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À propos de sovenka
- Date de naissance 31/10/1982
Informations Personnelles
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Titre
Oiseau de nuit, pays Union européenne
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Sexe
Femme
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Lieu
Loin, dans la forêt profonde
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Intérêts
voyages, histoire, environnement, musique, animaux
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Une étude avance qu'en mangeant des fruits mûrs chargés en éthanol, les chimpanzés consomment à l'état sauvage l'équivalent de plusieurs verres d'alcool par jour ! En recueillant des fruits habituellement consommés par les chimpanzés et en mesurant leur taux en éthanol, une forme d'alcool produite par la fermentation de sucres, les chercheurs ont pu établir que nos plus proches cousins étaient quotidiennement exposés à cette substance via leur alimentation. Et pas qu'un peu. Selon leurs calculs basés sur la teneur mesurée et la quantité très importante de fruits ingérés par jour par ces primates, ils évaluent que leur consommation journalière se situe autour de 14 grammes d'éthanol. On peut dire que ça équivaut à une pinte de bière pour un humain, pesant bien plus lourd qu'un chimpanzé. Notre appétence pour l'alcool et notre capacité à le métaboliser pourrait-il être un héritage de nos ancêtres primates exposés à l'éthanol via leur régime frugivore ? À ce stade de la découverte, on ignore encore si les primates recherchent délibérément ou non les fruits en forte teneur d'éthanol, ou si la consommation quotidienne a créé une dépendance. SOURCE: https://www.tf1info.fr/sciences-et-innovation/l-equivalent-d-une-pinte-de-biere-par-jour-les-chimpanzes-consomment-de-l-alcool-dans-la-nature-et-ca-en-dit-long-sur-nos-habitudes-2395430.html
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Huit ans après avoir été poignardé lors d'une violente rixe, un Tanzanien a découvert qu’il vivait toujours avec la lame de couteau coincée dans sa poitrine. Les médecins l’ont retirée in extremis, évitant un risque mortel. L’objet traversait la cage thoracique de l’arrière vers l’avant, coincé entre la cinquième et la sixième côte, à quelques centimètres seulement du cœur et des poumons. Le scanner a également mis en évidence d’anciennes fractures consolidées au niveau de l’omoplate et de plusieurs côtes. Si l’homme n’a pas souffert pendant toutes ces années, c’est parce que son organisme avait encapsulé le couteau dans une capsule fibreuse, formée notamment de collagène. Cette réaction immunitaire, déjà observée dans d’autres cas cliniques, permet de limiter l’inflammation et les dégâts sur les tissus environnants en isolant le corps étranger. L’équipe médicale est parvenue à extraire l’objet avec précaution. Les médecins soulignent toutefois que le risque encouru était immense. SOURCE: https://www.ladepeche.fr/2025/09/19/depuis-8-ans-il-vivait-avec-une-lame-de-couteau-pres-du-coeur-il-decouvre-larme-blanche-lors-dun-examen-medical-12941310.php
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oui je connais respirelax, très pratique
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Un habitant de La Rochelle, amputé d'une jambe, qui a l'habitude de nager avec une prothèse de natation spéciale, a perdu son dispositif dans l'océan, samedi, aux Portes-en-Ré. Grâce à la mobilisation sur les réseaux sociaux et de promeneurs, elle a été retrouvée... un kilomètre plus loin. SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/insolite/la-prothese-de-jambe-perdue-dans-l-ocean-sur-l-ile-de-re-retrouvee-un-kilometre-plus-loin-4073360 C'est qu'une jambe, ça court pas les rues ! (Raymond Devos)
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Des montagnes magnifiques
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La magnificence des plantes grasses:
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Rêve bizarre sur Delphine Aussaguel, l'infirmière disparue
