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Décédé à l'age de 94 ans. le seul écrivain de langue arabe à avoir reçu le prix nobel de littérature. Issu d'une famille de la petite bourgeoisie, Naguib Mahfouz a vu le jour en 1911 à Gamaleyya, un quartier populaire du Caire. Après des études de philosophie à l'université du Caire, il commence, à 17 ans, à écrire et publie ses premiers essais dans les revues littéraires des années 1930. Il publia sa première nouvelle en 1939, avant d'obtenir un poste de fonctionnaire et de décider de se consacrer à la réécriture romanesque de l'histoire de son pays l'Egypte. Une cinquantaine de romans à son actif Naguib Mahfouz est connu pour ses touchantes descriptions de la capitale égyptienne. En habitué des ambiances bigarrées contemporaines du Caire, il savait mieux que personne mettre en scène sa ville au fil des récits. Mahfouz avait une cinquantaine de romans à son actif, au nombre desquels quelques fictions réalistes et autres ¿uvres de postures philosophiques. Sa trilogie, longue de 1 500 pages, qui regroupe Impasse des Deux-Palais, Le Palais du désir et Le Jardin du passé, est devenue un classique en 1952. Il y décrit les espoirs et les désillusions politiques d'une famille bourgeoise cairote sur trois générations entre 1917 et 1944. Porte-voix de la tolérance et de la modération, l'écrivain égyptien échappe de justesse, en octobre 1994, à une tentative d'assassinat à l'arme blanche. A l'époque âgé de 83 ans, Naguib Mahfouz s'était fait « poignardé dans le coup avec un canif » par Mohammad Nagui Moustafa, accompagné de Amr Mohammad Ibrahim, alors qu'il s'apprêtait à quitter son domicile. Cet attentat avait fait suite à l'ouvrage de Mahfouz intitulé les Fils de la Médina jugé blasphématoire pour ses références à Jésus, Moïse et Mahomet. Le roman fut interdit par les islamistes. Paralysé de la main droite, l'auteur avait cessé d'écrire, contraint de dicter ses textes. « Quand on a la foi, le c¿ur suffit à vous guider » « Je suis du côté de la connaissance, seule voie de salut dans cet océan houleux et effrayant d'ignorance dans lequel nous sommes appelés à vivre », disait-il lors d'une rencontre philosophique de l'UNESCO. En homme sage, ses ouvrages sont le prétexte d'une réflexion personnelle. A preuve, dans Impasse des deux palais : « Quand on a la foi, le c¿ur suffit à vous guider » ou « La vie est sage de nous tromper, car si elle nous disait dès le début ce qu'elle nous réserve, nous refuserions de naître ». Naguib Mahfouz est l'un des seuls intellectuels égyptiens à avoir approuvé les accords de paix entre l'Egypte et Israël en 1979. Une position qui lui a valu d'être boycotté dans de nombreux pays arabes. Homme de coeur et empli de sagesse, il n'avait pas hésité à divisé le chèque de la Fondation Nobel en quatre part égales. Une pour sa femme Attiyatullah, deux pour ses filles, et la dernière en faveur du peuple palestinien. Source: afrik.com
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Bonjour, Pour vous est-ce que la poésie est un art? ça parait simple comme ça comme question mais c pas évident
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Bonjour à tous ! Je suis étudiante en première L, mais j'ai un petit problème : j'ai beaucoup de mal avec une dissertation sur le théâtre. Je cherche de l'aide, quelqu'un qui pourrait me donner des idées pour que je puisse avancer car je bloque sur mon grand I que je n'ai toujours pas fini depuis deux jours ! J'ai en parallèle rédigé mon intro. Voici mon sujet : Tous les genres dramaturgiques visent-ils à "plaire" et à "instruire" ? Mon plan : I/La tragédie d'après Aristote 1. Plaire 2. Instruire II/Autres genres du théâtre classique 1. La comédie 2. Tragi-comédie/baroque III/Du XVIIIes à nos jours 1. Théâtre des lumières 2. Drame romantique J'ai mis en pièce jointe le travail que j'ai commencé. Merci d'avance à ceux qui m'aideront ! Cordialement
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Bonjour, A l'occasion de quelques recherches pour un dossier portant sur la médecine psychosomatique (surtout le cancer et les maladies cardiaques) mélée à la littérature , j'aimerais trouver quelques livres portant sur ce thème. Mes recherches sont presque vaine, je n'ai trouvé que Mars de Fritz Zorn. Cependant, si vous avez quelques conseils et pouvez me renseigner , je vous remercie d'avance!
