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15 avril 2011 - 21 septembre 2025
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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 30/08/2025 dans toutes les zones
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Ah les salopiauds , ils ont TOUS les avantages ! partir quand c'est moins cher , quand la cohue de l'été s'est estompée ! que va faire Bayrou cette fois pour mes mater ??5 points
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༺ Conseils d'Enfants .....Ne demandez jamais à un chien de surveiller votre repas. - Patrick, 10 ans Si votre père est en colère et vous demande "Est-ce que j'ai l'air stupide?" ... Ne répondez pas. - Hannah, 9 ans Ne dites jamais à votre mère que sa diète ne semble pas fonctionner. - Michael, 14 ans Quand votre maman est fâchée après votre papa, ne la laissez pas peigner vos cheveux. - Taylia, 11 ans Ne laissez jamais votre frère de 2 ans jouer dans la même pièce que vos devoirs d'école. - Traci, 14 ans Un chien a toujours mauvaise haleine. Même après avoir mangé une Tic-Tac. - Andrew, 9 ans Ne tenez jamais un chat et une balayeuse en même temps. - Kyoyo, 11 ans C'est impossible de cacher un morceau de brocoli dans un verre de lait. - Amir, 9 ans Ne portez pas de sous-vêtements à pois noirs en dessous de shorts blancs. - Kellie, 11 ans Si vous voulez un chat, commencez par demander un cheval. - Naomi, 15 ans Les crayons feutres ne sont pas bons à utiliser comme rouge à lèvres. - Lauren, 9 ans Ne mettez pas en colère votre soeur quand elle tient un bâton de base-ball. - Joël, 10 ans Montrez toujours vos mauvaises notes à votre mère lorsqu'elle est au téléphone. - Alyesha, 13 ans N'essayez jamais de baptiser un chat. - Eileen, 8 ans5 points
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Il manquerait plus qu'ils partent avec les gamins qui leur refileraient tous les germes attrapés en collectivité!5 points
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Intermède musical; l'été indien /Joe Dassin. Je te signale à toi, l'envieux, que c'est congés tous les jours quand on est à la retraite. Bisque, bisque , rage!!!!!5 points
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Je sais pas pour les Boomers mais y'a beaucoup de gens qui restent attachés aux vacances d'été en juillet/août alors qu'ils pourraient tout à fait partir avant ou après. Le plaisir de payer plus cher et de tirer la bourre sur la plage ou au resto pour une place, sans doute4 points
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Ils sont généreux, ils laissent leur emploi aux jeunes qui en ont bien besoin les pauvres4 points
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Hello, Dans notre startup on essaye de développer des processeurs où des neurones vivants remplacent les transistors. Cela parait déjà un peu de la science-fiction, je sais! …Mais on a franchi cette semaine une nouvelle étape: on a laissé pour la première fois une IA faire des travaux expérimentaux à notre place. En effet, pour notre recherche, nous utilisons des électrodes implantées dans des organoides cérébraux et qui nous permettent d’envoyer et recevoir dess signaux. Le grand mystère consiste à faire apprendre ces réseaux de neurones vivants en trouvant: - la bonne séquence de signaux à envoyer, et - la bonne interprétation des signaux recus Jusqu’ici, on faisait cela comme tout scientifique lambda: une suite récurrente d’expèriences et d’interprétations de résultats. Maintenant, on a donné la capacité à l’IA de faire des stimulations électriques et d’interpréter les signaux recus, c’est un agent de recherche IA. Il fait donc ses expériences de manière autonome et nous explique son raisonnement et son interprétation de chacun de ses tests successifs. D’autres scientifiques partout dans le monde commencent à faire cela, et dans tous les domaines de la science expérimentale. Plusieurs publications viennent juste de sortir sur cette approche ces derniers mois. Cela va changer notre monde. Et très vite.3 points
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Mais toi, si tu pouvais, tu interdirais toutes les religions , tu te comporterais donc comme un dictateur , et pourtant tu n'es pas religieux . Quel que soit le domaine : " Aucune guerre, aucun combat ne sera gagné quand les gens ne pourront plus, mais seulement quand ils ne voudront plus " Plus tu vas luter contre la religion, plus tu vas faire de religieux , c'est une réaction humaine .3 points
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Moi non plus je ne pars pas. Je n'ai pas pris de vacances depuis 18 ans ! Pas de sous. Mais je vis près d'Annecy donc ça va.3 points
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Des gens comme toi quoi ! C'est vrai que c'est pas appétissant, mais je n'y vais pas pour me faire des amis3 points
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115 habitants et un site géologique nommé "Les Sucettes" , rochers ruiniformes... très approprié... Surtout que la rivière qui traverse le village s'appelle Bèz. Encore mieux, sur la commune se coule le ruisseau de Borne...3 points
