensé, il est nécessaire de ne pas tout mélanger, et de constater les schémas religieux au lieu de les inverser. Partagez-vous cette analyse ? Pensez-vous que le féminisme est lié à la déchristianisation des esprits ? L'oppression patriarcale/matriarcale est-elle liée à l'oppression du symbolique (langage parlé et écrit) ?
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Pour vous, quelle est la taille idéale chez une femme ?
hellrouge a posté un sujet dans Beauté - Mode
Je me pose cette question,depuis un bout de temps ! Moi qui aime ma petite taille , je trouve ça mignon ! -
Le Rapport sexuel et son interprétation féminine / masculine
pep-psy a posté un sujet dans Amour et Séduction
Hello tout le monde... C'est une question que l'on peut se poser, le sexe, on l'imagine comment? On veut en retirer quoi? Comment donner du plaisir à l'autre? S'intéresser à l'autre ou ne s'intéresser qu'à son propre plaisir! Les femmes reçoivent, les hommes donnent? Les femmes s'offrent, les hommes en profitent? Beaucoup de femmes avec lesquelles, j'ai pu discuter, m'ont quasi toutes rapportées, qu'elles faisaient ce que l'homme voulait, en espèrant que ce soit pas trop mal! Une fois, ça m'a vraiment perturbé longtemps, une femme a dit (à toute la tablée), quand il veut, je fais, après comme-ça, il me fout la paix! :gurp: :gurp: :gurp: Et, en général (oh merde une généralité)... L'homme se donne, arrive, et c'est terminé... Que la femme ait eu son plaisir ou pas, peu importe! Les "Lovers", hommes qui aiment à s'occuper et à donner du plaisir, prendre le temps... Sont, selon elles, très rare, à tel point que pour certaines, il s'agirait d'un mythe! Alors Alors, messieurs, que se passe-t-il? :D -
Artiste Révélation 2017 ! Mic Animal
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Qu'en pensez-vous ?
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Alors voilà , Je cherchais un trench beige pour homme lorsque je suis tombé sur celui - ci , malheureusement , il date de 2009 , et je voudrais vraiment trouver le même style. Merci à ceux qui pourront m'aider.
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Il y'a 3 semaines de sa , je suis tombé folle amoureuse d'un homme majeur et marié ( je n'ai que 14ans), qui habite unpeu partout a cause de son metier maintenant il ai a 30minutes de chez moi et nous sortons ensemble , mais cest unpeu difficil qu'ont se parle ou qu'on ai notre moments a tout les deux pour se retrouvé , sa femme ne sais pas que on ai ensemble elle pense juste que je laime , quand il s'approche de moi et quel le voit et l'apel immediatement donc on na pas trop le temps de se parler nous ne pouvons que jouer du regard , j'ai peur qu'il me prenne pour une ... et qu'il chercher juste a rendre jalouse sa copine ou juste qu'il voulais jouai avec moi il ai roumain et les roumains non pas tres bonne réputations moi je ne croit pas trop a tout ce qu'ont dit d'eux et lui je le trouve bien differents de ce qui se dit mais j'aimerais qu'ont maide alors si vous avez quelque choses a dire qu'importe ce qui se dit si vous pouvez m'aider faite vous plaisir
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Je commence à comprendre pourquoi les hommes de mon âge (51 ans) se tournent vers des femmes bien plus jeunes qu'eux... De mon ex-femme aux autres relations que j'ai eu, j'ai toujours fréquenté des femmes de mon âge, pour la simple raison que c'est avec elles que j'ai eu le plus de complicité, le plus de points et loisirs communs.. Mais depuis quelques temps je me pose bien des questions... Les femmes passées la cinquantaine plongent-elles dans le 3ème âge avec la ménopause ? La question est certainement un peu provocante, mais elle part d'un constat personnel assez effrayant au demeurant.. Beaucoup ont déjà l'esprit "mamie", ne prennent plus soin d'elles, sont passés de l'hédonisme au régime thé-salade, aux grandes théories et conceptions, plutôt que de vivre, sortir, etc..... Quant à la séduction, le sexe, l'envie d'une relation réelle.... c'est du domaine de la rareté... Les critères et exigences dans ce domaines éliminent l'immense majorité des hommes.....