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Article (Figaro) À Yale, un petit groupe d'étudiant a lancé une pétition critiquant le programme de littérature anglaise — en particulier les poètes anglais d'avant le XXe — pour le motif que seuls seraient considérés des "hommes blancs". Ceci serait une discrimination inacceptable, et il est proposé non pas de diversifier le programme, mais carrément d'abolir ces poètes — car "hommes blancs" — dans une démarche de décolonisation afin que les "étudiants de couleur" ne soient pas stigmatisés. Quelques noms de poètes à bannir: Chaucer, Shakespeare, Milton... Pour ceux qui veulent lire le texte même de la pétition, voici le lien (en anglais). — Vos réactions? Personnellement, je pense que voilà la nouvelle conjonction des thématiques du fin XXe/XXIe siècle, à la fois le déni de l'histoire, la chute de la culture, et la formation des nouvelles polices de la pensée; un fascisme idéologique, une décadence. — Pensez-vous que multi-culturalisme politique et réécriture de l'histoire vont de pair?
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Bonjour à tous! Je suis un fan de science de SF depuis pas mal d'années déjà, ce qui m'a poussé à écrire un feuilleton en ligne du nom de Monrded. Vous pouvez le trouver à l'adresse suivante : http://www.monrded.com Voilà pour moi, j'éspère que ce site pourra m'aider à faire de nouvelles rencontres littéraires et peut être trouver de nouveaux lecteurs/critiques(?) . é tchao Romain PS: soyez indulgent sur le style des premiers journaux de Monrded, je n'en ai pas retravaillé certains depuis près de deux ans :smile2:
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Deux stars du roman pour la jeunesse lorgnent les adultes Lundi 12 janvier - 11:10 tephenie Meyer et Sophie Audoin-Mamikonian ont séduit légion d'ados avec les séries «Fascination» - l'adaptation cinéma, «Twilight», est actuellement en salles - et «Tara Duncan». Chacune propose aujourd'hui, avec succès, un roman pour adultes. En image, Stephenie Meyer et Sophie Audoin-Mamikonian Connaissez-vous Stephenie Meyer et Sophie Audoin-Mamikonian? Si ce n'est pas le cas, demandez aux ados de votre entourage, ils devraient sans nul doute pouvoir vous renseigner. L'Américaine Stephenie Meyer et la Française Sophie Audoin-Mamikonian sont en effet depuis quelques années les stars de la littérature jeunesse. Elles sont les mères respectives des séries best-sellers «Fascination» et «Tara Duncan». Leurs livres se vendent si bien qu'elles sont chacune à leur tour considérées comme les nouvelles J. K. Rowling. Autre point commun: elles ont toutes deux décidé, cette année, de changer de public et de s'adresser pour la première fois aux adultes. Un défi surprenant que relèvent avec brio ces deux nouvelles fées... du thriller. Portraits croisés. Stephenie Meyer Stephenie Meyer est née dans le Connecticut, il y a de cela trente-cinq ans, le jour de Noël. Mariée et mère de trois enfants, la jeune femme appartient à la communauté mormone, ce qui explique l'absence de scènes sexuelles, de cigarettes ou de fêtes alcoolisées dans ses livres. En revanche, férue de musique, elle poste régulièrement sur son site Internet les chansons qui ont inspiré ses ouvrages. On y retrouve le plus souvent les groupes Muse, Blue October, My Chemical Romance, Coldplay ou Linkin Park. Sophie Audoin-Mamikonian L'auteur S.A.R. Sophie Audoin-Mamikonian est née princesse héritière du trône d'Arménie. Ce n'est pourtant par son plus grand héritage: l'écrivaine de 47 ans a l'écriture qui coule dans ses veines. Elle est l'arrière-petite-nièce de l'écrivain et dramaturge Tristan Bernard, petite-fille du romancier et scénariste Pierre Gilles Veber, nièce du réalisateur Francis Veber («Le dîner de cons»), et parente de douze autres auteurs plus ou moins connus. Avant d'entrer en écriture, la jeune femme aiguise sa plume dans le domaine de la publicité, sous la direction du célèbre Jacques Séguéla. Mariée, mère de deux enfants, elle partage sa vie entre l'écriture des histoires de Tara Duncan et ses activités de princesse d'Arménie, avec l'association Douleurs sans frontières. Anne-Sylvie Sprenger Suite de l'article... Source: Le Matin
