Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'suicide'.
18 résultats trouvés
-
https://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers-justice/2024/03/06/suicide-de-l-influenceuse-mavachou-son-ex-mari-mis-en-examen « Des faits de harcèlement » « Ces mises en examen signifient qu'il y a des indices graves et concordants qu'Adrien et son épouse se sont livrés à des faits de harcèlement ayant entraîné la mort de Maëva », a déclaré Me Stéphane Giuranna, avocat du père de Maëva Frossard et de Romain, le compagnon de celle-ci au moment de son suicide, en décembre 2021. https://www.ladepeche.fr/2024/03/06/mort-de-mavachou-lex-mari-de-la-youtubeuse-et-sa-compagne-mis-en-examen-pour-harcelement-11808204.php En décembre 2021, Maëva Czajczynski, une youtubeuse de 32 ans connue sous le nom "MavaChou", mettait fin à ses jours après une violente campagne de harcèlement en ligne. Elle affirmait notamment qu'en plus des attaques dont elle était la cible, ses quatre enfants étaient également victimes de ce phénomène. Juste avant son décès, MavaChou avait déposé plainte contre son ex-mari – lui aussi youtubeur – et contre X pour harcèlement moral.
-
Le parquet de Pontoise a requis le renvoi en procès pour "harcèlement moral" d'une enseignante et de deux camarades de classe d'Evaëlle, une collégienne de 11 ans qui s'était suicidée chez elle, en 2019, dans le Val-d'Oise. En juin 2019, Evaëlle, une élève de sixième, avait mis fin à ses jours en raison du harcèlement qu'elle subissait de la part de sa professeure de français et de plusieurs camarades. Ce samedi 24 février, le Parquet de Pontoise a annoncé avoir requis un procès contre l'enseignante en question et deux élèves. Si le procès a lieu, l'enseignante serait renvoyée devant le tribunal correctionnel et les deux adolescents devant le tribunal pour enfants, indique le parquet, confirmant une information du Monde. Un troisième camarade, mis en examen, a bénéficié d'un non-lieu. Suite : https://www.midilibre.fr/2024/02/24/suicide-devaelle-11-ans-proces-requis-contre-sa-professeure-de-francais-et-deux-camarades-11785793.php
-
Elle cherche consciencieusement tout le long de la voie. Elle choisit plusieurs pierres, essaie un assemblage, en remplace quelques-unes, prend tout son temps, trouve un morceau de bois, une vieille canette. Elle descend tranquillement sur la voie. Elle empile sur le rail les pierres, le bois, les déchets qu’elle a trouvés. Elle remonte, elle s’assoit et attend le train. Elle a trouvé de beaux cailloux ronds, pas trop gros, sinon c’est trop facile. Elle les a alignés sur la rambarde. Elle écoute le bruit des voitures qui arrivent derrière elle et qui se rapprochent pour passer sous le pont. Elles roulent à grande vitesse. C’est pour ça que c’est difficile de toucher les voitures en laissant tomber les cailloux. Elle se penche, concentrée, un premier caillou entre les doigts… Qui veut toujours des accidents Ce serait bien, un accident, personne ne saurait. Elle est fatiguée et elle voudrait partir maintenant mais, elle ne veut faire de mal à personne et surtout, elle répète qu’elle ne veut traumatiser personne. Hein, c’est bien un accident ? - Et vous feriez comment ? - Le train, la voiture contre le train, comme ça je suis sûre. - Vous savez déjà à quel endroit ? - Oui.
-
- 3
-
- maltraitance
- trouble comportement
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
https://www.lindependant.fr/2023/06/07/une-trahison-contre-le-socialisme-kim-jong-un-interdit-le-suicide-en-coree-du-nord-11247502.php Sinon...
-
C’est un beau garçon, il est assis bien droit, sérieux, son regard clair enveloppe la pièce entière. Il n’y a pas d’anxiété dans ses yeux, il est calme. Il n’est pas ici. Il n’entend pas, ne prononce plus une parole depuis des semaines. Le ballet exécuté autour de lui ne le concerne pas, il est en dedans, loin en lui, il s’est mis au secret. Il le sait, parler est une question de survie, ou il redeviendra l’enfant chétif peureux de tout. Il secoue la tête à chaque mot perçu en dehors de lui. C’est impossible. Ecrit Il n’a pas pu parler, dire, c’est trop difficile. On lui a offert un stylo, avec le silence pour tout langage, et il a commencé à écrire. Ecrire le temps, la peur, la peine, les heures, la colère, le cœur qui se vide. Ca lui prend des semaines, des mois, il remplit les pages de sa petite écriture serrée, régulière, ses mots pesés, lus et relus encore et encore. C’est fini, il a écrit. Il envoie tous ses cahiers au regard vert et silencieux qui lui a donné un stylo et un cahier il y a longtemps. C’est fini. Il ne parle pas, il n’écrit plus. Il est parti.
