Le collège, le lycée, la famille je supportais pas. Impression d'être dans un asile de fous, que ce soit vis à vis des profs que des autres élèves.
Calculait la vitesse du vaisseau Apollo autour de la Lune et ces choses là sur une des premières calculatrices scientifique programmable Casio 180 plutôt que d'écouter des cours de merde sur Molière.
Attendre 18 ans pour l'armée de l'air, putain 4 ans a attendre...
Lisait et relisait Saint Exupery, Vol de Nuit, Terre des Hommes, Courrier S
En images, une simple pub pour un parfum. Un chambre d'hôtel, un homme au téléphone, une femme a ses côté, une conversation mystérieuse ... Un mari et sa femme, un business-man et une escort girl, un homme et sa maitresse ? Une belle décapotable qui parcourt les rues d'une ville de lumière. Un rendez-vous énigmatique empreint d'une sensualité à la fois glacée et brûlante. Et une musique enivrante, subtile, lancinante, habile équilibre entre spleen et idéal.
Cette sensation de feutré de la
Le brousouf régulier de ce souffle séculier commence à poindre dans ma nuit. La tâche là bas marquée, s'attache à se démasquer sans se dissocier de ce bruit. Les jets portent une légère odeur de bois brulé, d'huile et de suif échaudés. Le ciel déjà peu clair se recouvre, obscurcis par ses crachats de vapeur. Dans un temps qui ralentis, l'énorme engin envahis l'espace du quai tout gris. L'implacable mécanique dans un crissement de freins fait vibrer tout son métal.
En cette heure impossible j'
Je suis la allongée sur cette table, des personnes sont autour de moi, des visages familiers, je tente de me souvenir de leurs noms, de leurs prénoms, de ses liens qui nous unissent, mais je suis trop fatiguée pour trouver la force de m'en souvenir, mes yeux sont humides, j'ai sans doute versé quelques larmes, une voix me demande de me calmer que tout va bientôt s'arrêter, j'ai mal, mes muscles, mes yeux, pourquoi je souffre, je regarde autour de moi et j'ai l'impression d'être dans une cage, de
Il est 20:45, lundi soir, après une journée de travail, journée qui débute à 05:30 et qui se termine à 21:30. Je suis devant ma feuille blanche, et je me demande par ou commencer, dire que je vais bien, alors qu'au fond je sais que je vais mal, je suis un clown qui se maquille tout les jours pour impressionner ces collègues pour sa joie de vivre, son ambition, sa motivation, mais le soir lorsque je prends ma douche j'enlève ce masque joyeux pour retrouver un sourire fade, qui tente de se voiler
Morphée aime à jouer avec mes nerfs
Il ne se laisse pas saisir, l'éphémère
Plein de fourberie, peut être de rancoeur
Il s'amuse, peu importe l'heure
Sa meilleure ruse est la diversion
Cela peut être sous la forme d'un plaisir
Formidable accélarateur temporel
Ou bien un souci, une question existencielle
Mais bien souvent je dois en convenir
C'est cette incéssante obsession
Fier de m'abandonner
Il me nargue en laissant ses traces
Et je devrais implorer pitié
Pour qu'en un
Il est 20:14, un dimanche, comme les autres, hier je suis allée voir le dernier film de Guillaume Canet " Les petits mouchoirs ". C'est un très beau film, à la fois drôle & émouvant. Je vous rassure je n'en dirai pas plus, pour ceux qui souhaitent aller le découvrir au cinéma.
Ce film m'a fait comprendre, que la vie ne tient qu'à un fil, et que même si on tente de la gérer du mieux qu'on peut, il y a toujours un moment où elle nous échappe. C'est très dur de tenter de diriger sa vie
Il camoufle ses chutes par des cascades, détourne la conversation par des pirouettes. Il rit de ses échecs et de ses blessures. Il ne s' est pas encore rendu compte que son silence l'emmure. Comme si sa douleur allait disparaître, s 'il ne la montre pas. Il joue de ce déguisement, son numéro parait bien rodé. Le maquillage, ne laisse rien paraître même pas les cernes. Ce masque est l'illusion parfaite avec lequel il les berne. Il abuse de sa capacité à faire semblant, tel le prestidigitateur alc
L'automne
Ah que les couleurs de l'automne sont chatoyantes
ce rouge-orange
ces feuilles pourpres
ce dégradé de couleur dans les arbres
ces chemins forestiers de toute beauté
jonchés de feuilles aux différentes couleurs
que j'aime l'automne
me promener main dans la main
courir sous les branches mouillées
essuyer mes lunettes constellées de gouttes d'eau
sourire à la nature qui est en train de s'éteindre
comme moi d'ailleurs
je contemple ces arbres dénudés
qui sont en
Ce soir j'aimerais l'aborder
poser mon sourire à bord des
contours de ses yeux là, bordés
par les reflets d'mes émotions.
