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echoo

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À propos de echoo

  • Date de naissance 12/06/1912

Informations Personnelles

  • Sexe
    Homme
  • Lieu
    quelque part au douar
  • Intérêts
    Tout ce qui est bon pour la santé physique , morale et pour maintenir l'âme en vie.
    amour, les arts ,musique-peinture-caricature-internet-sport-chasse et pêche,plongée sous marine.Bricolage-écriture-.....
    Et surtout la bonne bouffe et la belle vie dans l'humour et le respect des autres...

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Réputation sur la communauté

  1. Pour l'instant personne n'est revenu du paradis ou de l'enfer pour nous rendre compte.A question absurde, réponse absurde.
  2. echoo

    ?

    on retrouve à travers certains passages "la théorie de l'esclave".On se sent esclave de soi même, de ses propres idées ,de la vie et finalement de son "maitre", Pour se liberer il faut liquider son " passif et son actif" ainsi que son maitre. Peut-on tuer "Dieu ? impossible puisque notre parcours s'arrêtera tôt ou tard ! chercher à comprendre en poussant plus loin son raisonnement, c'est multiplier les questions sans réponses. A ce stade, c'est le point d'interrogation qui s'interroge lui même pour chercher une réponse à ses absurdités. Un véritable casse-tête !
  3. echoo

    Merci pour vos vœux et, bonne et heureuse année 2016 pour vous et toute l'humanité.

  4. echoo

    Du rififi en vue en Algerie

    Tout ce que je constate et resent en tant que citoyen algérien, c'est que mon pays à eu son indépendance en 1962 vis à vis de l'occupant français mais pas la liberté. La lutte continue et la partie est loin d'être gagnée ni perdue, c'est une question de temps :la liberté ne se donne donne pas, elle s'arrache et tout le reste (arabe, bérbére, juif...) ne sont que des arguments spéculatifs qui ne doivent en aucun cas dévier nos objectifs à savoir ,construire un état démocratique respectueux des droits de l'homme. Cà ce fera avec un état moderne intégré dans une entité maghrébine ou le racisme, l'antisémitisme et le chauvinisme cultuel ou autre exclusion n'auront pas le droit de citer.
  5. echoo

    Un monde à l'envers

    En plein dans le 1000 ! Trop de gaspillage pour rien, trop de guerres, trop de violence insensée! l'humain a perdu le sens de la mesure et sa cupidité sans limite précipitera sa perte
  6. echoo

