C'est quoi l'amour ?
Dites-moi que l'amour n'est autre qu'égoïste,
Ce n'est que pour mieux s'aimer qu'on s'éprend d'autrui ;
Je veux croire que le cœur ne se montre altruiste
Qu'afin qu'on ne préfère pas un autre fruit
Que sa pomme, que sa pomme.
Avouez-moi que l'amour ne peut pas durer,
Que dès lors qu'on le connaît, il est ennuyeux ;
Je veux croire que le cœur ne peut endurer
Plus que le temps d'un clin d'œil de battre pour deux,
Même
Dans la lignée d'
Érato faite humaine,
Je te dirai pas que t'es belle
Ne t'avise surtout pas de t'imaginer,
Sous peine d'être déçue, en me faisant boire
Pouvoir me faire avouer que t'es belle ce soir,
Alors que ton visage laisse deviner
La salle de bains longtemps monopolisée
Par tous tes cosmétiques, ton fer à friser.
L'est pas laid, ton fardage, l'idée pour laquelle
Je refuse de te dire à quel point t'es belle,
C'est que les magazines
Érato faite humaine
Il est des femmes belles mais dès lors que celle
À qui je rends hommage met le pied dehors,
Les plus polis lui jettent, et cela l'honore,
Un œil d'émerveillement devant ce recel
De la beauté de Vénus.
Bien que les plus vulgaires la sifflent, quand elle
A le malheur de porter une jupe, alors
Voulant la lui soulever contre un moindre effort,
Démontrant ne pas valoir mieux que des mortels,
Voilà qu'Éole s'y met.
Cœur d'artichaut
Peut-être qu'il me trouve être une bonne pomme
Quand il tâte de son arc pour la viser tel
Que ferait à l'arbalète un Guillaume Tell ;
Quoi qu'il en soit, Cupidon, ce vil semblant d'homme
Par son manque d'adresse n'atteint que mon cœur
Et comme un mauvais perdant finira vainqueur
Ou pas du tout, j'en ai peur.
Pointant dans la direction d'une demoiselle
Délicieuse s'il en est, le tout premier trait
Au mur de ma mémoire cl
Célibarbe
Comme certains comptent leurs années de mariage,
J'additionne celles que je passe seul ;
C'est vite calculé, c'est à peu près mon âge.
Les plus sympathiques se foutent de ma gueule,
Les plus cons se disent las du concubinage ;
Ils seraient bla bla bla moins libres qu'ils le veulent.
Mon célibat vieillit et sa barbe me pique,
Mais l'âme désirée pour enfin la raser,
Un hameçon encore ancré dans le gosier,
N'en a rien à ferr
Les heures passaient, doucement, à mesure que mes interrogations rejoignait mes craintes. 11 heures allaient bientôt sonner, je pris la décision d'aller me coucher. Je fus pris d'un sommeil agité, parsemé de craintes et de cauchemars. Les heures passaient, péniblement. L'aube n'allait pas tarder à arriver, à mon plus grand soulagement. Je me levais dès 6 heures et demi afin de partir faire un tour dans Paris. Il ne faisait pas très chaud dehors. A vrai dire, il faisait même froid. L'hiver n'alla
Arrivé chez moi, je ne pus résister à l'envie de me jeter dans mon confortable fauteuil rouge. J'y restais des heures, des heures à faire tourner en boucle mes états d'âmes les plus profonds. Un lieu de tranquillité en quelque sorte. Je lisais aussi beaucoup. De tout, des romans, n'importe quoi qui me passait sous la main, du moment que ce n'était pas ennuyeux. Je lisais aussi beaucoup les journaux. J'avais ce besoin de m'informer sur le monde qui m'entoure, un monde où personne n'y comprenait u
Des gouttes perlaient sur mon visage, coulant doucement jusqu'à mon cou. Le ciel s'assombrissait, laissant entrevoir les jours mauvais qui s'annonçaient. Les orages ne tuaient pas. Enfin, c'est ce que les gens disaient. Les gens avaient peur des choses dangereuses, et plus elles arrivaient, plus ils minimisaient leur impact sur nous. Je n'avais pas peur de l'orage, mais je restais la plupart du temps chez moi pour m'en protéger. J'avais plus peur des gens, de leurs idées, de leur insouciance fér
Les feuilles mortes des arbres nues tombés sur les pavés glissants et humides de la petite rue menant à chez moi. Les nuages couvraient le ciel, laissant la ville seul à seul avec la nuit. Un long hiver s'annonçait. Je n'aimais pas l'automne. Plus d'oiseaux gazouillant sur les pelouses tondues d'un joyeux parc où les enfants jouent sur les vastes allées. Plus de jolies promenades au soleil, de longues après midi à flâner paisiblement à la recherche de quiétude. Les évènements qui se passaient ac
La décroissance ? il y a vraiment des choses intelligentes à dire sur ça ?
