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Hello tout le monde... Je viens de me taper le JT et d'autres débats sur le sujet... Mais personne ne parle réellement du pourquoi ? Qu'est-ce qui les pousse à agir ? Ont-ils un agenda ? Ont-ils des raisons de faire cela ? Je souhaiterais avoir un débat entre personne n'utilisant pas de copier-coller, ne pondant pas des réponses longues comme le bras, juste des avis, des opinions, des réflexions... Merci de votre courtoise participation.
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Est-ce que la raison, est une vertu ? (d'après moi : Oui) "Bien juger", c'est se donner les moyens de "bien agir", et "bien agir" c'est une "bonne action". La recherche de valeur vertueuse, nous pousse à être raisonnable. Non ?
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Je créais ce sujet, dans le but d'aider les membres du forums qui ne comprendraient pas la suppression, la modification ou l'intervention de la modération sur leur message ! Ce topic permettra à chaque partie (membre / modération) de mieux tourner la page sur un évènement en particulier. Cela permet une meilleur justice. Le fonctionnement de ce topic, se déroulerait ainsi (au mieux): Un membre pose une question à la modération (de façon constructive). La modération répond en conséquence (de façon constructive). Règles subsidiaires: Aucun comportement agressif, troll, hypocrisie ou propos insensé, ne doit être admis. Le dialogue ne fonctionne qu'en présence de calme et de clarté des intentions de chacun. Si la conversation s'éternise (au delà de 3 Questions/Réponses), la continuité du dialogue est préconisée à travers les Messages Personnels. Si la conversation se transforme en jugement, avec d'un côté la défense et de l'autre l'attaque, il est recommandé de voir ça sur un autre topic (en créer un autre ?) ou par Message Personnels. PS: Si ce topic n'a pas lieu d'exister: dommage. Si ce topic n'a pas ça place ici, excusez-moi pour la méprise. Si ce topic n'a pas d'intérêt pour la modération.... Faites-en ce qu'il vous en plairas. J'accepte sans sourcilier la suppression/modification de ce topic. L'ayant créé avec de bonnes intentions, dans l'intérêt de ce forum, je n'ai rien à regretter de mes agissements. _____________ Question: Pourrais-je savoir pourquoi (précisément) ma réponse au message de Dompteur de mots dans le topic: Cruauté de la vie à été supprimé, alors que rien ne l'y conseiller !? De souvenir (mais je peux me tromper), mon comportement dans ce message ne justifie aucune raison objective recommandant la suppression (on ne parle pas de modification, mais de suppression) de ma réponse. Au contraire, je défends (avec de bonnes intentions) une autre de mes réponses et j'explique un fonctionnement et un raisonnement méjuger, en rapport au sujet. Voilà pourquoi je m'étonne de voir ma réponse supprimer (d'après mes souvenirs et mon jugement) injustement. Cela me surprend et l'injustice qui se créer à mes yeux ne me donne pas envie d'être bienveillant. C'est pourquoi, je préfère poser la question, affin d'avoir une explication rationnelle, pour mieux tourner la page (ou corriger cette injustice. Car, peut-être que mon message ne préconise qu'une modification légère, apporté par mes soins, ou celle de la modération), plutôt que de favoriser le cercle vicieux de haines, si favoriser sur internet, par certains (je ne vise personne, c'est une constatation).
