Classement

Mes parents ne m’ont jamais parlés de la sorte et je n’ai jamais employé ces mots là envers mes enfants. Que l’on soit petit ou grand, l’essentiel est de faire comprendre la situation à celui ou celle qui reçoit le message. Si la situation est dangereuse il faut expliquer à l’enfant les conséquences éventuelles de ses actes, comprendre c’est déjà commencer à obéir.

Oui à certains moments, il faut savoir dire "non !" à un enfant; quand on lui oppose un refus, il faut lui en expliquer la raison afin qu'il comprenne que ce n'est pas l'embêter mais qu'on a une bonne raison.

Sur ces emplacements réservés souvent occupés abusivement !

après quelques vérifications, il semble que le cas est beaucoup plus compliqué que ce qui mentionné en version libre : La santé de Marjolaine était affaiblie par une malformation de la moelle épinière. Elle n'a pu se déplacer sans aide qu'à partir de 16 ans mais utilisait un déambulateur après avoir attrapé le covid. Elle a été hospitalisée pour de fortes douleurs au ventre, ce qui lui était déjà arrivée il y a quelques années. Elle avait alors appelé sa famille 2 jours plus tard pour les informer et leur dire que tout allait bien. Dans la cas présent, deux sources : l'hôpital dit avoir essayé de prévenir la famille // la patiente a demandé à ce que la famille ne soit pas prévenue pour ne pas les inquiéter. Les parents n'ont jamais été contacté par téléphone. La patiente avait sur elle un papier demandant aucun acharnement thérapeutique. Tous ses papiers d'identité enregistrés à son arrivée ont disparu. Le corps a été gardé 5 semaines à la morgue avant crémation et placer dans le "terrain commun". Les agents du cimetière ont essayé de contacter la famille via les réseaux sociaux. Or, les parents, âgés de + ou - 80 ans, ne les fréquentent pas (une sœur infirmière, non contactée). Et pour rappel, tous les papiers de la défunte ont disparu, encore à l'adresse de ses parents et toujours avec leur médecin comme référent. La mort remonte au 6 mars (hospitalisation le 25 février) Voilà pour certaines précisions, notamment les frais d'obsèques. Mais cela n'explique pas le manque totale de communication entre le mois de février, au plus tard, et la macabre découverte, le 12 juin....

Ça me rappelle mon enfance, avec ses "les enfants ne parlent pas à table", "quand une grande personne parle, les enfants se taisent"... Il y avait aussi le martinet...

bonjour, sauf que les enfants, parce qu'ils sont des enfants cherchent systématiquement à enfreindre ces limites ! s'ils ne le faisaient pas ... ce ne seraient plus des enfants qui testent de nouvelles choses et qui apprennent . et malheureusement, par moment , il faut imposer , imposer quand l'enfant, par sa méconnaissance ( ou volontairement ) préfère ignorer ce qui lui est demander . il ne faut pas "hurler" tout le temps mais quelques fois , le laisser-faire n’est pas la solution car l'enfant n'a pas toutes les données lui permettant de faire un choix en connaissance de cause . je prendrai un petit exemple : notre dernière petite fille qui fait tourner constamment sa mère en bourrique et notamment lors du coucher alors que chez nous, c'est simple . C’est 20h30 ( réellement 21h avec le changement, la toilette, le passage au WC et l'histoire que l'on lit ( ou qu'elle lit maintenant ) et cela ne souffre d'aucune discussion ( elle n'essaie même pas ) et le lever c'est minimum 8h ( généralement plus près de 9h le mercredi ) ... ce qui prouve qu'elle a encore besoin (elle a 7ans 1/2 ) de sommeil alors que chez elle , elle est rarement au lit avant 22h ( voir plus ) et le matin , elle se lève quand sa mère part au travail ( elle commence tôt son travail d'infirmière au CHR et en plus maintenant elle est en 12h du fait du manque d'effectif donc un début de journée à 7 h ) . Sa mère a beau râler , elle n'écoute rien et ne veut pas se coucher même si elle tombe de sommeil et c'est donc bien souvent des cris car à ce moment là, elle est "infernale ". ici c'est au lit un point c'est tout et elle n'essaie même pas de faire la maligne car elle sait que "l'ordre" est impératif ! alors oui, il ne faut pas imposer tout et tout le temps mais ...il y a pas mal de moments où c'est nécessaire ne serait-ce que pour le "bien" de l'enfant ( une gamine de 7 ans qui ne dort pas assez ... c'est difficilement gérable, même en lui expliquant les choses ) ! il faut bien sûr les écouter mais au final, j'estime que ce sont les parents qui doivent avoir le dernier mot tout en étant assez ouvert pour comprendre leurs besoins et demandes . mais c’est vrai que je, nous, sommes des vieux c*** ! c'est comme ça que nous avons élevé nos enfants ( avec quelques interdictions et obligations ) et au final , ils n'ont pas si "mal tourné " ( et semblent équilibrés ) ! je dirai même que notre fils est , vis à vis de ses enfants ... plus sévère que nous l'avons été ( un comble car quelques fois, nous trouvons que c'est trop mais , ce sont ses enfants donc , pas question d'intervenir ) ! bonne journée. P.-S : quand nous sommes chez notre fille ... la petite piquesse refuse de monter se coucher , tout en nous regardant pour voir notre réaction !