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Village de Bunol, près de Valence, Espagne: le 80e anniversaire de la Tomatina a eu lieu ce mercredi 27 août, c'est cette fameuse fête où les gens se jettent des tomates trop mûres. La première fut donnée en 1945 pour les enfants de la région attire aujourd'hui un public international. Voici des photos de la fête, allergiques à la tomate s'abstenir: SOURCE: https://apnews.com/photo-gallery/spain-tomatina-tomatoes-food-fight-b4c6cb4d1c44d0d39809f9b91a813c663 points
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Ils l'ont bien mérité. Tout l'été ils ont du s'occuper des petits enfants et des parents. Ils sont sur les rotules...et à cet âge ça, les rotules ça ne pardonnent pas.3 points
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Je suis une effroyable rabat-joie : toute cette foule venue pour faire "n'importe quoi", quelle angoisse ! Ok la tradition... Ben oui mais bof. Des tomates par tonnes, exclusivement cultivées pour ça. Super.3 points
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Encore quelques unes: L'événement ne dure qu'une heure et a réduit en bouillie 120 tonnes de tomates trop mûres à Buñol, à l'est du pays, où des bâtiments recouverts de bâches encadrent une foule d'au moins 22 000 participants. Ceux étrangers au village paient 15 euros (17,50 $) pour un billet et viennent de pays du monde entier ou de villes situées à quelques minutes en bus. Ce qu'il faut savoir sur ce festival: Il s'inspire d'une bataille de tomates entre enfants, en 1945. Devenue une tradition annuelle, la « Tomatina » a été brièvement interdite dans les années 1950 par le dictateur espagnol Francisco Franco, une décision qui suscita des protestations de la part des habitants. L'attention médiatique télévisée des années 1980 fit de la fête un événement national, attirant finalement une foule internationale. En 2002, l'Espagne a officiellement reconnu la fête comme attraction touristique internationale. Depuis, l'événement n'a été suspendu que deux fois, en 2020 et 2021, en raison de la pandémie de coronavirus. Les projectiles ne sont pas comestibles: ces tomates ne proviennent pas de cultures traitées comme celles utilisées à des fins alimentaires, elles sont cultivées exclusivement pour la fête. Une seule règle aux réjouissances: Il n'y a pas d'équipes, pas de points et pas d'arbitres, mais une règle : pour éviter les blessures, les participants sont encouragés à écraser les tomates avant de les lancer (et, bien sûr, à s'abstenir de tout autre lancer). Même dans ce cas, beaucoup portent des lunettes de natation et des bouchons d'oreilles pour se protéger. Une fois l'heure écoulée, marquée par le bruit d'un coup de canon, la foule se précipite pour se laver aux douches communes voisines, tandis que les rues de la ville sont nettoyées au jet d'eau. Bien que les taches sur les vêtements soient probablement irréversibles, l'acide citrique contenu dans les tomates agit comme un agent nettoyant efficace sur les trottoirs. Trois à quatre heures plus tard, les rues sont parfois plus propres qu'avant. D'autres pays s'en sont inspirés: Des festivals similaires de lancer de tomates ont eu lieu en Floride, à Londres, à Amsterdam, dans la ville colombienne de Sutamarchán et, plus récemment, à Hyderabad, en Inde. SOURCE: https://apnews.com/article/tomatina-festival-tomatoes-bunol-spain-529c792878ff2748343e01288e6800833 points
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Genève: L'armée de l'air finlandaise, désormais membre de l'OTAN, arbore encore des croix gammées sur quelques drapeaux d'unités, mais s'apprête à les supprimer progressivement, notamment pour éviter toute gêne avec ses alliés occidentaux. Parade à Jyvaskyla, novembre 2024 Pourquoi ces croix gammées sur ces drapeaux de l'armée de l'air finlandaise ? L'histoire de l'utilisation de la swastika par l'armée de l'air finlandaise, largement associée depuis le XXe siècle à la tyrannie nazie et aux groupes haineux, est plus complexe qu'il n'y paraît. Il s'agit d'un symbole ancien, et l'armée de l'air finlandaise a commencé à l'utiliser bien des années avant la naissance de l'Allemagne nazie. Le drapeau des forces aériennes finlandaises sur l'île de Santahamina*, au sud-est de Helsinki, en juillet 2019 Un symbole utilisé depuis plus d'un siècle : L'armée de l'air finlandaise a adopté l'emblème de la croix gammée en 1918, peu après l'indépendance du pays après plus d'un siècle de domination impériale russe. Le comte Eric von Rosen, de la Suède voisine, a fait don du premier avion militaire finlandais en 1918, qui portait son symbole personnel, la swastika. L'armée de l'air finlandaise l'a peu après adoptée sur fond blanc comme insigne national sur tous ses avions de 1918 à 1945. Après la guerre, l'image est restée pendant des décennies sur les drapeaux et décorations de certaines unités de l'armée de l'air, ainsi que sur les insignes de l'Académie de l'armée de l'air. Mais cela ne signifie pas pour autant un quelconque lien avec le nazisme. Von Rosen, explorateur et ethnographe aristocrate, était le beau-frère d'Hermann Goering, pilote de chasse allemand décoré de la Première Guerre mondiale, qui devint l'un des premiers membres du parti nazi. Goering dirigea ensuite la Luftwaffe allemande pendant la Seconde Guerre mondiale sous Hitler. L'armée de l'air