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À propos de sovenka
- Date de naissance 31/10/1982
Informations Personnelles
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Titre
Oiseau de nuit, pays Union européenne
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Sexe
Femme
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Lieu
Loin, dans la forêt profonde
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Intérêts
voyages, histoire, environnement, musique, animaux
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Nous voici en automne, bientôt l'hiver et pourtant de l'eau sera toujours la bienvenue pour nos amis oiseaux. Il faut penser à changer cette eau chaque jour et la renouveler quand elle a gelé bien sûr. Vous pouvez les approvisionner en graines de tournesol nature, des cacahouètes natures et non grillées (pas celles pour l'apéro des humains). Ce n'est plus nécessaire d'ajouter des vers séchés: hormis les corbeaux et les rapaces, les oiseaux ne sont pas habitués à consommer trop de protéines animales pendant les mois d'automne et d'hiver où on ne croise pas d'insectes dehors, et leur en fournir change leur comportement. Il faut mettre de côté ces aliments-là pour le retour du printemps. Les graines de tournesol les aideront en revanche à réguler leur température quand il fait froid. C'est amplement suffisant, pas la peine de rajouter des boules de graisse néfastes au fragile système cardio-vasculaire des petits oiseaux. Important : les mangeoires doivent évidemment être hors de portée des chats mais, si vous résidez au bord d'une route, il faudra que ces mangeoires soient le plus haut possible et éloignées de la route. Voici pourquoi: un oiseau attiré par des mangeoires de l'autre côté d'une route aura tendance à voler dans leur direction sans se préoccuper d'éventuels camions, semi-remorques ou autres poids lourds arrivant à fond de ballon à hauteur de son vol. Il y a par conséquent risque de heurt.
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Reclassé par l’UICN au statut de "quasi menacé" en Europe de l’Ouest, ce petit mammifère a vu ses effectifs baisser d’environ 70 % en trente ans, avec plusieurs centaines de milliers de morts chaque année en France. Sans refuge calme et sec, l’hibernation se dérègle et la mortalité grimpe. Nos jardins trop bien rangés y contribuent, entre souffleurs, tailles tardives et allers-retours. Et pourtant, des gestes simples existent pour leur offrir gîte et sécurité. Le meilleur moment pour agir se prépare dès l’automne. Un abri efficace ne demande pas grand-chose : un tas de bûches, une caisse en bois recouverte de branchages, ou une maison à hérisson du commerce ou faite maison. Placez-le sous une haie, à l’écart du passage, avec l’entrée à l’abri du vent, puis évitez de le déranger. Le hérisson peut parcourir jusqu’à deux kilomètres chaque nuit, il a donc besoin de circuler librement entre les parcelles. Ouvrez votre clôture pour créer des corridors de faune : prévoyez une ouverture de 13 centimètres environ à la base, ou 10 centimètres selon certaines associations, pour relier les jardins et limiter le risque routier. Côté ressources, une coupelle d’eau peu profonde, régulièrement renouvelée, est un vrai plus. Un appoint ponctuel de croquettes pour chat peut aider avant l’hibernation. Jamais de lait ni de pain, dangereux pour leur système digestif. Un bol d’eau est indispensable. Feuilles mortes, tiges fanées et petits fagots ne sont pas du "désordre" : ce sont des matériaux de nid. Rassemblez un tas de feuilles et de branchages dans un recoin calme pour isoler du froid et garder au sec, tout en nourrissant le sol au fil de la décomposition. C’est simple, rapide et vraiment utile. Côté entretien, le rythme se fait doux. La taille des haies et