Enfourcher Pégase
J'avais oublié jusqu'au mot passion,
Et là j'inspire la vie à pleins gaz ;
Moi qui n'ai jamais fait d'équitation,
Voilà qu'aujourd'hui j'enfourche Pégase.
Les pieds défilent au triple galop
À la poursuite de cette chimère
Que prend en chasse tout bon mégalo,
Celle qui détient la plume d'Homère.
Je me satisfais, en attendant, d'une
Piquée à l'aile de mon cheval blanc ;
J'ai bon espoir qu'il n'ait pas de rancun
Le bonheur des autres
Le cul sur un banc public ou une banquette
Dans un bistrot de banlieue, quoique mal barrés 1,
Les amoureux de tous bords, peux pas les carrer,
Ça se sourit, s'embrasse, s'abreuve aux sornettes ;
Comme si j'avais besoin que l'on me rappelle
Qu'il me manque une bouche où donner de la pelle.
Afin d'enfin réparer cette iniquité,
Je prie le grand manitou en qui je crois pas
De servir à leur amour son dernier repas,
Que
Bonsoir, voici donc le deuxième chapitre. Naruto et aizen lequel de ces deux combattants parviendra-t-il à se qualifier ?.
Chapitre :
Aizen attrape naruto par le cou et dit : " Tu ne comprends pas que ça sert à rien ?". mais un clone de naruto pointe le kunai derrière aizen et Aizen dit : " Même si tu es faible, je ne te prendrai pas à la légère !. Après tout je suis Sosuke Aizen !." Quand soudain des explosion se font entendre dehors du tournois et naruto crie : " Qu'est-ce qui se passe." Aiz
Salut. Je suis désolé de ne pas l'avoir remarqué très tôt. Donc aujourd'hui je vous donnes deux chapitres !. Profitez en bien.
Chapitre :
Trois jours vient de s'écouler après le repos quoditient de tout les combattants. Le tournois peut enfin reprendre. Les combattants sortent et l'arbitre dit : " Et bien, je vous souhaîtes la bienvenu et je félicite les combattants qui ont su se qualifier au deuxième tour. Bien pour ce premier match du premier tour il opposera Uzumaki naruto à Aizen sosuke !"
J'avais un petit boulot aux postes qui me permettait de ne pas mourir de faim. Je devais livrer les différents journaux à ceux qui étaient abonnés. J'aimais ce travail. On devait livrer tant et tant de journaux par jour, et peu importe la durée. Je flânais donc le long des quais, je discutais avec les gens, de tout et de rien. Quelques fois, certaines vielles dames m'invitait à prendre le café chez elle. A leur âge, après une vie de durs et pénibles travaux, peu leur importait combien coûtait le
C'est quoi l'amour ?
Dites-moi que l'amour n'est autre qu'égoïste,
Ce n'est que pour mieux s'aimer qu'on s'éprend d'autrui ;
Je veux croire que le cœur ne se montre altruiste
Qu'afin qu'on ne préfère pas un autre fruit
Que sa pomme, que sa pomme.
Avouez-moi que l'amour ne peut pas durer,
Que dès lors qu'on le connaît, il est ennuyeux ;
Je veux croire que le cœur ne peut endurer
Plus que le temps d'un clin d'œil de battre pour deux,
Même
Dans la lignée d'
Érato faite humaine,
Je te dirai pas que t'es belle
Ne t'avise surtout pas de t'imaginer,
Sous peine d'être déçue, en me faisant boire
Pouvoir me faire avouer que t'es belle ce soir,
Alors que ton visage laisse deviner
La salle de bains longtemps monopolisée
Par tous tes cosmétiques, ton fer à friser.
L'est pas laid, ton fardage, l'idée pour laquelle
Je refuse de te dire à quel point t'es belle,
C'est que les magazines
Érato faite humaine
Il est des femmes belles mais dès lors que celle
À qui je rends hommage met le pied dehors,
Les plus polis lui jettent, et cela l'honore,
Un œil d'émerveillement devant ce recel
De la beauté de Vénus.