- 3 commentaires
-
- 6
-
- maltraitance
- mutisme
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Le journaliste belge Alain Dremière s'est suicidé en se jetant du dixième étage du siège de la RTBF. Les salariés du groupe se sont rendus à ses funérailles ce mardi. La rédaction est en deuil. Selon "Le Monde" et "AP", Alain Dremière, chef de la rédaction internet et ancien éditeur du journal télévisé, au sein du groupe du service public belge RTBF, s'est suicidé le mardi 14 février. En début de soirée, il s'est rendu à la tour Reyers, le siège du groupe, et s'est jeté du dixième étage du bâtiment. Il était en congés maladie depuis plusieurs mois en raison d'un burn-out sévère. "Trop de collègues s'effondrent sans cesse" Le lendemain, près de 150 salariés de la RTBF ont adressé une lettre à leur direction. "Le suicide de notre collègue fait écho à la situation de plusieurs membres de la rédaction qui ont exprimé leur détresse (...) Les témoignages de souffrance, de mal-être et de violence au travail se sont succédé", ont-ils indiqué. Au cours d'une assemblée, plusieurs participants ont également souligné que "trop de collègues s'effondrent sans cesse" et que "ce qu'on croit être des situations de détresse isolées sont en fait le reflet d'un modèle qui dysfonctionne". Plusieurs personnes ont notamment critiqué le plan de transformation initié en 2018 par la direction afin d'affronter la révolution digitale et d'adapter le management à une transition vers le numérique. Interrogé par "Le Monde," Jean-Paul Philippot, administrateur général de la RTBF, qui pilote ce projet de transformation, ne souhaite pas réagir actuellement. Toutefois, le dimanche 19 février, il a pris la parole dans un message à l'ensemble du personnel, signé par six autres membres de son comité exécutif : "Le choix de la retenue et de la discrétion en privilégiant le recueillement". "Dans l'immédiat, nous avons en place des dispositifs d'accompagnement. L'émotion est vive, des questions sont indéniablement posées. Certaines réponses appartiennent pour toujours à Alain Dremière, d'autres nous incombent. Nous savons que toute transformation pose problème", a déclaré Axelle Pollet, porte-parole de la RTBF, selon des propos rapportés par le quotidien du soir. https://www.ozap.com/actu/en-burn-out-un-journaliste-de-la-rtbf-se-suicide-sur-son-lieu-de-travail/628262
-
Le cinquième rapport de l’Observatoire national du suicide précise et chiffre les alertes lancées par les psychiatres depuis deux ans. La pandémie a fortement augmenté les gestes suicidaires, surtout chez les jeunes, et en particulier chez les jeunes femmes. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-la-pandemie-de-covid-19-les-gestes-suicidaires-ont-fortement-augmente-surtout-chez-les-jeunes-984de5a0-2d2c-11ed-b51f-5704b8d091a6 De janvier 2020 à fin mars 2021, 11 210 décès par suicide ont été enregistrés en France, dont 75 % concernant les hommes. Des chiffres cohérents avec ceux d’avant-pandémie. À partir de la fin 2020, cependant, les recours aux soins automutilations et gestes suicidaires ont très fortement augmenté chez les adolescents et jeunes adultes, particulièrement éprouvés mentalement par les confinements. Les jeunes filles de 12 à 24 ans sont plus spécialement touchées. En 2021, les appels aux centres antipoison pour tentative de suicide ont augmenté de 50 % dans cette classe d’âge. Pour rappel :
-
Un jeune trader de 20 ans perd 730 000 euros et se suicide
dadum a posté un sujet dans International
Moi qui songeais à intégrer le trading cette année, le doute s'installe en lisant cet article. Qu'en pensez-vous ? -