arbustes se pratique après la nidification, fin août, pas aux premières gelées. Avant toute intervention, inspectez le pied des végétaux et les tas de jardin pour éviter de détruire un nid d’hibernation. Programmez le robot tondeuse en journée uniquement et laissez un coin de pelouse non tondu. Adoptez un jardin sans pesticides ni anti limaces chimiques ; compost, paillage et rotations de culture aident à garder un écosystème équilibré. Vous pourrez aussi préférer des barrières physiques ou un piège à bière pour les limaces. Ne brûlez jamais un tas de feuilles sans l’avoir vérifié soigneusement. Sécurisez piscine et bassin avec une planche rugueuse en pente pour permettre la remontée. Couvrez regards, soupiraux et puits, et rangez filets et tuyaux qui piègent la faune. Vérifiez avant de tondre ou de tailler, y compris sous les haies et dans les tas de bois. Si vous trouvez un hérisson actif en plein jour, maigre, léthargique ou blessé, aidez-le : installez-le dans un carton aéré avec une bouillotte enveloppée, puis contactez un centre de soins de la faune sauvage. Le hérisson d’Europe est une espèce protégée en France depuis 1981, mieux vaut l’aider… et lui laisser la tranquillité nécessaire à son hibernation aujourdhui. SOURCE: https://www.modesettravaux.fr/jardinage/cet-hiver-voici-comment-transormer-votre-jardin-en-refuge-sur-pour-les-herissons-de-passage-158814.html
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Les fonds climat ne bénéficient pas toujours aux pays qui en auraient le plus besoin. Les principaux bénéficiaires du financement international pour le climat ont été les pays à revenu intermédiaires, comme l'Égypte, les Philippines ou le Brésil. Avec 14,1 milliards de dollars sur les deux années en question, l'Inde fait de loin la course en tête. Mais certains pays à revenu élevé font également partie des bénéficiaires : la Chine a ainsi reçu 3 milliards de dollars de financements climatiques en 2021 et 2022, principalement de banques multilatérales. Les Émirats arabes unis, eux, ont reçu plus d'un milliard de dollars du Japon. Sur cette même période, en revanche, seulement un cinquième des fonds alloués a été versé aux 44 pays les plus pauvres du monde, et la plupart sous forme de prêts plutôt que de subventions. Pour le Bangladesh et l'Angola par exemple, la part des prêts atteint même 95% des fonds climat perçus. Ces chiffres révélés par l'analyse du Guardian et de Carbon Brief illustrent deux problèmes fondamentaux. Premièrement : la composition du groupe des pays en développement n'a pas changé depuis sa création par l'ONU en 1992. Or, des pays comme la Chine ou les États du Golfe, considérés comme faisant partie de ce groupe, ont depuis connu des essors économiques fulgurants. De plus ce sont parfois les intérêts politiques qui décident des bénéficiaires. L'ONU suggère que ça change... SOURCE: https://www.rfi.fr/fr/environnement/20251115-la-chine-et-les-%C3%A9mirats-arabes-unis-parmi-les-b%C3%A9n%C3%A9ficiaires-des-fonds-climat-destin%C3%A9s-aux-pays-pauvres
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Cet été, Aurélie Delisle, couturière à Bordeaux, n'a cessé de recevoir des demandes de reprises de robes de cérémonie, en provenance de la plateforme chinoise Shein. "J'ai dû refaire entièrement les robes, ce que les clientes avaient reçu n'était pas du tout ce qu'elles avaient commandé, la retouche leur a coûté plus cher que la robe", se désespère la propriétaire de l'atelier Rue des nuages à Bordeaux. Et cela a été la goutte d'eau. Depuis cet été, et plus récemment les récentes polémiques concernant le site de commerce en ligne Shein, la couturière a pris une décision radicale. Elle ne fera plus aucune retouche sur des vêtements en provenance de l'ultra fast-fashion. Une décision, comme