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Comment peut-on déterminer si l'oeuvre d'un penseur est de portée universelle ou non, c'est à dire qu'elle appartienne au patrimoine de l'humanité, sachant qu'aucune vérité n'est jamais unanimement reconnue? Suffit-il qu'elle défende une vision cohérente du monde pour être considérée comme telle? Quelles sont de façon générale les conditions de l'universalité d'une pensée? Mon opinion (ce n'est qu'une opinion pour l'instant) part du principe que le critère de l'unanimité est un critère caduque (ce qui est aussi un constat, l'ensemble des propositions unanimement acceptées étant un ensemble vide), et qu'une pensée universelle doit dire quelque chose de l'être humain dans sa globalité, ou qu'elle doit dire quelque chose de sa réalité existentielle, de sa façon d'être au monde. Si donc toute forme de pensée espère atteindre une certaine vérité, il faut défendre l'idée que l'unanimité n'est pas un critère de vérité suffisant, bien que la rationalité en soit le premier critère. En effet, il faut aussi qu'elle puisse répondre des autres façons d'appréhender le même problème de sorte à être suffisamment robuste pour résister à l'écoulement du temps et la succession des générations de penseurs, quitte à s'auto-justifier par des arguments d'apparence sophistiques. Une pensée universelle est donc une réponse rationnellement argumentée, c'est à dire potentiellement intelligible à tous, répondant à un problème qui concerne tout être humain, par exemple l'ensemble des réponses envisageables et des systèmes de pensée rationnellement justifiées répondant à la question : Qu'est-ce que l'Homme? sont des pensées universelles. C'est donc une pensée qui correspond à un enjeu fondamental de nos existences, mais qui est également capable de rendre compte des autres façons de penser, c'est à dire qu'elle est capable de les supplanter ou de les expliquer dans son propre système de pensée en les renvoyant au statut de simples apparences et aux préjugés des vulgaires (p.ex. Spinoza explique l'illusion du libre-arbitre que son système de pensée nie / Galilée explique l'illusion que le Soleil tourne autour de la Terre / ... ).
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La raison c'est le diable ! C'est une expression qui se dit chez moi quand quelqu'un nous prend un peu trop la tête avec la raison, qu'il verse un peu trop dans la morale : "Tu sais que j'ai raison !", "Sois un peu raisonnable !", "Il faut écouter la voix de la raison !" etc. parce qu'on estime qu'à trop opposer sa raison ou même, une raison qui est celle du plus grand nombre, on se déshumanise. Bien sûr il en faut de la raison, pour être en mesure de juger, pour agir droitement et justement, pour accomplir son devoir... Pour distinguer le bien du mal diraient certains. Pour distinguer le bien du mal, vraiment ? Nos sentiments ne nous suffisent-ils pas pour distinguer le bien du mal ? N'est-ce pas le travail du cœur de distinguer le bien du mal, plutôt que le travail de l'esprit ? Nos sentiments qui nous sont quelque chose d'inné, dont on pourrait se dire qu'ils sont la voix d'une sur-raison qui nous échappe et que l'on ne peut pas vraiment définir, tandis que la raison nous vient de ce que nous inculque la société qui s'oppose plus ou moins aux sentiments humains. On parle par exemple des mariages de raison, dans certains pays le mariage d'amour n'étant même pas quelque chose de pensable, or à quoi peut aboutir une société où les mariages ne sont que la conclusion d'accords raisonnés et où l'amour est banni ? Je citerai aussi ces destructions de denrées alimentaires pendant la grande dépression américaine : des gens tombés dans une pauvreté extrême, jetés sur les routes à la recherche de travail, avaient faim, et au lieu de leur donner ces denrées nécessaires à leur survie on préférait les détruire parce que la raison sociale commandait de détruire ce qui ne serait pas vendu. Ce n'est pas l'unique exemple prouvant que la raison mène souvent à l'absurde et au mal. Quelques pistes : La raison du cœur. Une société va mal quand les hommes ne sont pas aux ordres du cœur. Voilà ce qu'est la foi, Dieu sensible au cœur, non à la raison. (Blaise Pascal) Le devoir est ce qui est contraire à la nature. (Schopenhauer) La morale commence où commence l'attachement à un groupe. (Durkheim) La raison mène au triomphe de bas intérêts et le sentiment doit triompher en se plaçant au-dessus. On ne s'élève pas forcément en acquérant un pouvoir absolu sur ses passions. Ne plus écouter que ses sentiments est ce qui nous permet de ne pas devenir fou quand la raison du plus grand nombre devient folle. Est-il vraiment fort celui qui a la force de n'écouter que sa raison ? La raison n'est que le calcul. (Thomas Hobbes) La raison va toujours et torte, et boiteuse et déhanchée et avec le mensonge comme avec la vérité. Par ainsi, il est malaisé de découvrir son mécompte et dérèglement. (Montaigne) La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu'il y a une infinité de choses qui la surpassent ; elle n'est que faible, si elle ne va pas jusqu'à connaître cela. (Blaise Pascal) Deux excès : exclure la raison, n'admettre que la raison. (Blaise Pascal) Qu'en pensez-vous ?