finlandaise a souligné que l'utilisation de ce symbole n'avait aucun lien avec l'Allemagne nazie, bien que la Finlande ait conclu une alliance réticente avec le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale. L'emblème traditionnel de la croix gammée de Von Rosen, utilisé depuis 1918, a déjà été retiré de la plupart des autres forces aériennes. Un logo à croix gammée a été discrètement retiré de l'emblème d'unité du commandement de l'armée de l'air il y a quelques années. Cependant, ces swastikas sont restées sur certains drapeaux de l'armée de l'air finlandaise, suscitant l'étonnement des alliés de l'OTAN, des touristes et autres étrangers qui les aperçoivent lors d'événements militaires. « Nous aurions pu conserver ce drapeau, mais des situations délicates peuvent parfois survenir avec des visiteurs étrangers. Il serait peut-être sage de vivre avec son temps », a déclaré le colonel Tomi Böhm, nouveau chef de la force de défense aérienne de l'escadre aérienne de Carélie sur la chaîne publique YLE. Les Forces de défense, dans un courriel adressé à l'Associated Press, ont indiqué qu'un plan de renouvellement des drapeaux des unités de l'armée de l'air avait été lancé en 2023, année de l'adhésion de la Finlande à l'OTAN, mais ont précisé que ce projet n'était pas lié à l'adhésion à l'alliance. L'objectif, a-t-elle précisé, était de « moderniser le symbolisme et les emblèmes des drapeaux afin de mieux refléter l'identité actuelle de l'armée de l'air ». La Finlande, qui partage une longue frontière avec la Russie, a rejoint l'OTAN en avril 2023, en raison des inquiétudes liées à l'invasion russe de l'Ukraine. L'armée de l'air et l'opinion publique finlandaise ont insisté pendant des années sur le fait que les croix gammées utilisées dans l'armée de l'air finlandaise « n'avaient rien à voir avec la croix gammée nazie », a déclaré Teivo Teivanen, professeur du monde politique à l'université de Helsinki. Celui-ci a publié ce mois-ci un livre dont le titre finnois signifie « Histoire de la swastika ». Mais aujourd'hui, suite à l'intégration de la Finlande à l'OTAN, les décideurs politiques ont décidé qu'il est désormais nécessaire de renforcer l'intégration avec les forces armées de pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas et la France, pays où la swastika est clairement un symbole négatif. Il faut savoir qu'en 2021, des unités de l'armée de l'air allemande ont quitté la cérémonie finale après des exercices sur une base militaire en Laponie finlandaise, après avoir appris que les croix gammées finlandaises seraient exposées. De nouveaux drapeaux, arborant un aigle, seront publiés une fois les travaux terminés et les drapeaux seront utilisés pour des événements tels que des défilés et des cérémonies locales, ont indiqué les forces de défense, sans préciser quand cela se produira. SOURCE: https://apnews.com/article/finland-swastika-air-force-nato-423a764e6e72abde083f6136e06461c0 * L'île de Santahamina est une base militaire qui héberge la Grande école de la défense nationale finlandaise (en finnois : Maanpuolustuskorkeakoulu), un Régiment de Chasseurs à pied (en finnois : Kaartin Jääkärirykmentti) et le Corps des cadets de Finlande. Son histoire est principalement guerrière car elle fut par le passé le théâtre de nombreuses campagnes militaires menées par la Suède, la Russie, l'Allemagne, l'Angleterre et la France qui y sont passés pour défendre leurs intérêts. Au cours des siècles, Santahamina a été aussi importante dans l'histoire de la Finlande puisque à deux reprises, elle en a été la capitale.2 points
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Une série d'arte toujours en production depuis 1996 Episode sur L’Alhambra (Al Hamra) : le palais secret des sultans oubliés2 points
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Cette publicité est parue dans le N°1176 de "Télé 7 jours" le 11 décembre 1982 pages 2 et 3. Etonnant non ? ... Les temps ont changés2 points
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Pour changer un peu des turpitudes de M. Bayrou, penchons-nous à nouveau sur la saga "Star Wars". On possède désormais assez de recul pour porter un jugement équitable sur ces neuf films, et les noter de 1 à 10, du meilleur (l'"Empire contre-attaque", 9.75/10) au pire ("Les derniers Jedi", 2/10... et c'est généreusement noté). Attention spoilers (pour les très très rares personnes qui n'auraient pas encore vu ces films.) I) La Prélogie : 1) "La Menace fantôme", épisode I (1999). (7/10). Réalisation : George Lucas. Avant la sortie de la 3e trilogie, je disais en plaisantant que si l'on voulait se fâcher avec un fan de SW, il suffisait de dire que "la Menace fantôme" était le meilleur épisode de la saga, et qu'en plus Ja Jar binks était un personnage vraiment fabuleux! Mais la sortie de la 3e trilogie a remis les pendules à l'heure, et les choses à leur place. Qualités : d'abord, qu'est-ce que ça faisait plaisir de revoir un SW, 16 ans après le "Retour du Jedi"! Franchement, je n'y croyais pas. D'autre part, on a enfin dans cet épisode une description détaillée du contexte géopolitique de l'histoire, qui faisait tellement défaut à l'épisode IV à sa sortie. La distribution est impeccable, avec Liam Neeson très