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Est-ce que la raison, est une vertu ? (d'après moi : Oui) "Bien juger", c'est se donner les moyens de "bien agir", et "bien agir" c'est une "bonne action". La recherche de valeur vertueuse, nous pousse à être raisonnable. Non ?
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Voir ce quiz Cherchez la logique Petit quiz expérimental improvisé sur ce thème, testé en mode apprentissage pour changer. Bon jeu ! Créateur Niou Type Mode apprentissage Nombre total de questions 6 Catégorie Divers Envoyé 23/02/2019
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Amis logiciens bonjour Pardonnez ma question de béotien, mais je bute sur le postulat d'identité : "l'être est" Que signifie ce postulat ? Ou son contraire d'ailleurs : l'être n'est pas" ? Ce qui m'arrête est : comment peut-on écrire une de ces affirmations sans définir auparavant ce que signifie "l'être" ainsi que le verbe être ? Et si on les définit , la définition contiendra la propriété (est ou n'est pas) , non ? Or , on ne trouve pas cette définition préalable (ni chez Aristote ou Parmenide pour l'être est , ni chez Gorgias pour l'être n'est pas, me semble-t-il Je rajouterai : c'est quoi le Non-être ? Puisqu'en général , derrière l'affirmation l'être est , on trouve : le Non-être n'est pas Merci de vos réponses
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Dieu comme Principe Je voudrais partager mon approche qui me fais penser que dieu existe forcément. Voici les raisons qui font que je crois en dieu. 1. L'aproche anthropologique et historique d'un dieu créateur universel. La croyance en un dieu créateur qui a tout créé depuis le néant est universel. On retrouve cette croyance sur tous les continents et la plupart des civilisations depuis que l'homme sait écrire, même s'il existe des contre exemples. Et les vénus symbolisent dans notre subconscient commun, le principe de la création, du don de la vie ou la déesse mère de la fécondité qui est à l'origine de la création. La plus ancienne statue de vénus remonte à 160.000 ans dans le passé en Israël, à Barakhat Ram. Soit la date de l'aparition de l'homme moderne sur Terre. En l'absence d'écriture, on ne pouvait transmettre la foi en cette déesse que par les représentations de triangles (sexe féminin, genèse de la vie), de femmes aux formes exacerbées (vie), de taureaux (puissance créatrice). 2. Approche anthropocentrée et neurochimique de dieu, et mode de fonctionnement neurologique de tout interpréter pour atteindre la cohérence parfaite et unifiée. Notre cerveau fonctionne de façon à atteindre la cohérence parfaite du monde, il faut une explication à tout, et in fine, nous aboutissons à la recherche d'une théorie du tout et d'un seul dieu démiurge qui a tout conçu. Chaque observation, chaque réaction dans nos neurones est immédiatement interprété pour y donner un sens logique. Et ce fonctionnement nous conduit à chercher la Cause Originelle, le Principe de Tout Unique. Ce fonctionnement étant précisément celui de notre cerveau et le fondement, la pierre angulaire de toutes les sciences, et étant tout bonnement incontournable de par le fait qu'il constitue notre propre mode de réfutation, ce fonctionnement donc, est un point inévitable qui nous fait découvrir spontanément dieu. A moins de remettre en question, tout notre édifice logique et rationnel qui est le produit de ce fonctionnement, la croyance en dieu est innée en nous et une conséquence même de toute rationnalité fondée sur une recherche de cohérence ultime. 3. Le Paradoxe Absolu. Il est logiquement inadmissible que l'Univers soit infini ou éternel. Avec une infinité d'occurences, tout ce qui est possible devrait se répéter une infinité de fois, en sorte que les probabilités n'aient strictement plus aucune garantie d'être respectées dans aucune tranche de temps ou d'espace d'un tel univers. Ncp = Ti x Ei x DTi = Ncp = Nombre de fois qu'un cas particulier se produira, Ti = Nombre de tentatives infinies pour obtenir Cp, Ei = Espace disponible pour tenter d'obtenir Cp, DTi = Temps disponible pour tenter d'obtenir Cp. ... Ainsi, si il existe un Frelser, et que l'Univers est éternel : il doit avoir existé une infinité de Frelser depuis l'éternité sans commencement. Ce qui permet de faire un calcul pour tester l'hypothèse de l'éternité de l'Univers. Comme Frelser à une durée de vie d'une centaine d'années