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Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/05/2024 dans toutes les zones
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C'est de la télé poubelle je n'ai jamais regardé ça et ça ne va pas changer !!4 points
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Je doute fort que cette sortie soit l’expression d’une inquiétude, quant au bien-être de la mère porteuse...4 points
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"où est la maman ?" C'est précisément la question que se poseront ces enfants dans plusieurs années. Oui ils vont être entourés d'amour, oui ils vont très probablement manquer de rien. Mais rien ne comblera non plus le vide de ne pas connaître leurs parents biologiques. J'espère juste pour eux que leurs pères aimants ont prévu de faire face à cette question et qu'ils sauront leur apporter toutes les réponses attendues. En particulier l'identité des géniteurs et la possibilité de les rencontrer. Et non, ça n'est pas de l'homophobie.4 points
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Et comme à répondu quelqu'un, de memoire Tu préfères deux pères homo Ou Une mère facho.4 points
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L’immense écrivain est mort à l'âge de 77 ans. Emblème des lettres new-yorkaises, il laisse derrière lui une vie traversée par le talent, comme par la tragédie. homme n'a pas une seule et même vie ; il en a plusieurs, mises bout à bout, et c'est sa misère. » À l'heure où disparaît Paul Auster, cette phrase de Chateaubriand, placée en épigraphe du Livre des illusions (2002), prend un sens particulier. Auteur d'une œuvre ample – dix-sept romans, huit recueils de poèmes, cinq essais autobiographiques, un livre de correspondance avec le Prix Nobel J. M. Coetzee et quatre films –, l'auteur américain avait-il le sentiment d'avoir eu une seule vie ou plusieurs mises bout à bout ? Dans son dernier livre majeur, l'ambitieux 4 3 2 1, il explorait en tout cas les quatre existences alternatives d'un personnage dénommé Archie Ferguson qui lui ressemblait fort. Et toute son œuvre en témoigne : Auster, grand romancier du hasard, était hanté par l'idée de la multiplicité des destins, et par le caractère fondamentalement tragique de l'existence. Paul Auster à Columbia, sa deuxième vie La première des vies de Paul Auster commence à Newark (New Jersey), le 3 février 1947, dans une famille de la classe moyenne juive. Le bureau d'immigration d'Ellis Island apparaît dans nombre de ses romans, notamment Moon Palace et 4 3 2 1… Et pour cause : on a immigré de Russie du côté de Sam, le père, et d'Autriche du côté de Queenie, la mère. À ce lourd passif (spectre des pogroms tsaristes et de la Shoah) s'ajoute une tragédie qu'Auster découvrira à l'âge adulte : quand Sam Auster avait 8 ans, sa mère – la grand-mère de Paul Auster – a tué son père. Acquittée pour folie passagère, elle a refait sa vie, avec ses cinq enfants, en leur interdisant de dévoiler à quiconque ce terrible secret de famille. Voilà qui explique, au moins en partie, le mutisme de Sam, un homme difficile à cerner auquel son fils consacre, dans L'Invention de la solitude, des pages intitulées « Portrait d'un homme invisible ». Dans l'enfance, le jeune Paul trouve du réconfort dans les livres et le cinéma. En vrai enfant des années 1950, il aime La Guerre des mondes et L'homme qui rétrécit. Adolescent rebelle et déjà sujet à des crises dépressives, il rêve de quitter Newark et travaille sur des nouvelles en se rêvant grand écrivain. Il est marqué, à l'âge de 14 ans, par la mort sous ses yeux d'un camarade foudroyé lors d'une randonnée, un épisode que l'on retrouve sous différentes formes dans plusieurs de ses romans. À LIRE AUSSI Paul Auster : « Trump est le croisement entre Berlusconi et Mussolini » L'entrée à Columbia University, en 1965, marque le début de la deuxième vie de Paul Auster. Il se passionne pour Borges (influence majeure de son œuvre) et Sartre, mais aussi pour Nathaniel Hawthorne et Edgar Allan Poe, deux auteurs dont il se dira plus tard « extraordinairement proche » en tant que pionniers du grand roman américain. Il participe aussi à