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Les Françaises sont difficiles à aborder Par Gina Tarlayan PartagerTweeter Épingler Selon une récente étude, les femmes françaises seraient les moins sensibles aux avances des messieurs sur Internet. Nous serions toujours d’après cette enquête, les femmes les plus difficiles à impressionner sur les sites de rencontres contrairement à nos voisines européennes. Considérées comme chics et sophistiquées, la réputation des françaises n'est plus à faire. Mais nous sommes également les européennes les plus difficilement impressionnables lors de conversations en ligne. C'est du moins ce que révèle une récente étude. Sur les sites de rencontres, nous n'hésitons pas à jouer la carte de l'indifférence lorsqu'un homme nous approche. A l'inverse, nos amies Tchèques, Danoises et Suisses sont beaucoup plus réceptives aux conversations en ligne avec la gent masculine. Résultat : les messieurs doivent redoubler d'efforts pour draguer en ligne une française. Et la séduction, c'est tout un art qu'il faut savoir manier à la perfection car pour couronner le tout, nous serions également les femmes les plus exigeantes d'Europe avec nos hommes. Mais bonne nouvelle : nous les françaises ne sommes pas les femmes les plus difficiles à aborder via les chats. Ce sont les péruviennes qui remportent la palme d'or à ce jeu. Puis suivent les pays sud-américains avec notamment l'Equateur et le Venezuela ou il est le plus difficile d'engager une conversation avec une femme. Classement des pays où les femmes sont les plus à même de répondre aux avances des hommes sur le Net : 1/ République Tchèque 2/ Pays-Bas 3/ Suisse 4/ Pologne 5/ Portugal 6/ Italie 7/ Espagne 8/ Allemagne 9/ Royaume-Uni 10/ France Et vous, pensez-vous être difficilement abordable ?
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Nous sommes là puis un jour nous allons mourir comme des millions de personnes avant nous. Pensez vous quee l'homme existe et un jour il cessera d'exister(ainsi que cet univers aussi parfait soit-il) comme ça, pour rien?
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Quelle(s) différence(s) fondamentale(s) reste t-il à l'être humain, toutes les spécificités sont tombées les une après les autres, les scientifiques ayant toujours trouvé des traces de nos revendications typiquement humaines dans le monde animal, ne serions nous "unique" que par une question de degré? Que demeure t-il de propre à l'Homme, si ce n'est une douce illusion?
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Ce topic fait écho à celui sur les féminismes, celui sur la supériorité de l'homme, et celui au sein duquel des nanas comme Winona, Lena, ezia et j'en passe sont en train de se crêper le chignon sur la fréquence de lavage de cheveux (oui, ce topic existe vraiment!). J'ai remarqué que lors de discussions, les femmes prenaient beaucoup moins de recul que les hommes, même sur des sujets pourtant très légers. Sans doute parce que de manière générale, les femmes sont moins drôles que les hommes. Elles se mettent des barrières comme la pudeur ou tout simplement la morale les empêchant de s'esclaffer à pleins poumons. (Ce qui est, à mon sens, tout à fait respectable) @Homme: combien trouve-t-on d'humoristes de sexe féminin? Combien de femmes vous font réellement rire? Pouvez-vous rire de tout avec une femme? Je tourne la question différemment: y a-t-il des sujets drôles que vous ne vous permettez pas d'aborder avec une femme (à part le sexe)? Ou est-ce l'homme qui rit de tout et n'importe quoi. Je termine par une note légère: est-ce que réellement, vous avez remarqué que femmes qui rit, femmes etc..
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Qui a t-il de commun entre les hommes préhistoriques avec leurs constructions mégalithiques, les égyptiens avec les pyramides, la tour Eiffel ou les buildings extrêmes, ou encore le sportif de sports extrêmes, les gens du cirques et autres artistes exceptionnels, les champions d'une quelconque activité, les amoureux de casse-tête, les mathématiciens, etc...?: Surmonter une difficulté! Rendre possible une chose difficile ou non naturelle ! Si une partie essentielle/prépondérante de notre nature était de répondre à cet impératif, de dépasser les obstacles qui se présentent, les limites apparentes/premières, de montrer aux autres ou à soi même sa capacité à aller au delà de ce qui semble naturel, de montrer d'une manière ou d'une autre, l'empreinte de l'Homme, qu'il soit seul ou en groupe, une marque ostentatoire de défi, de victoire! Mais pour quelles intentions, pourquoi? Autant la curiosité peut avoir une finalité principale de passe-temps, d'occupation, de remède à l'ennui, autant la recherche de réussite ostensible ne renseigne pas clairement sur son but!? Surtout sur la période de l'humanité entière. Qu'en pensez vous?