    Bonne année 2016

    L’année 2015 tire sa révérence pour laisser place à une nouvelle. Elle a emporté avec elle bon nombre d’âmes innocentes dont le seul tort est d’être au bon endroit mais à un mauvais moment face à des « tangos » barbares sans foi ni loi. Beaucoup d’autres, dans leur fuite éperdue vers l’exil forcé, seront rattrapés par le mauvais sort pour payer le tribut de la bêtise humaine. Bon nombres seront engloutis par les flots et , ceux qui auront la chance d’échapper au naufrage seront marqués à vie du sceau de la fatalité. Rien ne va plus en ce bas monde ! Telle est la décision irrévocable prise par « ceux d’en haut », le tout financé sur fonds des « pétro-péteux »gardiens autoproclamés du temple, auto-investis d’une mission sacro-sainte consistant à faire chier« ceux d’en bas ». Une nouvelle page vierge s’ouvre devons nous et s’offre toute blanche pour recueillir d’autres faits inattendus,d’autres histoires inédites, d’autres bêtises humaines toutes faites pour contrarier nos aspirations au bonheur. Beaucoup paieront le non dû, parfois sous l’œil indifférent d’un « pseudo humanisme » qui a perdu ses principes les plus basiques. Au douar, nous sommes toujours là, qui debout,qui assis parfois sur des pierres ou autres sièges de fortune, scrutant l’horizon bouché à attendre quelque chose qui tarde à venir et qui ne viendra surement jamais : cette chose virtuelle à laquelle les déprimés s’accrochent en dernier ressort quand rien ne va plus : l’espoir.- « L’espoir fait vivre »,dit-on ! Certes, mais à condition d’être porté par un combat juste et mené sans relâche. Et la partie est loin d’être gagnée ! Certains désespèrent de rencontrer un jour « l’espoir », ce petit mot inventé par l’homme pour lui permettre de tenir le coup en attendant de voir plus clair. Une sorte de bouée de sauvetage que l’on tire du fond de soi-même pour éviter de sombrer corps et âme et continuer à survivre dans ce « douar merdique », les yeux rivés sur le rivage brumeux. Au fur et à mesure que s’estampent les dernières lueurs du soleil pour passer le relai à cette soirée du 31 décembre,nos sombres silhouettes se détachent en contre-jour pour renforcer encore plus les traits de notre misérable condition de « douariens »frustrés évoluant au gré de la « médiocratie »régnante. Ici, même le père Noel, ce personnage virtuel de circonstance, inventé pour offrir des rêves aussi virtuels, est interdit de citer. Il est strictement interdit de rêver, seuls les cauchemars sont tolérés ! Pour « tuer le temps » qui finira tôt ou tard à avoir notre peau,nous discutons sur n’importe quoi et ,dans notre « tchatche », le sujet favori porte toujours sur « ceux d’en haut » et « ceux d’en bas ». - « Ceux d’en haut » ont bloqué l’ascenseur pour nous empêcher de monter ! – disent certains. -Non !, pire encore !, comme promis dans leurs mensonges, ils nous ont bien lancé une corde pour monter, mais ils ont mis plein de graisse ! -Même Dieu le « très-haut » est avec «ceux d’en haut », puisque son siège est en haut dans les cieux ! -Oui, on monte bien au paradis et, on descend aux enfers ! C’est clair, net et précis ! Ils sont très nombreux à travers le monde «ceux d’en bas » et leur nombre ne cesse d’augmenter d’une manière exponentielle, eux qui s’octroient le privilége d’être en accointance avec la misère constante et persistante. Les conditions sociales et les préoccupations communes qui les animent déclenchent en eux cet instinct grégaire qui fait rapprocher les êtres de même espèce. L’instinct communautaire se renforce et trouve toute son expression, la force de sa dynamique, dans le principe : se fondre dans le groupe pour mieux accepter sa condition et assurer sa survie. Un jeu d’équilibre entre les forces du « mal-être » et celles sous-tendues par l’espérance légitime au « bien- être ». Malgré les vicissitudes de la vie,certains trouvent toujours un palliatif pour rire de leur propre malheur ;doux paradoxe imposé par le souci de trouver un « placébo » dans la formule: rire du malheur des autres pour mieux supporter le sien. Supporter le fardeau et s’accrocher à la vie en se persuadant qu’il y a pire et plus pire que pire. Dans ce jeu, Ils s’inventent des sobriquets quelquefois cocasses. Celui-ci est surnommé « le vélo » ;un sobriquet qui lui colle bien, vu sa « carcasse » arc-boutée qui rappelle celle d’un cycliste. A le voir venir de loin, il donne l’impression de chevaucher un vélo invisible. La réalité est que la « carcasse » du « pôv-type » n’arrive plus à supporter le fardeau