l'effervescence politique de l'époque, et aux sit-in de protestation contre la guerre du Vietnam. Après son diplôme, en 1970, il s'installe à Paris (où il est déjà venu en 1967, échouant au concours de l'Idhec, ancêtre de la Femis). Paul Auster a 23 ans, et mène une vie de bohème dans sa chambre de bonne, entre rencontres furtives avec des prostituées, écriture de poèmes et traductions. Ses deux auteurs de prédilection sont alors Stéphane Mallarmé et Joseph Joubert, un essayiste et moraliste dont un Recueil de pensées fut édité par Chateaubriand. Malgré le romantisme de ces années, le désespoir n'est jamais loin. La « trilogie new-yorkaise » de Paul Auster Avec sa compagne, l'écrivaine et traductrice du français Lydia Davis qu'il épouse en 1974, Paul Auster rentre aux États-Unis. Dans Le Diable par la queue, un texte qui évoque sa vie sous l'angle de l'argent, Auster raconte leurs années de pauvreté extrême, notamment au moment de la naissance de leur fils, Daniel. Il enchaîne les petits boulots absurdes, pense à l'argent du matin au soir, publie un roman policier sous pseudonyme et plusieurs recueils de poèmes sans pour autant améliorer sa situation matérielle. Ce n'est qu'après son divorce d'avec Lydia Davis, en 1977, que Paul Auster rencontre le succès. L'Invention de la solitude, un livre autobiographique mais écrit avec un goût de la distanciation venu de France, le transforme du jour au lendemain en écrivain à suivre. Une nouvelle vie commence alors, auprès de Siri Hustvedt (née en 1955), philosophe, spécialiste d'épistémologie, et romancière. Le couple, qui se marie en 1981, s'installe à Park Slope (un quartier de Brooklyn devenu au fil du temps de plus en plus chic). Il est grand et ténébreux, elle est blonde et longiligne : leur duo est si glamour qu'on leur propose, au fil des ans, plusieurs contrats de publicité. Auster et Hustvedt – dont la fille Sophie naît en 1987 – sont bientôt de vraies icônes de la scène littéraire new-yorkaise. New York est justement l'un des grands motifs de l'œuvre. Dans sa trilogie dite « new-yorkaise » et qui se compose de Cité de verre, Revenants et La Chambre dérobée, Auster réinvente le roman de détective en puzzle à la Borges. Manhattan – en particulier le quartier de Columbia University – y devient un paysage mental labyrinthique, où l'on marche des heures sans faire le moindre progrès et où les appartements difficiles à trouver cachent d'innommables secrets. la suite ici https://www.lepoint.fr/livres/paul-auster-est-mort-a-l-age-de-77-ans-01-05-2024-2559137_37.php3 points
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L'environnement n'est pas leur souci majeur à ceux là3 points
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Galena, une chatte domestique de 6 ans originaire de l’Utah, aime se cacher et jouer avec du carton. Et les chats étant ce qu'ils sont, à force il fallait bien que ça arrive un jour: un voyage en colis Amazon ! S'en sont suivis des recherches d'arrache-pied, un sauvetage en Californie et des retrouvailles en larmes. Quelle aventure ! C'est qu'elle y tenait sa maitresse à sa chatte... Galena tu peux être fière de toi ! Espérons que tu ne recommenceras plus ! SOURCE: https://apnews.com/article/missing-utah-cat-amazon-box-4a8d3021c86a30663bca05790d43c67a3 points
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ça fait ting tingting ting tingting ting ting tingting ting.. toum toum ! chtring chtring chtring.... c'est le toum toum qui est important ! quoi ? ben à l'écrit c'est pas facile hein de reproduire la guitare !3 points
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Joséphine Baker a adopté 10 enfants qu'elle a élevé dignement. Je connais plusieurs cas de parents méritants qui ont adopté des enfants, soit parce que ils ne pouvaient en avoir, soit par générosité. Je connais aussi des parents indignes qui ont "fait" des enfants et ne se sont pas occupés de leur éducation. Ainsi va le monde ...3 points
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J’ai testé la peinture au sèche-cheveux, ou « dutch-pouring ». Alors c’est pas un chef-d’œuvre, c’est le moins que l’on puisse dire mais je voulais du vert, j’ai du vert ! Même pas peur de le mettre au mur et j’obligerai mes amis à s’extasier… En tout cas c’est rigolo à faire et j’espère bien me perfectionner ! « L’œuvre »… Et une vidéo pour se rendre compte de ce qu’il est possible de faire…3 points
