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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Bonjour, Phénomène étrange dans le ciel ce soir à Dieuze, aperçu également à Sarrebourg. Ce serait dû au dégazage d’une fusée Falcon 9 de Space X lancée ce soir pour la mission NROL-69. Du carburant se serait échappé de l'appareil et aurait gelé instantanément au moment de la séparation du 2ème étage. Article entier : https://www.estrepublicain.fr/insolite/2025/03/24/une-spirale-lumineuse-dans-le-ciel-quelle-est-cette-etrange-chose-apparue-ce-soir
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Bonjour, Après avoir été suspendu de RTL début mars pour avoir évoqué les massacres français en Algérie au XIXe siècle, Jean-Michel Apathie a décidé de quitter la station. En pleine surenchère du ministre Bruno Retailleau avec l’Algérie et face à une extrême droite qui clame les bienfaits de la colonisation, le flot de réactions hostiles aux propos de l’éditorialiste rappelle que nombre de Français ne connaissent pas l’ampleur des crimes coloniaux commis par la France en Algérie. Or, la colonisation a eu aussi un impact négatif sur la nature. L’accaparement colonial de la terre en Algérie a détruit des modes d’organisation et de gestion de la terre en commun. Le développement des monocultures et d’une agriculture d’exportation a aussi bouleversé l’environnement. « L’arrivée des colons en Algérie signe l’accaparement des ressources environnementales et celle du foncier. C’était une pratique d’expropriation sans explication, sans excuse et avec une grande brutalité. Pour les Algériens, c’est un monde qui s’effondre littéralement », relate Antonin Plarier, maître de conférence à l’université Lyon 3 et spécialiste de l’histoire environnementale des sociétés coloniales. Au total, d’après ses calculs, plus d’1,2 million d’hectares ont été transférés aux Européens entre 1830 et 1917 : soit l’équivalent de 1 000 fois la superficie de Paris, et trois fois celle de la Belgique. Pour réquisitionner des terres algériennes, la France a développé un arsenal juridique légalisant un paradoxe : celui d’une société qui défendait le droit à la propriété et d’une colonisation qui foulait au pied celle des Algériens. L’administration coloniale pouvait ainsi s’emparer de n’importe quelle propriété algérienne, qu’elle soit celle d’un individu comme d’une tribu entière. La doctrine coloniale et militaire se lit à travers les écrits du maréchal Bugeaud, le militaire qui a permis d’étendre la conquête de l’Algérie. Voici notamment ce que précise cette violente figure de la colonisation, spécialiste des enfumades (pratique consistant à asphyxier des personnes réfugiées ou enfermées dans une grotte en allumant devant l’entrée des feux) : « J’y ai réfléchi bien longtemps, en me levant, en me couchant ; eh bien ! Je n’ai pu découvrir d’autre moyen de soumettre le pays que de saisir l’intérêt agricole ». En parallèle, la violence des razzias, ces opérations militaires menées dans des campements, a détruit les habitations et les récoltes. Les arbres fruitiers étaient rasés dans les zones de guerre. D’anciens propriétaires algériens sont alors parfois revenus sur leurs terres louer leur force de travail aux colons français. C'est ainsi qu'ils étaient réduits à un état de servitude. Au-delà des terres, la colonisation s’est emparée des communs que sont les forêts et l’eau. Au XIXe siècle, plusieurs opérations de maîtrise des cours d’eau ont fleuri, toujours dans le but d’irriguer les terres des colons. Dans les années 1860, un projet de barrage a vu le jour dans le département d’Oran. Antonin Plarier pointe ainsi ce qui tient de l’évidence : « Lorsqu’une source en eau est maîtrisée, elle l’est uniquement au bénéfice des colons, et donc au détriment des agriculteurs algériens qui en sont de fait dépossédés. » La question de l’eau a entraîné plusieurs conflits, tout comme celle des forêts. Dès les années 1830, l’imposition du Code forestier par les colons a restreint peu à peu aux Algériens l’artisanat, le passage du bétail, le ramassage du bois de chauffe, et la coupe de bois pour les diverses constructions. Dans la vallée de l’Isser, l’administration octroya par exemple une concession d’environ 1 000 hectares de chênes-lièges, un bois cher et prisé pour la fabrication de bouchons, à un exploitant français. Difficile de donner un chiffre précis, mais cet accaparement de ressources essentielles n’a pas été sans conséquences sur l’écosystème algérien. « C’est toute une série d’éléments liés à la colonisation qui vont contribuer à dégrader l’environnement algérien. En asséchant les sols via la déforestation, l’État colonial a par exemple favorisé l’érosion des sols », dit l’historienne Hélène Blais, professeure d’histoire contemporaine à l’ENS et autrice de L’empire de la nature. Une histoire des jardins botaniques coloniaux. La plantation des vignes priva une partie de la population d’un accès à la culture de céréales et entraîna la disparition de terres en jachères qui fournissaient des pâturages jusqu’ici essentiels pour le bétail des paysans algériens. Ceci plus l’introduction massive de l’eucalyptus pour tenter d’assainir les zones humides qui a dans certains endroits asséché plus qu’il n'était nécessaire, au détriment d’autres espèces. Sans oublier les chasses coloniales qui attiraient des Français originaires de tout l’Hexagone venus traquer hyènes, panthères, lions et autres animaux sauvages : rien qu’en 1860, ce ne furent pas moins de 61 panthères et 38 lions qui avaient été abattus. Si bien qu’à la fin du XIXe siècle, le plus gros de la faune sauvage avait disparu. Le dernier lion fut abattu en 1958. Article entier : https://reporterre.net/En-Algerie-la-France-coloniale-a-aussi-detruit-la-nature