du chômage. Usé moralement et biologiquement par le désespoir, il est bon pour la retraite anticipée avant même d’avoir goûté au labeur d’un job. C’est aussi très pénible de ne pas travailler ! Celui-là a été baptisé « le sphinx » à cause de sa position inerte, toujours au bar assis devant une bouteille de bière pour noyer ses chagrins, les avants bras tendus, paumes des mains bien à plat sur la table. Lui, sa « carcasse » est là, bien installée, mais son esprit vagabonde ailleurs pour visiter les contrées lointaines, hors des frontières du« douar » ; ses yeux brouillés par les vapeurs éthyliques vous regardent sans cligner, mais lui, il ne vous voit pas. Il ne bouge occasionnellement que pour chasser une mouche devenue trop agaçante ou pour appeler le serveur pour « remettre çà ». Il peut rester des heures durant dans cette position sans brancher et sans dire mot. « Le sphinx » ne fume pas, ne chique pas et surtout ne crache pas. UnD.E.S en poche, çà fait presque deux ans qu’il se « roule les pouces » et survit de petits boulots occasionnels. A voir sa « tignasse » ébouriffée, il commence à déprimer et ne tardera pas à disjoncter. Un autre a été surnommé « le lion de la soupente ». Je ne sais où ils sont allés chercher ce sobriquet pour le coller sur un « gusse » dont l’allure générale n’a rien à voir avec celle d’un félin, plus particulièrement le lion, le roi des animaux. Il passe son temps adossé au mur, debout sur une jambe, l’autre pliée à angle droit pour prendre appui pour mieux renforcer sa posture. Coiffée d’une casquette flambant neuve griffée d’une « virgule », sa cervelle est restée intacte et n’a jamais fonctionné depuis qu’elle a été éjectée de l’école primaire. Et, Il tient absolument à la préserver de l’usure et la maintient jalousement tout le temps en veilleuse. De temps en temps, il détache son pied du mur pour assurer la relève de son autre jambe et profite de cet « entre acte » pour jeter un coup d’œil sur la « virgule » apposée sur sa casquette « made in china » contre faite pour imiter une grande marque. Il en tire une grande fierté et toute sa vision des choses s’arrête à sa casquette. Il siffle sans cesse un refrain interminable connu de lui seul et, quand il parle, il ne termine jamais ses phrases…..ilbug ! Ses neurones se déconnectent et, à vous de déchiffrer la suite dans la gestuelle. A le voir de loin dans ses fringues, il donne l’impression d’un grand « sprinter » en attente du coup de starter pour débouler en trombe sur le parcours olympique du «douar »,tracé par la seule et unique ligne droite entre l’épicier et la mosquée. Plus loin, la piste poussiéreuse plonge directement dans un oued assoiffé. A regarder notre félin de plus prés, la déprime vous envahit soudainement et une sorte de morosité s’installe face à la réalité amère : notre champion a marqué son petit territoire par un tas de mégots et la dernière bouffée de sa cigarette encore fumante est accompagnée d’une « quinte », signe évident de mauvais présage pour la santé de notre « lion de la soupente ». Il n’a jamais travaillé, ni songé à travailler et, il est pour lui, hors de question de trimer tant que la pension de sa « vieille mère » couvre ses besoins vitaux. Il ne quitte son mur que pour se diriger directement vers la « mangeoire »,assurer le plein et revenir illico-presto « faire le pied de grue » dos au mur. Un tas de projets lui tient à cœur pour la nouvelle année 2016 : -conserver sa cervelle plombée intacte, -astiquer la « virgule » de sa casquette, - vivre pour manger aux frais de « la vieille », -se « délester » et tirer la chasse ! -Rien d’autre ! -Et la boucle est bouclée ! A l’allure où vont les choses au « douar » comme ailleurs de par le monde, point de salut pour les règnes animal et végétal et, pour berner une fois de plus nos illusions, nous nous adressons mutuellement nos meilleurs vœux pour souhaiter une bonne année 2016 , alors que les 2015 séquelles qui ont ravagé nos quotidiens ont déjà hypothéqué l’espoirde voir un jour l’humanité toute entière baigner dans le bonheur sans exclusion aucune . Dans l’attente de réaliser ce rêve insensé, rien ne nous empêche d’offrir juste un petit sourire, une petite caresse ou tout simplement une douce petite parole. Si non, faisons semblant de vivre en paix sur nos vœux pieux ! Sur ce, à vos souhaits et « bounannie » 2016 !
  7. Je commence à regretter " Ben Ali" ; le printemps arabe a été éphémére et,en tunisie comme ailleurs, c'est déjà l'automne ! Pourtant, c'est trés beau un sein
  8. echoo