C'est curieux ça comme conseil, n'ai-je pas commencé à leur parler que déjà sont-ils saoulés ...

et nous soulignons ici que l'art de répondre pour ne rien dire c’est vraiment tout un art...! ► c'est un exercice et une discipline journalière à laquelle il ne faut pas se dérober, face à certains commentaires sur les réseaux sociaux, et surtout face aux micros de nos médias de service ! ► car il ne faut pas souiller nos prétentions par des idées trop claires et compréhensibles par la populace... ▬ (Professeur Hippolyte Hartclupp (Mes vagabondages sur les réseaux sociaux) ▬

Bonjour, vous avez raison, je trouve également ça dommage. Sans parler de s'exprimer en poésie, sur ce forum, les intervenants trop souvent, au prétexte d'utiliser un support pour illustrer leur post, se contentent d’aller chercher des articles, ou parfois même juste une photo. Parfois, je vois en guise de réponse : une simple image, je m'attends à lire quelques mots sous l’image et non...rien. c’est très étonnant et l'autre jour, je me suis dit : " Pourquoi il répond , il n’a rien à dire. " Ou encore l'autre fois où on m’a fait remarqué que je n'utilisais pas la fonction " cité " pour répondre. Effectivement, je ne le fais pas car c’est sûr, c’est plus rapide mais moi, le fait de réécrire entre guillemets les mots des autres me permet de m'imprégner de leur parole pour y répondre au plus juste. Nous avons bien le temps de nous parler non? Juste le temps de scroller. Voyez ..je vous ai répondu, j’ai pris le temps et à présent, je suis en retard pour aller bosser.

Tu as réellement 140 ans? Alors prepare toi à une mauvaise nouvelle si tu fais des recherches sur ta mére! ('dècés-en-france.fr' à partir de 1970)

Ce que je trouve absolument de sidérant ici, c’est l’absence totale de communication entre les membres d’une même famille. Un SMS, un mail, un simple coup de téléphone, il n'y a rien de plus simple à faire. Compté sur l’état et les services sociaux pour se faire prévenir de la mort de sa propre fille est assurément une croyance abusive de fonctionnaire qui s’imagine que l’état peut tout et doit tout !

Bonjour Marine Toutes mes condoléances. Hélas ces choses là font partie de la vie. Il faut profiter de ta propre existence et te dire que l'amour qu'ils t'on donner est leur cadeau avant de partir. La maladie fait partie de la vieJe suis vraiment désolé·e d’apprendre tout ce que traverse ta famille. C’est énormément de douleurs et de stress à gérer en même temps — un cancer, des problèmes de santé importants chez plusieurs proches, et un suicide… C’est normal que cela te bouleverse et que tu te sente dépassé·e.