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http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/lycees-l-academie-de-nantes-demande-aux-garcons-de-se-mettre-en-jupe-le-16-mai-5320/#xtor=AL-155
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La tendance du monde actuel est de vouloir expliquer que les déterminismes sexués sont en fait sociaux, réfutant l'idée de Nature. Simplement, la manière dont la Nature nous conçoit, en tant qu'homme ou en temps que de femme, infirme ou tend à relativiser cette idée. Le monisme, sans réduire l'homme ou la femme à leur essence, fonde la perception du monde autour d'une seule réalité composée de plusieurs variantes en fonction des influences que celle-ci subit. Ainsi, si le social joue un rôle important dans ce que nous sommes, notre Nature détermine également, et en grande partie, la manière dont nous percevons le monde, et donc dont nous choisissons d'agir sur celui-ci (par les arts, la politiques, les lettres, la pensée) Espérance de vie supérieure chez la femme que chez l'homme, sexualité intrusive et non offensive, finalité de la maternité même chez la plus pratiquante des féministes. En fait, toute femme est d'abord mère par son corps (qu'elle le veuille ou non) avant de "construire" quoique ce soit autrement que selon sa Nature, et si l'esprit répond au corps (on invente le lit parce qu'on veut dormir, on pense à la nourriture parce qu'on a faim) alors la femme, de par ses représentations inhérentes à sa Nature, concevra le monde et ses représentations autrement que comme l'homme, quand bien même elle saurait réussir à la dépasser, voire à la sublimer. Si la Nature est bien faite, l'on peut admettre que les particularités qu'elle créé ne sont pas réductibles à de simples attributs physique, mais s'incarnent dans une dimension complète (afin d'éviter la maladie mentale - rejet du corps par l'esprit -) qui comprend une manière d'envisager le monde, de recevoir la souffrance, de penser le pouvoir, d'envisager l'avenir, de concevoir la sensibilité et d'intégrer les rapports de force. La prise en compte de ces paramètres implique la présence d'un équilibre manifeste dont il est urgent de trouver quel intérêt l'Homme aurait à s'en défaire. (l'Homme en tant qu'espèce avec un grand H) et à quoi cela le mènerait. S'il y a une logique (et il y 'en a une si l'on s'intéresse au principe de causalité, ou simplement si l'on observe les choses en toute bonne foi) alors quelle serait celle qui motiverait l'intérêt de nier les différences intrinsèques de nos deux sexes, pourtant si complémentaires, et quelles pourraient être les conséquences de pareille intrusion idéologique dans la nature humaine, sinon une possibilité de générer la même maladie mentale de rejet qui s'observe dans chaque âme tourmentée de devoir accepter la réalité de son existence ?
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Je vous le donne en mille les gars .Fini le bermuda tee-shirt à la propreté douteuse des week ends ,vous n'aurez plus de prétexte pour ne plus être élégants .Aux dernières nouvelles Christina Cordula va nous faire les roi du shopping version homme .On vous attend au tournant !Vous aussi vous allez être magnifaïques !