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La mort du prix Nobel de littérature Harold Pinter Jeudi 25 Décembre - 19:34 Intellectuel connu pour ses prises de positions politiques tranchées, Harold Pinter a écrit plus de trente pièces de théâtre. L'écrivain et dramaturge britannique Harold Pinter, prix Nobel de littérature en 2005, est décédé à l'âge de 78 ans, a annoncé jeudi son épouse Antonia Fraser sur le site du quotidien The Guardian. L'artiste, qui souffrait d'un cancer, est mort mercredi soir, a déclaré sa seconde épouse au journal. "C'était un grand homme et ce fut un privilège de vivre avec lui pendant plus de trente trois ans. Il restera à jamais dans nos mémoires", a-t-elle dit sans plus de précisions. Les médecins lui avaient diagnostiqué un cancer de l'oesophage en 2002. Intellectuel connu pour ses prises de positions politiques tranchées, Harold Pinter a écrit plus de trente pièces de théâtre. Il était également poète, metteur en scène et auteur de scénarios de films, dont plusieurs adaptations de ses oeuvres. Suite de l'article... Source: lepoint.fr
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Le marchand de suspense Mardi 10 mars - 16:23 Harlan Coben confirme son statut de maître du roman noir Comme un Père Noël d'un genre un peu spécial, il revient chaque année les bras chargés de cadeaux. Avec son crâne lisse et ses grandes oreilles, Harlan Coben a de quoi effrayer les petits enfants. Mais la lueur futée qui passe dans son regard dissipe les malentendus. L'Américain est du côté des bons. Sa tâche à lui consiste à faire peur aux adultes en leur racontant des histoires terribles qui garantissent, à choix, cauchemars ou insomnies. La noirceur de ses récits ne nuit cependant pas à sa réputation: ici-bas, la plupart des gens raffolent des contes de Maître Coben. Convaincu qu'il tenait là le bon filon, le diplômé en sciences politiques qui travailla un temps dans l'industrie du voyage s'est mué en marchand de suspense. Depuis son bureau de Newark (ville du New Jersey, où il a vu le jour en 1962), il imagine des intrigues en phase directe avec l'atmosphère urbaine désenchantée de ce début de millénaire. Jean-Philippe Bernard Suite de l'article... Source: Le Matin
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Agatha Christie, fatiguée d'Hercule Poirot Mercredi 20 octobre - 23:17 Agatha Christie en avait un peu assez d'Hercule Poirot, selon son petit-fils © MAXPPP D'après son petit-fils, la célèbre écrivaine britannique en avait marre de son personnage. Agatha Christie aurait eu 120 ans en 2010, et nombreux sont ceux qui l'associent au personnage d'Hercule Poirot. Pourtant, comme l'a révélé son petit-fils Mathew Pritchard lors d'une interview publiée mardi dans le magazine Radio Times, la "reine du crime" en avait particulièrement marre de son personnage, devenu trop encombrant à son goût. Suite de l'article... Source: europe1.fr
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Parlons littérature. Connaissez vous Don Juan ? Nous sommes tous d'accord Don Juan est un libertin. Riche et donc au dessus des lois et codes de la société il fait ce que bon lui semble jusqu'à ce qu'advienne un châtiment visiblement voulu par l'auteur comme divin. Dieu serait donc apte à rendre la justice sur terre ?
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Bonjour à tous, Je suis nouveau sur le forum et j'ignore si un post sur ce sujet a déjà été fait, mais je ne pense pas. En fait j'ai lu il y a quelques temps le livre Qui es-tu Alaska, de John Green, et je trouvais très intéressant la manière qu'a le personnage principal de citer régulièrement ou de parler à travers les paroles prononcées dans les derniers souffles de personnes connues. Dans l'histoire, il explique que pour se constituer son répertoire de références, il lit nombre de biographies. Je me demandais si vous connaissiez une sorte d'ouvrage regroupant ainsi les dernières paroles. Aussi, peut-être avez-vous lu ce livre, et qu'avez-vous pensé de cette pratique? Personnellement je trouve que le personnage impose un véritable style sans pour autant paraître lugubre ou quoi, au contraire. Je trouve que ça lui donne un côté "cultivé" qui sort du lot.
