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Bonjour, Ex-directrice de la sécurité alimentaire chez Nestlé, Yasmine Motarjemi a été harcelée pour avoir tenté d’alerter sur des problèmes de sécurité sanitaire. Déjà quinze ans que Yasmine Motarjemi a été licenciée par Nestlé. Mais sa santé mentale est toujours affectée par ce qu’elle a vécu au sein du groupe agroalimentaire suisse. Entre 2006 et 2010, l’ex-directrice de la sécurité des aliments a été harcelée, humiliée, puis placardisée pour avoir fait son métier : alerter sur le danger de certains aliments vendus par le groupe. Yasmine Motarjemi a réalisé de nombreuses recherches et découvert plusieurs produits potentiellement dangereux pour les consommateurs. « On mettait sur le marché des laits infantiles avec des taux de vitamines et minéraux qui n’étaient pas vérifiés, se souvient-elle. Quand je demandais à ce que ça soit fait, on ne donnait pas suite à ma demande. Jusqu’à ce que l’entreprise Humana ait un grave accident : des laits infantiles manquaient de vitamine B1 et des bébés en sont morts. À ce moment-là, ils se sont dit : “Il faudrait peut-être écouter Yasmine.” » Elle cite également l’affaire de la mélamine, qui a intoxiqué 300 000 nourrissons en Chine. « Cette substance chimique issue de l’industrie plastique a été retrouvée dans du lait infantile aux États-Unis. J’ai donc demandé à ce qu’une étude soit faite sur tous les autres produits, notamment en Chine, et cela a été refusé. » C’est à partir de 2006, à l’arrivée d’un nouveau supérieur, que le harcèlement a débuté. « Au début, ce chef a simplement décidé de ne pas me parler et ne pas me donner de tâches à faire. Puis, il m’a retiré mes responsabilités, démantelé le travail que je faisais et mon équipe, transmis mes projets très importants à des personnes qui ne comprenaient pas de quoi il s’agissait et qui sabotaient le travail, bloqué mes instructions, etc. » accuse Yasmine Motarjemi avec une voix encore tremblante de colère. Humiliée, elle est tombée en dépression... Pendant quatre ans, Yasmine Motarjemi a continué à lancer des alertes et à réclamer à la direction du groupe un audit sur la sécurité des aliments, constamment refusé. En 2010, Nestlé lui a proposé un poste de conseillère au directeur du centre recherche, bien payé mais sans responsabilités et en dessous de ses compétences. « Je leur ai répondu que j’accepterai le placard uniquement s’ils menaient l’audit sur la sécurité des aliments, sinon ils pouvaient me licencier. » Ce sera la deuxième solution. Yasmine Motarjemi a été licenciée en 2010, avec comme motif officiel une divergence d’opinions sur la sécurité alimentaire. Elle a refusé une indemnité de départ de 300 000 francs suisses (319 800 euros) et porté plainte pour harcèlement moral un an plus tard. Le début d’une bataille juridique longue de dix ans, à l’issue de laquelle Nestlé a été condamné par le tribunal cantonal vaudois, en 2020, pour harcèlement moral. Le groupe a dû reverser à son ancienne employée dix ans de salaire et 1 franc suisse pour le tort moral qui lui a été causé. Elle a publié, avec le journaliste Bernard Nicolas, Ce que l’empire Nestlé vous cache (Robert Laffont, mars 2025). Article entier : https://reporterre.net/On-sabotait-mon-travail-Yasmine-Motarjemi-lanceuse-d-alerte-harcelee-chez-Nestle
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Bonjour, Les enseignants d'un lycée de Saint-Tropez dans le Var se sont mis en grève ce lundi 5 mai, après la réintégration de deux élèves qui avaient été exclus en conseil de discipline. Les deux élèves étaient accusés de harcèlement répété. Le rectorat a en effet décidé d'annuler cette exclusion, la jugeant trop sévère. Les élèves de l’établissement non plus n’acceptent pas leur réintégration. Article entier : https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/lyceens-harceleurs-reintegres-les-profs-en-greve_7232583.html
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Une professeure de français est jugée pour harcèlement sur l’une de ses élèves de 6e, qui a mis fin à ses jours. Il est reproché à la professeure d’avoir "humiliée régulièrement" la petite Evaëlle, 11 ans. Evaëlle s’est donnée la mort en juin 2019 au terme d’une année scolaire à Herblay, dans le Val-d’Oise, où elle a dit être victime des humiliations dont elle a fait l’objet de la part de cette professeure. L’enseignante s’est défendue de tout harcèlement ce lundi 10 mars 2025. "Ce n’est pas toujours simple de gérer une classe, vous savez", marmonne à la barre la professeure de français de 63 ans, un foulard et une veste bleu marine. "J’avais 120 élèves par an, je travaille comme enseignante depuis mes 25 ans", clame-t-elle l’air sombre. Un parcours de presque 40 ans, retracé par la présidente qui la présente comme irréprochable, au regard des bonnes appréciations à son sujet. [...] Des humiliations régulières Des heures de vie vécues comme un lynchage La professeure encourt jusqu’à 3 ans de prison et 100 000 euros d’amende. Après son procès, viendra d’ici la fin de l’année celui de deux autres élèves soupçonnés d’avoir harcelé la collégienne. https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/les-documents-franceinfo/val-d-oise-une-professeure-devant-la-justice-apres-le-suicide-d-evaelle-11-ans-7187722