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En amour : de l'homme qui possède et de la femme qui appartient
Marc'heg a posté un sujet dans Philosophie
À l'heure de l'indifférenciation des sexes, il est vivifiant de respirer un peu d'air nietzschéen : Malgré toutes les concessions que je suis prêt à faire aux préjugés monogames, je n'admettrai jamais que l'on puisse parler chez l'homme et chez la femme de droits égaux en amour : ces droits n'existent pas. C'est que, par amour, l'homme et la femme entendent chacun quelque chose de différent, - et c'est une des conditions de l'amour chez les deux sexes que l'un ne suppose pas chez l'autre le même sentiment. Ce que la femme entend par amour est assez clair : complet abandon de corps et d'âme (non seulement dévouement), sans égards ni restrictions. Elle songe, au contraire, avec honte et frayeur, à un abandon où se mêleraient des clauses et des restrictions. Dans cette absence de conditions son amour est une véritable foi, et la femme n'a point d'autre foi. -L'homme, lorsqu'il aime une femme, exige d'elle cet amour-là, il est donc, quant à lui-même, tout ce qu'il y a de plus éloigné des hypothèses de l'amour féminin; mais en admettant qu'il y ait aussi des hommes auxquels le besoin d'un abandon complet ne serait pas étranger, eh bien, ces hommes ne seraient pas - des hommes. Un homme qui aime comme une femme devient esclave; une femme, au contraire, qui aime comme une femme devient une femme plus accomplie... La passion de la femme, dans son absolu renoncement à ses droits propres, suppose précisément qu'il n'existe point, de l'autre côté, un sentiment semblable, un pareil besoin de renonciation : car, si tous deux renonçaient à eux-mêmes par amour, il en résulterait - je ne sais quoi, peut-être l'horreur du vide? - La femme veut être prise, acceptée comme propriété, elle veut se fondre dans l'idée de « propriété », de « possession » ; aussi désire-t-elle quelqu'un qui prend, qui ne se donne et ne s'abandonne pas lui-même, qui, au contraire, veut et doit enrichir son « moi » par une adjonction de force, de bonheur, de foi, par quoi la femme se donne elle-même. La femme se donne, l'homme prend, - je pense que l'on ne passera par-dessus ce contraste naturel ni par des contrats sociaux, ni même avec la meilleure volonté de justice : si désirable qu'il puisse être de ne pas toujours avoir devant les yeux ce qu'il y a de dur, de terrible, d'énigmatique et d'immoral dans cet antagonisme. Car l'amour, l'amour complet et grand, figuré dans toute sa plénitude, c'est de la nature et, en tant que nature, quelque chose « d'immoral » en toute éternité. - La fidélité est dès lors comprise dans l'amour de la femme, par définition, elle en est une conséquence; chez l'homme, l'amour peut parfois entraîner la fidélité, soit sous forme de reconnaissance ou comme idiosyncrasie du goût, ce qu'on a appelé « affinité élective », mais elle ne fait pas partie de la nature de son amour, - et cela si peu que l'on peut presque parler d'une antinomie naturelle entre l'amour et la fidélité chez l'homme : lequel amour est un désir de possession et nullement un renoncement et un abandon; or le désir de possession finit chaque fois qu'il y a possession... De fait, c'est le désir subtil et jaloux de l'homme, qui s'avoue rarement et de façon tardive cette « possession », qui fait durer encore son amour; dans ce cas, il est même possible que l'amour grandisse après l'abandon de soi -l'homme se refuse à avouer que la femme n'a plus rien à lui « abandonner ». Nietzsche, Le Gai savoir, 363. -
L’histoire rapporte qu’une femme se rendit auprès d’Omar ibn al Khattab (deuxième calife, qu’Allah soit satisfait de lui) et lui dit : “Mon mari jeûne toute la journée et prie toute la nuit, et je suis embarrassée de m’en plaindre dans la mesure où il passe son temps à adorer Dieu ”. L’homme fut convoqué pour une audience. Le verdict final était de consacrer trois nuits à sa propre adoration et de tenir compte des besoins de sa femme le reste de la semaine. D'un autre côté dans une expression brève mais belle, le Coran rapporte cette relation entre mari et femme disant : "Elles sont un vêtement pour vous et vous êtes un vêtement pour elles" . (2 :187) La relation sexuelle entre mari et femme est bien plus que le fait de rechercher à satisfaire son désir.
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Albert Einstein: "I fear the day that technology will surpass our human interaction. The world will have a generation of IDIOTS ce qui peut se traduire par: «Je crains le jour où la technologie dépassera l'homme. Le monde aura une génération d'idiots." Les progrès technologiques ont indéniablement été plus rapides ces soixante dernières années que durant tout le développement humain. Or, l'intelligence artificielle se développe à une telle vitesse que d'aucuns se demandent si elle ne finira pas par dépasser l'intelligence humaine. Et dès lors, ce serait la fin théorique de la domination du genre humain.