sovenka a posté un sujet dans Esotérisme & Paranormal
Bon, je suis un peu gênée de raconter ça mais, étant sujette à des flashs médiumniques et des rêves prémonitoires, je préfère le raconter. J'espère que les éternels moqueurs de la cartésianie ne vont pas débouler en force pour saccager le sujet qui me semble tout de même grave, surtout que le rêve n'était pas franchement gai, bien au contraire. Donc voilà: hier en parcourant des titres d'actus mon regard se pose sur une photo de Delphine Aussaguel, toujours pas retrouvée, et alors je vois son visage se creuser, sa peau devenir transparente, laissant apparaitre un crane, ce qui peut m'arriver quand je visionne la photo d'une personne décédée. Et je me demande: mais où peux-tu donc bien être toi qui était tellement aimée ? Puis il semblerait qu'elle m'ait répondu puisque elle m'est apparue en rêve dans cette période matinale qui précède mon réveil, et qui est celle des rêves importants, ceux qui sont prémonitoires, qu'il faut considérer comme des courriers de l'Au-delà, ce qui est bien arrangeant pour se souvenir en détail de tout avant d'ouvrir les yeux (c'est qu'on a tendance à oublier les rêves du sommeil profond, deux du milieu de la nuit). Tout d'abord elle apparait couchée entre un mur et d'autres corps de femmes mortes étendues sur de grosses pierres plates. De l'autre côté de ces corps, de l'eau, comme un rivage à marée descendante (faut-il y repérer le terme "marais"). Delphine se lève et ne sait comment passer outre le mur. Elle arrive à ouvrir une petite trappe devant elle, trop étroite pour la laisser passer. Elle parvient toutefois à contourner le mur, je n'ai pas eu le temps de voir comment, et de l'autre côté il y a un champ où elle se met à semer du fromage rapé (un champ semé de froment ?). Puis elle doit traverser une propriété avec de grands bâtiments où se fabrique je ne sais quoi, une entreprise agro-alimentaire apparemment. Les terrains mitoyens sont surveillés par trois vigiles au service d'une femme méchante qui est la patronne de cette entreprise. Delphine parvient à leur échapper en se réfugiant dans un bâtiment. Elle le traverse par l'intérieur, se retrouve dans une cuisine où le personnel s'affaire autour de deux grandes tables garnies des victuailles préparées par leurs soins. Delphine renverse les tables (faut-il y repérer le terme "étable" ?). Elle panique, se sent menacée, prend des couteaux et un ciseau dans un tiroir, ouvre la fenêtre pour s'échapper mais se rend compte de la hauteur. En bas il y a une pelouse, elle se laisse tomber malgré tout. Ensuite elle se relève, ne ressentant plus aucune douleur en dépit de sa chute, et reprend sa fuite vers la barrière qui clos ce lopin herbu. De l'autre côté de la barrière juste à cet endroit se trouve un arrêt d'autocar. Un peu plus loin les abords d'une petite commune, avec un petit supermarché. Deux gros chiens se battent violemment. Delphine appelle à l'aide mais personne ne l'entend, et d'après ce que j'ai compris elle m'a retracé un parcours en sens inverse. Je n'y comprends pas grand chose, peut-être que cela parlera à quelqu'un ? Par exemple quelqu'un qui connait le terroir de Cagnac-les-Mines ? Ne vous étonnez pas non plus si je désigne cette femme par son nom de jeune fille: je crois que tout le monde devrait le faire par respect pour elle, pour son calvaire. Pour finir, quand je vous dis que j'ai des dons de médium, ne ricanez pas: il m'est arrivé bien des expériences étranges, je suis coutumière des rêves prémonitoires, et même si je suis endormie comme une buche je vais me réveiller en sursaut pour surprendre le moindre cancrelas qui va s'immiscer dans mon domicile, ce qui n'est pas donné à tout le monde. Quand quelqu'un pense à moi ou parle de moi je le sais, même si cette personne est loin et que je ne peux l'entendre avec mes oreilles. Un tas de trucs comme ça.- 15 réponses
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Vos expériences paranormales
sovenka a répondu à un(e) sujet de Amaranthe007 dans Esotérisme & Paranormal