Je suis très dubitative sur ce sujet de lieux non mixtes. D'un côté, bien sûr que je le comprends. D'un autre , cela a déjà été dit ici, j'ai comme un amer arrière gout d'apartheid volontaire. Et, oui, le comportement de certains hommes en est la cause. Ce qui serait bien c'est que ce ne soit dû qu'à l'envie et le plaisir et non pas à la peur, la prévention, la sécurité... Je crains aussi un effet contre productif, pervers: pour les moyens de transport, par exemple, si une femme préfère aller dans un wagon ou une rame mixte, ne risque t'elle pas de passer pour une provocatrice, une "qui cherche" ? "et pourquoi elle est là, celle là ? S'il lui arrive qq chose, elle l'aura bien cherché. Ouais, c'est sûr" ( paroles d'agresseur potentiel) D'une bonne idée sécuritaire risque d'en découler une obligation. Bref, je trouve que c 'est un grand pas en arrière dans l'avancée de la lutte d'égalité des femmes. Mais quoi faire contre l'archaïsme phallocrate ?

Je dois dire que j'ai hésité ! Et tout l'épisode du savon... Et puis : "allez, j'y vais !" Je dis tout ! Pas faux ! Mais j'ai aussi Précisé : "spatio-temporel"

De l'éducation donnée par les parents à la considération politique, les jeunes peuvent voir leurs émotions et opinions dénigrées. Il s'agirait là d'infantisme, soit l'ensemble des préjugés systématiques et des stéréotypes qui touchent les enfants et les adolescents. [...] Il ne s’agit pas de nier l’asymétrie adulte-enfant, mais de questionner la façon dont elle s’exerce, comme l'explique Wilfried Lignier, dans Zoom Zoom Zen : "Quand on creuse la définition de ce qu'est un enfant, on se retrouve assez vite avec le problème logique que ça implique des formes de domination, parce qu'il y a incomplétude." [...] notre culture éducative française repose souvent sur "l’obéissance aveugle et la soumission immédiate" des enfants. Pour elle, on humilie, on crie de façon systématique, même dans des moments qui devraient bien se passer. Elle donne un exemple : "On est en train de jouer avec un enfant dans un parc, tout va bien. L'enfant fait quelque chose qu'on ne souhaite pas qu'il fasse. On entend des adultes en France hurler immédiatement sur l'enfant en disant : 'Tu arrêtes tout de suite. Quand je parle, tu te tais et tu obéis'. On ne parle pas d'un enfant qui fait quelque chose de dangereux." [...] il faut éduquer et poser des limites aux enfants : "Bien sûr qu'il y a des choses qu'on peut faire, des choses qu'on ne peut pas faire, pour sa propre sécurité, pour celle des autres, ou tout simplement parce que sinon ce serait irrespectueux par rapport aux autres. Évidemment que faire grandir un enfant, c'est l'aider à vivre en société avec les autres, que ça se passe bien." l'adulte est en position de pouvoir face aux enfants, en toutes circonstances. Mais pour elle, il s'agit de s'interroger : "Qu'est-ce qu'on fait de ce pouvoir ? Eh bien en France ce pouvoir, on va nous inviter à l'utiliser pour une coercition [...] l’infantisme ne reviendrait pas à nier la nécessité d’éduquer, mais à repenser les formes de respect, de parole et de pouvoir entre générations. Comme le dit Laélia Benoit, "les enfants ont besoin d’être protégés, mais ce n’est pas une raison pour abuser collectivement de ce pouvoir." Article complet : https://www.radiofrance.fr/franceinter/quand-je-parle-tu-te-tais-et-tu-obeis-qu-est-ce-que-l-infantisme-2285205

