Les vrais maîtres de l'horreur
Je ne ressens plus rien devant les films d'horreur,
Wes Craven ne me fait absolument plus peur,
Heureusement pour moi, il reste le JT,
Le plus flippant, c'est que c'est la réalité,
Enfin, presque.
Frisson devant l'écran, on me vante l'effroi,
L'info glace le sang, les faits divers sont froids,
Un morts, deux morts, trois morts ou une infinité,
Même en poussant au max la luminosité,
Sur mon écran plasma, el
Et une nouvelle pour changer un peu ! Pour des raisons pratiques, je la poste en PDF. Enjoy! Ou pas, d'ailleurs, c'est vous qui voyez. Mais si vous lisez, je vous conseille d'apprécier, sans quoi ça risque d'être chiant.
La cuite de trop.pdf
J'étais né homme, je suis mort con. Et c'est vrai qu'au fond, je n'avais pas si mal commencé : une petite enfance tranquille, une adolescence à se taire et une vie à décrire le martyr d'un mal que je ne connais pas. Vraiment, dans le genre, il existe pire. Mais, comme vous le savez, tôt ou tard, cette innocente pensée s'incruste pour ne plus se laisser extraire. "Merde", que je me suis dit, à son arrivée. Comment qu'elle était clinquante, celle-là! Il me fallait l'adopter, ce que j'ai bien
Avant tout, je tiens à manifester mon mécontentement envers le titre qui constitue un piètre choix tant il est ambigu. Je sais très bien qu’avec une annonce pareille, je vais en décevoir plus d’un en précisant qu’il ne sera pas question de juger de l’esthétique d’un décès. Je ne déballerai pas le ridicule des morts les plus grotesques, alors laissez Claude François tranquille et repaissez-vous plutôt des Darwin Awards, bande de vampires ! En outre, loin de moi l’idée de voir l’exercice d’un tale
Le propos d'un homme politique (et pas n'importe lequel !) nous donne l'occasion de parler d’économie ! lors de cette conférence (dont la vidéo est tirée) notre Président de la République défendait sa dernière trouvaille lorsque soudain une évidence se manifesta : "[...] l'offre crée même la demande ! ". Bhon le spectateur n'y fait peut-être pas vraiment attention : les contre diront de toute façon de manière intelligente que c'est d'la merde et les pour feront remarquer que le mec essaye de déf
Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse.
Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui.
Tout cela on peut le comprendre sans
Je me demandais : "on ne peut pas répondre ?" Mais oui !
Fallait descendre en bas de page !
Ton raisonnement est juste ! Et pourtant je ne suis pas du tout d'accord !...
J'essaie donc de comprendre pourquoi... C'est peut-être parce que tu considères que le Bien et la Souffrance existe en soi. Qu'ils sont des "entités", presque des sujets. Tu dis par exemple que le bien veut ou peut vouloir ceci ou cela, et la souffrance aussi. Pour moi ils ne sont que des concepts (imaginaires),