environs, 3.000.000.000 de secondes. Imaginons à présent cet infinité de Frelser, et le nombre de lancers de dé qu'ils ont faites chacuns depuis l'éternité. Que se passerait-il ? En fait, comme Frelser est délimité dans le temps, il ne pourra jamais lancer au-delà de 3.000.000.000 de dés sur toute sa vie, surtout qu'il devra faire d'autres tâches... Ce qui signifie en clair, que le nombre total de suites probables est de 6^3.000.000.000! et est délimité dans ce nombre critique. Or, si il n'existe pas plus de 6^3.000.000.000! de suites potentielles, chaque suite probable a dû surgir une infinité de fois selon la formule qui peut s'écrire comme suit : / 6^3.000.000.000! = Donc, Frelser (moi) ne devrait pas obtenir des séries respectant les probabilités au lancers de dé. Puisqu'il ne serait qu'un des infinis Frelser obtenant strictement n'importe quelle suite d'entre les 6^3.000.000.000! suites disponibles sur une vie de Frelser. Et cela serait valable pour n'importe quelle personne lançant un dé, aussi longtemps qu'elle vivra. Ce qui signifie que Frelser pourrait obtenir strictement n'importe quelle suite avec la même aisance, parceque face à une infinité de lanceurs, plus aucune mesurabilité ne serait possible. Notre univers présent devant avoir une infinité de répliques, n'importe quel phénomène même le plus farfelu devrait avoir une probabilité égale à un de se produire dans le notre. Pourtant, les tests au lancers de dé aboutissent à des résultats qui respectent les lois des proportions et de séries aléatoires. Ce qui ne devrait absolument pas s'observer si l'Univers était éternel et sans commencement. Tout être vivant d'une durée de vie donnée existant une fois devrait exister une infinité de fois, et s'il est capable de lancer un dé, le paradoxe absolu sera vrai pour chacuns. Il devrait exister une infinité d'univers violant systématiquement les lois des proportions et de suites aléatoires. Dans une infinité d'univers incohérents, se trouver précisément dans un univers comme le notre tendrait asymptotiquement à zéro (car pamis une infinité d'univers matériellement possibles se répétant chacun à l'infini, ceux n'étant pas cohérents sont géométriquement infiniment plus nombreux), et la chance que cela change à chaque instant tendrait exponentiellement à l'infini. Donc, avec un simple test chez soi avec un dé, on peut vérifier comme notre Univers porte la signature d'un Univers Unique ayant une origine dans le temps. De la même manière, comme notre Univers existe et est donc probable, si des Univers existaient depuis l'éternité, il devrait exister une infinité d'Univers exactement identique au notre, avec des Frelser qui écrivent précisément ces lignes. Mais également, tous les univers probables de taille tendant à l'infini et variant à l'infini jusqu'à l'absurde... Notre Univers n'étant qu'un des Univers dans une infinité indénombrable d'Univers simiaires devrait être le théâtre de tous les possibles. Il pourait apparaître un papillon sur mon nez émergent du néant par fluctuation quantique et effet tunnel, dont les atomes et les tissus se matérialiseraient spontanément. Cela serait aussi aisé que de boire un verre d'eau, car tout phénomène probable serait infiniment probable. 4. La mécanique quantique comme un potentiel de l'Univers à émerger du néant. Etant donné cet état des faits, il faut un moment où le temps, la matière, l'énergie apparaissent, or cela a une origine unique. Donc, il fallait que Rien n'existe avant la Genèse. Par conséquent, cela devait exister potentiellement, mais pas réellement, et se manifester une seule fois. Ce qui se rapproche très clairement de l'idée d'un démiurge. 5. La M. Q. comme commademant divin permettant la fluctuation de matière et son émergence par effet tunnel, en conformité avec un Univers unique ayant une origine dans le temps. La M. Q. comme des commandements de dieu pour générer l'Univers. La réalité est purement matricielle selon la physique quantique, il est donc de plus en plus vraisemblable que la réalité est faite de lois abstraites, vides d'espace, de temps et d'énergie. Ces lois doivent s'être manifestées qu'une seule fois, ce qui se rapproche de la notion de création et de Logos de façon claire. 