un acte de revendication. "Parce que nous croyons à une mode responsable et durable, nous comptons sur votre soutien pour faire vivre l’atelier et ses valeurs", peut-on lire sur une publication Instagram de l'atelier de couture bordelais. Fabriquer soi-même Dans l'atelier, on peut faire repriser ses vêtements, mais on peut aussi apprendre à coudre, s'initier. Autour des machines à coudre, plusieurs petites mains s'activent pour donner vie à de futurs vêtements. "Je fais mes propres robes", assure Agatha qui confectionne aujourd'hui une pièce en jean. "Avant, je n'achetais pas des vêtements de qualité, mais maintenant que je sais coudre, j’essaie de faire moi-même mes propres habits", ajoute-t-elle. "Ça montre que payer un jean 10 euros ce n’est pas possible, il y a un temps de confection incompressible", assure Aurélie Delisle. SOURCE: https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/la-retouche-leur-a-coute-plus-cher-que-la-robe-cette-couturiere-refuse-de-raccommoder-les-vetements-shein-3249943.html
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Celle-là aussi est bien avec l'apparition au ralenti de cheveux de glace sur du bois: -
J'ai trouvé cette vidéo explicative sur le sujet: En fait c'est comme si la plante tissait des fils de glace autour d'elle. Il y a aussi la vidéo youtube intitulée "Le temps le plus étrange sur Terre : les fleurs de givre rares !" de la chaine The Weather Channel qui est en français et mieux imagée mais je n'arrive pas à la poster en entier. -
La première vague de froid importante de la semaine aux États-Unis a apporté neige, températures glaciales et, par endroits, un spectacle féerique : les fleurs de givre. Formées de fins rubans de glace qui se déploient en motifs complexes lorsque l'eau gelée s'infiltre à travers les fentes de certaines tiges végétales, ces fleurs glacées peuvent se désintégrer au moindre contact et n'apparaissent que pour quelques heures. On les trouve surtout dans l'est du pays, en particulier dans le nord où les fortes gelées sont plus fréquentes. Elles ressemblent à des nuages de barbe à papa ou de verre filé. Pour certains, ce phénomène est devenu familier, annonçant l'arrivée imminente de l'hiver et incitant à sortir du lit pour les admirer avant que le soleil ne les fasse fondre. des habitants de l'Indiana, du Missouri, du Tennessee et d'ailleurs ont publié sur les réseaux sociaux des photos montrant des champs et des jardins intacts, parsemés de ces œuvres d'art naturelles uniques, au petit matin après la vague de froid. Le sol doit être suffisamment chaud et humide pour que l'eau remonte des racines jusqu'à la tige, tandis que l'air doit être suffisamment froid pour que le liquide gèle et perce la tige, créant ainsi l'aspect d'une fleur. On ne les trouve que sur quelques espèces de plantes, car ce phénomène ne peut se produire que si la tige est capable de retenir l'eau en automne ou au début de l'hiver et qu'elle est suffisamment fragile pour se briser sous la pression de la glace. SOURCE: https://apnews.com/article/frost-flowers-freeze-eastern-us-b2b0c4c17f9efd784a3be3fd42dc526b
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Sur un air d'opéra
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Jasante de la Vieille De Jehan RICTUS — Bonjour, c’est moi..., moi, ta m’man J’ suis là, d’vant toi au cèmetière. (Aujord’hui y aura juste un an, un an passé d’pis... ton affaire) Louis ? Mon petit... m’entends-tu seul’ment ? T’entends-t’y ta pauv’ moman d’ mère ? Ta « Vieill’ », comm’ tu disais dans l’ temps. Ta Vieill’, qu’alle est v’nue aujord’hui malgré la bouillasse et la puïe, et malgré qu’ ça soye loin, Ivry. Alorss... on m’a pas trompée d’ lieu ? C’est ben ici les « Condamnés » ? C’est là qu’ t’ es d’pis eun’ grande année ? Mon dieu