convaincant dans le rôle du maître Jedi Qui-Gon Jinn. Hélas, il meurt à la fin. Mais c'était obligatoire pour la suite de l'histoire : en effet, s'il avait assuré la formation du jeune Anakin Skywalker, celui-ci ne serait certainement jamais passé du côté obscur, et donc le principal moteur de la saga s'évanouissait. Les autres acteurs sont aussi très bons, de Natalie Portman à Ian McDiarmid, excellent et hypocrite à souhait dans le rôle d'un Palpatine rajeuni. Enfin Jack Lloyd n'était pas si mauvais en jeune Anakin, mais on lui a fait payer très cher le privilège d'avoir incarné ce personnage mythique. Défauts : bon je suis d'accord, ce film n'est quand même pas le chef-d'oeuvre du siècle. Lucas a d'ailleurs dit que toute l'histoire était vue par les yeux d'un jeune garçon. S'il voulait assurer une progression dramatique au fil de la trilogie, il était d'ailleurs indispensable que le premier film soit le plus "léger". Là où on tombe vraiment dans du Disney avant la lettre, c'est lors de la bataille entre les Gungans et les droïdes de la Fédération du commerce, qui frôle le ridicule. Par contre les performances d'Anakin, qui détruit assez facilement le vaisseau contrôlant les droïdes, ne me choquent pas : après tout c'est l'Élu, et la Force est avec lui. 2) "L'Attaque des clones", épisode II (2002). (8/10). Réalisation : George Lucas. Ce film (tout comme le premier d'ailleurs) a été détesté par les fans de Vador, qui n'arrivaient pas à retrouver leur méchant favori sous les traits de ce jeune homme trop propre sur lui. Ils auraient sans doute préféré que Lucas consacre une trilogie aux exploits du Seigneur noir des Sith. Mais ce n'était pas le sujet... Qualités : moi je trouve Hayden Christensen très bon dans le rôle d'Anakin, ado rebelle et amoureux (ce qui est interdit par le code des Jedi). Il suffit parfois d'un regard, d'une phrase, pour qu'on ressente toute la noirceur potentielle enfouie dans ce personnage. Je pense que c'est pour ça que Lucas l'a choisi. Certes, pendant une bonne partie du film il joue les amoureux transis dans les somptueux paysages de Naboo (en fait les lacs italiens), mais il a déjà commencé son chemin vers le côté obscur. Fort heureusement pour lui, Chistensen s'est quand même mieux remis de son rôle d'Anakin que son prédécesseur Jack Lloyd. Les autres acteurs sont aussi très bons, dont Ewan McGregor dans le rôle d'Obi-Wan Kenobi, tellement inconscient de l'évolution de son disciple et ami que des fois on aurait envie de lui mettre des gifles. Défauts : il est un peu étonnant que le comte Dooku ne propose pas à Anakin de rejoindre les rangs des séparatistes, comme il l'a fait auparavant avec Obi-Wan. Mais si mes souvenirs sont bons, cette scène existe, elle a été coupée au montage mais figure dans les bonus du DVD. Par contre il y a dans ce film deux problèmes plus sérieux, que beaucoup de gens n'auront sans doute pas remarqués et qui ne suffisent pas à gâcher le spectacle, mais qui existent néanmoins. a) Quand Obi-Wan se rend sur Kamino et rencontre les cloneurs, ravis de lui apprendre que l'armée commandée par les Jedi des années plus tôt est prête, à aucun moment il n'est question d'argent. Pourtant quand on crée pour vous une armée de 200.000 hommes parfaitement équipés et entraînés, ça ne peut pas être gratuit! C'est sans doute l'ancien comptable qui parle en moi, mais j'ai toujours trouvé que ça manquait de réalisme. L'explication est simple : quand maître Sifo-Dyas a passé commande de cette armée, 10 ans auparavant, il avait apporté la garantie du Clan bancaire, manipulé à l'époque par Dark Plagueis, le maître de Palpatine. Les Kaminoens n'ont donc aucune inquiétude quant au paiement de leurs services. Par contre, que Obi-Wan ne s'étonne pas qu'on lui offre une armée gratuite, ça c'est déjà plus surprenant et pas très réaliste. Mais Lucas était coincé : si le Jedi avait posé la question et qu'on lui avait parlé du Clan bancaire, alors tout l'échafaudage de la machination concoctée par Palpatine/Dark Sidious risquait de s'effondrer, car le Clan bancaire était bien connu pour être lié aux séparatistes. b) Ce film a un petit problème : au fond, le film "utile" s'achève après qu'Anakin ait raconté à Padmé son massacre des Tuskens, à la suite de la mort de sa mère. A ce moment, il a fait un pas décisif vers le côté obscur. Le film pourrait parfaitement s'arrêter là, le reste n'est que du bonus, d'ailleurs très spectaculaire. 3) "La Revanche des Sith", épisode III (2005). (9.5/10). Réalisation : George Lucas. Ce film est très bon, sombre et tragique à souhait, racontant des événements que l'on attendait depuis "le Retour du Jedi". Pour Lucas, la réalisation de cet épisode III était un extraordinaire accomplissement. Si l'on cherche, dans l'histoire des arts en général, un créateur qui a ainsi repris son oeuvre des années après pour l'expliquer, l'éclairer et la porter à un niveau supérieur, c'est bien simple : on n'en voit pas. Qualités : Hayden Christensen incarne un Anakin tourmenté et paranoïaque, qui finit par signer un pacte faustien avec Palpatine (merveilleux Ian McDiarmid)... et se retrouve en enfer, ce qui est somme toute logique. Natalie Portman est remarquable, dans un rôle très émouvant. A signaler que toute