Bonjour, La téléréalité va t-elle trop loin? La question se pose après le suicide d'une jeune femme sur le tournage d'une émission accusée d'éprouver la dignité des candidats. Le corps de Chun, 29 ans, a été découvert mercredi dans un hôtel de l'île de Jeju où se déroule le tournage de l'émission « Jjak » (Le partenaire) produite pour SBS, une des trois premières chaînes TV du pays. La jeune femme, qui se serait pendue avec le fil d'alimentation d'un sèche-cheveux, a laissé une lettre dans laquelle elle exprime sa volonté d'en finir, a indiqué la police. "Je n'arrête pas de pleurer" « Je n'arrête pas de pleurer. J'ai eu tellement de malheurs dans ma vie, et je veux la terminer ici », a-t-elle dit. Selon le concept de l'émission, dix hommes et dix femmes reclus une semaine durant dans l'hôtel, baptisé « Cité de l'amour », traversent diverses épreuves censées leur permettre de choisir le partenaire idéal. Diffusée depuis 2011, l'émission plonge les candidats dans des états d'émotion extrêmes, les obligeant par exemple à manger seuls, sous l'œil des caméras, s'ils sont éconduits. « Tragédie dans la Cité de l'amour » Sa mère a confié au quotidien JoongAng Ilbo que dans leur dernière conversation téléphonique, Chun disait ne plus pouvoir vivre en Corée du Sud si l'émission était diffusée. Selon des amis cités par le journal, elle accusait les producteurs de vouloir lui coller l'image d'une jeune femme impopulaire et « sombre». Ils tournent « beaucoup de scènes de moi seule (..) pour mieux attirer l'attention sur les couples formés », se désole-t-elle dans un SMS envoyé à des amis. Suite RIP Chun !
-
Suite de l'article
- 112 réponses
-
Le drame de Marion, 13 ans, ce soir à la télévision 27/09/2016 Marion Fraisse (ici interprétée par Luàna Bajrami) s’est pendue dans sa chambre après avoir été harcelée. Ses parents s'inquiétaient des milliers de SMS reçus sur son portable. Ils ont aussi découvert à sa mort que Marion avait ouvert un compte Facebook, sur lequel elle se faisait insulter et menacer jour et nuit, comme ce message glaçant : « Va te pendre sale p... ». Une phrase que Marion, 13 ans, a prise au mot puisque le 13 février 2013, cette collégienne s'est pendue dans la chambre de sa maison à Vaugrigneuse (Essonne). Sa tragédie a été racontée dans le livre « Marion, 13 ans pour toujours » (Editions Calmann-Lévy) par Nora Fraisse, sa maman. L'ouvrage vient lui-même d'inspirer un téléfilm diffusé ce soir sur France 3. Le long-métrage sera suivi d'un débat animé par Carole Gaessler puis du documentaire « Souffre-douleur : Ils se manifestent ». (...) Source: leparisien.fr Source et suite de l'article
- 99 réponses
-
- 1
-
- suicide
- harcèlement
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
SI VOUS PENSEZ AU SUICIDE LISEZ D'ABORD CECI Si vous vous sentez suicidaire, arrêtez-vous pour lire ce qui suit. Cela ne vous prendra que cinq minutes. Je ne veux pas vous dissuader de la réalité de votre souffrance. Je ne vous parlerai ici que comme quelqu'un qui sait ce que souffrir veut dire. Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous lisez cette page. Je sais seulement qu'en ce moment, vous la lisez, et c'est déjà une bonne chose. Je peux supposer que vous êtes ici parce que vous souffrez et que vous pensez à mettre fin à votre vie. Si cela était possible, je préférerais être avec vous en ce moment, m'asseoir avec vous et parler, face à face et cœur ouvert. Mais puisque ce n'est pas possible, faisons-le par la biais de cette page. J'ai connu un certain nombre de personnes qui voulaient se tuer. J'ai moi-même été dans ce cas. J'ai donc idée de ce que vous pouvez sentir. Je sais que vous n'êtes pas capable de lire un gros livre, alors je vais faire court. Pendant que nous sommes ici ensemble pour les cinq prochaines minutes, j'ai cinq choses simples, pratiques, à vous dire et que j'aimerais partager avec vous. Je ne discuterai pas de savoir si vous devriez vous tuer ou pas. Je pense juste que si vous y pensez, vous devez vraiment souffrir. Bien, vous lisez encore ce texte, et c'est très bon. J'aimerais vous demander de rester avec moi jusqu'à la fin de cette page. J'espère que cela veut dire que vous êtes au moins un peu incertain, au fond, quelque part à l'intérieur de vous, de savoir si oui ou non vous allez vraiment mettre fin à votre vie. On ressent souvent cela, même dans l'obscurité la plus profonde de désespoir. Être dans le doute concernant sa mort, c'est normal. Le fait que vous êtes encore vivant à