- 19 réponses
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- algérie
- colonisation
- (et 8 en plus)
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Mais bien sûr ! Et puis ce gouvernement qui ne trouve rien de mieux que de faciliter la licence IV dans les campagnes où il y aurait pourtant tellement mieux à faire pour améliorer le sort des gens n'est pas méprisant, il ne considère pas les ruraux comme des pochetrons qui ne savent pas créer du lien s'ils n'ont pas d'alcools forts à disposition. Avec cela, tu trouves normal que des ouvriers n'aient eu que le canon pour se changer les idées. N'est-ce pas méprisant ça ? Faut-il rappeler que des ouvriers qui souffraient réellement de leur travail, par exemple ceux qui étaient à la chaîne, pouvaient être tentés de s'enivrer pour oublier, apaiser la sensation d'abrutissement, et que c'était le commencement d'une véritable descente aux enfers aussi bien pour eux que pour leur famille ? J'ai eu l'occasion de voir comment cela se passait dans des bistrots de campagne dans le Morbihan, aux alentours de Plouhinec (dans les années 70, 80 les habitants ironisaient eux-mêmes sur le nombre de bistrots de leur village, disant qu'il y en avait plus que de villageois). J'ai vu les types jetés à la porte sans ménagement par des patrons qui s'étaient pourtant bien engraissés avec leurs consommations répétées. Et que disaient ces types une fois de retour chez eux ? Que disaient-ils à leur femme qui attendaient après la paye pour nourrir les gosses ? Je sais qu'on ne va pas au bistrot que pour picoler, fort heureusement, mais cela n'ôte rien au fait que ce n'est pas le rôle d'un gouvernement de faciliter l'ouverture de débits d'alcools forts. Il n'y avait qu'un gouvernement de macronistes/LR bouffis de mépris envers les Français pour pondre ça !
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Il fut une époque où les maisons de tolérance étaient aussi des lieux rassembleurs, notamment pour les hommes, même si des femmes pouvaient compter parmi les clientes : Colette par exemple, cette écrivaine célèbre. Tout le monde trouvait ça normal, et pourtant, quelle était l'existence des "filles de joie" ? Une existence d'esclave du sexe, car tout était mis en œuvre pour qu'elles soient soumises et ne sortent jamais de là une fois qu'elles avaient mis un pied dedans, sauf peut-être quand elle avait chopé la syphilis ou qu'elles étaient trop âgées pour rapporter des sous. C'était institutionnalisé puisque contrôlé par la préfecture et qu'aux délinquantes se présentait parfois l'alternative entre la prison et une de ces maisons. Je pense que la majorité des gens actuellement comprennent l'inhumanité qui pouvait régner dans ces endroits, et que beaucoup sont conscients de l'aberration d'en avoir fait des lieux où l'on pouvait créer du lien entre consommateurs. Ce qui m'a amené à cette réflexion quant au rôle du bistrot dans la société : Hier le sexe, aujourd'hui les alcools forts : est-ce que c'est parce que de tels lieux sont ressentis comme des zones de répit ? Est-ce que l'alcool participe à cette sensation de passer un moment de relâchement, est-ce que le bistrot est en quelque sorte un sas de décompression, une parenthèse-défouloir dans la journée ? Un gouvernement ne devrait-il pas encourager à la détente et au lien social par des moyens plus sains (comme par exemple la pratique d'un sport) plutôt que par des bistrots ? Peut-être qu'à l'avenir, plus de gens seront conscients qu'on n'est pas obligé d'entretenir du lien social dans un débit de boissons fortement alcoolisées. Bien non, tu te trompes, ton impression est fausse.
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Ce gouvernement, en laissant croire que ça va aller mieux avec des débits d'alcools forts dans nos campagnes, ne nous tire-t-il pas vers le bas ? Est-ce son rôle de faciliter l'obtention des licences IV en zone rurale ? Son rôle ne devrait-il pas être au contraire d'encourager des façons de se réunir sans alcools forts à disposition ? Sans obliger quiconque à penser comme moi, je reste perplexe, j'ai bien l'impression que ce gouvernement se fout de nous.
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Et qu'en disaient les colonisés ? Ah, c'est vrai, leur parole ne comptait pas !