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Croyance / Preuve de l’existence de... Athéisme / Preuve de la non existence de... Il y a des mots, des concepts, qui n’ont rien à faire ensemble. Qui sont intrinsèquement antinomiques. Cette obstination à vouloir les associer, les obliger à cohabiter pour démontrer quelque chose qui devrait être absolument, résolument personnel, et démonter chez l’autre quelque chose de différent, mais qui devrait aussi être, absolument, résolument personnel, me plonge dans la plus profonde perplexité...3 points
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salut Axo, vu le nombre d'enfants violés et massacrés par un papa et une maman, qui serait la version idyllique du concept de la famille, autant avoir deux papas ou deux mamans qui s'occupent de façon aimante du bébé ou de l'enfant que de voir des gosses morts ou traumatisés à vie.3 points
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"Le problème c'est que..." : Shaka Ponk dévoile les vraies raisons de sa séparation Depuis sa création en 2002, la bande a pour mascotte Goz, un primate en images de synthèse. « Le concept est un peu particulier : c'est un animal notre truc. C'est un singe qui raconte à l'homme que l'homme est en train de faire n'importe quoi sur cette planète, que la sphère politique et industrielle est totalement hors de contrôle, qu'on est enfermés dans une bulle égocentrée, déconnectée de la réalité et de la nature» a expliqué Frah sur le plateau de France 5. Son but ? « Tenter de le raisonner en lui disant qu'il a lancé une espèce de dogme, de règle, qui est que le sens de la vie ce serait la surconsommation, le culte de soi-même, être le plus beau, le plus fort, avoir le plus d'argent, posséder les choses et le vivant... » a énuméré le chanteur, qui s'est toujours montré, avec ses camarades, très engagé sur les questions sociétales. Face à « l'urgence climatique », Shaka Ponk a donc pris la décision d'être en accord avec ses valeurs, en repensant notamment son approche de la scène dans le but d'amoindrir son impact écologique. « Le problème c'est que Shaka a grossi, est devenu de plus en plus gros. (...) On ne peut pas raconter ce qu'on raconte dans nos chansons, (...) tenir ce discours et avoir un million de personnes qui viennent. Il faut réinventer notre activité professionnelle » estime le groupe français. "Il y a beaucoup d'émotions..." Désormais, les membres de Shaka Ponk veulent concentrer leur énergie sur le projet The Freaks, un collectif d'artistes lancé en 2018 et qui vise à intégrer des pratiques éco-responsables dans la vie active, pour protéger la biodiversité. « C'était uniquement basé sur un changement d'ADN dans sa vie personnelle, là où on peut tout faire. (...) On avait lancé ce concept The Freaks, qu'on va essayer d'adapter à notre vie professionnelle, essayer de changer tout ça. Puis aussi, très important, on a envie de dégager du temps pour lutter contre l'effondrement écologique » affirment les deux musiciens. Si la bande semble résolue, ces adieux ne se feront pas de gaité de coeur, avouent Frah et Sam... « Depuis qu'on a commencé la tournée, on se rend compte qu'il y a quand même beaucoup d'émotions. Bizarrement, il y a plus de pleurs que d'habitude et pour nous-mêmes, ce n'est pas facile. On connait certaines personnes depuis des années». ICI3 points
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pendant que les riches polluent on demande aux pauvres d'être moins nombreux de faire attention de serrer la ceinture d'être écolo de manger bio de rouler électrique et si financièrement pas possible ....à pince .3 points
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La pub, c'est fait pour aller aux toilettes.3 points
