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sovenka

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À propos de sovenka

  • Date de naissance 31/10/1982

Informations Personnelles

  • Titre
    Oiseau de nuit, pays Union européenne
  • Sexe
    Femme
  • Lieu
    Loin, dans la forêt profonde
  • Intérêts
    voyages, histoire, environnement, musique, animaux

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  1. J'ai regardé plusieurs fois la série documentaire "sur les traces de Tolkien", les œuvres de cet artiste me font rêver. Interview de John Howe. Un homme talentueux et très cultivé.
  2. Suze Lopez tient son petit garçon sur ses genoux et s'émerveille de la façon extraordinaire dont il est venu au monde. Avant sa naissance, le petit Ryu s'est développé hors de l'utérus, caché par un kyste ovarien de la taille d'un ballon de basket – une situation dangereuse et si rare que ses médecins envisagent de publier un article à ce sujet dans une revue médicale. Seule une grossesse sur 30 000 se déroule dans l'abdomen plutôt que dans l'utérus, et celles qui arrivent à terme « sont quasiment inouïes – bien moins d'une sur un million », explique le Dr John Ozimek, directeur médical du service d'obstétrique du Cedars-Sinai de Los Angeles, où Ryu est né. « C'est tout simplement incroyable.» Suze Lopez, une infirmière de 41 ans qui vit à Bakersfield, en Californie, ignorait qu'elle était enceinte de son deuxième enfant jusqu'à quelques jours avant d'accoucher. Lorsque son ventre a commencé à grossir en début d'année, elle a cru que c'était son kyste ovarien qui grossissait. Les médecins surveillaient cette masse depuis ses vingt ans, la laissant en place après l'ablation de son ovaire droit et d'un autre kyste. Elle n'a ressenti aucun des symptômes habituels de la grossesse, comme les nausées matinales, et n'a jamais senti le bébé bouger. Elle ne s'inquiétait pas non plus de son absence de règles, son cycle étant irrégulier de toute façon: il lui arrivait de ne pas les avoir pendant des années. Pendant des mois, elle et son mari, Andrew Lopez, ont continué à vivre normalement et ont voyagé à l'étranger. Mais peu à peu, la douleur et la pression dans son abdomen se sont aggravées, et elle a compris qu'il était temps de se faire opérer du kyste de 10 kilos. Elle avait besoin d'un scanner, qui nécessitait au préalable un test de grossesse en raison de l'exposition aux radiations. À sa grande surprise, le test s'est révélé positif. Les examens ont révélé que son utérus était vide, mais qu'un fœtus presque à terme, contenu dans une poche des eaux, se cachait dans un petit espace de son abdomen, près de son foie. La mortalité fœtale peut atteindre 90 % dans ces cas et des malformations congénitales sont observées chez environ un bébé survivant sur cinq. Mais Suze et son fils ont déjoué tous les pronostics. Le 18 août, une équipe médicale a accouché un bébé de 3,6 kg, sous anesthésie générale. Au cours de la même intervention, le kyste a été retiré. Le petit a perdu presque tout son sang, a expliqué le Dr Ozimek, mais l'équipe a réussi à stopper l'hémorragie et lui a administré des transfusions. Les médecins tenaient le papa constamment informé de la situation. « Pendant tout ce temps, j'avais peut-être l'air calme, mais intérieurement, je ne faisais que prier », a confié Andrew Lopez. « J'étais terrifié à l'idée de perdre ma femme ou mon enfant à tout moment. » Finalement, ils se sont tous deux bien rétablis. Depuis, Ryu – prénommé d'après un joueur de baseball et un personnage de la série de jeux vidéo Street Fighter – est en pleine forme. Ses parents adorent le voir jouer avec sa sœur Kaila, âgée de 18 ans, et disent qu'il complète leur famille. À l'approche du premier Noël de Ryu, Lopez se dit comblée de bonheur. « Je crois aux miracles », dit-elle en contemplant son bébé. « Dieu nous a fait ce cadeau, le plus beau cadeau qui soit. » SOURCE: https://apnews.com/article/ectopic-pregnancy-healthy-baby-born-ovarian-cyst-f0232c1d9a3eb7a819345c17b10e9b83
