Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'poésie'.
29 résultats trouvés
-
Votre avis : Est-ce suffisant ? ça ne fait pas un peu... poussif ? nouveau finalwlmp.mp4
-
Pour @Spleen nostalgique Tu parlais de manger à un restaurant du Vieux Port... Tu es donc de Marseille ? Et tu affectionnes la poésie ? Alors voilà : le premier libre imprimé à Marseille vers la fin du XVIe siècle, ce fut les oeuvres de Louys Bellaud de la Bellaudière... Le poète provençal certainement le plus connu et apprécié avec Frédéric Mistral... Voilà un de ses sonnets que j'aime bien... Bon an, bon mes bonjour ma douço Couloumbette ! Bono ouro bon matin ! Tous tems vous douno Diéu ! Quand vous noun farès rèn au mèns pènsas a iéu Qué per troup vous amar bessaï perdraï l'armeto E qué si vous téniéu au founs dau bosc souleto Autro mau per ma fé bello non vous fariéu Si non qu'a plenos mans de flours iéu quilhiriéu Las jetant a l'èntorn de vostro personeto E puèis èn vous amant vous diriéu Janeton Coumo lard èn sartan si found moun couraçoun Laissèn passar eici la calour titaniero Veïrès qué los aucèus que saboun moun tourment èn cantant vous diran "sus filho prestament Dé graci countèntas Louys dé la Belaudiero !"
-
Il existe de nombreux topics sur la poésie mais je souhaitais faire celui-ci pour permettre aux forumeurs qui le souhaitent de nous offrir un poème chaque jour. L'idée, c'est de créer le recueil de poèmes du forum. Faites-nous plaisir en vous faisant plaisir :). Allez, je commence. Victor Hugo, Les Contemplations, 1856
-
« La poésie est cette musique que tout homme porte en soi » – Shakespeare Comme le dit Shakespeare, tout homme porte en soi cette musique que l’on nomme poésie, cependant si certains choisissent d’en faire la pierre angulaire de leur vie, d’autres au contraire préfèrent l’oublier et la font taire. Pourtant, née dans notre monde imaginé dès l’enfance, la poésie vient compléter le langage des mots parlés en instaurant un langage imagé. On dit souvent qu’il y a une claire séparation entre l’hémisphère droit et gauche de notre cerveau : le premier pour le non-verbal avec l’émotionnel, l’imagination et l’intuition, et le second pour la parole avec la pensée logique et rationnelle. Ces deux aspects de nous-même communiquent grâce à la poésie, celle-ci permettant à l’hémisphère verbal de mettre en mots ce qui se passe dans la partie non-verbale afin d’obtenir une communion extrêmement personnelle de nous-même. « On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c’est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l’humanité. Et l’humanité est faite de passion. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l’amour, c’est pour ça qu’on vit. » John Keating dans Le Cercle des Poètes Disparus. […] La poésie, vous l’avez compris, c’est la langue de l’imagination, des intentions mais surtout de l’expression de nos émotions. Un message délivré à travers cet art permet de transmettre le ressenti de l’auteur, tout en communiquant avec le for intérieur de chaque individualité. Être à l’aise avec son ressenti permet de mieux échanger avec les autres nos pensées, idées et impressions ! La poésie permet également de se construire une personnalité distincte avec une vision personnelle. En offrant cette possibilité, des qualités telles que l’altruisme, la créativité, l’intelligence sensible et l’intuition pourront émerger. ICI Bonjour à tous.tes Un peu de douceur dans ce monde de brutes ! Nos émotions passent par différents vecteurs comme la poésie qui nous offre la possibilité de nous laisser aller parfois à quelques confidences puisqu’elle touche au personnel. Avez-vous l’âme d’un poète, d’une poétesse ? En lisez-vous ? Je vous invite, si l’envie vous prend, à venir ici et y déposer vos impressions et vos créations. J’ai hâte de vous lire !
-
Un petit poème (poignant et revigorant) de Walt Whitman qui n'est pas dans l'air du temps et que je voudrais vous faire partager, aimer... ou détester (selon votre appréciation). Bonne journée à tous. https://fr.wikipedia.org/wiki/Walt_Whitman Walt Whitman - Feuilles d'herbe - Les Cahiers Rouges - Grasset ----------------------- Fanfares puissantes en tête, j’arrive, me voici, avec cornets et tambours, Je ne joue pas de marches pour les élus seuls, je joue pour les victimes, les vaincus. Qui vous a dit que la victoire était bonne ? Moi je prétends que l’échec n’est pas moins bon, que les batailles se perdent comme elles se gagnent, du même cœur. Donc je martèle, je bas mes timbales pour les morts, Pour eux je souffle très haut ma joie aux embouchures. Bravo à ceux qui ont échoué ! A ceux dont les vaisseaux ont sombré dans la mer ! A ceux, qui dans la mer, se sont aussi eux-mêmes noyés ! Aux généraux victimes des combats, à tous les héros défaits ! A toute l’innombrable foule des héros inconnus égaux des plus connus dans la gloire !