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Oui le clan Le Pen a une histoire sombre et glauque depuis la captation d'héritage du cimentier Lambert par le couple Jean Marie et Jany Le pen par manipulation d'un alcoolique en phase terminale jusqu'à la récente mise sous tutelle du "menhir" (warum her oberst?) le fontionnement clanique (comme à LFI d'ailleus) la naissance adultérine de Marion n'en est qu'un épisode parmi d'autres . Bon c'est les extrèmes dont le seul charme à mon gout est que ces gens finissent toujours par s'entre dévorer ! Et le voeux comme sa fille et sa petite fille proclament sans rire :: Tête haute et mainns propre !! Tragi comique au possible .3 points
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En tant que consommateur je ne suis d'accord avec aucune publicité. La publicité télé me saoule particulièrement parce qu'elle s'impose. Elle provoque chez moi une réaction de rejet d'autant plus qu'elle s'appuie généralement bien plus sur les faiblesses qui nous accablent tous que sur notre intelligence C'est un excellent miroir de la connerie humaine3 points
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Quel débat ? C'est juste une déclaration opportuniste pour flatter ses électeurs les plus réactionnaires.3 points
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Bonjour le petit rat de l'opéra n'était pas né lorsque le vieux aux pieds fragiles , gambadait comme un cabri à l'aube de ses jeunes années . Si le temps lui prête vie , le petit rat de l'opéra , deviendra une femme âgés, courbé sous le poids des années et des vicissitudes de la vie . mais nul n'est prophète en son pays ,personne ne sait quand tout s'arrêtera Bonne journée3 points
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Très très belle poésie Blaquière, on sent le vécu, elle m'évoque en écho la plainte douloureuse de Jacques Brel dans un de ses chants sur la vieillesse : Mourir cela n’est rien ; Mourir la belle affaire. Mais vieillir… ô vieillir !3 points
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Pas grand-chose à ajouter. Effectivement, c'est un très grand écrivain qui disparaît. Son nom est indissociable de la ville dont il a si bien parlé : New York. RIP.2 points
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Brave petit bonhomme. Tous les sales cons qui prennent des photos de ce spot le font pour partager le truc sur Insta ou autre réseau social, pour montrer à tout le monde "I was there", le phénomène des endroits massacrés par les touristes instagramers qui viennent prendre exactement la même photo que tous les autres cons afin de montrer "I was there" est maintenant suffisamment documenté, alors qu'ils se foutent complètement de l'endroit en question et le transforment inévitablement en porcherie. Il y a même des petits salopes qui trouvent marrant de kidnapper des oursons pour faire des selfies avec, comme si on ne savait pas depuis le temps que si une mère ourse sent une odeur d'humain sur son ourson quand elle le retrouve, elle va au mieux l'abandonner au pire le déchiqueter : https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/etats-unis-elles-arrachent-des-oursons-de-leur-arbre-pour-faire-des-selfies-une-enquete-ouverte-0b42ac6e-0092-11ef-a710-10bb548a10042 points
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Même les Anglais ont leurs cinglés aussi .2 points
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Ben oui ! perso j'utilise le terme athée car je ne crois pas en un dieu ou une divinité quelconque et c'est tout . De plus , derrière toutes ces croyances il y a un besoin ( x raisons ) , je n'ai pas celui là . Là où c'est gênant au mieux , inacceptable au pire , c'est quand , au nom d'une de ces croyances , le reste d'une population doit être impactée dans leur vie . J'ai des croyances telles que , les extraterrestres peuvent exister ailleurs ou venir de temps en temps visiter notre logis .2 points
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Prière juive pour la france dans toutes les synagogues tout les samedis : On peut la prèter à nos amis musulmans même sans droits d'auteur ,on est pas radins que ça !!2 points
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cette" droite extrême" ! ... ces dernières années en France, combien d'attentats, de victimes en salle de concert, aux terrasses des cafés, sur les marchés de Noël, de profs, de prêtres décapités, de juifs torturés et tués, de coups de couteau quotidiens, de hijabs provocateurs et autres prêches violents anti Occident ? ... Plus que jamais ce dicton est d'actualité : "lorsque le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt"2 points