De prime abord on pourrait dire que non tellement cette théorie ne bénéficie d'aucune crédibilité (ou alors si peu ...). Pourquoi ? la meilleure réponse que je puisse trouver est que dans notre société capitaliste il est antinomique de soutenir une diminution du capital.
Ici nous parlons économie (pas vraiment de politique), je vais essayer de vous montrez qu'une théorie comme la décroissance n'est pas si dénuée de sens
Le titre fait référence, en en étant une contrepèterie, à une chanson d'un grand moustachu de la chanson française dont je vous laisse deviner le nom sachant qu'il a cassé sa pipe, même s'il n'en fumait pas à ma connaissance, en 2010 et qu'on en retient La femme est l'avenir de l'homme, C'est beau la vie mais encore bien d'autres non-sens.
En dehors de ça, le poème n'a rien à voir avec Jean Ferrat.
Errer à perdre la maison
Fermer la porte pour de bon
Et puis fuguer comme un
Me taper dans l'œil
"Je t'ai bien regardé, tu t'y prends comme un manche.
Y'a vraiment des soirées où tu remplis ton pieu ?
- Tu serais surprise, tiens, ce dernier dimanche
Par exemple, chez Pat, c'est quand même pas vieux.
- Mais elle s'en souvient ? C'est pas toujours facile
Avec le GHB que t'as dû lui fourguer.
- Déjà je t'emmerde, c'était du Lexomil
Et si t'es si douée, montre comment draguer."
C'est à ce moment-là qu'elle m'a mis un gnon
Salut tout le monde. Je profite de ce creux de passage pour poster le chapitre univers. J'ai un rhume et ça m'emmerde un peu mais n'y faîtes pas attentions. Voici le chapitre.
Chapitre :
Fabien se dit : " Il faut vraiment être tétu..." et un nuage prend la forme de Eihi et Madara ne dit rien. Fabien observe et Eihi dit à fabien et madara : " Je... Je n'abandonnerai pas. Je refuse de mourir sans avoir unifier le monde !". Eihi fonce sur fabien et fabien lève son épée et dit : " Quelle tristess
Bonjour tout le monde. Je profite de ce passage pour poster le chapitre. les chapitres continuent sur les Hs... pour combiens de temps ?. Bonne question, il suffit de voir comment les combats tournent pour savoir la réponse.
Chapitre :
Fabien dit : " Es-tu Eihi Taika ?." et Eihi se retourne et dit : " Oh. Tu me connais ?." et Fabien réplique : " Je m'excuse. J'ai récolté les informations de l'assasin. Tu utilises une technique appelé Saidai hōshutsu. Elle permet non seulement d'augmenter sa f
Six pieds sous taire
Il est des vérités à jamais inaudibles,
Des mots cadenassés que nul ne peut soustraire ;
Il est des silences à l'écho peu crédible,
Des non-dits assaillant les esprits grabataires
D'un fantôme impoli.
J'en ai des souvenirs et autant de regrets ;
La Mort ayant porté ses mains à mes paupières,
Je ne peux déterrer mon éternel secret
Enfoui dans mon jardin jusque six pieds sous terre,
Au pied du mimosa.
J'étai
I - Ma (notre ?) certitude
Je suis agnostique, suspicieux,
Sceptique, méfiant et parano ;
Ma confiance s'accorde piano,
Je doute des hommes et des cieux.