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L’univers existe. Or, l’existence relève de ce qui est puisque que toute chose existante peut toujours être définie par certains attributs. En d'autres termes, toute chose existante est nécessairement sujet du verbe substantif: être; sans lequel rien ne pourrait être défini à commencer par l'être humain. Etant donné que l’existence ne saurait émerger du néant sans en faire autre chose que du néant, alors l’Etre, tout ce qui est, relève de la substance au sens philosophique du terme, c’est-à-dire qu’il est toujours par lui-même et qu'il ne peut être le sujet d'aucune autre chose que lui-même. Or, le réel est régi par le principe de causalité de sorte qu'une vérité conceptuelle doit avoir sa correspondance en termes de véracité factuelle. L'état "d'aucune autre chose que l'être lui-même" doit alors être mesuré dans le réel objectif par voie de conséquence: l'être doué de conscience esseulé dans le cosmos de sorte qu'il ne peut être le sujet "d'aucune autre chose que lui-même" et qu'il ''est par lui-même'' en vertu de son libre arbitre. L'existence est donc nécessaire afin que ce qui est puisse relever de la substance: être toujours par lui-même et n'être le sujet d'aucune autre chose que lui-même. Je l'explique dans mon essai publié sur mon blog : https://cequiunie.blogspot.com/. Le texte est construit comme suit : -Partie 1 : De ce qui est ; -Partie 2 : De ce qui n’est pas ; -Partie 3 : Du réel objectif (avec l’explication du moteur de la gravitation, de l’intrication quantique, de la superposition quantique et de la dualité onde-corpuscule que vous pouvez ignorer si le sujet ne vous intéresse pas); -Partie 4 : De la raison de l’existence (avec l’explication de ce qu’est la mort et la preuve de l’âme humaine par ce qui est substantiel: le sentiment); -Partie 5 : Conclusion sur l’issue du progrès à l’heure de l’ordinateur quantique; Merci d’avance pour vos avis.
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Voilà, c'est facile à comprendre pour tout le monde me semble-t-il : la croyance est une manière de réfléchir qui était valable autrefois, avant l'invention de la science et avant les Droits de l'homme, mais aujourd'hui elle n'a plus sa place. Ceux qui sont encore croyants sont juste en retard, ils raisonnent comme dans l'antiquité ou, au mieux, au moyen-âge. Même s'il existe encore beaucoup de régions du monde attardées, globalement la croyance n'a jamais été aussi faible dans l'histoire, et cela ne pourra heureusement qu'augmenter dans l'avenir..
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Parce qu'il mélange allègrement la logique des sentiments avec la logique de la raison et/ou de la justice. Le devoir conjugal, le devoir de fidélité, le devoir d'aimer son conjoint(e)... autant d'aberrations conceptuelles auxquelles ce concept désuet de "mariage" mène et continue de mener de nombreuses vies humaines. On se marie par tradition, par intérêt, pour les enfants ou pour les proches, mais sinon quel intérêt? Combien de couples échouent après s'être mariés car de fait, l'illusion réciproque de liberté nécessaire à une relation amoureuse épanouie donne le sentiment au mari d'être tenu par les couilles ou à la femme d'être tenue par les ovaires?
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Bonjour, Je vous dispenserai de l'imbroglio de paradoxes dans lequel je suis empêtrée en ce moment et me contenterai de vous poser ces simples questions. Peut-être vos réponses m'aideront-elles à y voir plus clair : Quelque soit la légitimité de la croyance en Dieu (car je pense qu'elle est légitime, dans le sens où l'idée de Dieu est rationnellement analysable), comment un système de croyances, finaliste apriori, peut-il être compatible avec "la quête de la vérité" ? (Idem pour l'athéisme, la question de sa compatibilité avec la philosophie se pose aussi). L'agnosticisme est-il une condition nécessaire à la réflexion - aussi libre possible - sur le monde et l'existence ?
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