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Ci-dessous une analyse "rafraichissante" sur les femmes et le féminisme..OUF! ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ mercredi 5 septembre 2012 - par Catherine Marx Quand le féminisme vire mal... ... et devient un nouvel outil politique de contrôle social. Critiquer le féminisme n'est pas chose aisée. Car quand on pense "féminisme" viennent immédiatement à l'esprit des combats nobles dont ont découlé des avancées majeures pour la condition des femmes : le droit de vote, la contraception, l'avortement, la libération sexuelle, le droit au travail sans autorisation maritale, le droit à l'autonomie financière... On est donc suspecté de se faire l'allié d'un machisme répugnant, même si on est soi-même une femme. Car une femme en désaccord avec le féminisme ne peut être - pour ses représentantes et sympathisants - qu'aliénée, victime de la domination masculine, voire même être taxée de nuire à ses semblables. Eh bien, on a tort. D'abord, parce qu'il n'existe pas qu'un seul féminisme, mais plusieurs courants de pensée dont les positionnements sur des thématiques comme, par exemple, le port du voile, le travail du sexe ou la maternité sont très variables. Ensuite, parce qu'une pensée unique est toujours nocive, le signe de consciences anesthésiées, empêtrées dans une doctrine quasi religieuse qui ne supporte pas les contradictions, qui voudrait museler celles et ceux qui ont un avis divergent et qui, au final, empêche de penser autrement que rond. On s'est récemment félicité - dans les milieux féministes traditionnels - de ce que notre gouvernement ait recréé le ministère des Droits des femmes, initialement instauré par Valéry Giscard d'Estaing en 1974. Je le déplore quant à moi. Cela ne peut signifier que deux choses : soit nous sommes des sous-citoyennes pour lesquelles les droits de l'Homme ne s'appliquent pas, soit nous valons mieux que la gent masculine et devons bénéficier de droits supérieurs aux leurs au seul prétexte que nous soyons de sexe féminin. Dans les deux cas, le féminisme trahit l'engagement de ses pionnières qui refusaient qu'une place leur soit assignée en fonction de leur sexe... Et ce n'est malheureusement qu'une des manifestations multiples de sa dérive. Ainsi, les violences conjugales sont déclarées "violences faites aux femmes", comme si les hommes en étaient systématiquement les instigateurs et jamais les victimes. Aucun des spots passés à la télévision ou à la radio, aucune des affiches publicitaires n'a mis en scène un homme victime de violences psychologiques ou physiques de la part de sa compagne... S'insinue ainsi dans la pensée collective l'image toute-puissante de la femme victime par essence et celle du mâle prédateur et effrayant. La réalité qu'on tait volontairement, c'est que les violences conjugales sont un problème de couple avant d'être un problème de genre. Je vous encourage à lire (pour anglophones) cette étude sur les violences domestiques effectuée par des universitaires de Colombie britannique en 2004. Il est surprenant de constater à quel point il nous est difficile d'accepter que des femmes soient tortionnaires et pire, que leur nombre ne soit pas si inférieur que ça à celui des hommes... Preuve que le discours victimaire de certaines féministes, abondamment relayé par les médias, fonctionne très bien... Pour le harcèlement sexuel, même topo. Nous sommes dépeintes tels des êtres faibles, des mineures dont le seul salut reposerait sur un recours en justice, un peu comme un enfant irait appeler un parent à l'aide dès qu'on le chahute dans la cours de récréation... L'existence d'un délit de harcèlement sur le lieu de travail n'est pas suffisant aux yeux des féministes, non. Il faut qu'il y ait une qualification d'ordre "sexuel" parce qu'on soutient que la domination des femmes s'exerce à travers leur sexualité et qu'il est bien pire de se voir proposer un rencard avec insistance que de subir toute autre forme de pression psychologique. Ce qu'on parvient très bien à inscrire dans la psyché des femmes en tenant ces propos, c'est que leur sexualité est une sphère qui les rendrait particulièrement vulnérables. Et hop, un bon coup de balai sur la libération sexuelle ! Eh oui. Elle se meurt de cette contradiction notoire : prétendre d'un côté que la sexualité des femmes doit pouvoir s'exprimer comme celles des hommes et ensuite soutenir que les avances et les sous-entendus grivois les atteignent spécifiquement parce qu'elles sont femmes, qu'ils peuvent les détruire sur le plan psychique, qu'ils sont plus dangereux à ce titre qu'un "simple" harcèlement moral. Dès lors qu'elles adhèrent à cette vision, les femmes se