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zenalpha

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Commentaires des blogs posté(e)s par zenalpha

  1. Le peut-être à son importance 

    Le choix du livre aussi

    Comme l'éducation des parents si elle est bienveillante 

    Ce livre démarre par le refus de parents de céder au désir d'un enfant d'avoir un animal

    Non pas de lui faire des pressions physique ou psychologique 

    On devient...Peut-être...adulte quand on pardonne à ses parents 

    Excuse moi, je vais me coucher

  2. à l’instant, JacKK a dit :

    C'est pas le livre le problème. Ce sont ces petites phrases à la con, ces croyances merdiques : il faut pardonner à ses parents, l'instinct maternel.... et tous ces délires qui font plus de mal que de bien. Ce n'est pas le livre qui est en cause. 

    Une citation sans référence est aussi utile qu'une boussole sans aiguille.

  3. Un texte magnifique, sincère.

    A le lire, on survole tes pensées et on se surprend à voir ton interieur et de cet intérieur ...ton intérieur.

    Il fait écho à cette perte de la jubilation de la vie, quant ce tout désenchante le sens de ce qu'on fait, de ce qu'on voit, de ce qu'on est...

    Il y a bien longtemps que j'ai perdu le trésor le plus précieux qui soit quand l'innocence curieuse croise la naïveté confiante au pays de l'enfance et du bon sentiment.

    Le lâcher prise, les petits projets débiles, les petites et grandes lâchetés...

    Oui, le grand projet.

    Que ce soit de boulot, d'études, de moto...que ce soit avec sa femme ou avec ses enfants...que ce soit de mauvais vin ou de bon champagne...

    S'ennivrer du plaisir de vivre et....de construire aussi.

    Seul, entourés de spectres, l'argent le fric, la propriété, les femmes, rien ne donne cette envie d'être vraiment...en vie.

    Changer une chose, une deuxième...voir des sourires, faire rire...

    Ne te perds pas, retrouve toi, ce qui est autour n'est qu'un mur pour la fierté de le gravir, sois ce changement que tu souhaites voir dans ce monde.

    • Merci 1
  4. Je pense cerner ta pensée.

    La liberté évite l'enfermement et donne dans le même temps la possibilité d'action et de mouvement.

    On est ce que l'on fait.

    Ne te trompe pas de quête.

    Qu'importe la vérité, le qui a tort ou le qui a raison, qu'importe les principes et les certitudes...

    Cette liberté intérieure qui ne doit pas t'auto détruire par amour de concepts de vérité, de respect et d'écoute ressemble à une prison dorée.

    Tes murs de confort, ta carapace dernier siège qui repousse l'ennemi à commencer par tes propres démons.

    Trompe toi, prends tes risques, ouvre toi aux autres, sorts de toi, prends des coups, tu ne les sentiras même plus.

    Et au bout du bout tu le trouveras ton Bonheur...

  5. <P>C'est vrai qu'il faut être en paix avec soi et avec le monde pour être heureux et confiant.<BR>Etre en paix avec soi est nécessaire pour être en paix avec le monde.<BR>Pouvoir se regarder, s'accepter, se connaître, cerner nos forces et nos faiblesses, s'apprécier, se pardonner ses erreurs, se trouver bien.<BR>Et tout cela est lié au feed back des autres qui nous renvoie une part qu'on ne veut pas voir ou qu'on ne sait pas voir.<BR><BR>Il y a une spirale de la vertu et une spirale du désespoir.<BR>Le bien appelle le bien, le mal appelle le mal et bizarrement, plus on est "bien" plus les autres nous renvoient du "bien" et tout s'enclenche.<BR>Et ce qui est difficile, c'est que lorsque rien ne va rien ne va du tout, les non proches vous enfoncent parce que la faiblesse se sent et qu'ils marquent leur territoire inconsciemment et les proches vous soutiennent renforçant le sentiment de faiblesse.<BR><BR>Ce que je crois, c'est qu'il faut identifier ce qui est clairement sous notre contrôle et s'y atteler.<BR>identifier l'important de l'accessoire et s'y consacrer.<BR>Revenir à l'essentiel sans partir dans les évasions qui se rappellent toujours à nous...<BR>En particulier le corps qui peut être l'objet de belles satisfactions directement palpables qui conduisent à modifier l'image envoyée,<BR>Puis des petits défis personnels, réapprendre l'ACTION et non le rêve ou le virtuel, accepter de se remettre en question et de passer par des bas suivis de hauts très irréguliers, apprendre à se prendre les pains dans la tronche en lacher prise, apprendre à dire les choses et s'affirmer dans une neutralité émotionnelle lucide.<BR><BR>Il faut plus d'un an pour se reconstruire et si on a touché le fonds ce chemin enrichira tellementque la sortie vaut ce passage au plus profonds du trou.<BR>En revanche, il faut être sacrément déterminé.... sacrément déterminé...sacrément déterminé...<BR>C'est une compétition avec soi qu'il s'agit de gagner.<BR>Et quand c'est le bon qui gagne.... quand tu te retournes sur ton chemin parcouru... tu te sens si fort et si bien que plus rien ne te coulera plus jamais.<BR>Tu comprends beaucoup plus de choses et les faiblesses des autres te remontent comme autant de batailles que tu as livrées et gagnées.<BR><BR>Bon courage ^^ </P>