mon dieu ! Mon dieu mon dieu ! Et où donc ? Où c’est qu’on t’a mis ? D’ quel côté... dis-moi mon ami ? C’est plat et c’est nu comm’ la main.... Y a pas eun’ tomb’, pas un bout d’ croix ! Y a rien qui marqu’ ta fosse à toi, pas un sign’, pas un nom d’ baptême, et rien non pus pour t’abriter.... (J’ dis pas qu’ tu l’as point mérité, Mais pour eun’ mèr’, c’est dur tout d’ même !) Louis, tu sais, faut que j’ te confesse ; De d’pis un an..., d’pis... ton histoire j’ suis pus tournée qu’aux idées noires et j’ai l’ cœur rien qu’à la tristesse. Aussi preusent j’ suis tout’ sangée, j’ suis blanchie, courbée, ravagée par la honte et par le tourment ; si tu pourrais m’ voir à preusent tu m’ donn’rais pus d’ quatre-vingts ans. Et pis j’ai eu ben d’ la misère, (ça m’a fait du tort tu comprends !) Quand qu’on a su qu’ j’étais ta mère, j’ai pus trouvé un sou d’ouvrage, on m’a méprisée dans l’ quartier et l’a fallu que j’ déménage. Depis... dans mon nouveau log’ment j’ vis seule... ej’ peux pas dir’ comment, comme eun’ dormeuse, eun’ vraie machine ; j’ cause à personn’ de not’ malheur, j’ pense à toi, et tout l’ jour je pleure, mêm’ quand que j’ suis à ma cuisine. L’ matin, ça m’ prend dès que j’ me lève ; j’ te vois, j’ te caus’... tout haut... souvent, comm’ si qu’ tu s’rais encor vivant ! J’ mang’ pus... j’ dors pus, tant ça m’ fait deuil et si des fois j’ peux fermer l’œil, ça manqu’ pas, tu viens dans mes rêves. C’te nuit encor... j’ t’ai vu... plein d’ sang, tu t’nais à deux mains ta pauv’ tête et tu m’ faisais : « Moman ! Moman ! » Mais moi... j’ pouais rien pour t’aider, moi j’étais là à t’arr’garder et j’ te tendais mon tabellier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pens’ Louis, dans l’ temps, quand t’ étais p’tit, qui qu’ aurait cru,... qui m’aurait dit qu’ tu finirais comm’ ça un jour et qu’ moi... on m’ verrait v’nir ici ! quand t’étais p’tit t’étais si doux ! À c’t’ heur’ j’arr’vois tout not’ passé, lorsque t’ allais su’ tes trois ans et qu’ ton Pepa m’avait quittée en m’ laissant tout’ seule à t’él’ver ! Comme ej’ t’aimais, comme on s’aimait, qu’on était heureux tous les deux, malgré des fois des moments durs où y avait rien à la maison ; Comme ej’ t’aimais, comme on s’aimait, c’était toi ma seul’ distraction, mon p’tit mari, mon amoureux. C’est pas vrai, c’ pas ? C’est pas vrai tout c’ qu’on a dit d’ toi au procès ; su’ les jornaux c’ qu’y avait d’écrit, ça n’était ben sûr qu’ des ment’ries... Mon P’tit à moi n’a pas été si mauvais qu’on l’a raconté ! (Sûr qu’étant môm’, comm’ tous les mômes, t’étais des fois ben garnement, mais pour crapule... on peut pas l’ dire !) T’étais si doux et pis... si beau... meugnon peut-êt’ mais point chétif, à caus’ que moi j’ t’avais nourri ; t’étais râblé, frais et rosé, t’étais tout blond et tout frisé comme un amour, comme un agneau... (j’ai cor de toi eun’ boucle ed’ tifs et deux quenott’s comm’ deux grains d’ riz.) Mon plaisir, c’était l’ soir venu, avant que d’ te mette au dodo, de t’ déshabiller tout « entière », tant c’était divin d’ te voir nu : et j’ t’admirais, j’ te cajolais, j’ te faisais « proutt » dans ton p’tit dos, et j’ te bisais ton p’tit darrière... (j’ t’aurais mangé si j’aurais pu) Et toi... t’ étais si caressant et rusé... et intelligent... Oh ! intelligent, fallait voir, pour c’ qui regardait la mémoire t’ apprenais tout c’ que tu voulais... tu promettais, tu promettais.... J’en ai-t-y passé d’ ces jornées durant des années, des années, à turbiner pir’ qu’un carcan pour gagner not’ pain d’ tous les jours et d’ quoi te garder à l’école, et... j’en ai-t-y passé d’ ces nuits, (toi, dans ton p’tit lit endormi) à coude auprès de l’abat-jour jusqu’à la fin de mon pétrole ! Des fois, ça s’ tirait en longueur ; mes pauv’s z’yeux flanchaient à la peine, alorss... en