Mon grand-père était aussi dans la marine à Toulon. Par contre, il n'en parlait pas. Même lorsqu'au lycée, je l'interrogeais pour faire le parallèle entre ce que nous apprenions et son expérience. Je ne connais que quelques anecdotes, notamment sa déclaration pour mort lorsque son bateau a coulé après torpillage. Coup de bol, il était resté à terre pour aider un copain qui s'était fait une entorse au moment de monter à bord. En apprenant la nouvelle, ma grand mère, qui venait d'apprendre qu'elle était enceinte, se fit avorter sur la demande de sa mère : veuve avec 2 enfants en bas-âge, pas question ! Pour revenir à mon grand père, je sais qu'il est resté dans la marine après que la flotte se soit sabordée. Certainement dans la marine française libre. Quant à mon autre grand père, plus âgé, il était résistant à Limoges. Il fit parti de ceux qui ont découvert Oradour. Il n'a jamais voulu y retourner ! Mon père est né en 1941. Ma grand mère dû le nourrir au sein le plus longtemps possible. Par conséquent, il lui manqua les bases alimentaires. Il eut une très mauvaise dentition et il finit par se les faire toutes arracher. Le fait que mes grands-parents n'aient jamais voulu parler de cette période m'a toujours fait interroger sur la chronologie familiale : ma grand-mère maternelle, corrézienne a passé une partie de la guerre à Brive (où a eu lieu l'avortement clandestin) mais elle a rencontré mon grand-père paternelle à Toulon. Or que faisait mon grand-père paternel à Toulon, alors qu'il était résistant sur Limoges ? Ma grand-mère paternelle était en Charente (où est né mon père) mais j'ai des photos où elle pose avec ma grand-mère maternelle à Toulon ! Malheureusement, ils sont tous morts, emportant une partie de l'histoire familiale avec eux !

Les racistes ne sont pas toujours là où l'on peut le croire! Et ce sont ceux qui accusent les autres de leurs tares qui en sont les plus représentatifs!

Je perçois la dichotomie des arguments de votre intervention discursive, cher Badkarma, à qui je décerne mes salutations vespérales, mais je dois pourtant mettre en exergue que parfois des productions pourtant simplistes survivent à l'oubli telles les oeuvres d'Homère, de Virgile ou de Sappho: citons pour l'exemple ce poème mémorable transmis de génération en génération à des écoliers du primaire: une fourmi de dix-huit mètres Avec un chapeau sur la tête ça n'existe pas ça n'existe pas....

En l'absence d'une taille de sa police de caractère plus conséquente l'on se fendra d'un plus modeste jugement sous forme de miroir, aussi ''CE N'EST PAS PARCE QU'ILS CROIENT AVOIR RAISON QU'INÉLUCTABLEMENT SA PERSONNE A TORT !!'' (parole de BK lors de sa quotidienne bataille sur les RS)

L'école et l'entreprise/administration sont des cadres totalement différents. Un ado en échec scolaire peut très bien briller en entreprise/administration et inversement, un ado qui a réussi sa scolarité avec brio peut très bien se planter en entreprise/administration.

J'ai l'impression d'un certain vécu que je n'ai pas si ce n'est mes échanges avec mon vieux père appelé en Algérie avec ses 92 printemps Après..., ça me rappelle ce que disait Clémenceau à propos de la première guerre, la guerre est trop sérieuse pour être confiée à des militaires On a eu une sacrée évolution depuis pour en arriver à la paix était trop précieuse pour être confiée à des politiques On arrête pas le progrès

Un jour, j'accompagnais deux personnes non-voyantes faire des courses dans un super marché. Ils portent tous les deux des lunettes de soleil et ont chacun une canne blanche. Moi, je porte une blouse d’accompagnante. Arrivés à la caisse prioritaire, j'ai demandé à une personne si elle était prioritaire pour passer à cette caisse et si dans le cas contraire elle pouvait nous laisser passer. La dame me toise, regarde les deux personnes , lève les yeux sur le panneau et me dit texto " Non, et vous ? Vous êtes prioritaire ? " C'est un sketche à lire, mais croyez- moi, les incivilités, nous en vivons trop souvent pour que ça ne nous amuse plus.