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Bonjour à tous, Bien que je ne suis pas forumeur et encore moins conseiller politique, les questions d'actualité me travaillent à tel point que ce que je croyais comme acquis fondamental depuis mon enfance, qui est l'évolution internationale vers la paix et la démystification (le "plusjamaisça" d'hier), se trouve à l'heure actuelle, plus que manifestement menacé. Étant donné que je ne peux voir l'immense rouage du fonctionnement et de l'évolution du monde, je ferais silence dessus. J'évite ainsi toute polémique contre-productive sur telle ou telle vision des "réalités" dont je ne connais qu'à peine le dixième de la surface émergée de cet iceberg thermodynamique. En revanche je me permet de vous mettre en lumière une perle de littérature, classé aujourd'hui comme de la philosophie politique dans les rayons universitaires, publié en 1938 par Vladimir Bartol en Slovénie. Autant dire qu'il était en "plein dedans". Passons au vif du sujet: La forteresse d'Alamut et l'histoire romancée des Haschashins. L'initiation des Fedayins et des Houris Tout commence par l'histoire d'un jeune homme sensible et intelligent, qui partit de chez ses parents pour affronter le monde, fit connaissance sur sa route de certains "recruteurs" de la forteresse d'Alamut, un bastion d'Iran géré par une organisation religieuse illégale, les Ismaélites (une branche du Chiisme), dont le rêve de gloire et de puissance conté par ses recruteurs l'a séduit. En effet d'après eux, il aurait été "choisit" pour représenter l'élite guerrière de l'organisation, les Fedayin. Et son parcours commence le jour de son baptême. S'ensuit une longue période d'entrainement et de dure sélection: Maniement des armes, résistance à la douleur (marcher sur des braises), études variées, allant de la poésie à l'étude coranique et passant par des notions d'alchimie héritée de la philosophie Grecque, discipline militaire extrêmement poussée, compétition farouche entre les membres ... Parallèlement à ça, une jeune fille vierge et dans la fleur de l'âge fût capturée et élevée dans un jardin luxuriant, semblable à un sublime conte de fées digne des Mille et une Nuits. Elle y appris l'art de la séduction, du raffinement, de la musique, de l’esthétisme... Autant d'artifices qu'elle puise pour se mettre en valeur aux yeux des plus braves guerriers, les Fedayins, auquel ses éducatrices lui a promis qu'elle y tombera amoureuse. Ces éducatrices y suivent une stricte hiérarchie, semblable à celle des Fedayins. Les professeurs, la professeur des professeurs qui dépend des ordres de la "supérieure". On y apprend que celle-ci n'est autre que l'amante de Hassan Ibn Sabbah, "l'architecte", prophète auto-proclamé et grand décideur de l'organisation. Les mois passent et les jeunes apprentis gravissent les échelons. Le futur Fedayin passe son baptême du feu face à une victoire clairement anticipée d'Hassan Ibn Sabbah contre une petite armée de rebelles peu dangereuse. Bien sûr, les proches de Hassan, lui font clairement comprendre qu'il fait partie des Héros, et que sans eux, la bataille fût perdue d'avance. Le chien-guerrier est séduit par l' os que son maître lui donne, justement mérité. Pendant ce temps, les jeunes filles deviennent des hautes courtisanes, expertes en l'art de séduire. Création de décors féériques digne des Dionysies Grecques, connaissance de la séduction inspiré par Ovide... Tout y est. Elles sont enfin prête à offrir une nuit de délices avec leurs futur "choisit". Un guerrier intrépide possédant le titre de Fedayin et auquel elle s'imagine le voir en un demi-dieu. Bien sûr, cette forteresse où les guerriers s'entrainent à devenir la "Main du Prophète" et ce jardin somptueux où ces jeunes filles deviennent leurs prostituées de luxe, sont côte à côte, bien qu'aucune informations s'échange de l'un à l'autre. Ils servirons tout deux à l'élaboration d'une supercherie ingénieuse visant à accéder Hassan au pouvoir absolu dans tout le Moyen-Orient. La dernière étape de leurs parcours est sur le point de commencer: L'entrée au Paradis. L'action des Fedayins et des Houris Première fois que les Fedayins rencontrent ce fameux prophète-architecte: Hassan Ibn Sabbah. Celui-ci leur prétend être le réel Prophète, et que lui seul détient la clé du Paradis. Celle-ci est toute simple, en réalité: une simple boulette de haschich, dont le paroxysme de son effet lui transporte "dans le jardin du Paradis, où il sera accueilli par les Houris . Mais qu'est-ce qui en est en "réalité" ... La supercherie parait simple; pour prouver que celui-ci dit vrai, il leur fait gouter cet avant-gout du "Paradis", de la même manière qu'un œnologue persuasif transforme un vin médiocre en "Grand Cru". Le Fedayin mange la boulette de hasch, s’endort, et se réveille dans un tout nouvel endroit; Jardin sublime, vin à gogo, vierges somptueuses ... Il se trouve désormais avec sa "Houri", et celle-ci lui assurant que tout cela est bien le Paradis, malgré son incrédulité. Il finit, tant bien que mal, par se faire convaincre que cette supercherie est bien réelle, en