-
Idées de tatouage liés à la littérature (Hugo et Rimbaud)
OrlaneS1108 a posté un sujet dans Littérature
Bon : j'ai un projet de tatouage en tête et ça va se concrétiser dans quelques mois (vers mars/avril 2025) et j'ai deux envies : un tatouage dans le dos puisque j'ai une grande cicatrice de haut en bas donc l'idée est de la dissimuler avec plusieurs tatouages autour ET d'autres tatouages, plutôt sur les avant-bras, dédiés à des phrases/symboles d'auteurs. La littérature est quelque chose qui compte énormément dans ma vie et m'a servi de soutien dans les moments les plus sombres de mon existence ces dernières années. Mes deux « idoles » en la matière sont Victor Hugo et Arthur Rimbaud. La phrase d'Hugo, tirée des Châtiments (1848) « Ceux qui vivent sont ceux qui luttent » me parle énormément. Mais en ce qui concerne Rimbaud... Je ne sais même pas s'il est possible de ne choisir qu'une seule et unique phrase de Rimbaud pour le « résumer ». Est-ce que d'autres amateurs de ces auteurs (et surtout Rimbaud, donc) auraient des idées de symboles qui pourraient faire l'objet d'un tatouage pour lui/leur rendre un petit hommage ? Enfin, je tiens à préciser : oui, je sais bien que les tatouages, pour des raisons comme celles-ci, c'est quelque chose de très personnel, mais je suis tout de même ouverte à plusieurs idées extérieures puisque je n'en ai pas énormément et que je veux rendre un hommage à la hauteur de l'importance qu'ils ont eu (et ont toujours) dans ma vie. Merci d'avance de vos suggestions ! Orlane.- 6 réponses
-
- poésie
- victor hugo
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Parce qu'aussi bien, c'est un exutoire comme un autre, si tant est qu'on ne se prenne pas trop au sérieux dans la chialure désolatrice... Je commence : J'ai des désirs d'orage et de désolation De surdité aveugle en lumière et en son Imposés De noyade et de respiration! Je veux le bruit solide et violent D'un tonnerre sans doute Des brulures de rétine A des éclairs blancs! Je mourrais sans voir le beau temps Comme j'aurais donc du coura-a-geuh Je mourrais sans voir le beau temps Moi derrière, moi derriè-è-reuh Je mourrais sans voir le beau temps Moi de hier et moi de vent! Tsoin-tsoin!
-
Michel Houellebecq est-il le meilleur écrivain contemporain ? En ce qui me concerne, je préfère ses poèmes : https://www.poemes.co/la-disparition.html
- 17 réponses
-
- littérature
- poésie
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Oui je sais ce que c'est D'être aimé ! En tout cas Je l'ai su... Le regard de l'aimant De l'aimante Est acide Et douceur. Piquant Et caressant Et embué de larmes Il te voit flou, T'englue Sans te toucher C'est un regard Du bout des lèvres. Il est changeant Et différent, Il te découvre à chaque instant Il t'invente nouveau Et tu es sa merveille C'est un regard du souvenir... Un regard oublié Celui qui te réveille. Oui je sais ce que c'est D'être aimé...
-
Quelques vers du félibre Jean-Baptiste Gaut sur la capitale de la Provence : Ais, per iéu soun enfant, me semblo uno esmeraudo // Aix, pour moi son enfant, me semble une émeraude Que subre la Prouvènço, espandis soun trelus : // Qui sur la Provence répand sa gloire : Ai de rai sus lou front, sa clarour esbrihaudo, // Elle a des rayons sur le front, sa clarté éblouit, Dis abeio e dóu mèu Ais es pèr iéu lou brusc. // Des abeilles et du miel Aix est pour moi la ruche. Et vous, connaissez-vous (ou avez-vous composé) des poèmes pour vos villes ?