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Bonjour je fais de la documentation sur le Stalking (Harcèlement sur internet ou en réel) par une femme ou un homme que vous connaissiez très peu, que c'est il passé ? Comment avez vous vécu ça ? et comment vous en êtes sortit ? Merci beaucoup pour votre participation
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L’ancien directeur du service départemental d’incendie et de secours de l’Isère a été mis en examen, vendredi 31 mai 2024, pour « harcèlement moral » et « homicide involontaire ». Cette décision intervient dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Grenoble sur le suicide d’un pompier en 2021. Ce dernier avait dénoncé la pression subie dans son travail. [...] Un « acharnement de sa direction » Ces décisions interviennent dans le cadre d’une information judiciaire ouverte fin 2023 à la suite d’une plainte déposée par trois syndicats (Sud, CGT et SA SPP-PATS). Ces derniers estiment que le pompier de 45 ans avait mis fin à ses jours après avoir subi un « acharnement de sa direction ». Il souffrait depuis plusieurs années de dépression. Le soldat du feu avait d’ailleurs intenté deux actions en justice pour abus de pouvoir avant son décès. https://www.ouest-france.fr/societe/faits-divers/suicide-dun-pompier-en-isere-lancien-patron-du-sdis-mis-en-examen-pour-homicide-involontaire-80a07c64-2196-11ef-a85f-954c5336befa
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[...] Lors d’un cours d’histoire-géographie, une élève de 3e prénommée Duygu subit les moqueries de ses camarades. Raphaël s’amuse à faire des blagues sur son prénom, sous les rires des autres élèves de la classe, et la jeune fille commence à s’énerver et crier. La professeure intervient alors, non pas en s’adressant à Raphaël, mais à Duygu : “Il faut que tu comprennes que ce n’est pas nécessaire de réagir.” Et alors que la scène continue, l’enseignante décide de prendre les carnets de plusieurs élèves, dont celui de l’adolescente. Au bord des larmes, Duygu est invitée à “se calmer un peu” et envoyée chez la CPE pour “redescendre en pression”, tandis que Raphaël reste en classe. Puis, un assistant d’éducation reproche à la jeune fille de ne pas avoir parlé de cette situation pesante à des adultes plus tôt. Article complet : https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/son-enseignante-la-sanctionne-alors-quelle-est-victime-cette-sequence-d-un-documentaire-m6-a-choque-les-telespectateurs-2174256
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Bonjour, Ils ne comprennent pas vraiment pourquoi ils sont là ce jeudi, devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, reconnaissant à la rigueur de « mauvaises blagues » entre collègues. Cinq prévenus, tous employés de la société de transport Veynat, comparaissaient pour des faits de harcèlement sexuel et, pour deux d’entre eux, d’agressions sexuelles commis entre le 1er janvier 2015 et le 6 juillet 2022 au siège de la société à Tresses, en Gironde. La société et son dirigeant, en tant que personnes morales, sont poursuivis pour « blessures involontaires ». Reconnaissant simplement des « maladresses », de « l’humour pourri » ou de la « drague lourde » vis-à-vis de leurs collègues féminines, aucun des prévenus n’a exprimé de regrets à la barre. Et seul l’un d’entre eux aurait présenté des excuses après avoir tenté d’avoir un rapport sexuel avec une employée de ménage. Les prévenus sont des cadres, hormis l’un d’eux qui est agent d’exploitation, avec des salaires compris entre 3.100 et 12.000 euros et tous sont pourvus d’un humour bien particulier. L’un des jeux prisés de cette bande était par exemple de faire dire « camion » aux salariées pour leur toucher la poitrine. La procureure parle d'acculturation au harcèlement sexuel chez Veynat. Article entier : https://www.20minutes.fr/justice/4063759-20231123-drague-lourde-maladresses-cadres-juges-agressions-sexuelles-minimisent-faits
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HARCÈLEMENT - La question du harcèlement des femmes au Maroc a rebondi après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo montrant une horde de jeunes hommes traquer une jeune femme marchant seule dans la rue. La séquence dure une dizaine de secondes: on y voit une femme habillée en jean et T-shirt, poursuivie par de nombreux hommes qui tentent de l'encercler sur une avenue de Tanger dans le nord du pays. http://www.huffingtonpost.fr/2017/08/11/une-video-montre-une-horde-dhommes-suivre-une-femme-le-harcele_a_23074823/?xtor=AL-32280680?xtor=AL-32280680 Comme dans de nombreux pays.