  3. LA PAZ, Bolivie Avant de partir à l'assaut de la vaste montagne blanche, Ana Lia González Maguiña a vérifié son équipement : un gros pull pour se protéger du froid ; un harnais et une corde d'escalade pour gravir le sommet de 6 000 mètres de l'une des plus hautes montagnes de Bolivie ; des lunettes d'aviateur pour se protéger du soleil éclatant des hauts plateaux ; et surtout, une jupe ample rose fuchsia. La jupe cloche à jupons superposés — appelée « pollera » (prononcé po-YEH-rah) — est le vêtement traditionnel des femmes indigènes des hauts plateaux boliviens. Imposée il y a des siècles par les colonisateurs espagnols, la pollera, autrefois démodée, a depuis longtemps été revisitée avec des tissus locaux aux motifs riches et est redevenue une source de fierté et un symbole d'identité dans le seul pays de la région à majorité indigène. Plutôt que de considérer la jupe encombrante comme un obstacle au travail physiquement exigeant dans les domaines dominés par les hommes, les femmes indigènes andines, appelées « cholitas », insistent sur le fait que leur refus de se conformer à la mode contemporaine n'affecte en rien leur confort ni leurs capacités. « Notre sport est exigeant, il est extrêmement difficile. Le pratiquer en pollera, c'est affirmer cette force, c'est valoriser nos racines », explique González Maguiña, 40 ans, alpiniste professionnelle, devant le sommet enneigé du Huayna Potosi, au nord de La Paz, la capitale administrative de la Bolivie. « Ce n'est pas pour frimer. » Partout en Bolivie, des mineuses, patineuses, grimpeuses, footballeuses et lutteuses vêtues de polleras ont partagé ce sentiment lors d'entretiens, décrivant leur adoption de cette jupe pour toutes leurs activités professionnelles et sportives comme un acte d'émancipation. « Nous, les femmes en polleras, voulons aller de l'avant », déclare Macaria Alejandro, une mineuse de 48 ans de l'État d'Oruro, dans l'ouest de la Bolivie, sa pollera maculée de terre et de poussière après une journée de labeur sous terre. « Je travaille comme ça et je porte ça pour mes enfants. » Mais beaucoup ont également décrit la période actuelle comme une période d'incertitude pour les femmes portant la pollera en Bolivie, sous le premier gouvernement conservateur du pays depuis près de deux décennies qui a mis fin à une longue période de gouvernance marquée par le charismatique Evo Morales (2006-2019), premier président indigène de Bolivie. Ce dernier avait fait des populations indigènes et rurales une priorité dans un pays dirigé pendant des siècles par une élite majoritairement blanche. Par le biais d'une nouvelle constitution, Morales a transformé la République de Bolivie en État plurinational de Bolivie et a adopté la wiphala, symbole indigène – un damier aux couleurs vives – comme emblème national. Pour la première fois, des ministres et des fonctionnaires vêtus de la pollera ont foulé les couloirs du pouvoir. SOURCE: https://apnews.com/article/bolivia-pollera-skirt-indigenous-women-bb3df64d9dd9b9782dda19f3320e6b4d
  4. Et les fourches patibulaires qui se voyaient de loin, pour mettre en garde de céder à la tentation de désobéissance...
  5. Il faut imaginer la scène. Nous sommes à la moitié du XVIe siècle, vers 1550. La dorsale minérale du mont Rachais n'est pas encore lézardée par les fortifications militaires de la Bastille, seule la maison forte du Rabot dresse sa silhouette austère. La vallée où circulent aujourd'hui d'incessants flux de véhicules est alors le domaine du cours sinueux de l'Isère, qui s'étale et forme des îles, dans un vaste marécage de terrains sablonneux recouverts d'arbustes. Seules quelques bâtisses peuplent les coteaux. Bateliers et marcheurs arrivent à Grenoble depuis le Voironnais. Et là, alors que le dessin des fortifications de la ville se précise, le cœur du marécage est envahi d'une odeur putride. Huit poteaux hauts de cinq mètres dépassent d'un petit édifice en pierre. Des poutres les relient entre eux et des corps, plus ou moins décomposés, y sont pendus. C'est le gibet du port des roches, où sont exposés les cadavres des "criminels" exécutés dans l'enceinte de la cité. Cette structure de pierre constitue les fondations du gibet Sur la base de l'observation de ces corps traités sans les égards habituellement dus aux morts, les archéologues font plusieurs hypothèses. "Parfois, un individu sur le ventre, un autre sur le dos, ça peut être un problème de place. Mais avec les membres écartés, sans cercueil, sans mobilier, sans contenant du corps… C'est trop. Ça aurait pu être une épidémie ou une bataille, mais c’est vraiment