enfer
Sur ma joue cette larme ne viendra pas je la retiens,
ma muse ayant rompue le charme, ne me laissant qu'effroi, rancœur.
C'est en brisant sa plus belle arme, me laissant là tel un cretin
qu'elle s'est perdue dans ce vacarme où je ressent ce froid au cœur.
Que vais-je faire maintenant que je n'ai plus ce doux repère
qu'est la promesse d'un demain blottit contre son corps radieux ?
Je me remémmore lentement ce moment qui me désespère
Où me tenant de ses deux mains, elle me regarde, me dit adieu.
Sur ma joue cette larme que j'ai eu beau contrecarrer
à pris le dessus sur mes forces et je la laisse s'écouler
sur le peu qu'il me reste d'âme, je ne suis plus qu'un égaré,
un corps vidé, rien qu'un écorce, tout le reste en moi à coulé.
Passer, riez, continuez, votre vie à deux cent à l'heure,
oubliez ce machin ruiné qui à perdu toute candeur,
mais si jamais ma muse joue avec vous et vous irradie
le peu de temps qu'il dure pour vous, profitez bien du paradis.
Pour moi, il est trop tard...
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