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Parfois je me surprends à marcher comme un vieux ! Comment expliquer ça ? Par son contraire ? Et son contraire c'est ? Les petits rats de l'Opéra ! Tip ! Tip ! Tip ! Ils (ou plutôt elles) marchent sur la pointe des pieds : Tip ! Tip ! Tip ! Elle ne font qu'effleurer les sol. Elles marchent en courant d'air. En brise : Pfuit ! Pfuit ! Pfuit ! Elles passent sans laisser de trace. Même dans l'air. Un vieux, c'est le contraire. Il laisse des empreintes profondes. Il marche comme dans un marécage. Dans une boue épaisse et lourde. Chaque pied enfoncé; Il ne sait jamais s'il va pouvoir le relever pour le réenfoncer plus loin. Le petit rat, sur la pointe des pieds est en dynamique. Un pas n'est pas plutôt fini qu'il en est déjà au suivant. Il est en fugue ! La démarche du vieux, c'est tout le contraire : arrêt sur image à chaque pas ! Il avance de point d'orgue en point d'orgue. C'est un lent balancement. Le pied droit : pouf ! Il est bien posé mon pied droit ? Et sur ce pied droit, il faut reprendre ses esprits... S'assurer que tout le poids du corps y est bien. Et surtout qu'il est en équilibre. Mais là on se rend compte qu'il est en équilibre instable : Il lui manque le pied gauche pour être sûr de lui ! Alors on avance le pieds gauche... et... Pouf ! Ca y est ! Enfin l'équilibre ! Mais non ! Il lui manque alors le pied droit ! C'est désespérant et c'est sans fin ! Et j'avance en vacillant de déséquilibre en déséquilibre... Chaque pas demande un effort considérable pour retirer son pied de cette boue gluante. Et pendant ce temps l'autre pied s'enfonce encore plus profond ! Il en sera lui-même d'autant plus difficile à soulever... De déséquilibre en déséquilibre de glue en glue de gadoue en gadoue Je m'enlise Et m'analyse et me ridiculise ! Tant pis ! Mais je vais mon chemin...2 points
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Débilité massive. Une perte de temps et une aliénation de la société . Non.2 points
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Je leur ferai enfiler des tenues de plongées et les enverrai nettoyer leurs saletés au fond de la mer !2 points
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Je serais interressé mais faites vous des prix pour les éjaculateurs précoce?2 points
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Il faudrait qu'ils soient condamnés à venir nettoyer les plages tous les week ends, avec gilets fluo pour qu'ils soient bien vus de tous.2 points
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je ne m'en fais pas pour ça... cela retombera à plat le jour où il faudra rendre les partiels et les autres rendus... car perdre une année alors que c'est si difficile à suivre et à budgétiser: loyers à payer, resto à payer, fournitures à payer etc... cela risque de faire réfléchir certains; sans compter que ces chères têtes vides auront des comptes à rendre à papa et à maman. financer des études, ok mais financer des "jour du hidjab" et autres bêtises, là, la donne change.2 points
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Soudain je me souviens qu'à trente ans, j'avais écrit ça : LA VIEILHO A cargat la vieilho e sei peds soun tout toarts pichoun pas pichouns dets capeou gris tristounet e couquet en campano. « Eri joeino e poulido. » « Eri joeino e poulido. » Davant lo troutadour aousso-cambo garcejo, per mountar. LA VIEILLE Elle est voûtée, la vieille et ses pieds sont tordus petit pas petits doigts chapeau gris tristounet et coquet en cloche. « J’étais jeune et jolie. » « J’étais jeune et jolie. » Mais devant le trottoir trop haut, elle hésite à monter. C'était exactement la même chose ! A part que hier, c'était moi la vieille ! Mais c'est fini : JE ME SUIS REPRIS !2 points