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Se positionnant à contre-courant du mouvement de dénonciations publiques des inconduites sexuelles et des gestes déplacés envers les femmes, le collectif, qui regroupe une centaine de comédiennes, d'écrivaines, de chercheuses ou de journalistes, affirme rejeter le « puritanisme » apparu dans la foulée des accusations de harcèlement et d'agression sexuelle portées par une quarantaine de femmes contre le producteur américain Harvey Weinstein. « Le viol est un crime. Mais la drague insistante ou maladroite n'est pas un délit ni la galanterie une agression machiste », écrivent les signataires de la lettre, parmi lesquelles on retrouve, outre Catherine Deneuve, l’auteure Catherine Millet, l’éditrice Joëlle Losfeld, l’actrice Ingrid Caven et la journaliste Élisabeth Lévy. « Délation et justice expéditive » Sans détour, les auteures de la lettre dénoncent les « campagnes de délations » et la « justice expéditive » qui ont découlé du mouvement de dénonciation apparu dans le monde à la suite des révélations, dans plusieurs pays, de femmes connues qui ont affirmé avoir été agressées sexuellement par des personnages publics, généralement en position de pouvoir. Selon le collectif, les mouvements de type #MoiAussi ou #BalanceTonPorc, en France, où des milliers de femmes ont dénoncé des agressions sexuelles présumées et des comportements qu’elles jugent déplacés en pointant des individus publiquement, ont engendré des dérives inquiétantes. « Comme un climat de société totalitaire » Dans leur texte intitulé « Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle », les auteures déplorent que des hommes soient « sanctionnés dans l'exercice de leur métier, contraints à la démission, alors qu'ils n'ont eu pour seul tort que d'avoir touché un genou, tenté de voler un baiser, parlé de choses intimes lors d'un dîner professionnel ou d'avoir envoyé des messages à connotation sexuelle à une femme chez qui l'attirance n'était pas réciproque ». « En face, les hommes sont sommés de battre leur coulpe et de dénicher, au fin fond de leur conscience rétrospective, un "comportement déplacé" qu'ils auraient pu avoir voici dix, vingt ou trente ans, et dont ils devraient se repentir », peut-on lire dans la tribune publiée dans les pages du Monde. L'art censuré Selon ces femmes, la prise de conscience collective contre la violence sexuelle est légitime et devait être faite, mais, écrivent-elles, cet éveil s'est transformé en une forme de dogme qui évacue toute critique ou remise en question. « Cette libération de la parole se retourne aujourd'hui en son contraire : on nous intime de parler comme il faut, de taire ce qui fâche, et celles qui refusent de se plier à de telles injonctions sont regardées comme des traîtresses, des complices! », s'insurgent les 100 signataires. À ce chapitre, elles déplorent de nombreux cas récents de censure d'oeuvres d'art, de films, de livres et de peintures, sous prétexte que leurs auteurs auraient eu dans le passé des comportements jugés inacceptables. Elles dénoncent aussi le fait qu'elles soient désormais l'objet de pressions du milieu pour que leurs personnages féminins soient plus féministes, que les personnages masculins soient moins sexistes et de faire en sorte que les « traumatismes subis par les personnages féminins soient rendus plus évidents ». Citant le philosophe Ruwen Ogien, elles réclament le droit d'offenser, une liberté selon elles indispensable à la création artistique. Pas de liberté sexuelle sans « liberté d'importuner » Cet empressement à « envoyer les porcs à l’abattoir » ne sert pas la cause des femmes, selon les signataires de la lettre, car « loin d’aider les femmes à s’autonomiser [il] sert en réalité les intérêts des ennemis de la liberté sexuelle, des extrémistes religieux, des pires réactionnaires et de ceux qui estiment […] que les femmes sont des êtres à part, des enfants à visage d’adulte, réclamant d’être protégées », déplorent-elles. Selon elle, sans « liberté d'importuner », il ne peut y avoir de liberté sexuelle. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1076959/collectif-femmes-liberte-importuner-hommes-deneuve-porc-moiaussi