Je fais remonter cette expérience que j'avais déjà relatée dans cette rubrique: Tant que tu n'es pas un ongle, ça ne fait de mal à personne -
Revue de presse de la semaine (nouvelle formule)
sovenka a répondu à un(e) sujet de Pierre-de-Jade dans Insolites
C'est pas de bol pour ce musée ! -
LA PAZ, Bolivie Frappé par la foudre lors d'un violent orage il y a dix ans, un pin centenaire de La Paz, capitale bolivienne, prospère. Surnommé « l'arbre miracle », ce conifère géant attire aujourd'hui des fidèles de tout le pays dans le plus grand cimetière public de La Paz, fondé il y a deux siècles sur un terrain funéraire précolombien. Les pèlerins affluent dans les allées, portant des offrandes – pièces de monnaie, fleurs, friandises, déclarations manuscrites de vœux secrets – à déposer dans les fissures de l'écorce. Par un après-midi frais la semaine dernière, en pleine période électorale, les pèlerins se sont dirigés vers l'arbre miracle à travers les allées sinueuses du cimetière, qui compte plus de 200 000 tombes, dont beaucoup appartiennent à des soldats décorés et à des dignitaires. Alors que la Bolivie célèbre la fin de près de deux décennies de régime de gauche sous son premier président indigène, Evo Morales, et son successeur, même les drames électoraux et l'effondrement économique semblent éclipsés par d'autres préoccupations pour les fidèles de l'arbre miracle. « Les gens demandent de l'amour, du travail, la santé, des enfants, et même le retour de leur animal de compagnie perdu », explique Javier Cordero, qui dirige les prières funéraires au cimetière. « Si la personne vient avec une grande foi, l'arbre exaucera ses vœux. » Certains fidèles étaient jeunes, ayant récemment découvert l'histoire de l'arbre sur TikTok. D'autres étaient des habitués, des Boliviens plus âgés, convaincus depuis longtemps des pouvoirs sacrés de l'arbre, comme Ricardo Quispe, un prêtre de 79 ans, qui se réfugiait sous les branches protectrices de l'arbre lorsque la foudre a frappé cet après-midi d'orage il y a dix ans. Il affirme que l'éclair lui a également conféré des pouvoirs psychiques. Loin de pulvériser l'arbre, l'éclair a laissé une cicatrice sur son tronc qui suinte désormais de résine aromatique. L'arbre imposant du cimetière de La Paz semble aujourd'hui plus sain que jamais. Une étude examinant les bienfaits de la foudre sur certains arbres, publiée plus tôt cette année dans la revue New Phytologist, apporte des éléments scientifiques à la surprenante transformation de cet arbre. Mais bien avant ces études d'écologie forestière, les chamans aymaras de Bolivie croyaient que la foudre conférait des pouvoirs divins à leurs survivants, qu'il s'agisse d'êtres humains ou d'arbres. Ces rites abondent dans cette nation andine, où d'anciennes croyances préhispaniques sous-tendaient le catholicisme introduit par les colonisateurs espagnols. Les yatiris, spécialistes de la divination et des purifications énergétiques, envahissent les rues de La Paz et de la ville aymara voisine d'El Alto, proposant leurs services à tous ceux qui ont besoin de bénédictions, des femmes souhaitant tomber enceintes aux agriculteurs espérant des récoltes saines. Le mois d'août, période de transition entre l'hiver et le printemps dans le calendrier agricole régional, est une période particulièrement chargée pour les yatiris en Bolivie, seul pays d'Amérique latine à majorité autochtone. Au cours de ce mois, les Boliviens font des offrandes à la Pachamama (la Terre Mère), engageant souvent des chamans pour accomplir des rituels chez eux ou au bureau, ou effectuant des pèlerinages pour nourrir les divinités affamées de la terre et des montagnes dans des sites sacrés et des cimetières comme celui de La Paz. « Je connais des gens qui ont été guéris de maladies, ce sont des gens très pieux », dit Cordero en touchant le tronc de l'arbre miracle avec un fil de cuivre pour en révéler la charge énergétique particulière. Quelques instants plus tard, le fil se met à tourner en réponse. « La foudre transmet l'énergie vitale du cosmos », explique-t-il. La croyance aux pouvoirs de l'arbre incite de nombreux fidèles à revenir. Tania Arce, 60 ans, s'est approchée de l'arbre miracle, les bras chargés de chocolats et de fleurs alléchants, disant, en parlant de lui comme si il s'agissait de son fils: « Il aime les sucreries. Il a exaucé la faveur que je lui avais demandée, mais je n'ai pas arrêté de lui rendre visite. » SOURCE: https://apnews.com/article/bolivia-la-paz-miracle-tree-aymara-andean-pachamama-8d20aafb130358562fef6f41b3374e7b