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Non, je n'ai pas écouté attentivement, je ne suis pas masochiste à ce point. Puis je connaissais déjà : cette chaîne, comme quelques unes de ses clones, est apparue dans le YT français avec le développement de l'IA. Est-ce lié ? Myyyyyssstèèèèèère... En tout cas, tous ces trucs merdiques qui prétendent utiliser les recettes du passé (le stoïcisme) pour combattre des problèmes actuels (la frustration sexuelle 2.0 générée par profusion d'images sur le net & de course à l'âne bâté sur apps de rencontre) tout en utilisant insidieusement des recettes marketings complètement actuelles (femme plantureuse générée artificiellement pour image d'accroche, idem pour l'homme, présence sur réseaux sociaux, ciblage d'un coeur de cible -> hommes jeunes frustrés) ne feront rien avancer, et donneront de plus une fausse image du stoïcisme. Ceci dit, les journaux de vulgarisation de la philosophie ou du développement personnel avaient déjà commencé le boulot en mettant les philosophies antiques à toutes les sauces, et ce depuis les années 80, afin d'apporter "un petit supplément d'âme à leurs lecteurs". Il suffit juste donc maintenant de conforter les hommes de grande valeur (vive môa ) dans leur masculinité... car y'a du boulot !2 points
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... dire que le RN est "un parti de collabos et de nazis" est aussi creux que d'affirmer que Fabien Roussel est stalinien. Il faudrait peut être songé à évoluer un jour ! La France est menacée quotidiennement par autre chose que cette moraline du retour de la bête immonde. Il ne se passe pas un jour sans que l'islamisme malfaisant et arriéré ne se manifeste un peu plus dans le pays. Pendant ce temps vous agitez vos petits pistolets en plastique vers des cibles imaginaires.2 points
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Ce n’est pas un « simple tweet » la Marion sait très bien comment le gamin est né et donc qu’il sera élevé par le couple et qu’il n’aura pas de maman. En tout cas félicitations à eux et bon courage pour les nuits blanches2 points
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Elle est tellement perchée, je dirais Francis Lalanne.2 points
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C'était donc toi qui traçais le chemin devant moi vendredi dernier dans la pluie le vent et la glaise de la baie de Somme. C'est dingue ça colle et ça glisse. Dommage que je ne t'ai pas reconnu Si j'en crois la devise de @DroitDeRéponsece n'est pas celui qui avance coute que coute quitte à vaciller, quitte à se tromper qui est ridicule Tu me rappelles quelqu’un2 points
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Je ne pense pas qu'il faille se poser la question en ces termes. La protection de l'enfance est déjà encadrée par la loi. Un enfant peut-être retiré de son foyer s'il est maltraité. Tandis que la GPA pour un couple homo légalise la possibilité de faire un enfant en lui imposant de ne pas être élevé par un de ses parents biologiques. On ne lui laisse aucun choix. Pourtant à l'âge adulte la question de son origine le hantera. Négliger ça, c'est nier la détresse de tous les adoptés qui aujourd'hui fréquentent les cabinets de psys parce qu'ils se sentent vides de ne pas savoir qui ils sont.2 points
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Au-delà de ça, il y a la question cruciale du sens humain, non pas pour un couple homo, mais pour une femme dont on peut louer l'appareil génital..... Le progressisme se veut sans limite, sans responsabilité, dans la "liberté" pour les acteurs, certes, mais lesquels ?2 points
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Il faudrait définir ce qu'est un père , une mère. ces termes, ce sont des termes affectifs avant tout. Les gens maltraités parlent volontiers de géniteurs et génitrices. Adoption, gpa, PMA, accord, coup d'un soir.... Autant d'histoires differentes pour avoir un enfant. C'est amusant de voir les gens s'intéresser à ce gamin précis quant tant d'autres sont victimes de viols et de maltraitance avec un papa et une maman qui sont aussi leurs géniteurs et génitrice. Elle est où lepen pour défendre la cause des enfants ? On l'entend pas beaucoup sur le sujet ? Cet enfant elle en a rien a foutre. C'était juste un propos homophobe de plus.2 points
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