cette minute signifie que vous êtes encore un peu incertain. Cela veut dire que pendant que vous voulez mourir, au même moment, une partie de vous-même veut continuer à vivre. Tenons-nous à cela, et continuons quelques minutes de plus. Commencez par penser à cette phrase : "Le suicide n'est pas un choix, on y est conduit quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face." Dans le suicide, il ne s'agit que de cela. Vous n'êtes pas une personne haïssable, ou folle, ou faible, ou incapable, parce que vous vous sentez suicidaire. Avoir des idées noires ne veut même pas dire que vous voulez vraiment mourir - cela veut juste dire que vous avez plus de douleur que de ressources pour la prendre en charge maintenant. Si j'empile des poids sur vos épaules, vous vous écroulerez au bout d'un moment si j'ajoute suffisamment de poids... quelle que soit votre volonté de rester debout. (C'est pourquoi il est si inutile que les gens vous disent : "debout, garde le moral!" - vous le feriez, évidemment, si vous le pouviez.) N'acceptez pas que quelqu'un vous dise, "il n'y a pas de quoi être suicidaire pour cela." Il y a différentes sortes de souffrances qui peuvent mener au suicide. Qu'une douleur soit supportable ou non diffère d'une personne à une autre. Ce qui peut être supportable pour quelqu'un peut ne pas l'être pour vous. La limite où la douleur devient insupportable dépend du genre de ressources dont vous disposez. Les individus sont très différents dans leur capacité à supporter la douleur. Quand la douleur dépasse les ressources qui permettent d'y faire face, le résultat, ce sont des pensées suicidaires, des "idées noires". Le suicide n'est alors ni faux ni vrai; ce n'est pas un défaut de caractère; il n'y a pas à le juger moralement. C'est simplement un déséquilibre de la douleur par rapport aux ressources qui permettent de les affronter. Vous pouvez survivre à des sentiments suicidaires si vous faites l'une ou l'autre de ces deux choses: (1) Trouver un moyen pour réduire la douleur, ou (2) Trouver un moyen pour augmenter vos ressources pour y faire face. Ou les deux à la fois. Voici les cinq choses à prendre en considération dont je vous parlais tout à l'heure. 1 La première chose que vous avez besoin d'entendre, c'est de savoir qu'on s'en sort. Des personnes qui souffraient autant que vous en ce moment, s'en sont sorties. Vous avez donc de très fortes chances de vous en sortir. J'espère que cette information peut vous donner un peu d'espoir. 2 La deuxième chose que je veux vous suggérer est de vous donner du recul. Dites-vous, "j'attendrai 24 heures avant de faire quoi que ce soit." Ou une semaine. Souvenez-vous que sensations et actions sont deux choses différentes - que vous ayez le sentiment de vouloir vous tuer, ne signifie pas que vous devez le faire maintenant. Mettez du recul entre vos sensations suicidaires et un passage à l'acte. Même si ce n'est que 24 heures. Vous en avez été capables 5 minutes en lisant cette page. Vous pouvez le faire encore 5 minutes en continuant à la lire. Continuez et prenez conscience du fait qu'alors que vous vous sentez encore suicidaire, vous n'êtes pas, en ce moment, en train d'agir en ce sens. C'est très encourageant pour moi, et j'espère que cela l'est pour vous. 3 La troisième chose est ceci: on pense souvent au suicide pour trouver un soulagement à sa douleur. On ne veut pas mourir mais arrêter de souffrir. Souvenez-vous que le soulagement est une sensation. Et vous devez être vivant pour la ressentir. Vous ne sentirez pas le soulagement que vous cherchez si désespérément, si vous êtes mort. 4 La quatrième chose est ceci: certains réagiront mal à vos sentiments suicidaires, parce qu'ils sont effrayés ou en colère; ces personnes peuvent même augmenter votre douleur au lieu de vous aider, en dépit de leurs intentions, en disant ou faisant des choses irréfléchies. Vous devez comprendre que leurs réactions négatives ont à voir avec leurs propres peurs, pas avec vous. Mais il y a aussi des personnes qui peuvent être avec vous pendant ces moments