perçoivent comme des êtres émotionnellement fragiles, des proies sexuelles évoluant dans un environnement hostile. Et effectivement, telles les prédictions de l'astrologue pour ceux qui les consultent, celles des féministes se réaliseront très souvent : elles seront anéanties par cette forme - qu'on a voulue spécifique - de harcèlement. Exit la légèreté, exit le répondant cinglant, ne restent que la peur et la plainte aux autorités... Au passage, on ne relève pas l'existence de femmes qui usent et abusent de leurs atours et atouts sexuels pour obtenir de l'avancement (des victimes, elles aussi, de la fameuse domination masculine qui les oblige à troquer du sexe contre de l'argent, les pauvres...). On retrouve d'ailleurs exactement le même cheminement de pensée pour ce qui est de la prostitution, c'est à dire de l'usage que nous faisons de notre sexe dans le cadre de relations sexuelles consenties et tarifées. Au prétexte que l'exploitation existe dans ce domaine comme dans d'autres (exemple : ateliers de travail clandestin), au prétexte que les femmes sont plus nombreuses à exercer ce métier, on qualifie la prostitution d'esclavagisme et de violence faite aux femmes (encore...). Une tribune récente du Nouvel Observateur, intitulée "L'abolition de la prostitution est une chimère", a été généreusement fustigée par de nombreuses féministes. Il n'y a qu'à en taper le titre sur un moteur de recherche pour trouver leurs réactions outrées et méprisantes. Les hommes qui se prostituent ? Sans intérêt. Les femmes qui exercent de leur plein gré et revendiquent leur choix ? Elles sont dans le déni, subissent la dictature patriarcale, sont de pauvres créatures à sauver malgré elles. Les intellectuels et les bourgeois n'auraient pas leur mot à dire, les prostituées volontaires non plus. La thématique est confisquée par celles et ceux qui s'octroient le droit d'en débattre, au nom des femmes (!) qui n'ont d'intérêt et de légitimité que lorsqu'elles sont du même avis. Les autres, il convient de les remettre sur le droit chemin ou de les ostraciser... La prostitution, c'est le seul métier qu'on trouve condamnable et indigne s'il n'est pas éxécuté par plaisir et par vocation. Selon cette logique, une femme faisant payer ses prestations sexuelles juste pour subvenir à ses besoins et qui ne se serait jamais imaginée faire ça quand elle était petite trouverait assurément son salut dans un poste d'équarisseuse de poulets. J'en connais, des prostituées, qui ne seraient pas d'accord... Je ne m'appesantirai pas sur la question de l'inégalité des salaires et du fameux plafond de verre (cela fera certainement l'objet d'un prochain article), qui serait - à en croire la majorité bruyante des féministes - le seul fruit de la domination masculine et n'aurait surtout rien à voir avec la maternité (c'est mieux de soutenir la thèse du complot machiste que de risquer de faire baisser la natalité en nous disant la vérité. Avec ses 800 000 naissances annuelles, la France est championne d'Europe de la fertilité et elle s'est donné les moyens financiers de l'être...). Il est temps que s'opère une prise de conscience citoyenne. Nous sommes tous concernés. Une certaine propagande féministe s'évertue jour après jour, avec de plus en plus de force et d'insistance et grâce au soutien des autorités politiques, à nous inscrire dans des rôles sexués (à son discours défendant puisqu'il se targue du contraire, ce qui est très habile...). J'accuse ce féminisme-là d'être devenu un nouvel outil stratégique de contrôle social, je l'accuse de faire régresser la condition féminine, je l'accuse de renforcer le stigmate de la putain, je l'accuse de constituer une entrave à la libération sexuelle des femmes, je l'accuse d'être misandre, de favoriser un regain du machisme et de nuire à l'instauration d'une société au sein de laquelle les rapports de genre seraient paisbles. Je l'accuse de mettre en place les jalons d'une dictature féministe qui pourrait avoir des effets désastreux sur le plan social. C'est ce que j'ai voulu illustrer dans Moralopolis, roman d'anticipation paru aux éditions Tabou, dont l'action se déroule dans la France des années 2050... http://mobile.agoravox.fr/actualites/societe/article/quand-le-feminisme-vire-mal-122156
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Bonjour. A travers des sujets sur la masculinité/féminité, il semblerait qu'il soit encore perçu comme assez dévirilisant pour un homme de rester au foyer, à s'occuper des enfants ou non. Certains pensent que les femmes en particulier sont contre. J'aimerais votre avis pour savoir si les mentalités évoluent de ce côté. Merci. :)
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