se laissant aller à l'ivresse du vin, du haschisch, de la musique et ... de l'amour. Leurs première fois se vit sous des sensations partagées sublimes dans un jardin merveilleux, et dicté de toute pièces par un couple cynique se prenant pour des Dieux. Le motif du "Paradis" deviens clair: Les traîtres Sunnites et Chiites doivent céder leurs place à l'Ismaélisme, et Hassan deviendrais le futur nouveau prophète de l'histoire coranique. L'objectif est simple: les hautes têtes des pouvoirs du Moyen-Orient doivent être tombées. Les Fedayins sont choisit pour les couper. Bien entendu, leurs vies est menacées mais de leurs point de vue, ce n'est pas un problème, au contraire, la mort devient la solution car ils "connaissent" le Paradis, douce continuité de la mort. Le Fedayin finit par tenter d'assassiner le Sultan Abasside de l'époque armé d'un stylet empoisonné, sous l'influence de la drogue, et prétextant être un diplomate. Echec total, le sultan n'est pas mort, et celui-ci lui révélant la supercherie, le Fedayin élu est contraint d'accepter la vérité. Pris alors d'un sentiment de vengeance envers son ancien maître, il tente de le tuer. Second échec, Hassan s'en rend compte et lui explique le pourquoi de sa vision du monde. S'en suit un long dialogue philosophique sur la réalité du pouvoir et le pouvoir de l'illusion. Et celui-ci est particulièrement lucide "Protagoras disait que l’homme est la mesure de toute chose. Ce qu’il perçoit existe, ce qu’il ne perçoit pas n’existe pas. Dans les jardins, nos trois garçons, leur corps, leur âme et tous leurs sens vont jouir du paradis. Le paradis existe donc pour eux. Toi, Buzruk Umid, tu t’indignes de la supercherie dans laquelle j’ai attiré les fedayin. Ce faisant, tu oublies que nous sommes nous-mêmes victimes des illusions de nos sens. Dans ce domaine, je ne serai en rien pire que cet être supposé au-dessus de nous qui, comme l’affirment les différentes religions, nous a créés. Démocrite savait déjà que nous sommes victimes de nos sens. Pour lui, il n’y a ni couleurs, ni sons, ni douceur, ni amertume, ni froid, ni chaleur mais seulement des atomes et de l’espace. Et Empédocle a constaté que seuls nos sens assurent la liaison avec notre savoir. Ce qui n’est pas en eux n’est pas non plus dans notre pensée. Si nos sens mentent, comment notre connaissance, qui procède d’eux, pourrait-elle être juste ? Regardez ces eunuques (hommes castrés) dans les jardins ! Ils ont les mêmes yeux que nous, la même bouche et les mêmes sens. Et pourtant ! Une petite mutilation de leur corps a suffi pour que leur image du monde change fondamentalement. Qu’est pour eux le parfum enivrant d’une peau de jeune fille ? une odeur repoussante de peau en sueur. Et le contact des seins fermes d’une vierge ? la sensation désagréable d’un membre étranger adipeux. Et l’accès secret au summum de la volupté ? un drain malpropre. Telle est, vous le voyez, la fiabilité de nos sens. L’aveugle n’a que faire de la beauté colorée d’un jardin en fleurs. Le sourd est inaccessible au chant du merle. Le charme des vierges n’excite pas l’eunuque. Et le nigaud se moque de toute la sagesse du monde. " "– Ce ne sont pas les choses en elles-mêmes qui nous rendent heureux ou malheureux, dit Hassan à ses dais dans l’observatoire alors qu’ils étaient allongés sur des coussins, mais seulement l’idée que nous avons d’elles, le crédit que nous leur accordons. Prenons un avare qui enterre un trésor dans un endroit secret. En public, il joue au misérable ; en privé, il jouit de l’idée qu’il est riche. Son voisin découvre sa cachette et lui vole son trésor. L’avare se réjouira de sa richesse tant qu’il ne découvre pas le larcin. Et si sa mort survient avant, il expirera dans l’idée heureuse qu’il est riche. Il en est de même avec l’homme qui ne sait pas que sa maîtresse le trompe. S’il ne l’apprend pas, il vivra heureux jusqu’à sa mort. Examinons le cas où sa femme chérie est un modèle de vertu et où une mauvaise langue le persuade qu’elle lui est infidèle, il souffrira les tourments de l’enfer. Ni une chose vraie ni un fait vrai ne décident donc de notre bonheur ou de notre malheur, car nous sommes surtout et exclusivement dépendants de nos interprétations et de la conscience que nous en avons. Nous découvrons tous les jours combien ces interprétations sont mensongères ou erronées. Notre bonheur s’appuie sur des jambes frêles et notre tristesse est souvent injustifiée ! Quelle merveille que le sage soit indifférent aux deux ! Et si seuls les rustres et les imbéciles pouvaient jouir du bonheur ?" "Nous n'avons plus personne au-dessus de nous, excepté Allah et son ciel énigmatique. De l'un et de l'autre, nous ne savons presque rien, et n'en saurons jamais plus : autant donc fermer pour toujours le grand livre des questions sans réponse... J'entends désormais me contenter de ce monde tel qu'il est. Sa médiocrité me dicte la seule conduite à tenir : inventer des fables, aussi colorées que possible, que nous destinerons à nos fidèles enfants... en attendant dans cet asile le dénouement de la suprême énigme. Il est permis à un vieillard