Mais j'ai quand même une certitude,
Celle que j'ai trop peur du bonheur
Qui me tend ses gros bras de boxeur,
Je n'en ai vraiment pas l'habitude.
Alors par pitié, prends-moi la main
Voire même les deux à la fois,
Fais-moi oublier que j'ai les foies
Et ne me lâche pas en chemin.
La consommation exagérée en caféine pendant la grossesse peut ralentir la croissance du foetus , et augmente le risque de fausses couches.
La caféine est présente non seulement dans le café, mais également dans le thé,les sodas au cola,les boissons énergisantes, et le chocolat.
La dose quotidienne maximum permise en caféine durant la grossesse est de 300 mg, soit environ 2 tasses de café.(Recommondations OMS)
Notez ces équivalences pour calculer la dose quotienne en caféine:
1 tasse de
Bonjour tout le monde. Je profite donc de ma disponibilité pour venir y mettre le chapitre et vous souhaîter un bon week end. Je n'ai presque plus de temps entre mes allées retours et donc je continuerai de poster des chapitres. Il se peut qu'il soit en retard mais n'ayez crainte... Vous l'aurez quand même !.
Chapitre :
Eihi se retourne et herbu se dit : " Comment a-t-elle fait". et Eihi observe madara et madara. Eihi disparait et madara saute et puis active son mangekyou sharigan et Eihi arr
Adieu mon pote
Certes, tu n'as jamais été un bon vivant
Mais maintenant que t'es un plus vivant du tout,
Je t'assure, tu fais moins la gueule que nous ;
Si tu nous voyais, tu la ferais plus qu'avant,
Histoire de paraître le plus malheureux,
Je te jure, on te croirait cette fois, mon vieux.
Tu nous avais dit que t'avais raté ta vie
Et qu'avant tout la vie t'avait raté aussi,
Que tu ne raterais sûrement pas ta mort ;
Toi qui nous avais ha
Tombe la pluie !
Quatre vérités, ça en fait du bruit,
Glissées à l'oreille de mon narcisse ;
J'ai grand besoin que Morphée l'assourdisse,
Que tombe la nuit, que tombe la nuit !
Sur l'ego vexé mais bien établi,
Que tombe la nuit, ainsi que l'oubli !
Je suis attendu par le fond du puits,
Poussé dans le dos par l'accès de honte ;
Ne peux que prier que Zeus me remonte,
Que tombe la pluie, que tombe la pluie !
Ou qu'il me descende, il a bien le choix,
Que
Bonjour tout le monde. Je n'ai plus le temps à aller sur le tchat et donc je vous donne un chapitre universe !.
Chapitre ! :
Eihi se retourne et herbu se dit : " Comment a-t-elle fait". et Eihi observe madara et madara. Eihi disparait et madara saute et puis active son mangekyou sharigan et Eihi arrive en hauteur et frappe avec son pied. Madara attrape le pied et l'envoie
en direction des rochers. Eihi disparait de nouveau et madara produit un katon rapidement et Eihi se retrouve emprisonner
Jet de chrysanthèmes
Le docteur a revu les calculs de mes reins,
Dit qu'on allait devoir bientôt m'en soustraire un
Mais pour tout vous dire, ça ne m'étonne en rien,
Cela fait un moment que la Camarde a l'œil
Sur mes prises de sang, les virus vénériens
Et autres infectieux à qui je fais accueil ;
Sitôt qu'elle aura mis la main sur un linceul,
Ma famille entière se sentira bien seule.
Que j'ouvre les vannes, que je coule un airain,
Je sens la Faucheuse qui
Une vidéo qui pourrait vous intéresser, qui explique qu'en fait tout le monde court après l'IA, mais c'est juste pour éviter que les autres choppent le morceau, bien que le morceau on ne sait pas encore trop à quoi il va ressembler.
Peut-être à une grosse semelle trop cuite ?
Faudrait poser la question à " Mémorial ", à Anna Politkovskaïa (cette femme est devenue une sorte " d'icône ", mais des journalistes éliminés par Poutine, y'en a des tas), à Navalny, Nemtsov, etc.
" On marche sur la tête " : .