  6. Parce que la plupart du temps je fais ce que je dois.

    Ma famille, mes enfants, mes amis, mon travail.

    Et parce que le reste du temps je fais ce que je peux.

    Mes relations, mes envies, mes désirs.

    Reste que mon bonheur ne peut être continuel.

    Parce qu'être profondément heureux, c'est avoir été malheureux.

    Parce que la contrainte crèe le talent.

    Parce que ce qui élève un homme est l'adversité.

    Profitons de nos moments de bonheur avec délice.

    Vivre une seconde d'éternité plutôt qu'une éternité d'ennui.

    Vivre comme un Lion et mourir en se disant que ça en valait la peine.

    Alors il faut accepter ses peines.

    Je ne regrette déjà rien.

    Quand tu voudras la haut, la fin de tous mes temps...

    Je me sens prêt à tout instant.

  7. Pour le déguster, je pense qu'il faut être poëte, comprendre que ce système d'exploitation n'est qu'une représentation rationnelle de ses pensées et avoir infiniment dégusté soi même.

    Sinon on y voit un fou.

    Parce que le bonheur se travaille tous les jours pour des petits moments d'éternité, parce que pour être apprécié, il faut être descendu bas à un moment donné, parce qu'on a en nous de quoi avancer à défaut de tout dominer.

  8. éh éh, parce qu'il n'y a pas de vérité mais seulement des points de vue, j'apprécie ta manière de voir les choses.

    Il me semble que l'alignement entre ce qui nous fait du bien et ce qui fait du bien à l'autre est générateur de bien être, oui.

    A l'extrême, appelons cela l'amour quel que soit la nature de cet amour.

    Mais tu remarqueras que cette recherche passe quand même par ce qui nous fait du bien à nous mêmes...

    Si tu peux faire du bien à l'autre sans y éprouver une réciprocité, poursuis tu aussi intensivement la relation dans tous les cas ?

    Le coeur du sujet reste de se faire plaisir à soi même que la motivation soit intellectuelle, sentimentale, émotionnelle ou autre...

    L'excellent communiquant que je ne suis pas sait prendre son "ascenceur émotionnel" pour se mettre dans le profil qui recharge l'énergie de son interlocuteur sans y perdre la sienne...

    A ce titre, ne voir les choses que sous une seule et unique facette ne fera pas le bonheur...

    Il faut savoir parfois parler opinion, organisation, jardin secret, attention individuelle, jeux d'esprit ou enclencher l'action sans bla bla.... selon qui on a en face et selon les circonstances sans rester figé sur un arbre de béton soi même.

    Au final, je regarde mon propre bilan énergétique dans ma relation à la personne.

    M'a t'elle rechargée en énergie ? M'en pompe t'elle ?

    Bien souvent c'est "malgré la personne" que cette magie opère en ce sens qu'elle n'en a pas forcément conscience rationnelle.

    ça me rappelle un peu ce que j'avais appris dans la process communication qui considère que nous sommes une pyramide de profils chacune avec ses caractéristiques qui lui sont spécifiques et dont "ce qui recharge son énergie" ou "ce qui est générateur de stress" est différent selon ces profils.