J'aimerais tant que la bordée
de mots doux à son abord dès
que j'les dirais fassent sensation.
Ce soir j'aimerai la border
mais j'ai la trouille, sans rémission.
Je n'ferais rien, pas d'émission.
Pendant des années j'ai été comme ça. Dans un état d'asthénie et dans le cirage total.
Même plus capable de savoir si c'était le matin ou l'après midi quand je me réveillais. Si j'avais pris mes médicaments, si j'avais mangé.
Incapable de me concentrer sur quoi que ce soit, même mes livres et films préférés.
Rien que le fait d'aller aux toilettes et de manger quelque chose, ça m'avait vidé pour la journée et je retournais me coucher tel le zombie, me tenant aux murs, incapable de co
Demain
J'aurais du aller chercher mes enfants
dans le sud
j'aurais du
mais encore une fois
je ne vais pas les voir
que c'est triste la vie
pourtant j'ai rien demandé
je voulais juste me marier et avoir des enfants
vieillir auprès d'une gente damoiselle
mais ce ne fut pas le cas
dommage pour moi
alors
je vais continuer le chemin
qu'avait commencé nos ancêtres
mais là cela devient de plus en plus dur
à vivre
je secoue la tête
je suis pensif
je sais que cet
Je me permet de recopier un dossier paru dans Sciences et Avenir en 2003 sur les neurones du divin :
Aurions- nous des neurones spécialisés dans le divin ? Seraient-ils le fruit de l'évolution multimillénaire de notre néocortex ? Enquête sur ces " neuro-apôtres ", surtout américains, qui dissèquent la religion et la foi.
L'arrivée de la conscience s'est réalisée comme une métamorphose : c'est l'effet papillon, un battement d'ailes neuronal, qui nous a emportés dans un monde d'intelligen
Je viens de découvrir Focus, groupe allemand de rock progressif, de la même lignée que Yes, Elp et autres groupes dans un style de musique que j'adore, quelques vidéos de ce groupe :
Voici les membres originels :
Thijs van Leer - chant, flûte traversière et claviers
Jan Akkerman - guitare
Bert Ruiter - basse
Pierre van der Linden - Batterie
A noter comme pour le groupe Jetthro Tull la présence d'une flute traversière.
Où est donc la voix qui est venue hanter
cette nuit ma pensée, mes rêves engourdis,
réclamant de mes doigts qu'ils viennent pianoter
ici des mots posés, pour elle, ce jour dit.
Si elle, seulement, m'avait dans mon brouillard
laissé entrevoir celle qui m'a commanditée
j'aurais trouvé comment, j'aurais su, débrouillard,
dépeindre ici la belle, en toute partialité.
Mais seuls des mots émis par cette voix si douce
ont pénétré mon rêve, pas le moindre visage.
Depuis moi j'en frém
All alone now
Except for the memories
Of what we had and what we knew
Everytime I try to leave it behind me
I see something that reminds me of you
Every night the dreams return to haunt me
Your rosary wrapped around your throat
I lie awake and sweat, afraid to fall asleep
I see your face looking back at me
CHORUS
And I raise my head and stare
Into the eyes of a stranger
I've always known that the mirror never lies
People always turn away
Frome eyes of a stranger
Afraid to know wh
Indécence et exhibition
Quand je vois ces corps lascifs étalés
montrant leurs corps dénudés
et nus
quand je vois ces filles qui se montrent nues
rien que pour de l'argent
je détourne le regard
je hâte mon pas
quand j'entends le clocher de l'église
qui sonne pour la messe
je me demande dans quelle monde vivons-nous ?
ce paradoxe entre ces belles filles se montrant
et ces grenouilles de bénitiers
je me frotte les yeux
et je me dis que le monde est fou
mais n'est pas
Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse.
Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui.
Tout cela on peut le comprendre sans
Je me demandais : "on ne peut pas répondre ?" Mais oui !
Fallait descendre en bas de page !
Ton raisonnement est juste ! Et pourtant je ne suis pas du tout d'accord !...
J'essaie donc de comprendre pourquoi... C'est peut-être parce que tu considères que le Bien et la Souffrance existe en soi. Qu'ils sont des "entités", presque des sujets. Tu dis par exemple que le bien veut ou peut vouloir ceci ou cela, et la souffrance aussi. Pour moi ils ne sont que des concepts (imaginaires),