si difficiles. Ils ne vous jugeront pas, ne chercheront pas à vous contredire. Ils feront simplement attention à vous. Trouvez-en une. Maintenant. Utilisez vos 24 heures, ou votre semaine, et dites à quelqu'un ce qui se passe pour vous. Il est normal de pouvoir un jour demander de l'aide. Appelez une ligne d'écoute spécialisée (SOS Suicide Phénix, SOS amitié, appelez un centre spécialisé près de vous, ou regardez dans l'annuaire), appelez un psychothérapeute (psychanalyste, psychologue, psychiatre), quelqu'un qui est capable de vous écouter. Mais surtout ne portez pas le fardeau supplémentaire d'essayer de vous charger de cela seul. Juste parler de ce qui vous a conduit là peut vous enlever une grosse part de la pression qui vous pèse, et c'est peut-être juste la ressource supplémentaire dont vous avez besoin pour retrouver l'équilibre. 5 La dernière chose que je veux que vous sachiez maintenant est ceci: les sensations suicidaires sont, dans et par elles-mêmes, traumatisantes. Après leur disparition, vous avez besoin de continuer à prendre soin de vous. Commencer une thérapie est vraiment une bonne idée. Bien. il s'est écoulé quelques minutes et vous êtes encore avec moi. J'en suis vraiment heureux. Puisque vous avez été jusqu'ici, vous méritez un cadeau. Je pense que vous devriez vous récompenser en vous donnant une portion de ressources supplémentaires pour affronter la douleur . Souvenez-vous, plus haut vers le début de la page, j'ai dit que l'idée est de s'assurer d'avoir plus de ressources que de douleur. Alors donnez-vous en une supplémentaire, ou deux, ou dix...! jusqu'à ce qu'elles surpassent vos sources de douleur. Maintenant, si cette page a pu vous apporter un quelconque soulagement, la meilleure et la plus grande ressource que vous pouvez trouver, c'est quelqu'un a qui parler. Si vous trouvez quelqu'un qui veut écouter, et si vous lui dites comment vous vous sentez et comment vous en êtes arrivé là, vous aurez vraiment augmenté vos ressources. Heureusement, la première personne que vous choissirez ne sera pas la dernière. Il y a beaucoup de gens qui aimeraient entendre ce qu'il en est pour vous. Il est temps de commencer à en chercher une autour de vous. Et maintenant, j'aimerais que vous appeliez quelqu'un. http://www.barbery.net/psy/suicide/lisezceci.htm texte original sur metanoia.org Traduit et modifié par Stéphane Barbery /!\ page importante. Lisez même si non suicidaire vous serez mieux comment agir face a un suicidaire :)
-
Les suicides font plus de victimes que la route 13 Janvier 2005-01h00 Selon des chiffres de l'Institut national de statistiques (INS) datant de 2001, 6,3% des Belges souffrent de dépression, dont 7,5% des femmes et 5,0% des hommes. Le commissaire européen en charge de la Santé, Markos Kyprianou, entend élever la santé mentale au rang des priorités de l'UE, le nombre d'Européens se suicidant chaque année étant plus élevé que les victimes de la route. «Les maladies mentales sont tout aussi mortelles que les maladies physiques, comme le cancer», a commenté mercredi le Chypriote à l'occasion de la tenue à Helsinki d'une conférence ministérielle de l'OMS sur la santé mentale. «En Europe, on compte chaque année davantage de suicidés que de victimes d'accidents de voiture ou d'homicides. Pourtant la santé mentale bénéficie d'étonnamment peu d'attention», a-t-il ajouté. Quelque 58.000 Européens décèdent chaque année des suites d'un suicide ou d'automutilations, soit plus que les 50.700 décès annuels sur les routes cumulés aux 5.350 victimes annuelles d'homicides. La plupart de ces suicides sont liés à une maladie mentale, et en particulier la dépression, selon la Commission européenne. 15% des personnes souffrant de dépression se suicident, et 56% tentent de le faire. Selon des chiffres de l'Institut national de statistiques (INS) datant de 2001, 6,3% des Belges souffrent de dépression, dont 7,5% des femmes et 5,0% des hommes. La tranche d'âge la plus touchée est celle des 65-74 ans. La dépression est particulièrement prévalente à Bruxelles où elle touche 8% de la population. Source: La Libre Belgique