    Et dans la relation, selon qu'on soit en face de l'un ou de l'autre de ces profils, selon ce qu'on est soi même, on y trouve son "bien être" ou une "source de stress" parce que ce qui est un driver positif pour l'un serait négatif pour l'autre.

    A deux femmes qui travaillent avec moi, si je dis qu'elles sont élégantes, la première pourra me voir comme un imbécile qui ne sait pas apprécier la qualité de son travail et qui ferait mieux de se focaliser la dessus quand la seconde pourra trouver que je suis élégant et que j'ai une forme d'attention qui lui donne un sens pour ce qu'elle est au dela de son rôle social.

    La même action peut générer des réactions différentes... il est généralement bon de savoir à qui on a affaire sans perdre son naturel pour autant...

    J'attire ton attention sur ta formulation pour te convaincre de l'égoisme de notre manière de penser (inconsciente, mais selon que la personne soit belle ou moche, élégante ou défroquée, sûre d'elle ou maladroite, tu agiras malgré toi différemment....)

    "(ce qui nous ferait du bien aux autres nous ferait du bien aussi)"

    Auras tu remarqué que tu écris ce qui NOUS ferait du bien aux autres ?

    Ton inconscient vient de faire ce qu'on appelle un acté manqué qui te rappelle à lui :)

  9. Et bien Marioons je me connecte quelques minutes et je tombe sur ta réflexion et sur ta question.

    Et combien elle m'interpelle ta réflexion...

    D'autant que tu la conclues par plusieurs questions et il me semble que ce serait la bonne conclusion de ne pas pouvoir conclure sur cette question...

    Alors Je te donne ma bribe de réponse, réponse fausse évidemment...

    Il me semble que, pour notre malheur, nous sommes humains.

    Et j'ai ce sentiment que nous nous masquons derrière notre raison pour nous illusionner sur l'importance et la main mise réelle de notre inconscient et de nos ressentis comme si nous maîtrisions tout ou que nous devions tout maîtriser.

    Parce que nous ne saurons jamais qui nous sommes vraiment, nous sommes en quête d'interractions afin d'avoir un écho qui nous renvoie notre image.

    Le a t'il raison a t'il tort au final se transforme rapidement en me fait il du bien, m'est il agréable, me valorise t'il, est ce que je me retrouve ?

    Et au final, peu importe que ce tueur soit un tueur s'il a fait vibrer une corde sensible qui nous a fait du bien.

    On le comprendra, on lui pardonnera tout, sa propre mort peut être...

    Aime t'on la personne ? ce qu'elle représente ? Ce qu'elle nous renvoie ?

    Je pense qu'on aime se sentir aimé pour s'aimer soi même...

    Et je pense qu'au final, cette relation de pouvoir ou cette relation égocentrique qui nous anime toujours quelque part est une illusion dans la mesure où nous faire du bien n'a rien a voir avec faire le bien et que nous nous apercevons que nous ne sommes pas forcément "quelqun de bien" mais quelqun qui cherche son propre bien...

    Mais parce que nous sommes humains, on recherchera toujours ce reflet de quelqun qu'on considère être de valeur pour nous, d'autant qu'il nous ferait du bien.

    Arriver au stade de la relation où l'on parvient à s'abandonner pour l'autre est d'une rareté inhumaine en réalité.

    Une totale abnégation de soi pour un don de soi sans retour pas même la bonne conscience qui nous valorise.

    Qui a pratiqué ?

    Je n'y parviens pas encore totalement personnellement...

    Quand bien même je m'y emploierai avec raison et volonté.

    Il faut ce feed-back, toujours...

    Et au final, tout rapport est biaisé dans le sens où ce qui fera du bien à l'autre n'est que rarement compatible avec ce qui nous fait du bien pour nous même.

    Alors nous nous voilons la face.

    Et ce que nous cherchons en l'autre, c'est de combler un vide qu'on se construit en nous.

    Ce que je pense, c'est qu'on ne peut se sentir bien que dans la mesure où l'on se sent bien avec soi parce qu'à partir de ce moment là, on devient conscient de ses vides, on les accepte, on cherche toujours à les combler bien sûr, mais on vit avec eux au lieu de s'illusionner de pouvoir les combler au travers de l'autre.