qui connaît le monde de s'adresser aux hommes sous forme de légendes et de paraboles. Que de travail ai-je encore devant moi ! Pour les croyants du commun, il me faut imaginer mille et une histoires rendant compte de la genèse du monde, évoquant le paradis et l'enfer, les prophètes, Mohammad, Ali, Al-Mahdi... Juste au-dessus du troupeau, les croyants combattants auront droit à comprendre le pourquoi et le comment des règles et des interdits qui nous gouvernent : je préparerai à leur intention un code et un catéchisme imagé. Les fedayins, eux, seront introduits à un savoir secret : je leur enseignerai que le Coran est un livre énigmatique qui doit être interprété à l'aide d'une certaine clef. Mais aux deys, au-dessus d'eux, nous apprendrons que le Coran lui-même ne renferme pas les mystères suprêmes. Et s'ils se révèlent dignes d'accéder au grade ultime, nous leur révèleront le terrible principe qui gouverne tout notre édifice : rien n'est vrai, tout est permis ! " Ils y a tant d'autres citations sur Babélio . A défaut d'avoir l'ouvrage. Inspiré d'une réalité historique mise en lumière par Marco Polo, Vladimir Bartol révèle les stratégies de travestissement du réel, par la "coloration" de toute Gnoses allant dans le sens du pouvoir... En était il de même avec le Mythe du Vallalah Scandinave teinté de romantisme qui a inspiré le Pangermanisme génocidaire des années 30-40 ? En est-il de même de l'influence de la publicité sur notre confiance des géants de l'énergie à gérer la crise écologique, tout en nous incitant par la consommation abusive, à vider les ressources naturelles de la Planète ? En est il de même face à l'endoctrinement Djihadiste ? Et toutes formes de dérives populistes ? Les questions sur la capacité du Pouvoir à colorer et modeler les mythes et réalités à leurs images sont légions. "Rien n'est réel, tout est permis" Ici, donc il y aurait deux phrases clés: "Rien n'est réel, Tout est permis" de Vladimir Bartov interprétée par le personnage de Hassan ibn Sabbah, et dont sa portée est riche en interprétations, et entendue par tout le monde. Cette phrase vient de Dostoïevski qui avait inspiré Nietzsche : Si Dieu n'existe pas, tout est permis, dans les frères Karamazov. Il y a aussi cette phrase de Jean-Luc Godard qui fait brillamment écho "Il est temps que la pensée redevienne ce qu'elle est: dangereuse pour le penseur, et transformatrice du réel" Ainsi, en combinant ces deux phrases-mères, rien ne saurait être réel, mis à part "le réel", dicté par la pensée du penseur et "dangereuse pour le celui-ci". Ces phrases sous-entendraient la réalité de nos pensées, et leurs pouvoir sur nous-même. Si je poste ce sujet dans la section politique, et non dans religion ou philosophie, est que la question que j’entend poser ici est celle-ci: "Comment ouvrir les yeux sur la réalité politique du monde sans tomber dans toutes formes d'influences artificielles, que l'on peut recenser comme telles ?" A savoir la Religion travestie par l'exemple de cette secte des Haschischins romancée par V. Bartov, mais aussi le "Monde de la Communication", sous entendu: L' influence de la publicité, des médias main-stream et autres "télé-réalités", et conférences politiques sur nos émotions et notre perception du réel dont le livre "99 Francs" de F. Beigbeder nous offre une perspective aussi cynique que réaliste. Bref, toutes formes de travestissement du réel ordonnées par certaines institutions, influente sur son peuple, et pour servir les intérêt du Pouvoir, qu'il soit manifesté par l'argent, par les armes ou par des mythes. On connaît alors la volonté qu'on certains médias indépendants, tel "Politis" ou le projet Wikipédia, de refuser toute forme de travestissement du réel servant le Pouvoir , en faisant appel aux dons à la place de notre bonne vieille pub aussi énervante qu'influente, voir même fascisante (pris uniquement dans son sens étymologique: créer un vif faisceau lumineux n'éclairant qu'une partie du monde, laissant le reste dans l'obscurité.) Est-il possible alors de considérer toute forme de travestissement du réel comme un problème, une dérive politique ? Et de surcroît, est-il possible de sauvegarder notre liberté d'expression tout en se prémunissant de toute forme d'influences artificielles sur la capacité de nos pensées à faire des choix et à représenter le monde ?
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Salut à tous et à toutes ! Parfois dans la vie on se pose de grandes questions et d'autrefois non ; aujourd'hui j'aimerai avoir votre avis sur cette question : comment retranscrire dans un texte le fait que les personnages ne parlent pas tous la même langues ? Imaginons trois personnages provenant d'horizons très différents : deux parlent la même langue et on un échange crucial pour le récit, mais le narrateur se focalise sur la non compréhension de la discussion par le troisième larron. Doit-on retranscrire les paroles des deux autres dans leur langue (au risque d'embrouiller le lecteur) ou ne doit-on rien montrer de cette discussion et juste dire : machin pigeait que dalle ? Je suis un peu perplexe.