Bien que les plus vulgaires la sifflent, quand elle
A le malheur de porter une jupe, alors
Voulant la lui soulever contre un moindre effort,
Démontrant ne pas valoir mieux que des mortels,
Voilà qu'Éole s'y met.
Cœur d'artichaut
Peut-être qu'il me trouve être une bonne pomme
Quand il tâte de son arc pour la viser tel
Que ferait à l'arbalète un Guillaume Tell ;
Quoi qu'il en soit, Cupidon, ce vil semblant d'homme
Par son manque d'adresse n'atteint que mon cœur
Et comme un mauvais perdant finira vainqueur
Ou pas du tout, j'en ai peur.
Pointant dans la direction d'une demoiselle
Délicieuse s'il en est, le tout premier trait
Au mur de ma mémoire cl
Célibarbe
Comme certains comptent leurs années de mariage,
J'additionne celles que je passe seul ;
C'est vite calculé, c'est à peu près mon âge.
Les plus sympathiques se foutent de ma gueule,
Les plus cons se disent las du concubinage ;
Ils seraient bla bla bla moins libres qu'ils le veulent.
Mon célibat vieillit et sa barbe me pique,
Mais l'âme désirée pour enfin la raser,
Un hameçon encore ancré dans le gosier,
N'en a rien à ferr
Les heures passaient, doucement, à mesure que mes interrogations rejoignait mes craintes. 11 heures allaient bientôt sonner, je pris la décision d'aller me coucher. Je fus pris d'un sommeil agité, parsemé de craintes et de cauchemars. Les heures passaient, péniblement. L'aube n'allait pas tarder à arriver, à mon plus grand soulagement. Je me levais dès 6 heures et demi afin de partir faire un tour dans Paris. Il ne faisait pas très chaud dehors. A vrai dire, il faisait même froid. L'hiver n'alla
Arrivé chez moi, je ne pus résister à l'envie de me jeter dans mon confortable fauteuil rouge. J'y restais des heures, des heures à faire tourner en boucle mes états d'âmes les plus profonds. Un lieu de tranquillité en quelque sorte. Je lisais aussi beaucoup. De tout, des romans, n'importe quoi qui me passait sous la main, du moment que ce n'était pas ennuyeux. Je lisais aussi beaucoup les journaux. J'avais ce besoin de m'informer sur le monde qui m'entoure, un monde où personne n'y comprenait u
Des gouttes perlaient sur mon visage, coulant doucement jusqu'à mon cou. Le ciel s'assombrissait, laissant entrevoir les jours mauvais qui s'annonçaient. Les orages ne tuaient pas. Enfin, c'est ce que les gens disaient. Les gens avaient peur des choses dangereuses, et plus elles arrivaient, plus ils minimisaient leur impact sur nous. Je n'avais pas peur de l'orage, mais je restais la plupart du temps chez moi pour m'en protéger. J'avais plus peur des gens, de leurs idées, de leur insouciance fér
Les feuilles mortes des arbres nues tombés sur les pavés glissants et humides de la petite rue menant à chez moi. Les nuages couvraient le ciel, laissant la ville seul à seul avec la nuit. Un long hiver s'annonçait. Je n'aimais pas l'automne. Plus d'oiseaux gazouillant sur les pelouses tondues d'un joyeux parc où les enfants jouent sur les vastes allées. Plus de jolies promenades au soleil, de longues après midi à flâner paisiblement à la recherche de quiétude. Les évènements qui se passaient ac
La décroissance ? il y a vraiment des choses intelligentes à dire sur ça ?
De prime abord on pourrait dire que non tellement cette théorie ne bénéficie d'aucune crédibilité (ou alors si peu ...). Pourquoi ? la meilleure réponse que je puisse trouver est que dans notre société capitaliste il est antinomique de soutenir une diminution du capital.