    C'est un leurre.

    Ce qu'on peut faire avec l'autre c'est avancer ensemble ou tirer chacun quelque chose de l'autre.

    C'est un très long chemin de nous rendre compte que l'on est pas ce qu'on pensait être et que l'autre ne fait que valoriser un orgueil qui nous masque le fait d'accepter d'être faillible et imparfait.

    Humain je dirais...

  10. C'est vrai Zera, j'ai un parti pris très orienté pour ce qui concerne mes écrits et Aergie est bien issue de mon imagination avec toutefois beaucoup de références qui m'ont influencé dont Werber.

    Arrive ce moment où mes personnages me dépassent quand même un peu... et parfois beaucoup.

    Concernant Hera, j'ai pensé à la Hera de la mythologie grecque, protectrice des femmes et gardienne de la fécondité.

    Dans le cas d'Aergie, ses interventions en tant que sage femme et opératrice constituaient une double naissance quelque part.

    Je ne sais pas si j'ai écrit Era quelque part dans mon récit mais si c'est le cas, c'est une erreur de ma part, il n'y a qu'un seul personnage.

    L'ultime secret ne m'avait pas du tout accroché, le théme de départ était absolument merveilleux mais j'avoue que la défaite de deep blue par Samuel Fincher aurait mérité bien mieux d'autant que connaissant bien les îles de Lérins ou le cap d'Antibes, je me désolais que cela soit le théatre de ses pélégrinations auxquelles je n'ai pas adhéré une seconde malheureusement.

  11. Bonjour Zera.

    Je te remercie.

    Je dois avouer platement que la lecture des thanatonautes m'a consciemment inspiré pour une image reprise dans mon récit.

    Les fils des âmes humaines qui se tendent et se déchirent vers le ciel.

    Et je me rends compte qu'une seconde m'a inconsciemment inspiré dans le nom que j'ai donné au "maître du mal".

    C'est en effet Werber et son néhologisme sur les thanatonautes qui m'a appris le sens étymologique du mot que j'ai repris avec l'abominable 'Thanatos' sans y prêter plus ample attention.

    D'ailleurs, presque tous mes personnages ont une explication quant au nom retenu.

    J'ai été beaucoup plus circonspect avec l'empire des anges et la trilogie sur les dieux.

    En revanche, les fourmis restent un de mes ouvrages préférés.

    Oui, je dois dire que le voyage dans la "terra incognita" de la mort par Werber m'a tout comme toi passionné.

    J'aurai apprécie que Michael Pinson croise Aergie.

    Après tout il donnait une fonction au centre des galaxies qui ne serait pas très éloignée de celle que je donne au cerveau Gaia.

    Quand l'infiniment grand et la relativité générale s'accorde à l'infiniment petit et à la mécanique quantique, je serais très inspiré par une telle rencontre.

    Quoi que je me surprends à être un peu jaloux avec Aergie...

    Il faudrait peut être que mon cerveau gauche recanalise mon cerveau droit.

    Faute à Aergie tout ça !

  12. Merci beaucoup Anna d'avoir été cette lectrice inspirante.

    Au dela de la lectrice / spectatrice, tu es une actrice à part entière de cette histoire.

    Aergie est une partie décisive de nos réseaux neuronaux à l'origine de notre humanité.

    Un déclencheur.

    Et si Aergie ne t'avait pas en fidèle lectrice, elle ne serait que quelques caractères couchés sur un blog éculé.

    Aergie n'existe que parce que tu l'as imaginée en lisant son histoire.

    Tu lui as littéralement donné vie à l'intérieur de ton propre cerveau.

    Et si je ne suis pas certain qu'Aergie ait précédé l'humanité, je suis en revanche certain qu'elle a fait partie de ton humanité à toi.

    Pour ma part, je te remercie de m'avoir poussé très au dela de ce que j'imaginais pour mon histoire.

    J'y ai laissé une part de mon âme personnelle.

    Et en effet une histoire qui se termine ouvre une nouvelle histoire qui démarre.

    Bien plus attrayante encore car tout reste à inventer...

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