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Le drame de Marion, 13 ans, ce soir à la télévision 27/09/2016 Marion Fraisse (ici interprétée par Luàna Bajrami) s’est pendue dans sa chambre après avoir été harcelée. Ses parents s'inquiétaient des milliers de SMS reçus sur son portable. Ils ont aussi découvert à sa mort que Marion avait ouvert un compte Facebook, sur lequel elle se faisait insulter et menacer jour et nuit, comme ce message glaçant : « Va te pendre sale p... ». Une phrase que Marion, 13 ans, a prise au mot puisque le 13 février 2013, cette collégienne s'est pendue dans la chambre de sa maison à Vaugrigneuse (Essonne). Sa tragédie a été racontée dans le livre « Marion, 13 ans pour toujours » (Editions Calmann-Lévy) par Nora Fraisse, sa maman. L'ouvrage vient lui-même d'inspirer un téléfilm diffusé ce soir sur France 3. Le long-métrage sera suivi d'un débat animé par Carole Gaessler puis du documentaire « Souffre-douleur : Ils se manifestent ». (...) Source: leparisien.fr Source et suite de l'article
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Et si au fond, nous étions tous sexistes. Voilà une idée que je défends. Non que je suis pour, mais au contraire, je la dénonce. Trop souvent, le sexisme a été assimilé à un comportement mâle envers une femme, sans que personne ne se dise que le sexisme, c’est la discrimination du sexe, et non celle de la femme. En bref, tout le monde est concerné, y compris les hommes. Et dans ce cas, si le sexisme est une discrimination, je pense que les courants de pensées féministes et masculinistes en sont également. « Celle-là, c’est une pute parce qu’elle s’habille léger » ; « ce mec est un pervers avec son regard lubrique » ; « elle est trop bonne, je me la taperais bien » ; « vous, les hommes, vous êtes tous les mêmes »... Autant de propos aussi discriminants que répugnants qui se sont fait une place dans le vocabulaire quotidien de nos enfants. C’est à se demander si la société chercherait à savoir quel sexe est le plus outrancier à l’égard de son opposé. Moi-même, si je défends les deux sexes, il m’est arrivé de discriminer, parfois volontairement, parfois non, le sexe opposé. Parfois non ? Oui ! C’est à se demander si cela n’est pas inscrit dans l’inconscient psychique de tout être humain. Pensez au sentiment que vous éprouvez envers le sexe opposé, et demandez-vous si vous êtes de ceux qui disent de mauvaises choses volontairement, ou non.
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Premier article, premier coup de gueule, forcément. En faisant des recherches pour ma prochaine vidéo, qui portera sur le harcèlement sous toutes les formes, j’en viens à lire des articles de presse pro-harcèlement. Est-ce une volonté, ou bien est-ce seulement inconscient ? Dans tous les cas, nous avons à faire à une banalisation claire et nette du harcèlement, et ce, sous toutes ses formes. Harcèlement verbal, harcèlement physique, harcèlement de rue, aggression sexuelle... Bref, toutes ces choses que beaucoup vivent au quotidien, sont banalisées. En me promenant place Bellecour, à Lyon, je voyais un jeune garçon aguicher les filles qui passaient devant lui. « T’es charmante », « T’es bonne », « Eh toi ! ». Ces jeunes filles, qui devaient avoir entre 15 et 25 ans, n’avaient rien demandés. Les forces de police, qui passaient, et qui repassaient devant cette scène, ne disaient rien. Nous avons ainsi à faire à une banalisation, et pire encore, à une tolérance de ce harcèlement. Par contre, quand c’est un garçon qui se fait tabasser par des délinquants de banlieues pas très fréquentables, la police arrive en fanfare ! C’est une honte. Il faut maintenant qu’il y est des actes pour que ce soit condamnable. Quand il s’agit de mots, parfois blessants, parfois oppressants, il n’y a rien. Puis même, quan dune femme se fait violer salement par un connard, on lui demande des preuves quand elle a le courage de parler. Il s’agit là d’un coup de gueule envers la société, les forces de l’ordre, et les parents qui ne savent plus éduquer leurs enfants. Le sexisme devient de plus en plus « normal », le harcèlement devient de plus en plus « normal », mais la parole est toujours aussi muette, et taboue....
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Bonjour, Les brimades subies à l'école laisseraient tout au long de notre existence des traces, tant physiques que psychologiques, faisant de nous des individus plus portés à la dépression, plus angoissés que la moyenne, voire suicidaires, et cela aurait même des répercussions sur notre vie amoureuse avec un taux de célibataires plus élevé chez les anciens harcelés, mais également au niveau professionnel avec un taux de chômage plus importants et des salaires moins élevés par rapport au restant de la population. Voir l'article : Une nouvelle étude, britannique cette fois, vient confirmer l'intérêt de lutter avec force contre le fléau que constitue le harcèlement à l'école. Selon ce document du King's College de Londres, les conséquences du harcèlement scolaire se retrouvent encore chez les victimes quarante ans après les faits (...). Mon lien
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