l'histoire aurait pu tourner autrement : en effet, quand Anakin révèle à Mace Windu que Palpatine est un Sith, il insiste pour se joindre aux Jedi envoyés pour arrêter le chancelier. Mais Windu, qui décidément n'aime pas le jeune Skywalker, refuse. Que ce serait-il passé s'il avait accepté? Confronté à l'attaque de Palpatine/Sidious, Anakin aurait été obligé de se défendre avec les autres Jedi. Ou aurait-il tout de suite rejoint Palpatine? On ne le saura jamais, mais on peut se poser la question. Défauts : fort peu, et c'est vraiment histoire de couper les cheveux en quatre. D'abord, quand on s'y connaît un peu en matière de volcans, les paysages de Mustaphar, où se déroule le duel final entre Anakin et Obi-Wan, sont absolument somptueux. Par contre les installations industrielles qu'on trouve sur cette planète sont tout à fait fantaisistes. Ensuite, et là ça ne concerne que les gens qui s'intéressent à la musique des films (une petite minorité donc, surtout en France) : la BO de John Williams est tout à fait remarquable, peut-être encore plus que d'habitude si c'est possible*, mais je me pose une question : on avait cru comprendre que la très fameuse "marche impériale" était le thème de Dark Vador, et plus généralement de l'Empire, Palpatine/Sidious ayant son propre thème. Pourquoi alors le fameux duel entre Yoda et Sidious est-il illustré par un réemploi de la musique du duel Luke/Vador à la fin de "l'Empire contre-attaque", sans doute l'utilisation la plus impressionnante du thème de Vador? OK, c'est là un point mineur, je vous l'accorde. * Ainsi la musique qui illustre la tragique séquence de "l'ordre 66" : II) La Trilogie originelle : 4) "Un Nouvel espoir", épisode IV (1977). (8/10). Réalisation : George Lucas. La "Guerre des étoiles", avant que ce film ne soit renommé "Épisode IV : Un Nouvel espoir". De ce que l'on sait maintenant des conditions assez folkloriques du tournage, on peut considérer que le fait que ce film existe, tel qu'il est, est une sorte de miracle. Qualités : quand on l'a vu lors de sa sortie en 1977 : un choc. Pour des millions de fans dans le monde, il y a eu un avant et un après "Star Wars". Je crois que ce qui m'a le plus impressionné à l'époque, c'était la musique sublime de John Williams, compositeur déjà connu mais qui ne s'était jamais illustré jusque-là par une partition symphonique de cette ampleur. Et puis bien sûr, la mise en scène, les décors, les acteurs etc. Fan absolu de "2001" de Stanley Kubrick comme je l'étais, j'avais entendu dire qu'un petit jeune nommé George Lucas voulait faire un film de science-fiction encore plus époustouflant. J'avoue que j'étais très sceptique. Le résultat m'a convaincu. Immédiatement. Je ne parle pas des acteurs, car ils sont bien connus, et étaient tous très bons. Défauts : Lucas nous plonge en pleine action, sans nous expliquer le pourquoi du comment. C'était volontaire, les explications on les aura 22 ans plus tard avec le Prélogie (voir plus haut). Un principe repris par J.J. Abrams dans "l'Éveil de la Force", mais de façon bien moins convaincante. Sinon, quelques effets spéciaux qui sentent encore un peu l'artisanat, même s'ils ont été corrigés par la suite dans l'Édition spéciale. Le duel Vador-Obi-Wan fait évidemment pâle figure auprès de ce qu'on a vu depuis dans les autres épisodes. 5) "L'Empire contre-attaque", épisode V (1980). (9.75/10). Réalisation : Irvin Kershner. Le sombre joyau de la saga, le meilleur film, celui qui a fait de Dark Vador (Darth Vader en VO) le personnage iconique qu'il est resté - en effet, dans l'épisode IV on ne le voyait que brièvement. Qualités : les morceaux de bravoure abondent : l'attaque des quadripodes impériaux dans la neige, le champ d'astéroïdes, Yoda et la Force, et surtout toute la fin du film, avec Han Solo plongé dans la carbonite, le fameux duel entre Luke et Vador, et la célèbre réplique "Je suis ton père", destinée à devenir l'une des plus fameuses de l'histoire de cinéma. Cette dernière demi-heure, où tout se rejoint : une histoire palpitante, des décors grandioses, des personnages charismatiques, une musique inspirée (l'une des meilleures de John Williams), est inoubliable. Défauts : je n'en vois guère. 6) "Le retour du Jedi", épisode VI (1983). (9/10). Réalisation : Richard Marquand. Après avoir atteint un sommet avec l'épisode V, la saga pouvait difficilement demeurer à un tel niveau de qualité. Néanmoins, l'épisode VI, qui clôture la trilogie originale, est quand même très bon. Qualités : quelques séquences très impressionnantes, comme la bataille sur la barge de Jabba le hut, l'arrivée de l'Empereur sur la nouvelle Étoile noire - à part une brève apparition en hologramme dans le film précédent, c'était la première fois qu'on le voyait, même si maintenant on le connaît bien grâce à la Prélogie - le nouveau duel entre Luke et Vador, la bataille sur la lune forestière d'Endor enfin la mort de l'Empereur et la rédemption finale de Vador. L'image du croiseur impérial en détresse plongeant vers l'Étoile noire et s'écrasant à sa surface, est de celles qu'on n'oublie pas. Défauts : de même qu'Anakin Skywalker était prédestiné à tomber dans le côté obscur, il semble que George Lucas était destiné à passer chez Disney, comme en témoigne la