grâce aux archives que ces chercheurs ont identifié le gibet. Plan de la charpente daté de 1546 C’est un gibet qui comportait huit piliers, avec une dimension extrêmement symbolique et c’était le maximum que l’on pouvait voir dans la région. Les seigneurs pouvaient avoir deux à six piliers, là, on est sur une démonstration de puissance. Il s’agit de dissuader les habitants de commettre un crime de lèse-majesté en choisissant la mauvaise religion. Le contexte est en effet celui de sanglantes guerres de religion entre catholiques et protestants, qui culminera près de trente ans plus tard avec le massacre de la Saint-Barthélemy en août 1572. D'après les recherches effectuées, certains des corps exposés sur ce gibet seraient donc ceux de protestants, exécutés sur la place aux Herbes, la plus vaste de Grenoble à l'époque, centre névralgique du pouvoir économique et politique de la ville qui ne compte alors qu'environ 6 000 habitants. En plus de frapper les esprits des voyageurs, ces gibets installés dans les marécages pourraient correspondre à d'autres codes sociaux. Les bourreaux étaient craints par la population, ils étaient donc contraints de vivre sur des îles marécageuses, loin de la ville. Laisser les dépouilles dans ce lieu lugubre constituait en soi une punition : la "male mort". Inhumer ainsi un supplicié était une manière de prolonger dans la mort la peine prononcée de son vivant : les individus retrouvés lors des fouilles ont donc délibérément été privés de sépulture. Sans honneur, sans sépulture, ces condamnés sont voués au mépris puis à l'oubli. Difficile de savoir combien de temps leurs corps restaient exposés pendus au gibet. Le gibet de Montfaucon, sur la Butte Chaumont à Paris, vers 1460, était le plus gros connu en France. SOURCE: https://france3-regions.franceinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/les-corps-des-condamnes-etaient-exposes-puis-enterres-sur-place-ces-ossements-retrouves-lors-de-travaux-livrent-leurs-terribles-secrets-3269816.html
  6. Depuis son fauteuil dans le petit village de Tripioux (Puy-de-Dôme), Guy enseigne le patois auvergnat à sa petite-fille Estelle. Et à des milliers d'internautes au passage, grâce à TikTok. Pour Guy Morel, le patois n'est pas qu'une langue. C'est une part de lui-même, ancrée depuis l'enfance. "Dès l'âge de 4 ans, mes parents me parlaient patois. Avec les amis, dans la cour de récré, tout le village parlait l'auvergnat", raconte-t-il, les yeux pétillants. L'instituteur avait beau sortir la règle pour taper sur les doigts des récalcitrants qui osaient parler patois, rien n'y faisait. "Moi ça me faisait rire de parler l'auvergnat", rit Guy. Mais le patois, c'est aussi et surtout un lien avec son père, fusillé pendant la guerre quelques mois après sa naissance. Pupille de la nation, Guy n'a jamais connu cet homme. Le patois transmis par son grand-père et son voisin reste la seule trace de cette figure paternelle absente. "Je tiens au patois comme à la prunelle de mes yeux", confie-t-il, ému. “L’auvernhat” a laissé de beaux souvenirs à Guy. Celui de l'aumônier du 92e régiment, originaire de Viscomtat, qui se mit soudain à parler le patois de Tripioux. "Je lui ai répondu en patois. J'ai dit : 'C'est des trinqua ou des lochebel ?' (Des noms patois de lieux typiques de Tripioux ) Et il a éclaté de rire", se souvient Guy en souriant. “Après cet échange, on ne m’a plus embêté”. Ou encore cette fois, à Paris, où le patron d'un bar lui répondit en patois. "Il était du Cantal et il avait compris. C'est un plaisir de trouver des gens qui parlent patois." Guy allait même jusqu'à parler auvergnat à ses vaches. "Et elles me comprenaient !". SOURCE: https://france3-regions.franceinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/puy-de-dome/quand-je-parlais-l-auvergnat-les-gens-me-regardaient-comme-un-plouc-a-85-ans-ce-papi-devient-prof-de-patois-sur-tiktok-3267089.html
  7. C'est vrai que la tournure est maladroite, les journaux devraient le titrer autrement. A une certaine époque, cette reprise par des Américains aurait suscité la curiosité d'espions qui venaient du froid. Et ça fait froid dans le dos ! Cela dit, à propos du texte: bravo pour cet excellent cru de l'année ! Et d'excellentes fêtes de fin d'année aussi Clin d'œil à sa devise ? ("mentons !")
  8. sovenka

