Encore
Les cloches retentissent
Comme un vaste interstice
Et les anges se glissent
A travers cette lice
Diable où te terres-tu
Quand pointe la battue
De mon esprit perdu
Qu'abattu elle tue
Je monte vers le ciel
Elle se montre si belle
Bien affable irréel
Qui doucement m'appelle
Mes ailes sont des feux
Qui éclaire les cieux
Mon visage est hideux
D'être trop riche et vieux
O idolâtre vie
Le là est tant ici
Que ma seule survie
Vient de son dément cri
Car mon âme se ferme
Et son teint devient terne
Quand démon je l'enferme
Avec l'hydre en gouverne
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