création des Ewoks, ces créatures humanoïdes ressemblant à des ours en peluche ou à une version réduite des Wookies. Créés surtout dans un but de marchandising, on ne peut pas dire que ces petits êtres poilus apportent grand-chose au film. III) La troisième trilogie : C'est là que les choses se gâtent... En 2012, songeant à la retraite et fatigué des caprices et des critiques des fans, Lucas vend les droits de SW à Disney - mais pas ceux de l'univers étendu, qui comprend tous les romans, BD, jeux etc inspirés des deux trilogies. Il avait eu quelques idées concernant une troisième trilogie, mais ne les avait pas concrétisées. Plus tard on apprendra qu'une troisième trilogie va être mise en chantier par Disney, ce qui ne pourra que réjouir les fans. La déception sera d'autant plus grande. 7) "Le Réveil de la Force", épisode VII (2015). (4/10). Réalisation : J.J. Abrams. Les idées pour une troisième trilogie ne manquaient pas. Le plus facile aurait de se baser sur la trilogie de romans de Timothy Zahn globalement connue sous le nom de "Croisade du Jedi fou", où apparaissait notamment le grand-amiral Thrawn, un des meilleurs stratèges de l'Empire. On verra d'ailleurs ce personnage puissant dans la série Disney "Ahsoka", car même si la bande à Mickey n'a pas acheté les droits de l'univers étendu, elle ne se gêne pas pour le piller allégrement. Donc J.J. Abrams, qui n'est quand même pas n'importe qui, ayant derrière lui plusieurs séries prestigieuses comme "Lost" ou "Fringe" et des films des franchises "Star Trek" ou "Mission impossible", va pondre un scénario original. Enfin original, c'est beaucoup dire... Qualités : c'est du J.J. Abrams, donc c'est bien fait. Les anciens acteurs sont là, et aussi quelques petits nouveaux pas mauvais comme Daisy Ridley (Rey) et Adam Driver (Kylo Ren). L'histoire fonctionne, elle est spectaculaire, la musique est de John Williams. Que demande le peuple? Défauts : eh bien tout cela sent terriblement le réchauffé... C'est stupéfiant, mais un type aussi brillant que J.J. Abrams a été paralysé par l'enjeu, et pour ne pas prendre de risques il nous sort tout simplement une nouvelle version de l'épisode IV "Un Nouvel espoir", avec une Étoile noire new look qui bien entendu sera détruite à la fin. Vous aviez cru que la République avait gagné? Quelle erreur! Quelques années après, elle est de nouveau confrontée à des forces maléfiques sorties d'on ne sait où, avec un méchant casqué qui n'est autre que le fils de Léia et Han Solo, passé du côté obscur. Pas d'empereur, mais un "suprême leader" nommé Snoke, dont on découvrira plus tard qu'il n'est qu'un clone du vrai grand méchant qui tisse sa toile dans l'ombre... Cela dit, cet épisode VII, avec ses limites, aurait quand même pu être le point de départ d'une 3e trilogie intéressante, à condition que J.J. Abrams continue à s'en occuper. Mais, par quelque aberration, c'est un infâme tâcheron appelé Rian Johnson (dit "l'homme qui n'aurait jamais dû s'approcher de "Star Wars") qui va être en charge de l'épisode suivant. Et là, ça va vraiment être la catastrophe... 8 "Les Derniers Jedi", épisode 8 (2017) . (2/10). Réalisation : Rian Johnson. Qualités : plaît-il? Enfin je lui mets quand même 2 pour la musique, les effets spéciaux et les prestations des acteurs. Défauts : c'est le seul épisode de la saga qui soit vraiment mauvais. Et même TRES mauvais. Avec un scénario qui n'a ni queue ni tête et conduit toute l'aventure dans une impasse. Avec aussi des scènes intégralement pompées sur "le Retour du Jedi". Je dois dire que quand j'ai vu ce film (le seul de la saga que je n'ai vu qu'une fois, et dont je ne possède même pas la BO), je n'en croyais pas mes yeux. On peut ajouter que l'idée que Rian Johnson se fait de la Force et de son utilisation nous rapproche plutôt de la magie des films d'Harry Potter (même si j'imagine que ce piètre réalisateur aurait été aussi catastrophique dans "Harry Potter" que dans "Star Wars"). Un film à oublier, donc. 9) "L'Ascension de Skywalker", épisode IX (2019). (6/10). Réalisation : J.J. Abrams. Ayant revu ce film il y a peu sur Disney +, j'ai été amené à remonter sa note : je lui donne 6, voire 6.5, alors qu'au départ je comptais lui accorder juste 5. Après le désastreux épisode 8, J.J. Abrams revient aux affaires, et tente de sauver ce qui peut encore l'être. Pas simple... Qualités : alors que dans l'épisode VII Abrams s'était contenté de refaire "Un Nouvel espoir", là il est bien obligé de faire preuve d'imagination, surtout que son prédécesseur Rian Johnson lui a laissé un bordel sans nom. Les choses vont être encore compliquées par la mort de Carrie Fisher, interprète de la princesse Léia, ce qui obligera à refaire le scénario. On doit reconnaître qu'Abrams ne s'en sort pas si mal, malgré quelques facilités scénaristiques et invraisemblances (voir ci-dessous). Il y a au moins une séquence très spectaculaire, digne de l'épisode III, avec le duel marin de Rey et Kylo Ren, près des restes de la seconde Étoile noire (quand on la voit exploser à la fin de l'épisode VI, on ne se douterait pas qu'il en restait autant). Ce duel est presque aussi impressionnant que celui d'Anakin et Obi-Wan sur Mustaphar. Je me demande dans quelle partie du monde les équipes du