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ACCRA, Ghana Un poisson rose géant, un paon coloré, un avion peint du drapeau national. Voici quelques exemples de cercueils fantaisie ghanéens, connus sous le nom d'Abebuo, qui signifie « proverbe ». Inhumation d'un propriétaire d'école Chaque pièce est conçue non seulement pour enterrer le défunt, mais aussi pour incarner l'essence de sa vie. Un agriculteur n'est pas enterré dans une voiture ; son cercueil peut prendre la forme des outils qu'il utilisait ou des cultures qu'il cultivait. Le motif lui-même devient une métaphore, une énigme en bois, un dernier message laissé derrière lui. Les cercueils fantaisie, bien que courants chez les Ga d'Accra, se généralisent, offrant une alternative colorée aux simples cercueils en bois. Lorsqu'une famille perd un être cher, elle se réunit pour décider comment lui rendre hommage. Elle visite un atelier de menuiserie, certains avec une vision claire, d'autres sollicitant les conseils des menuisiers pour créer un hommage approprié. Le choix appartient à chacun. On se souvient souvent d'un poissonnier à la forme du poisson qu'il vendait, jusqu'à son type exact. Les cercueils en forme de lion sont réservés aux chefs, l'animal étant un symbole de pouvoir. À Labadi, une banlieue d'Accra, les familles royales sont attachées à leur emblème, le coq, un motif réservé à leur lignée. Le droit à un cercueil particulier n'est jamais arbitraire ; il reflète l'identité, la profession et le statut. La fabrication de chaque cercueil prend environ deux semaines. Le coût, qui démarre autour de 700 dollars (un peu moins de 600 euros), varie selon le type de bois et la complexité du motif. Au Ghana, les funérailles sont des événements riches en émotions. On les considère comme une dernière occasion d'honorer le défunt, et on ne lésine pas sur les moyens pour organiser des cérémonies rythmées par la musique, la danse et des représentations saisissantes du patrimoine culturel. Mais si les familles perçoivent de tels cercueils comme des hommages, les collectionneurs les considèrent comme une œuvre d'art. Nicolas Ablorh Annan, fabricant de cercueils à Accra, explique que si la pratique d'enterrer ses proches dans des cercueils fantaisie a débuté chez les Ga, elle s'est répandue dans tout le Ghana. Pour sa famille, il s'agit simplement d'une activité commerciale. Son arrière-grand-père l'a lancée, explique-t-il, et ils continuent de la gérer comme une entreprise familiale, sans aucun lien avec les rituels. Certains cercueils ne contiennent jamais de corps, mais sont destinés à des musées étrangers. Annan indique que l'intérêt international est croissant, de nombreux clients étrangers commandant des cercueils principalement pour des expositions, en tant qu'œuvres d'art. Il travaille actuellement sur six cercueils qui seront expédiés à l'étranger la semaine suivante. Lors des funérailles, la présence d'un cercueil fantaisie transforme tout. Les personnes accablées par le chagrin sont captivées par le savoir-faire, les couleurs vives, les formes détaillées et l'imagination débordante. « Les gens oublient un instant ce qu'il y a à l'intérieur ; ils admirent le cercueil et l'atmosphère change », explique Eric Kpakpo Adotey, menuisier spécialisé dans les cercueils fantaisie. Le rire se mêle aux larmes, et la tristesse est adoucie par la créativité. Pour ceux qui restent, chaque cercueil est plus qu'un lieu de repos final. C'est une histoire gravée dans le bois, un proverbe à lire. SOURCE: https://apnews.com/article/ghana-fantasy-coffins-funerals-accra-tradition-01220db5b2e240a12ae8e4ba8820f993 Quelques photos SOURCE: https://apnews.com/photo-gallery/ghana-fantasy-coffins-photos-9e1169da6238feef5400ede6d88992d7