    Un futur ingénieur !

    Ajuste tes zooms: il y a un fil à linge pour tenir les crochets des cintres
  9. Dans une grotte située entre l’Albanie et la Grèce, des scientifiques ont fait une découverte spectaculaire : une toile de 106 mètres carrés tissée par près de 111 000 araignées. Dans la « Sulfur Cave », des spéléologues examinent les multiples nappes de toiles superposées qui tapissent les parois de la cavité et abritent des dizaines de milliers d’araignées. Les toiles forment un voilage percé de multiples entonnoirs, chaque ouverture étant l’abri d’une araignée. C'est plus tenace que le kevlar, plus résistant que l'acier. SOURCE: https://www.nationalgeographic.fr/animaux/extraordinaire-decouverte-une-toile-geante-tissee-par-plus-de-100-000-araignees-grotte-albanie-grece Des vidéos:
  10. Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) se sont concentrés sur un projet révolutionnaire de l'ingénieur de l'époque. Plus de 500 ans plus tard, ils ont prouvé qu'une construction dont il avait dessiné les plans était tout à fait viable. En 1502, Léonard de Vinci avait répondu à un appel d'offres du sultan Bayezid II de l'Empire ottoman et avait ainsi remporté un contrat pour la construction d'un pont reliant Constantinople à Galata, des communes voisines. Le sultan s'était finalement ravisé. Le projet de Léonard de Vinci était pourtant très novateur : l'édifice devait mesurer 280 mètres de long et être en forme d'arche aplatie. La plupart des ponts étaient au XVIe siècle avec des arches semi-circulaires qui nécessitaient des piliers en soutien. Il aurait ainsi été le plus long du monde à l'époque et il devait permettre de laisser passer en dessous un voilier avec son mât. Pour résister aux éléments et assurer la sécurité des habitants, Léonard de Vinci voulait ajouter des murs en aile ou culées évasées sur les côtés du pont pour le stabiliser. Niveau matériaux, l'équipe du MIT a supposé que Léonard de Vinci aurait opté pour la pierre, qui est plus résistante. Le pont tiendrait ensuite sous l'effet de la gravité, sans ancrage, tout étant maintenu par compression grâce à la "puissance de la géométrie". Des tests ont même démontré que ce pont aurait pu faire face à des séismes. Les ingénieurs ont simulé de tels mouvements avec deux plateformes mobiles qu'ils ont progressivement éloignées l'une de l'autre. Le pont a bien résisté. SOURCE: https://www.linternaute.com/actualite/magazine/9416887-article/
  11. Mes activités de groupe sont les jeux de société, les loisirs créatifs, certaines sorties ou excursions plusieurs fois dans l'année. Les marches en famille aussi. Par le passé cela a été la gym et plus tard les arts martiaux, je préférais le penchak silat, dommage les cours on pris fin, du coup j'ai quitté le club.
  12. Ce n'est pas le nutriscore qu'il faut regarder, c'est la composition, les ingrédients quoi, et le tableau (ou repère) nutritionnel qui nous renseigne sur les calories, les graisses, les sucres, les protéines, les vitamines, tout ça tout ça. Si ces listes étaient interdites sur l'étiquette là, oui ce serait grave.
  13. WELLINGTON, Nouvelle-Zélande La police néo-zélandaise a pu récupérer un pendentif Fabergé inspiré de James Bond, après six jours de surveillance étroite d'un homme accusé d'avoir avalé le bijou dans une bijouterie d'Auckland. Le site web de la boutique indique que l'objet, un œuf, l'un des 50 exemplaires produits, est en or, peint à l'émail vert et incrusté de 183 diamants et de deux saphirs. Il mesure 8,4 centimètres de haut et repose sur un socle. Il s'ouvre pour révéler une pieuvre en or jaune 18 carats nichée à l'intérieur, ornée de ventouses en diamants blancs et d'yeux en diamants noirs. Cette pieuvre surprise rend hommage à l'antagoniste éponyme du film "Octopussy". Un œuf fraichement pondu Ce n'est que jeudi soir que cette merveille a enfin été expulsée naturellement du système digestif du suspect, sans intervention médicale. Et avec l'étiquette de son prix intacte, indiquant sa valeur de 33 000 dollars néo-zélandais (16344,4 euros). Ce pendentif en forme d'œuf Fabergé, en édition limitée, s'inspire du film de James Bond de 1983, « Octopussy », dans lequel une opération de contrebande de bijoux implique un faux œuf Fabergé. L'homme de 32 ans a été arrêté le 28 novembre à l'intérieur de la bijouterie Partridge Jewelers à Auckland, peu après le vol présumé. Il a comparu le lendemain devant le tribunal le lendemain mais n'a pas plaidé coupable à l'accusation de vol. Après quoi il a été maintenu en garde à vue dans l'attente de nouveaux éléments de preuve, qui ont fini par se manifester au grand soulagement de tous, y compris de l'avaleur de joyaux d'une certaine façon, sans doute. SOURCE: https://apnews.com/article/faberge-pendant-octopussy-new-zealand-james-bond-8baf32dc38a3360b145f678261ffde50
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