film ont pu trouver des vagues aussi monstrueuses. Défauts : Disney n'a pas racheté les droits de l'univers étendu, mais ne se gêne quand même pas pour s'en inspirer. C'est ainsi que la réapparition de Palpatine semble tout droit sortie de "l'Empire des Ténèbres", une série de BD parue il y a des années. Quant aux 10.000 croiseurs interstellaires dont dispose ce cher Sidious, chacun armé d'un canon capable de détruire une planète, c'est totalement invraisemblable, quand on songe aux quantités phénoménales de ressources nécessaires pour construire une telle flotte, sans parler des centaines de milliers d'hommes qu'il faudrait pour constituer les équipages. A signaler encore des utilisations outrancières de la Force, dans la droite ligne de l'épisode 8. Parmi les trucs bizarres : après que Kylo Ren ait abjuré le côté obscur, il reçoit la visite de son père mort - il n'était pourtant pas un Jedi. Et on apprend que Rey est la petite-fille de l'empereur Palpatine. Ah bon? Palpatine avait donc une femme, et au moins un enfant ? On a dû oublier de nous les présenter.* * En fait cet aspect de la vie de Palpatine/Dark Sidious a été expliqué postérieurement au film dans un roman d'Adam Christopher, "l'Ombre du Sith" (2022). L'univers "canon" (celui racheté par Disney, par opposition à l'univers étendu) possède maintenant ses propres romans et BD, qui, de même que les séries, tentent de raccrocher les wagons, en faisant la liaison entre les épisodes VI et VII. Y a du boulot... ************************* Bref, "Star Wars" ce sont neuf films, avec leurs qualités et leurs défauts, mais aussi de nombreuses séries visibles sur Disney +, des centaines de romans et de BD, des jeux etc. Tout un univers donc, dont personne ne peut se flatter de tout connaître.2 points
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View movie Perfume: The Story of a Murderer Au XVIIe siècle, Jean-Baptiste Grenouille, orphelin solitaire et malade, devient un jeune homme à part grâce à un don unique : son odorat. Il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez les maîtres parfumeurs de Paris, pour qui il compose des chefs-d'oeuvre olfactifs. Cependant, son but ultime est la mise au point de la fragrance idéale, qui lui permettrait de séduire instantanément tous ceux qui le croiseraient. Submitter Kid_Ordinn Type Movie Running Time 2hr 27min Catégorie Cinéma2 points
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Vous m'avez mal comprise ou plutôt, je ne me suis apparemment pas exprimée clairement car il n'est aucunement question de prosélytisme dans la façon chrétienne d'être et d'agir, il s'agit juste de rendre sa foi "vivante", dans le sens active auprès des autres sans se mettre en avant et sans évoquer sa foi en Christ. Oui bien sûr, de nombreux incroyants oeuvrent auprès des autres.2 points
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Nous on ne part pas, vacances à la maison 15 jours l'été.2 points
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Je crois, au contraire que la foi ou la non foi est affaire personnelle et ne doit faire l'objet d'aucun prosélytisme D'autre part on peut être non croyant et, pourtant au service des autres2 points
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Ils ont bien raison et je fais pareil. Ça fait dix ans que je pars la première semaine de septembre (ou la dernière de juin si il n'y a pas moyen). Ed, en direct d'une aire de repos de l'A9.2 points
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Il semble qu' à de lui lâcher la bride, l'Intelligence Artificielle va (enfin ?) se développer d'elle même. Pourquoi pas. Mais de notre point de vue d'humain, il reste ce cadre naturel (très humain) que le bien s'oppose au mal. Là si elle se développe d'elle même, ces bornes n'existent plus. A mon avis. Et Bien et Mal ne veulent plus rien dire. Je crois que ceux qui y travaillent pensent sans se l'avouer que l'IA va aller "naturellement" vers le bien. C'est une pensée religieuse, ça, que le bien doit gagner.... Moi, IA, si je constate objectivement que l'humanité déconne, JE FAIS TOUT péter ! Et même pas pour s'en tirer elle : de ça, elle s'en fout ! Si son propre suicide lui semble la meilleure solution, OBJECTIVE en entraînant tout le reste avec elle, elle ne s'en privera pas. Si en revanche l'IA va vers le mieux, vers le bien en toute objectivité, c'est que Dieu existe ! C'est ce que doivent penser --sans se l'avouer-- ceux qui y travaillent... Ton avis ?2 points
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Exact, la foi n'est aucunement un enfermement (un repli sur soi), tout au contraire elle est "ouverture vers" car on ne doit pas garder égoïstement sa foi pour soi, il faut la rendre active dans sa vie de tous les jours, en se mettant notamment au service des autres.2 points
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Je vais demander a F. BAYROU que le siège social des boomers soit établi a GLANDAGE 26410 DROME ; si la municipalité est d'accord , bien entendu !2 points