C'est quand même " étrange " qu'après un énième clash entre le Pakistan et l'Inde, celle-ci commande immédiatement des Rafale supplémentaires.

Le temps du repas est un moment où l'on se retrouve tous à table, adultes et enfants et chacun devrait pouvoir s'exprimer mais il n'est pas acceptable (comme cela se produit souvent lorsque les enfants sont plusieurs), que l'on n'entende plus qu'eux et que les adultes ne s'entendent plus parler; l'éducation doit s'exercer en de tels moments. Notre famille est grande et nous avons pour habitude de faire deux grandes tables: une pour les adultes, une pour les enfants et tout se passe très bien... dans un joyeux brouhaha, je le reconnais ! Je me souviens que je disais à mes enfants, lorsque le chahut devenait trop pénible au moment du repas: "ne parlez que si vous avez quelque chose d'intéressant à dire !" Le moment du repas doit être un temps calme, où chacun peut s'exprimer librement certes mais calmement. Paraît que c'est traumatisant pour l'enfant, d'aller se calmer dans sa chambre ! Eh bien pour ma part, je ne connais pas de meilleure méthode pour qu'un enfant recouvre son calme.

Et je suis réellement convaincu que nous ne sommes pas le reflet de notre scolarité.

un vers ça va mais trois vers attention les dégâts...

Il existe beaucoup de métiers et emplois pour lesquels une simple formation, voire même autoformation, auto-apprentissage, suffisent. L'autodidacte peut monter aussi haut, dans une spécialité définie, qu'une personne diplômée. Heureusement !

J'ai cherché une autre source, sans succès. Comme vous tous je me suis interrogée, ça paraît impossible ; même si je ne veux pas jeter la pierre, ces gens ont perdu leur jeune fille, c'est terrible.

Non mais le sujet ce n'est pas tellement l'éducation à donner aux enfants... Le coeur du sujet c'est l'infantisme : les empêcher de s'exprimer parce que ce sont des enfants/ados. En clair : c'est des mômes ils n'ont pas voix au chapitre, rien à dire, point.

ce n'est que pure spéculation mais se sachant de santé fragile, elle avait déjà peut-être déjà tout prévu pour que ses parents n'aient pas de frais en cas de décès soudain, ce qui fut apparemment le cas. Mais comme toi, je n'ai eu accès qu'à la partie gratuite. Toujours difficile de juger lorsqu'on ne connait pas la famille. c'est juste qu'à la lecture de l'article, j'imaginais ma mère et ses messages lorsque j'ai le malheur de ne pas répondre dans les 2 jours qui suivent, juste 2 mots pour la sécuriser ^^

c'est la raison pour lequel j'ai lu l'article : je pensais qu'il était question d'isolement, de fâcheries, comme tu dis, mais apparemment ce n'est pas le cas. Juste peur de déranger une fille débordée. Toutefois, il est fait mention d'une mauvaise santé. Donc, même si je ne connais pas cette famille et qu'il est difficile de juger, c'est juste ma réaction à chaud : un petit mot pour demander si tout va bien et quelques mots pour confirmer, c'est hyper rapide.