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FORT WAYNE, Indiana Lorsqu'Alex Babich, immigrant ukrainien, se tient dans son jardin de l'Indiana, le cou tendu pour regarder le ciel à 11 mètres, il ne contemple pas seulement un tournesol. Il contemple ses racines et son héritage futur. La fleur, surnommée « Trèfle », confirmée mercredi par le Livre Guinness des records comme le plus grand tournesol jamais mesuré, s'étend aussi haut qu'un poteau téléphonique. Réaliser cet exploit revêt une signification particulière pour Babich, 47 ans, car le tournesol est la fleur nationale de son pays natal. Né et élevé en Ukraine, il a immigré aux États-Unis à l'âge de 14 ans, en 1991, après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Il y a sept ans, il a commencé à cultiver des tournesols, symbole de son amour pour son pays natal. Le premier tournesol de Babich mesurait 4 mètres, puis 4,5 mètres, puis 5,8 mètres. Rapidement, il s'est demandé : « Jusqu'où pouvons-nous aller ? » Babich a expliqué que la fleur qui a battu tous les records était le fruit d'« essais et erreurs au fil des ans ». Le fils de Babich, âgé de 10 ans, a également apporté une contribution importante qui a valu à cette fleur imposante son nom. Il grimpait sur l'échafaudage et déposait des trèfles à quatre feuilles sur les feuilles du tournesol, pour lui porter chance. « Je mourrai un jour, mais l'histoire de cette fleur perdurera », a-t-il déclaré. « Mes enfants la raconteront à leurs petits-enfants. » Le jour de la mesure, le 3 septembre, Babich était nerveux. Environ 85 personnes s'étaient rassemblées pour regarder, dont plusieurs maîtres jardiniers d'une université locale et des représentants du service des poids et mesures du comté d'Allen. Babich était en conversation WhatsApp avec un représentant du Guinness World Records. Une équipe de tournage filmait et un drone survolait la scène. Même Icy D. Eagle, la mascotte de l'équipe de hockey sur glace de ligue mineure des Komets de Fort Wayne, était présente, selon Guinness. Ils ont utilisé une nacelle élévatrice de 12 mètres pour mesurer la fleur. Le trèfle mesurait 11 mètres et 22,9 centimètres, soit 1,5 mètre de plus que le précédent détenteur du record du monde en Allemagne. « C'est très émouvant », a déclaré Babich. « C'est le summum pour quelqu'un qui cultive des géants. » Grandir dans un contexte de pénurie alimentaire en Ukraine a éveillé la passion de Babich pour le jardinage. Son affection pour les tournesols s'est renforcée après l'invasion russe de l'Ukraine en 2022. « Nous prions pour que la guerre prenne fin, que les massacres cessent », a déclaré Babich. Le tournesol est depuis longtemps un symbole national de paix en Ukraine et, depuis 2022, il est devenu un symbole de solidarité avec ce pays en proie aux combats. Dans une vidéo virale des premiers jours de la guerre, une Ukrainienne interpellait un soldat russe, lui proposant finalement de « mettre des graines de tournesol dans sa poche pour qu'elles poussent après sa mort ». En 1996, des ministres des États-Unis, de la Russie et de l'Ukraine ont planté des tournesols sur la base de missiles de Pervomaïsk pour commémorer le désarmement nucléaire du pays. En 1986, après l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl qui a contraint la famille de Babich à s'installer aux États-Unis, des scientifiques ont planté des tournesols pour éliminer les toxines du sol. Le tournesol de Babich sera bientôt la vedette d'un documentaire intitulé « Bloom », dont la sortie est prévue cet été. Entre-temps, Babich a commencé à planter des tournesols autour des campings qu'il visitait avec sa famille et à distribuer des sachets de graines aux enfants lors des festivals. Sur les sachets de graines sont collés des autocollants avec la mention « Spread the love – sunflower seeds ». SOURCE: https://apnews.com/article/sunflower-ukraine-indiana-backyard-guinness-world-record-a31f44168431c3ba5d7886d7e994f1c4
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