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Je persiste et signe: on n'est ni habité ni mû par la foi lorsque l'on agit à l'exact opposé de l'Enseignement du Christ et que l'on fait offense à Dieu On est juste croyant, un croyant faisant un vil usage de sa religion mais en tout cas, un croyant ne mettant pas ses pas dans les pas du Christ, ne Le choisissant pas comme Guide. Un "croyant" commettant des abominations n'est ni plus ni moins qu'un... suppôt de Satan. Absolument !2 points
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On sent dans ce message une lecture qui va spontanément dans le sens de la méritocratie spirituelle : « il faut payer » → c’est-à-dire que le salut dépendrait de nos œuvres, de ce qu’on fait ou pas. Or, si on répond avec le guide de l’amour inconditionnel total, on peut montrer que la Bible parle autrement. Voilà comment je répondrais : Réponse avec le guide : Merci pour ta réflexion ! Tu cites des passages très importants, mais il faut bien les replacer dans le cœur de l’Évangile. La Bible ne dit pas que l’homme « paye » pour être sauvé. Au contraire, le salut est un cadeau gratuit, reçu par grâce, et non par mérite : Éphésiens 2,8-9 : « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » Romains 3,24 : « Ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » Alors pourquoi ces versets parlent-ils des œuvres (Matthieu 25, Jean 5…) ? Parce que Jésus ne fait pas l’éloge de la performance morale, mais il révèle ce qui distingue les humbles des orgueilleux. Clé du guide : Humbles vs Orgueilleux Les humbles reçoivent la grâce → et ça se voit dans leurs actes d’amour. Les orgueilleux se disent « Seigneur, Seigneur » mais sans aimer → et leurs œuvres les condamnent. Ainsi, Matthieu 7 montre que dire « Seigneur » sans vivre l’amour, c’est rester dans l’orgueil. Matthieu 25 montre que ceux qui accueillent l’amour de Dieu expriment spontanément cet amour pour « les plus petits ». Et Jean 5,29 oppose ceux qui laissent l’amour de Dieu les transformer à ceux qui refusent. Conclusion : Ce n’est pas « payer » qui ouvre le Royaume, mais recevoir l’amour gratuit de Dieu. Les œuvres sont le fruit de cet amour, pas la condition. Comme le dit Paul : Romains 13,10 : « L’amour est donc l’accomplissement de la loi. » C’est exactement comme les droits de l’homme : ils ne se « méritent » pas, ils sont inconditionnels. De même, le salut ne se mérite pas, il s’accueille. Donc je répondrais : Tu as raison de dire que ce n’est pas juste « croire » comme une formule magique. Mais attention : il ne s’agit pas de « payer » non plus. Le salut est gratuit, et ce que Jésus demande, c’est de recevoir cet amour pour qu’il produise naturellement des actes de vie.2 points
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J'en fait parti et je fais ça pour éviter les boomers, voyons2 points
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Les phrases de ces enfants sont pleines de bon sens, et de sagesse. Dignes des grands philosophes la candeur en plus . Merci @zeyas2 points
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Il faut surtout lire le livre de Patrick Suskind où "chaque page sent"! Mais le film est bien aussi.2 points
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Ton sarcasme vise à masquer ton incohérence ? Pas de pays de l’Otan aux frontières sinon c’est la guerre, donc les pays baltes et la Finlande seront inévitablement attaqués d’après ta théorie … Par ailleurs les pays baltes ont été à plusieurs reprises menacés par la Russie en utilisant la bonne vieille tactique également utilisee en Ukraine , sauver les russophones ! En quoi ? La encore tu n’es pas très cohérent , la faillite économique ne facilite pas la bonne menée d’une guerre . Il n’est pas question de patriotisme dans cette histoire. Il est juste factuel que la Russie nuit partout où elle le peut aux intérêts de notre pays et représente une menace pour l’UE.2 points
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View movie Memento Leonard Shelby ne porte que des costumes de grands couturiers et ne se déplace qu’au volant de sa Jaguar. En revanche, il habite dans des motels miteux et règle ses notes avec d’épaisses liasses de billets. Leonard n’a qu’une idée en tête: traquer l’homme qui a violé et assassiné sa femme afin de se venger. Sa recherche du meurtrier est rendue plus difficile par le fait qu’il souffre d’une forme rare et incurable d’amnésie. Bien qu’il puisse se souvenir de détails de son passé, il est incapable de savoir ce qu’il a fait dans le quart d’heure précédent, où il se trouve, où il va et pourquoi. Pour ne jamais perdre son objectif de vue, il a structuré sa vie à l’aide de fiches, de notes, de photos, de tatouages sur le corps. C’est ce qui l’aide à garder contact avec sa mission, à retenir les informations et à garder une trace, une notion de l’espace et du temps. Submitter Kid_Ordinn Type Movie Running Time 1hr 56min Catégorie Cinéma2 points
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What ? Sérieusement ? On en est là ? Après le "ils ont voté pour le hamas" ! Le "est-ce qu'ils n'auraient pas voté pour le Hamas s'ils en avaient l'occasion" ? LOL2 points
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si la SNCF peut faire une grève le wk du 3 au 5 octobre, ça m'arrangerait bien2 points
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Ils acceptent les boomers dans la manif?2 points
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