bâillant dans ma main j’écoutais trotter ton p’tit cœur et souffler ta petite haleine... (et rien qu’ ça m’ donnait du courage pour me r’mett’ dar’-dare à l’ouvrage qu’y m’ fallait livrer le lend’main.) Que d’ fois j’ai eu les sangs glacés ces nuits-là... pour la moindre toux ; j’avais toujours peur pour le croup, grâce au mauvais air du faubourg où nous aut’s on est h’entassés. Ah ! dir’ qu’ t’ es là-d’ssous à preusent par tous les temps qu’y neige ou pleuve ! (Vrai ! Qué crèv’-cœur ! Qué coup d’ couteau ! on m’a ratissé mon château, on m’a esquinté mon chef-d’œuvre.) T’ rappell’s-tu, quand tu t’ réveillais, le croissant chaud, l’ café au lait ? T’ rappell’s-tu comme ej’ t’habillais ? Eh ! ben, pis nos sorties l’ Dimanche, tes beaux p’tits vernis,... ta rob’ blanche... T’étais si fin, si gracieux, tu faisais tant plaisir aux yeux qu’on voyait les genss s’arr’tourner pour te regarder trottiner. Ah ! en c’ temps-là,... dis mon petit, de qui c’est qu’ t’ étais la fifille, l’amour, le trésor, le Soleil ! De qui c’est que t’ étais l’ Jésus ? De ta Vieille est-c’ pas, de ta Vieille ? Qui faisait tes quatr’ volontés, qui t’a pourri, qui t’a gâté, qui c’est qui n’ t’a jamais battu ? Et l’année d’ ta fuxion d’ poitrine, qui t’a soigné, veillé,... guéri ; c’est-y moi ou ben la voisine ? Et à présent qu’ te v’là ici comme un chien crevé, eune ordure, comme un fumier, eun’ pourriture, avec la crêm’ des criminels, Qui c’est qui malgré tout vient t’ voir ? Qui qui t’esscuse et qui t’ pardonne ? Qui c’est qu’ en est la pus punie ? C’est ta Vieill’, tu sais, ta fidèle, ta pauv’ vieill’ loqu’ de Vieill’ vois-tu ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais j’ bavard’, moi, j’us’ ma salive ; la puïe cess’ pas, la nuit arrive ; faut que j’ m’en aill’ moi... il est l’heure, maint’nant c’est si loin où j’ demeure. Et pis quoi ! Qu’est-c’ que c’est qu’ ce bruit ? On croirait de quéqu’un qui s’ plaint... on jur’rait qu’y a quéqu’un qui pleure... Oh ! Louis, réponds ? C’est p’t-êt’ ben toi qui t’ fais du chagrin dans la terre ! Seigneur ! Si j’allais cor te voir comme c’te nuit dans mon cauch’mar ! (Tu vourais point m’ fair’ cett’ frayeur !) Oh ! Louis, si c’est toi, tiens-toi sage ; sois mignon... j’arr’viendrai bentôt, seul’ment, fais dodo, fais dodo, comme aut’fois dans ton petit lit, tu sais ben... ton petit lit-cage ? Chut !... C’est rien qu’ ça... pleur’ pas j’ te dis, fais dodo va... sois sage, sage, mon pauv’ tout nu... mon malheureux, Mon petiot, mon petit petiot.
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Revue de presse de la semaine (nouvelle formule)
sovenka a répondu à un(e) sujet de Pierre-de-Jade dans Insolites
Des initiales qui le feront aller de Charybde en Scylla -
Sur la vidéo, on aperçoit un poids lourd circuler sur une 2x2 voies. Lui roule sur la voie de gauche et semble ralenti par le véhicule qui se trouve devant lui. En doublant le camion, la personne qui filme découvre alors un retraité au guidon d’un scooter pour handicapé. « Vous devriez ralentir […], il y a un radar ici », lance-t-elle, ironiquement. SOURCE: https://www.20minutes.fr/arts-stars/insolite/4184226-20251107-royaume-uni-retraite-scooter-handicape-filme-voie-rapide-video-devient-virale
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Un tour en Camargue pour se détendre
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Moment de détente avec la force tranquille des éléphants
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Super couleur ! Dommage ce sera provisoire...
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Chanter le lundi au soleil ! Oups j'avais pas vu mais la chanson est de Patrick Juvet, Cloclo l'a chantée c'est tout. Où se trouve le port du sourire, je veux bien y amarrer mon bateau de croisière