Je ne comprend pas qu'on puisse rester 3 mois sans prendre de nouvelles de ses parents ou enfants, surtout quand on les sait être "de santé fragile". Un SMS, un message sur sa boîte, un WhatsApp ou autre, ça prend 5-10 secondes. Il y a probablement une faute de son employeur, et encore si cette personne avait renseigné une personne à prévenir en cas d'urgence, mais, pour moi, le premier fautif sont ses parents qui pendant 3 mois n'ont pas pris de nouvelles. Aussi, une petite observation, qui a organisé et payé les obsèques ? Comment se fait-il que eux ne se soient pas rapprochés des parents...à moins que leur fille avait coupé les ponts avec eux... Beaucoup de questions en suspend dans cet article...

je venais juste de lire l'article et j'avoue que je suis un peu surprise ! Je comprends la réaction de la famille. Apprendre la mort d'un enfant via un ordinateur, cela doit être tragique. Mais.... Parce que forcement, il y a un "mais" : 3 mois ! quand même, ça fait long. Je me suis mise en situation. Ma mère vit loin, j'ai une vie dense avec des horaires très irréguliers (certes, pas chercheur, mais quand même un agenda bien rempli), elle a aussi ce réflexe de ne pas téléphoner pour ne pas tomber sur un moment inopportun. Mais désormais, il existe d'autres médias moins intrusifs : les mails déjà, et pour faire encore plus simple, les SMS. Juste pour dire, je suis encore de ce monde. Et si je ne suis pas assez réactive, je sais que je vais avoir droit à des messages de plus en plus explicites me demandant si tout va bien. Quelques mots en SMS : ça va, débordée, biz. Et c'est bon. Donc, je comprends le choc mais pas le manque de communication et l'étonnement qui suit....

Je veux bien, mais empêcher de s'exprimer.. Je sais pas je suis peut-être très/trop sensible à ce niveau-là.

C'est fou comme ça peut complètement digresser et jusque où. On est quand même parti de "c'est pas contre les hommes, on fait ça pour nous" Qu'est ce que ça aurait été si ça avait été formulé de façon plus radicale...

A mon sens aussi. Beaucoup d'anciens estiment que les enfants ou les ados n'ont pas "voix au chapitre", juste parce-que ce sont des mômes, c'est de la discrimination, ça n'apporte que de l'humiliation. Pourquoi un enfant ou un ado ne pourrait-il pas s'exprimer ?

L'argent c'est la vie

Ben dis donc, dans la catégorie "commentaire sans queue ni tête" je vois là un certain talent. Pour ne pas dire un talent certain.

Le seul point non, mais c’est bien le sujet qui les a le plus mobilisés .

Légèrement Hs, mais dans le sujet quand même il me semble : j'ai offert à toutes les jeunes ados de mon entourage (7 ou 8 ) un porte clé d'alerte. Il émet un son hyper aigu et violent si on le dégoupille et projette un éblouissant trait de lumière. Et, malheureusement mais heureusement, une de ces ados a dû s'en servir, anormalement suivie de prés dans la rue à la nuit tombée. Le mec a fui en sens inverse.

Exact! je n avais pas pensé à ça... Quoi faire alors?

Ah mais ça je le comprends tres bien. Mais @Pierrot89 évoque le mandat. Il ne faut pas pour autant oublier que 2 ans plus tard on est à 180 degrés du mandat . Par ailleurs cette vision du représentatif est désormais largement remise en cause d’où les appels à une 6eme république où dès lors que le représentant s’éloignera du mandat et de la liste à carrefour volonté du peuple, il conviendra de remercier le représentant salarié.

je ne sais pas ce que tu fumes mais cela doit pas être seulement du tabac lol quelle imagination! tu devrais écrire un roman

Je pense que c'est mieux les signes. Comme le nombre de copines du mâle. Ainsi que les diplômes.

I don't think so ! lorsqu'il y a abus, il est temps de prendre des mesures..