6. Notion Athée d'un dieu strictement stable, indivisible et sans faille... Il faut de même que dieu soit à l'origine parfaitement stable, indivisible, sans lacune, en fait, il doit être exactement comme ce que nous nommons Rien. Chaque accident, chaque événement étant dû à ce Rien... A l'origine, toujours ce Rien Parfait, ce Principe Absolu. A ceci près qu'il devait potentiellement pouvoir se manifester par les lois quantiques à travers l'Univers qui sera le lieu de ses manifestations... Donc, le dieu décrit par anthropocentrisme, est la conception de dieu en tant qu'humains, depuis l'intérieur de notre conscience et de l'espace-temps, en observant ses manifestations... Tandis que pour le Principe, le temps n'existant pas, il est insensé de parler de raisonnement, de finalisation ou de programme. Ces choses étant liées à la notion de temps qui est inexistant pour Lui. 7. Le Monde comme une illusion de dimensions, de temps, de couleurs etc. Et la notion de l'émergence du principe de dieu par manifestation dans l'Univers entier en générant de l'information quantique qui sont la signature de ses manifestations. Tout est une manifestation directe de dieu. D'un point de vue mystique, je vois donc dieu en toute chose. Dans la beauté d'une belle femme, dans la puissance d'un trou noir, dans l'intelligence d'un génie, dans le parfum d'une fleur... Dans le vent qui souffle, les lois de la nature. En moi-même, car il anime indirectement chaque particule de mon corps, tandis que moi je ne fais que subir pleinement ses manifestations. Une manifestation de la beauté spontanée de dieu. Nébuleuse du cone. Galaxie spirale (Hubble). Musculature humaine. Pulsar. Cristaux d'eau. Pendentif en forme de vénus trouvée à Barakhat Ram, daté ancien d'environs 160.000 ans, date de l'apparition de l'homme moderne.
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D'après les religions dogmatiques que sont notamment le judaïsme, le christianisme, et l'Islam, leurs textes sacrés sont la parole de Dieu, qui est censé être parfait. Ces textes sont donc supposés vrais par les croyants. Pourtant, ces derniers effectuent un tri, il considèrent certaines choses comme des métaphores, d'autres comme vraiment vrai, et rejettent d'autres parties en admettant implicitement qu'elles sont immorales. Certains croyants très ouvert d'esprit considèrent même que tous les textes sacrés sont des métaphores. Ce n'est pas logique. Si on dit que quelque chose est vrai, cela ne veut pas dire le contraire ou que on peut l'interpréter comme on veut. Qu'en pensez-vous ? Êtes-vous aussi étonnés par cela ? Est-ce une forme de fétichisme de textes religieux, à savoir que les croyants les vénèrent comme un objet, mais en fait ne prennent pas en compte leur contenu ? Ou bien est-ce une façon d'appartenir à un groupe, le même croyant pouvant tout à fait se trouver dans une autre religion avec d'autres textes, mais qu'il fait comme tout le monde ou plutôt qu'il pense comme tout le monde ?
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Voilà, c'est facile à comprendre pour tout le monde me semble-t-il : la croyance est une manière de réfléchir qui était valable autrefois, avant l'invention de la science et avant les Droits de l'homme, mais aujourd'hui elle n'a plus sa place. Ceux qui sont encore croyants sont juste en retard, ils raisonnent comme dans l'antiquité ou, au mieux, au moyen-âge. Même s'il existe encore beaucoup de régions du monde attardées, globalement la croyance n'a jamais été aussi faible dans l'histoire, et cela ne pourra heureusement qu'augmenter dans l'avenir..
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Bonjour, C'est une question que je me pose : l'homme moderne est-il un sujet socialisé, ou un citoyen responsable ? En étant un sujet socialisé, il est formé pour s'adapter aux exigences de la vie en société, ce qui ne fait pas de lui un être responsable. En revanche, en tant que citoyen responsable, c'est lui qui s'adapterait aux exigences de la vie en société, en toute conscience d'un bien-fondé que cela lui apporterait tant à lui qu'à ses semblables. La société moderne est une société de masse gérée par un pouvoir tutélaire et prévoyant, qui dispense les individus de penser et d'agir de leur propre initiative sur des questions d'intérêt général. Les individus s'y sentent protégés, bien que la dominante soit la logique de l'intérêt et du profit, ce qui devrait plutôt donner matière à s'inquiéter. D'où cette question : nous qui sommes habitués à cette société, sommes-nous des citoyens responsables ou des sujets socialisés ?