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L'académie Nobel suédoise vient de trancher : c'est le poète suédois Tomas Tranströmer qui a été sacré Prix Nobel de Littérature 2011. Avec une formation de psychologue et quinzaine de recueils à son actif, son oeuvre tend à comprendre la relation entre notre intime et le monde qui nous entoure. C'est une "analyse permanente de l'énigme de l'identité individuelle face à la diversité labyrinthique du monde" explique son éditeur. Frappé par une crise d'apoplexie en 1990, Tomas a depuis pas mal réduit son travail mais est aujourd'hui récompensé pour l'ensemble de son oeuvre à 80 ans. Il succède ainsi à l'écrivain hispano-péruvien Mario Vargas Llosa. Source: ActuStar.Com J'avoue n'avoir jamais lu l'une de ses œuvres, j'ai bien envie de découvrir.
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La mort de l'écrivain Bernard Clavel Mardi 05 octobre - 18:41 Bernard Clavel, en février 2003. © AFP/ PIerre Verdy. Ecrivain prolifique, Bernard Clavel s'est éteint aujourd'hui. Il avait 87 ans. Il laisse derrière lui une centaine de titres - dont Les fruits de l'hiver, prix Goncourt en 1968, ou la fresque canadienne, le Royaume du Nord. Plusieurs de ses ¿uvres ont été adaptées au cinéma ou à la télévision. Suite de l'article... Source: france-info.com
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Mort d'Harvey Pekar, auteur d'«American Splendor» Mardi 13 Juillet - 18:40 © Keystone-a | Harvey Pekar, hypocondriaque notoire, a finalement été rattrapé par ses peurs. Comics | Grande figure de la BD indépendante, il avait notamment travaillé avec Robert Crumb. Son oeuvre maîtresse, «American Splendor», avait été adaptée au cinéma. AP Suite de l'article... Source: 24heures.ch
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Il me semble qu'il n'existe pas de fil sur les citations littéraires, spécifiquement. Quel que soit l'ouvrage dont vous la tirez, quel que soit l'auteur, ce serait donc le lieu pour partager ces passages qui vous ont marqués. Je commence : «La terre est pénétrée de notre sueur, elle en est travaillée. Quand les hommes œuvrent, quand les hommes font l'amour, quand ils peinent et quand ils jouissent, ils suent. Ah.» Jacques Abeille, Les jardins statuaires.
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Le Sumo qui ne pouvait pas grossir 2009 Éric-Emmanuel Schmitt, né le 28 mars 1960 en France, est un dramaturge, nouvelliste, romancier et réalisateur franco-belge. Auteur: Eric-Emmanuel Schmitt Editeur: Albin Michel Genre: roman Nombre de Pages: 101 p. Synopsis [/TAB]Sauvage, révolté, Jun promène ses quinze ans dans les rues de Tokyo, loin d’une famille dont il refuse de parler. Sa rencontre avec un maître du sumo, qui décèle un « gros » en lui malgré son physique efflanqué, l’entraîne dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux. Avec lui, Jun découvre le monde insoupçonné de la force, de l’intelligence et de l’acceptation de soi. Mais comment atteindre le zen lorsque l’on n’est que douleur et violence ? Comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir ? Derrière les nuages, il y a toujours un ciel... (4ème de couverture - Albin Michel) Notre Avis Eric-Emmanuel Schmitt réussit, encore une fois, à nous embarquer dans une très belle histoire pleine d'humanisme et de sensibilité. Un roman très/trop court mais tellement intense et livrant des vérités toute simples mais de celles qui interpellent et font avancer dans la vie. Une citation [TAB] "Le but, ce n'est pas le bout du chemin, c'est le cheminement".
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Bonjour, Quels sont les livres qui ont eu une influence sur votre vie , qui vous ont fait changer d'opinion voire modifier votre façon de voir le monde ? Ou ont su mettre de mots et des arguments pertinents sur votre façon de pensée? En ce qui me concerne il y en a plusieurs mais les plus marquants sont: Peaux noires et masques blancs de Frantz Fanon je lis et relis cet essai, très souvent! : il explique les rapports sociaux entre les Noirs et les Blancs a travers le prisme de la colonisation. Et Peaux noires, cheveux crépus , histoire d'une aliénation de Juliette Sméralda : On y parle des pratiques esthétiques déstructurantes de l'image de soi ( le défrisage des cheveux crépus ) ... Et vous ?
