Bonsoir tout le monde.
Je suis désolé que le chapitre arrive si tardivement mais j'étais un peu occupé cet aprem midi. je vous fait donc profiter de ce chapitre avant celui de la semaine prochaine. Ne vous en faîtes pas je suis très loin dans les chapitres et je vais bien sûr
continuer à aller de l'avant.
Chapitre :
Kensei répond : " Technique d'invocation le retour des vivants !". Un cerceuil apparait et la porte du cercueil explose et un homme étrange se lève... Izuru répond : " C'est ?!
Etrangement, son univers ne ressemblait pas à ce que j'imaginais. Tout n'y était pas que de blanc, de pureté, d'aveuglement au point de ne pouvoir lever le regard droit en face. Pas non plus trace des anges, des hommes du passé. Rien qu'un ordinaire apparent, comme si j'allais rencontrer un homme isolé dans les bois qui faisait sa petite vie au bord du monde, c'est-à-dire en dehors. Mais peut-être que je m'étais trompé. Comment croire que le Créateur, celui qui avait tout fait, tout ordonné, tou
Mort, serre-moi à toi ; --------------------- Que Vie soit donnée
Pour que je garde foi ---------------------- A l’erreur passionnée :
Mène-moi en l’endroit ---------------------- Où l’or est trop sacré
Que tu prendras pour toit ---------------------- Un vain espoir damné
Par l’ode de tes lois. ---------------------- Ne pourrait y rester,
J'm'étais levé, c'était en début d'année. Un beau jour de fin d'été, à la fois clair et frais. Pas de quoi se plaindre. Une mauvaise journée, en somme. Cela commençait plutôt mal. Heureusement, je ne me laissais pas abattre si facilement : mon salut fût trouvé par un hasardeux événement. L'écoute de la chanson ne me traversa comme habituellement. Elle me transperça, de haut en bas, de bas en haut, et de toutes les sortes que vous voulez. Une vraie assassine de certitude. Le potentiel diab
Vite. Il faut faire vite. Tracer ton chemin, ne jamais faire un écart. Tout droit, toujours dans la même direction. Elle ne peut qu'être la meilleure.
C'est ça, que je ne saisis pas : pourquoi voulons-nous toujours aller de l'avant alors que l'expérience nous apprend tout le contraire? Lorsque je suis sur la route, je fais de nombreux virages. Parfois aussi, je ralentis. Ailleurs, j'accélère ou continue. Pire, il m'arrive de faire un détour, de me tromper. Qu'importe? Cela se corrige, i
Cinq non-sens
À part Brassens 1, Chopin, Bach et un passereau,
Je ne pensais trouver quoi me mettre à l'oreille ;
Mais maintenant bercé par ta voix sans pareille,
J'ai laissé les lilas 2 faner dans leur terreau.
Moi le drôle d'oiseau charmé par ton appeau
Ne compte qu'une plume et elle t'est donnée ;
Cupidon n'a pas dû ménager ma cornée,
C'est sur le bout des doigts que je connais ta peau,
Ou sur le bout du nez que j'ai tant promené
Les cloches retentissent
Comme un vaste interstice
Et les anges se glissent
A travers cette lice
Diable où te terres-tu
Quand pointe la battue
De mon esprit perdu
Qu'abattu elle tue
Je monte vers le ciel
Elle se montre si belle
Bien affable irréel
Qui doucement m'appelle
Mes ailes sont des feux
Qui éclaire les cieux
Mon visage est hideux
D'être trop riche et vieux
O idolâtre vie
Le là est tant ici
Que ma seule survie
Vient de son dément cri
Car mon âme se ferme
Je me souviens, j'étais heureux. C'était un soir d'été, un soir plutôt frais. Il fallait que j'aille chercher du pain, j'en avais manqué mon train. Et il est vrai qu'à force de vouloir toujours en avoir davantage, le risque de dérailler grandit. Pourtant, je ne cherchais qu'un petit morceau, un rien du tout éphémère que je portais dans l'achat d'un plaisir. J'allais le trouver, mais je l'ignorais encore, ce moment qui bouleverserait ma carcasse mouvante.
Ayant loupé la dernière ligne qui
- Oh miséricorde! André, viens voir ça!
- J'arrive, j'arrive, Gertrude! Qu'est-ce qu'il y a?
- Regarde! Cette chose est sortie de mon ventre!
Il s'approcha, observa un instant et attentivement la créature, commença à s'inquiéter.
- Tu es bien sûre qu'il est sorti de ton ventre?
- Certaine! Tu crois que ça m'amuse, de me faire une frayeur pareille?
- Mais...
- Oui, je sais! C'est impossible! Va me chercher tu sais qui, abruti, au lieu de dire n'importe quoi!
Et il s'en alla quérir l'Homme
Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse.
Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui.
Tout cela on peut le comprendre sans
Je me demandais : "on ne peut pas répondre ?" Mais oui !
Fallait descendre en bas de page !
Ton raisonnement est juste ! Et pourtant je ne suis pas du tout d'accord !...
J'essaie donc de comprendre pourquoi... C'est peut-être parce que tu considères que le Bien et la Souffrance existe en soi. Qu'ils sont des "entités", presque des sujets. Tu dis par exemple que le bien veut ou peut vouloir ceci ou cela, et la souffrance aussi. Pour moi ils ne sont que des concepts (imaginaires),