-
Topic : "Plus rien ne s'oppose à la nuit". Sous ce titre extrait des paroles "Osez Joséphine" de A.Bashung, je vous propose de poster vos textes, photos ou des mots d'auteurs que vous aimez en soignant la présentation des pages. Les suites peuvent être interactives ou ne pas et nous feront part de quelque chose de votre sensibilité du moment. _____________________________________________________________________________________________ « Comment doser en juste mesure le poids du monde sur ton front, esclave de la lumière? / Esclave de l’aube, / esclave des reflets qu’aiguisent nos regards sur ta face. / Esclave d’un désir qui a déchiré ton voile et le mien. / Comment doser en juste mesure le poids du monde sur ton front? » Titi Robin
- 267 réponses
-
Se lever, malgré soi, entre chien et loup, c'est un peu comme croiser son état sauvage de la nuit et la domestication à venir de la journée.
-
Quand les cons s'éliminent .... c'est cool ! et un ptit clin d'oeil à Brassens
-
Personne blessé Personne charié Ne te laisse pas tomber Ne te laisse pas sombrer Toi aussi tu penses Toi aussi tu dances Ne crois pas être mauvaise Ne crois pas ces gens d'aises Personne vitale à ma survie Personne que je n'oublie Pourquoi ne pas m'avoir compris ? Pourquoi t'es tu éclipsé ? Pourquoi m'être blessé pour quelqu'un que j'appréciais ? Et me voilà qui parle au passé La vie elle est chienne La vie c'est une salope mais elle est trop courte pour ne pas la faire mienne Quand j'espère la lumière Je ne vois que le sang dans mon verre Elle a disparu Elle m'a perdu La vie. Mais je la retrouverai En tirant sur le fil qui nous reliait Je ne suis pas du genre à laisser tomber Même si tu n'est plus là.
-
Paul Verlaine Paul Marie Verlaine, surnommé « le Prince des Poètes », est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L'emploi de rythmes impairs, d'assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l'univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C'est lui qui a lancé la notion de « poètes maudits ». En 1870, il fait la connaissance de Mathilde Mauté qu'il épouse. Il écrit pour elle le recueil 'La bonne chanson'. En 1871, il rencontre Arthur Rimbaud qui exerce sur sa personne une fascination telle qu'il lui sacrifie son couple et s'enfuit en Angleterre. Une dispute survenant entre eux, le contraint à tirer à coup de pistolet sur le jeune poète. Condamné pour homosexualité, Verlaine passe deux ans en prison où il rédige l'essentiel des recueils 'Romance sans paroles' (1874) et 'Sagesse' (1881), à la musicalité frappante. De retour à Paris, il sombre à nouveau dans l'alcoolisme. La mort de sa mère en 1886, le condamne à la misère, malgré l'admiration des symbolistes. Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues. Paul Verlaine (Poèmes saturniens) Romances sans paroles Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur? O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits! Pour un coeur qui s'ennuie O le chant de la pluie! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi! Nulle trahison?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine! Paul Verlaine Art poétique De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair, Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise ; Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint. C'est des beaux yeux derrière des voiles, C'est le grand jour tremblant de midi, C'est par un ciel d'automne attiédi, Le bleu fouillis des claires étoiles ! Car nous voulons la Nuance encor, Pas la Couleur, rien que la nuance ! Oh ! la nuance seule fiance Le rêve au rêve et la flûte au cor ! Paul Verlaine
-
Je dédie ce topic à un genre que j'apprécie particulièrement, la poésie en prose, et je vais en profiter pour y glisser un petit coup de gueule sur la poésie en général, et quelques réflexions. La poésie en prose est un genre rebelle aux définitions ; en effet, où commence-t-il, où s'arrête-il? A notre époque où tout le monde et n'importe qui s'improvise écrivain en pastichant sa fantasy favorite ou en écrivant ses confessions, où tout le monde et n'importe qui s'improvise Poète et considère qu'un poème, c'est une suite de rimes sans métrique où il faut parler de ses sentiments (amour, haine, dépression pour 99%), où lesdites horreurs sont postées partout sur Internet, il me semble particulièrement pertinent de s'intéresser à cette forme étrange de littérature qu'est le poème en prose. "En prose" tout d'abord ; cela s'oppose aux vers (je citerai le très connu mot de Molière : Tout ce qui n'est pas prose est vers et tout ce qui n'est point vers est prose), c'est la forme classique de l'expression, écrite