    Les mille et une nuits

    Interessant et encourageant dans l'espoir de voir un jour le "monde arabo-muslim" opérer sa révolution sexuelle, se dévoiler au sens figurer du terme pour rendre à la femme ce qui a été toujours sien :son droit à la séxualité sans tabous. Malek Chebel aborde des sujets d'actualité pour dire haut ce que les muslims modernistes pensent trés bas.Sa plume éguisée dérange déjà l'ordre établi.Que reste t -il des arts dans un monde de brutes où la femme est interdite d'expression par un Q.I fondamentaliste d'arriére garde,encouragé par des monarques médiévaux ?
  9. un petit coucou pour notre princesse bien aimee

  10. Merci Echoo pour le commentaire ;-)

  11. echoo

    Abou He ouf bouffe

    salut Ella :) y a des cas dramatiques et; comme on dit ; dans ces situations vaut mieux être seule que mal accompagnée. Je connais une rescapée qui a sû comment défaire le fil attaché à sa patte. Depuis elle est toujours en trés belle forme et a embellie .Que du bonheur
  12. echoo

    Abou He ouf bouffe

    Une fois suis tombé de mon lit en faisant des cabrioles et .... la suite tu l'as connais
  13. echoo

    Abou He ouf bouffe

    Au "douar", comme ailleurs , c'est le "ramadane" qui s'invite durant tout un mois pour faire table rase et brider les tubes digestifs pendant toute la journée. Pas de plage,pas de boisson et de nourriture ou toutes formes de plaisirs charnels. En dehors de la canicule et de l'estomac vide qui vous plombent la cervelle, rien de plaisant ne vient vous porter secours pour soulager votre detresse. Rien,nothing,walou, ! le temps semble figé,suspendu comme ce soleil au zénith bien décidé à vous cramer la cervelle . En un rien de temps,votre activité est inhibée par ce contrat sacré qui vous incite à devenir pathologiquement amorphe, avec l'impression de vivre uniquement pour manger. Un coup de fil m'a sorti de ma torpeur et ,pour " tuer le temps" comme disent certains jeûneurs désoeuvrés, j"ai décidé de me branché exceptionnellement et temporairement pour partager avec vous le contenu de ce petit billet. Peut être aussi une maniére de me soulager en vidant mon sac de ce qui l'encombre . "Je souffre intérieurement et çà fait presque une semaine que je suis absente au boulot à cause de mon oeil "au beurre noir", me dit elle. "Il m'a cogné injustement ,pour une futilité et en plus devant les enfants",ajoute t'elle la gorge nouée par un sanglot difficilement retenu. Le coupable de ce forfait inqualifiable n' est autre que le mari de la dame . Et en plus,le "cogneur" ne se génera pas pour se mettre à table le soir pour goûter au repas préparé et copieusement servi par sa victime,sa compagne,la mére de ses enfants . Une fois bien répu, il osera encore la regarder droit dans l'oeil avec la satisfaction maso d'un mâle dominant. La dame s'est abstenue de porter plainte(à cause de ses enfants) et compte sur le temps pour effacer la douleur.Le mari pour se disculper, impute son geste à "ramadane". Mon seul mérite pour cette sacrée journée et d'être attentivement à l'écoute pour soulager quelque peu ce coeur qui souffre inutilement et sans raison. Le coeur tendre d'une amie adorable qui a la malchance de tomber entre de mauvaises mains pour subir l'humiliation. Je me suis débranché,complétement disjoncté devant tant de "sinistrose" et j'ai décidé de plomber toutes mes neurones jusqu'à la levée de la consigne prophétique. Sur le même chapitre, un citoyen du douar voisin ( chrétien ou athée ? muslim réfractaire ? malade?provocateur ?) , a eu la mauvaise idée de déguster un casse-croute dans un coin de rue.Surpris en flagrant "déli de bouffe" par les flics, il a eu droit à la une des journaux avec une clavicule déboitée et des hématomes. Pendant ce sacré mois, les jeûneurs se vouent corps et âme à leur foi en observant scrupuleusement ce qui leur tient tant à coeur : - la provoque, - s'approvisionner frénétiquement toute la journée pour s'empiffrer le soir et toute la nuit. - veiller jusqu'à l'aube pour freiner ses activités la journée... Ventres creux n'ayant pas d'oreilles,les ésprits affamés s'échauffent trés vite et il arrive que des explications musclées viennent perturber sans cesse votre quiétude et l'ordre public. Mois de piété,de miséricorde,du pardon et de la dévotion, prétendent certains,ceux-là même qui ont toujours les nerfs à fleurs de peau. Pour un oui,c'est la prise de bec, Pour un non,c'est l'insulte assaisonnée d'insanités variées, Pour un oui + un non,c'est l'empoignade et le pugilat qui se termine aux urgences. Aux urgences c'est la pagaille .Le personnel médical est débordé.,les capacités d'accueil sont saturées : aux polytromatisés des accidents de la route,tabassés et bléssés divers de la journée, viennent s'ajouter les intoxiqués des repas copieux et indigestes du soir . Et pour bien faire monter la sauce,tout ce beau monde est accompagné des membres de la famille ,des amis tous nerveux et pressés pour passer en priorité chez le toubib. Les couloirs étroits des urgences sont envahis et bouchés par la plébe, Les mauvaises initiatives s'en mélent ,s'entremélent,s'entrechoquent,les esprits fulminent de nouveau ,les nerfs ressortent, Débordés,les médecins et l'infirmiére de garde sont fatigués, La patience ayant dépassé ses limites,l'adrénaline commence à faire son effet. Le ton remonte, le rythme cardiaque s'accélere chez les accompagnateurs des patients. Le médecin de garde est pris à partie,séquestré dans son bureau,tabassé,défiguré,.... 15 jours d'arrêt de travail,une plainte est déposée par le toubib qui a eu droit à sa photo qui fait la une des journaux, éxactement comme les cas précédents. . Une gréve est déclanchée par le corps médical ,la situation s'est empirée et les urgences sont totalement paralysées. La boucle est bouclée. çà saigne, çà rote,çà dégurgite,çà déborde,çà coule,,çà péte,çà sent mauvais....c'est la cacaphonie,c'est la cacastrophe ! On remettra çà l'année prochaine à la même période !
  14. Gros Bisous du fond du coeur pour toi ma belle !

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