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Les 10 succès littéraires de 2010 Mercredi 15 Décembre - 09:31 A l'approche de Noël, l'édition dresse son bilan de l'année. Le groupe Editis vient de publier la liste des 10 meilleurs romans de 2010 en termes de ventes. Peu de surprise : Katherine Pancol domine largement le classement avec 400 000 exemplaires vendus des Ecureuil de Central Park sont tristes le lundi. Encore moins surprenant, le prix Goncourt La carte et le territoire, arrive deuxième. A noter que Michel Houellebecq est le seul auteur de la rentrée littéraire avec Jean D'Ormesson à figurer dans ce top 10. Enfin, les incontournables Métronome, Méthode Dukan illustrée et L'Echappée belle, sortis tous trois en 2009, ont également connu une très belle année 2010. Suite de l'article... Source: MyBoox
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Le Prix Renaudot pour Virginie Despentes Lundi 08 novembre - 19:03 Virginie Despentes, Prix Renaudot 2010 © MAXPPP Après un vote serré, l'auteure a reçu ce prix littéraire lundi, pour son roman Apocalypse bébé. Avec Apocalypse bébé, Virginie Despentes était en course pour recevoir le prestigieux Prix Goncourt. Ce dernier ayant finalement été remis à Michel Houellebecq, l'auteure a eu droit néanmoins au Prix Renaudot, également décerné lundi. Suite de l'article... Source: europe1.fr
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Houellebecq décroche enfin le Goncourt Lundi 08 novembre - 18:57 Michel Houellebecq après avoir reçu son Prix Goncourt. © REUTERS Après dix ans d'attente, l'écrivain a eu le célèbre prix littéraire pour La carte et le territoire. La troisième fois aura été la bonne. Michel Houellebecq a finalement réussi à décrocher le Prix Goncourt. Le plus célèbre des prix littéraires avait déjà échappé deux fois à l'écrivain français vivant le plus connu à l'étranger, en 1998 pour Les Particules élémentaires et en 2005 pour La Possibilité d'une île. La réaction de Houellebecq : ></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowScriptAccess" value="always"></param><embed type="application/x-shockwave-flash" src=" width="480" height="360" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always"></embed></object><br /><b><a href=" :"heureux, profondément"</a></b><br /><i>envoyé par <a href="http://www.dailymotion.com/Europe1fr">Europe1fr</a>. - <a href="http://www.dailymotion.com/fr/channel/creation">Regardez plus de courts métrages.</a></i>">></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowScriptAccess" value="always"></param><embed type="application/x-shockwave-flash" src=" width="480" height="360" allowfullscreen="true" allowscriptaccess="always"></embed></object><br /><b><a href=" :"heureux, profondément"</a></b><br /><i>envoyé par <a href="http://www.dailymotion.com/Europe1fr">Europe1fr</a>. - <a href="http://www.dailymotion.com/fr/channel/creation">Regardez plus de courts métrages.</a></i>" type="application/x-shockwave-flash" width="425" height="350" allowfullscreen="true"> Suite de l'article... Source: europe1.fr
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Bonjour, j'ai une dissertation à faire, le soucis est que le sujet ne m'inspire pas du tout et que je ne suis pas très doué pour en faire. Sujet ; Suffit-il d'avoir eu l'experience de faits pour les connaître ? Texte joint ; Nouveaux essais sur l'entendement humain, Leibniz. <<Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même (...) D’où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu’on les trouve dans les mathématiques pures et particulièrement dans l’arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépende point des exemples, ni par conséquence des témoignages des sens, quoique sans les sens on ne se serait jamais avisé d’y penser.>> J'espere que vous pourrez m'aider.. Coordialement, Logan
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Le Pont des arts mars 2012 Catherine Meurisse est née à Niort en1980. Elle est illustratrice et dessinatrice pour la presse adulte (Les Echos, Libération, Les Inrockuptibles, Marianne, Psychologie magazine, Charlie hebdo). Auteur: Catherine Meurisse Editeur: Sarbacane Genre: bande dessinée - humour Nombre de Pages: 112 p. Synopsis [/TAB]Après Mes Hommes de lettres, qui offrait un panorama humoristique de la littérature française du Moyen Âge à nos jours, Catherine Meurisse s’entoure de nouveau de ses auteurs favoris et nous invite à découvrir les liens qu’entretiennent les écrivains avec les peintres. Le Pont des Arts revisite avec humour l’histoire de la littérature et l’histoire de l’Art, et met en évidence les correspondances intimes entre écriture et peinture. Proust et « la vue de Delft » de Vermeer, Zola et Cézanne (et les impressionnistes), George Sand et Delacroix, Diderot et Greuze, Apollinaire et Picasso… ils sont tous – ou presque dansLe Pont des Arts ! (Sarbacane) Un extrait Notre Note : /5 [TAB]
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