et orale. Se débarrasse-t-on pourtant d'un carcan en se refusant aux rimes? Et bien non, car (i) un poème en vers n'est pas forcément en rimes (ii) les rimes ne sont qu'un aspect du poème, malheureusement souvent le seul connu désormais : n'oublions pas la métrique, la prosodie et les figures de style (iii) qu'est-ce qu'une allitération ou une assonance sinon qu'une rime en prose, quelque part? "Poème" ensuite : c'est là le mot le plus important. On ne peut plus faire quelque chose qui ressemble à un poème, mais l'on est obligé de faire véritablement un poème, lorsque ce qu'il faut faire ne se limite pas à l'imitation d'une forme. La redécouverte du fond! Voilà ce en quoi c'est non seulement beau, mais utile, surtout aujourd'hui. Celui qui en écrit un est obligé de revenir à ce que cela était à la base : l'art pour l'art ; une gratuité (qui n'est pas forcément synonyme d'amoralité ni d'absence de profondeur), une sculpture des mots, choisissant les figures, la métrique lâche, la construction avec les briques de la langue - et tenter ainsi, de saisir un portrait, un instantané, une impression, une émotion, une allégorie ou un symbole, avec des images un peu plus personnelles voire hardies (dans un bon poème en prose). J'avoue d'ores et déjà que je connais mal les expérimentateurs modernes, depuis le surréalisme et son écriture automatique (voir André Breton) jusqu'aux expérimentations spatialistes en passant par les manipulations bizarres des mots de l'Oulipo. Je ne vais donc que conseiller deux ouvrages, deux grands classiques qui ont donné leurs lettres d'or au poème en prose, en France. Ce sont: -Gaspart de la Nuit, d'Aloysius Bertrand -Le Spleen de Paris, de Charles Baudelaire. A lire d'urgence, le soir, la nuit, bercé par d'oniriques volutes d'encens. :blush:
-
Bonjour futurs interlocuteurs; je vous fait part d'un petits problemes sur l'oral de français . J'ai remarqué il y a peu que 3 textes présents dans ma fiche de lectures analytiques n'avaient jamais été étudiés en cours. C'est pour cela que je m'ouvre à vous, hommes et femmes aux grands coeur qui avaient envie de m'aider au peril de votre vie . Le texte le desespoir est assis sur un banc de jacques prevert me pose quelques soucis, j'ai cherché sur le net mais aucun moyen de trouver un commentaire à ce titre. Je desespere, j'ai une chance sur 16 de tomber dessus et comme j'ai pas de chance . Donc j'attend de vous un petit coup de pouce, des indices ou pourquoi pas, un commentaire composé tout chaud tout droit sorti de vos cerveaux. Merci de m'aider et bonne chance à tout ceux qui vont bientot passer leur oral aussi.
-
Bonjour, Pour vous est-ce que la poésie est un art? ça parait simple comme ça comme question mais c pas évident
- 18 réponses
-
- Littérature
- poésie
- (et 5 en plus)
-
Comme une bouée lancée à pleine volée à la mer Dans les flots déchainés au goût amer, Tel un fétu de paille, Où qu'elle aille, Les profondeurs auront toujours raison d'elle Pauvre petit oiseau blanc sans aile, Perdue dans ces remous, sans cesse ballottée, Au gré de ces vents et marées, Aussi loin que sera son voyage, Elle ne reverra plus le rivage.
-
Bonjour, Alors voilà, j'avais envie d'écrire un poème. En cherchant bien, je trouve ce thème : l'immigration ! :smile2: Attention, je précise une chose : je ne vise ABSOLUMENT personne. Mais je souhaitais juste exprimer mon ressenti par rapport à cela. PS : C'est la première fois que j'écris un poème. Donc si certains passages ne veulent rien dire, vous saurez pourquoi, mdrr ! :D Tels des cigognes apeurées mais sans ailes, déplumés, ils viennent et ont débarqué malgré cette mer déchaînée Yahvé, Allah, Bouddha, ou d'autres dieux, j'sais pas, ont exprimé leur ire : Il faut partir. Ils quittent une vie de labeur pour une terre bien meilleure que ce soit pour se nourrir ou bien, juste en un mot : vivre. Les dieux, incrédules, nous envoient leurs moutons mais après, qui sera leur vrai berger ? Les sangliers, eux, nous ont poussé à raison. A not' cheminée, ils sont des trophées. Nos moutons font effort à la nation, mais Marianne, pas sûre, dit : non ! Nous sommes tous des fourmis qui travaillent et non des petits pucerons qui braillent. Notre besogne emplit des estomacs mais il y a peut-être trop, je crois. De nous, ils en tirent profit, mais d'eux, nous restons ébahis. Faut-il encore ouvrir nos bras ou sur notre poitrine, les croiser ? Là, ce que je pense tout bas est, comme un lieu sacré : restez fermés ! Accueillons ces autres enfants de ces dieux afin qu'il puisse animer le feu de la prospérité, qu'il mette, à condition, leur pierre au tas et non à l'immigration.