Ici nous parlons économie (pas vraiment de politique), je vais essayer de vous montrez qu'une théorie comme la décroissance n'est pas si dénuée de sens
Le titre fait référence, en en étant une contrepèterie, à une chanson d'un grand moustachu de la chanson française dont je vous laisse deviner le nom sachant qu'il a cassé sa pipe, même s'il n'en fumait pas à ma connaissance, en 2010 et qu'on en retient La femme est l'avenir de l'homme, C'est beau la vie mais encore bien d'autres non-sens.
En dehors de ça, le poème n'a rien à voir avec Jean Ferrat.
Errer à perdre la maison
Fermer la porte pour de bon
Et puis fuguer comme un
Me taper dans l'œil
"Je t'ai bien regardé, tu t'y prends comme un manche.
Y'a vraiment des soirées où tu remplis ton pieu ?
- Tu serais surprise, tiens, ce dernier dimanche
Par exemple, chez Pat, c'est quand même pas vieux.
- Mais elle s'en souvient ? C'est pas toujours facile
Avec le GHB que t'as dû lui fourguer.
- Déjà je t'emmerde, c'était du Lexomil
Et si t'es si douée, montre comment draguer."
C'est à ce moment-là qu'elle m'a mis un gnon
Salut tout le monde. Je profite de ce creux de passage pour poster le chapitre univers. J'ai un rhume et ça m'emmerde un peu mais n'y faîtes pas attentions. Voici le chapitre.
Chapitre :
Fabien se dit : " Il faut vraiment être tétu..." et un nuage prend la forme de Eihi et Madara ne dit rien. Fabien observe et Eihi dit à fabien et madara : " Je... Je n'abandonnerai pas. Je refuse de mourir sans avoir unifier le monde !". Eihi fonce sur fabien et fabien lève son épée et dit : " Quelle tristess
Bonjour tout le monde. Je profite de ce passage pour poster le chapitre. les chapitres continuent sur les Hs... pour combiens de temps ?. Bonne question, il suffit de voir comment les combats tournent pour savoir la réponse.
Chapitre :
Fabien dit : " Es-tu Eihi Taika ?." et Eihi se retourne et dit : " Oh. Tu me connais ?." et Fabien réplique : " Je m'excuse. J'ai récolté les informations de l'assasin. Tu utilises une technique appelé Saidai hōshutsu. Elle permet non seulement d'augmenter sa f
Six pieds sous taire
Il est des vérités à jamais inaudibles,
Des mots cadenassés que nul ne peut soustraire ;
Il est des silences à l'écho peu crédible,
Des non-dits assaillant les esprits grabataires
D'un fantôme impoli.
J'en ai des souvenirs et autant de regrets ;
La Mort ayant porté ses mains à mes paupières,
Je ne peux déterrer mon éternel secret
Enfoui dans mon jardin jusque six pieds sous terre,
Au pied du mimosa.
J'étai
I - Ma (notre ?) certitude
Je suis agnostique, suspicieux,
Sceptique, méfiant et parano ;
Ma confiance s'accorde piano,
Je doute des hommes et des cieux.
Mais j'ai quand même une certitude,
Celle que j'ai trop peur du bonheur
Qui me tend ses gros bras de boxeur,
Je n'en ai vraiment pas l'habitude.
Alors par pitié, prends-moi la main
Voire même les deux à la fois,
Fais-moi oublier que j'ai les foies
Et ne me lâche pas en chemin.
La consommation exagérée en caféine pendant la grossesse peut ralentir la croissance du foetus , et augmente le risque de fausses couches.
La caféine est présente non seulement dans le café, mais également dans le thé,les sodas au cola,les boissons énergisantes, et le chocolat.
La dose quotidienne maximum permise en caféine durant la grossesse est de 300 mg, soit environ 2 tasses de café.(Recommondations OMS)
Notez ces équivalences pour calculer la dose quotienne en caféine:
1 tasse de
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