-
salut a tous et a toutes moi je suis nouvelle , c est la 1ere fois que je m inscrit sur un forum de discussion donc soyez indulgent merci............ je voudrai parler du suicide collectif...je viens de voir un reportage sur les enfants qui sont en souffrance et qui recherche des personnes pour se suicider ......je trouve sa grave, effrayant a l idée qu on ne peut etre qu impuissant face a cette nouvelle "mode" !!!!!!!!!!!! voila venez debattre et dire ce que vous en penser !!!!!!!!!! bisou a tous
-
Jean-Pierre Treiber s'est donné la mort Samedi 20 Février - 11:22 © AP | Jean-Pierre Treiber. AFFAIRE GIRAUD | Jean-Pierre Treiber, renvoyé aux assises pour les meurtres de Géraldine Giraud et Katia Lherbier en 2004, s'est suicidé dans sa cellule de Fleury-Mérogis. AP Suite de l'article... Source: 24heures.ch
-
Non, ce n'est pas le titre d'un topic troll, c'est la réalité de ce qu'il se passe en Belgique en 2015, où une jeune fille de 24 ans en parfaite santé physique, mais "mal dans sa peau et dépressive" a obtenu le droit de se faire euthanasier. http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/06/23/belgique-laura-24-ans-mal-dans-sa-peau-depressive-mourra-cet-ete-par-euthanasie-754585.html Alors qu'en France, nous devisons sur l'éthique concernant l'arrêt des soins de Vincent Lambert, en Belgique on procède à l'euthanasie de jeunes filles à leur simple demande.
- 286 réponses
-
- suicide
- euthanasie
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
À l'échelle mondiale, environ 1 000 000 de personnes se suicident chaque année, un chiffre plus élevé que le nombre de morts résultants des guerres et des homicides. L'OMS estime en effet que le suicide est la treizième cause de mortalité dans le monde tous âges compris et parmi les causes principales de mortalité chez les jeunes. Les tentatives de suicide sont estimées annuellement entre 10 et 20 millions. Et pour rappel, les premières causes de mortalité au monde - toujours d'après l'OMS - sont les maladies cardio-vasculaires, le cancer et en troisième position sur le podium les erreurs médicales ! Par rapport à la France, en 1996, on comptait 12 000 suicides pour 160 000 tentatives (la plupart se loupent (malheureusement ?) avec des conséquences parfois très graves et irrémédiables). Ce nombre représente à peu près 19 suicides pour 100 000 habitants, soit un suicide pour 5 000 personnes et une tentative pour 400 personnes. La France se défend donc pas mal en terme de suicide, se situant au quatrième rang des pays développés. Et ces chiffres sont à peu près stables depuis 1980. Créé en 2013, l'Observatoire national du suicide donne les chiffres de 11.400 pour 2011 et de 10.500 pour 2013, sans explication sur les variations de ces chiffres. Le suicide est en tout cas une cause de décès notamment plus importante que les accidents de la route. En Belgique, le suicide représente environ 2000 victimes par an, soit 5 à 6 décès par jour. Mais ce sont les chiffres officiels, qui ne tiennent pas compte d'autres formes de décès parfois suspects comme peuvent l'être certains accidents de la route, certains accidents domestiques, certaines overdoses etc. Quant à la Suisse, le suicide assisté est autorisé et donc légal, celui-ci se différenciant de l'euthanasie, car c'est le « patient » (ou le plus souvent « l'impatient ») qui déclenche lui-même sa mort et non un tiers. Alors, qu'en pensez-vous ? Le suicide (selon des conditions strictes et bien définies) est-il un droit pour chacun ou doit-il être condamné qu'elles qu'en soient les raisons ?
- 226 réponses
-
- suicide
- dépression
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Un policier de 31 ans a tué trois personnes samedi soir à Sarcelles dans le Val d'Oise avant de se donner la mort avec son arme de service. Un problème familial serait à l'origine des faits. Trois autres personnes sont grièvement blessées. Le drame s'est produit vers 20h45 dans le vieux Sarcelles, à environ 300 mètres de la mairie. Source et suite de l'article