-
Je vous propose ici d'écrire tous un acrostiche avec le mot POESIE ; j'aimerai que ce thème puisse vous inspirer! Puissante imagination, Ose abandonner tes mètres! Ecriture et Conviction, Sont ici tes seuls maîtres! Inspiration, dérélictions, Expiration et conclusion.
- 114 réponses
-
- poésie
- acrostiche
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bonsoir, Avant de commencer mon devoir maison (corpus de texte + dissertation) sur la "poésie ludique", j'aimerais en savoir plus sur ce sujet dont je ne sais absolument rien.. J'imagine que mon dm est justement là pour ça mais j'aimerais tout de même me familiariser avec ce genre de poème.. Je ne sais même pas si c'est un genre ?! ^^ Toutes connaissances personnelles est là bienvenue ! :) Merci d'avance Ps: je ne trouve rien de pertinent sur internet...
-
Bonsoir, J'ai deux petites questions 1) J'aimerai savoir quelle est l'histoire "particulière" de la publication des 22 poèmes des Cahiers de Douai. 2) Pourquoi ce recueil se nomme t'il : Les Cahiers de Douai. Merci d'avance et bonne fin de soirée.
-
Petite boule d'amertume , en ton visage je me consumme, plantée au milieu des raisons , des flammes chatoyantes d'ambition. Petite femme dans son remord, ne pourrait y vivre encore, s'insurge d' être alors, qu'une bêtise en désacord. Petit coeur affaibli, se cherche éternellement d'ennui, chose meurtrie, qui avance et qui s'oublie. Petite parenthèse incomprise, vide d'émotions, avance à reculons, suivant ses inventions.....
-
Bon, j'avoue que le titre c'est juste un coup de marketing parce que si vous croyez que je vais écrire un poème par jour faut pas déconner non plus hein. :smile2: Mais voilà, de temps en temps, je posterai des poèmes dédicassés aux forumeurs! Bon, je commence avec une double édition puisque ceux là sont déjà écrit! :D Pour notre papillon, j'ai nommé Eva: Je suis un papillon qui virevolte de fleurs en fleurs Je me pose quelques instants, mais jamais plus d'une heure. Je ne me pose que sur les roses Ou autres fleurs majestueuses. Je les effleure, puis quand j'ose Je défleure ces malheureuses. Je ne suis pas sentimental Alors aucune ne me retiens. Ce n'est pas qu'elles s'y prennent mal Mais c'est de liberté dont j'ai besoin. Même les plantes carnivores Ne parviennent à me retenir. Je les aime, je les adore Mais sûrement pas à en mourir. Alors je vole toujours et sans cesse. Je papillonne avec allégresse. Je me pose le temps d'une caresse Puis je repars vers d'autres prouesses. Je me souviens de cette fleur, Qui m'a retenu si longtemps Je la portait dans mon coeur Et voulais rester éternellement. Malheureusement elle a fané Et mon coeur également. Aujourd'hui je ne fais plus que papillonner. Mon coeur est mort, il y a longtemps. Je me souviens de cette fleur par ce parfum qui m'enivre. A nouveau je me pose des heures A nouveau je me sens ivre. Une plante ne meurs jamais vraiment Et je vois mon coeur fleurir à nouveau. Cela faisait longtemps que j'attendais ce moment C'est pour cela que je te dédie ces quelques mots. Et pour Gisou: On dit des yeux Qu'ils sont les reflets de l'âme. Et qu'en les observant quelque peu Ils nous dévoilent toutes les trames. On détourne donc le regard, Comme on ferme un roman. Pour cacher notre histoire. Pour masquer nos errements. Mais toi tu ouvres tes paupières Et montre bien tes yeux. De ton histoire tu es fière En tout cas, tu l'assumes. Dans le bleu de tes iris On peut voir tes rêves. Une mer sans abysses Qui jamais ne s'achève; Des étoiles qui scintillent Aux dessus de chevaux On les voit qui brillent Et renvoient leur éclat sur l'eau. Dans ce décors céleste L'une d'elle devient oiseau. L'écume devient équestre Ainsi naissent les chevaux. Dans ces grands yeux bleus, On voit que tu aimes vivre. On voit le merveilleux, On voit un esprit libre!