Qui parle pour ne rien dire finit toujours par trouver à qui parler. Forte hausse du nombre d'abonnés à Netfisc, la chaîne d'impôts en continu. Peut-on raisonnablement emballer du savon dans du papier à bulles en période de Mousson ? Qu’il existe un infiniment grand et un infiniment petit est un problème de taille pour les personnes bornées. Il est somme toute paradoxal qu'une perte d'argent liquide soit considérée comme une perte sèche. Il est très rare de tenir le bon bout quand on en arrive à des extrémités. L’accord imparfait Si la grammaire est l’orchestration du vocabulaire, force est de constater que les accords ne sont pas à la portée de tout le monde, passant parfois pour du haut de gamme dont on n’a pas toujours la clé. Prenons pour exemple l’utilisation du verbe avoir, dont l’une des règles essentielles est souvent jugée indigeste : la consommation régulière de compléments alimentaires ne doit être mise en avant que si le sujet a suffisamment d’avoirs devant lui. Difficile de s’accorder sur son sens, non ? On dit aussi que l’impératif est un temps qui tranche, qui permet d’avancer, au contraire du conditionnel, qui hésite, qui doute, mais c’est un peu vite oublier que prisonnier d’impératifs, la liberté conditionnelle est heureusement bien présente pour ne pas nous exposer à un futur trop imparfait. Passons sur l’anachronisme du passé-composé pour bon nombre de familles qui, tout en composant avec le présent, se projettent sur un futur recomposé, tirant un trait sur les unions antérieures. Et l’incompréhension suscitée par l’usage du plus-que-parfait alors qu’il est de notoriété publique que la perfection elle-même n’est pas de ce monde. Et que dire de l’imparfait du subjonctif tombé en désuétude et dont on se demande objectivement s’il n’a pas été créé pour souligner l’imparfait du subjectif et, plus prosaïquement, amorcer un virage vers une plus forte utilisation du s, source de dérapages aussi soudains que sournois. C’est une évidence, la grammaire est complexe. Autant l’on s’attend à ce que la concorde détende, autant la concordance des temps tend à tendre. A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Je vous avoue qu'après " J'ai le cucul qui cuit ", je suis restée sidérée avec cette phrase en tête et je n'ai absolument plus rien compris à votre histoire.

Jean Prévost, jusqu’ici, n’avait écrit que très peu de poèmes. Il était réputé grand prosateur et critique non moins éminent, davantage reconnu par ses pairs que par le public, si ce n’est pour son roman le plus célèbre, passé à un battement d’aile du Goncourt en 1930, Les frères Bouquinquant. Normalien et socialiste révolutionnaire, le jeune Prévost ne fut jamais trahi par le plus vieilli, non seulement pour ce qui est des Lettres, mais aussi pour ce qui fut du cœur. En littérature, la sculpture contemporaine qui l’envoutait intrépide n’était autre que Paul Valéry. Une fidélité à l’accident musical, sûrement, un amour pour le vers érotisé par l’ouverture des voyelles, une appétence pour la clarté proverbiale qui croisait le fer avec une inclinaison vers les adagio consumés, voilà que Jean Prévost avait trouvé une étoile pour ses demi-sommeils en la présence de l’auteur de Monsieur Teste. Reste que la postérité de la mandragore Valéry s’est étalée quand celle de Prévost demeure quiète, ou liée, trop liée, à ses travaux techniques sur Stendhal, son oeuvre de traduction minutieuse, au point que même sa grâce la plus incontestable, son œuvre de résistant par les armes dans le Vercors, qui devrait trouver le souvenir partout où la mémoire passe, s’est dérobée sous les bavardages irrespirables des époques. Car au jeune Prévost qui dessinait sur la Révolution l’espoir d’un monde nu de nations, le Prévost vieilli répondit par la continuité, lui qui dès 38 écrivait “Je n’aime mon pays qu’en esprit ; je ne souhaite être utilisé pour aucune cause”. Au jeune Prévost antinationaliste succéda donc un Prévost vieilli tout aussi liturgique sur la mère patrie. https://www.blast-info.fr/articles/2025/litteratures-de-la-revolte-jean-prevost-le-maquis-dun-poete-sM_Nx0BOTcSihrWYDS1zRA

Moi, ça s'envient.

Du coup c’est plus un voyage dans le temps qu’une téléportation, quoique... il y a quand même eu changement d’espace..