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Peut-être qu'il faudrait rajouter des services pour que ce ne soit pas qu'un salon de thé : restauration salée, jeux, épicerie, différents services... Comme quoi, c'est possible d'ouvrir des lieux qui rassemblent sans alcools forts ! Pour avoir vécu en Turquie, je peux vous dire que dans les cafés, on ne sert pas d'alcool, religion oblige, et quoi de plus fréquenté qu'un café turc pourtant ! Oh mais, qu'on se rassure, je ne suis pas en train d'inciter le monde à se convertir à l'islam, j'expliquais juste que des lieux rassembleurs, et même fédérateurs, pouvaient se passer d'alcools forts. J'ai vu une info là-dessus à la télé !
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Cela a le mérite d'être clair, mais je le regarderai quand même quand il passera sur l'une de mes chaînes, par curiosité. En fait, les films, je les regarde tous et puis je juge après.
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Alsace: une vague d'empoisonnement de buses au Nord de Strasbourg
Doïna a posté un sujet dans Actualités - Divers
Bonjour, Un petit bosquet, entre Berstett et Eckwersheim au nord de Strasbourg, ilot de verdure et de biodiversité au milieu d'une mer de champs de maïs labourés. Des ronces, des lianes, des buissons touffus et beaucoup de gueules de terriers de blaireau. C'est devant l'un de ces accès, qu'Yves, bénévole à la LPO, la Ligue de Protection des Oiseaux, a fait la découverte début février: "un piège photo accroché en direction de l'entrée du terrier, un fil de fer, une buse pendue par les pattes, une patte coupée et surtout sur les épines d'un petit arbuste, des morceaux de saucisse, du poison, et donc le piège photo, il fixait la buse et en arrière plan ce terrier occupé par des blaireaux, peut-être aussi par des renards". Yves enrage: "A deux autres endroits pas très loin à moins d'un kilomètre on a retrouvé d'autres buses empoisonnées. L'idée c'est quoi ? C'est vouloir éventuellement qu'un renard, qui cohabite souvent avec le blaireau ait essayé de manger cette buse, manger tout ça, ou éventuellement même éliminer les blaireaux ? C'est une non connaissance de la faune, un non respect de la biodiversité". Et le bénévole désigne les quelques bosquets au milieu de champs labourés à perte de vue, la toute proche et récente A355, autoroute de contournement ouest de Strasbourg et sa longue file de poids-lourds dont le grondement est continu: "La faune sauvage, voilà ce qu'il leur reste pour vivre et ont est là encore à essayer de réduire leur population". La LPO a retrouvé 6 cadavres de buses empoisonnées dans ce secteur mais pense que beaucoup d'autres rapaces ont pu succomber à ces appâts empoisonnés. Article entier : https://www.francebleu.fr/infos/environnement/info-ici-alsace-une-vague-d-empoisonnement-de-buses-au-nord-de-strasbourg-7779811 -
Je sais qu'en tant que critique, je suis plutôt dure, parce qu'aimant beaucoup le septième art justement : qui aime bien châtie bien. Je n'ai pas voulu vexer ceux qui ont apprécié ce film, et m'abstiendrais de le critiquer réellement parce que ne l'ayant pas encore vu, néanmoins je suis mitigée sur la bande d'annonce. Elle me laisse présager un nouveau film sur la vie d'une petite bourgeoise qui s'invente des problèmes pour capter l'attention, et puis qui finit par en souffrir vraiment, car -selon moi- à 55 ans, on ne perd pas ses repères, on est le repère. Même après la fin du couple, même après le départ des enfants, même si le boulot n'est pas trépidant. Du coup, le personnage me parait immature plus qu'autre chose, j'aurais envie de la gifler pour lui ouvrir les yeux, lui dire que si elle s'ennuie au boulot, qu'elle aille faire un stage chez les égoutiers ou chez les éboueurs histoire de comprendre ce que c'est qu'un boulot vraiment pénible, et puis lui dire que si elle se sent trop seule chez elle, elle peut toujours faire de belles rencontres dans les associations, les amicales, les concerts... Ce genre de films de petits bourgeois, ça et les films de potes, je ne supporte plus, j'espère que j'aurais droit à mieux quand je regarderai ce film.
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C'est pas qu'une question de classe, on sait ce à quoi mène l'abus d'alcool. Il faut remonter dans ce passé où des hommes allaient dépenser leur paye au bar pour ensuite regagner leurs pénates où ils faisaient régner le désespoir et la terreur. Evidemment que je ne souhaite pas ça, pas plus en zone rurale qu'urbaine, et ce n'est pas la peine de m'imputer un mépris que je n'ai pas envers ce que chez les macronistes, on appelle les petites gens, chez les LR la France du bas. Ces macronistes et LR ne doivent pas en manquer, pour leur part, de mépris, pour ne trouver que la solution du grand retour des bistrots dans les campagnes pour régler les problèmes des ruraux, comme si ça ne tenait qu'à cela : un débit de boisson où on sert des alcools forts ! Vous nous prenez vraiment pour des cons !
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J'ai pas vu le film, mais rien que la bande annonce me laisse présager un film ennuyeux, qui n'a rien à dire, sur la vie d'une bonne femme qui n'existe pas et dont on se fout, en fait.
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On ne peut pas parler des sorcières sans parler des sorciers. Bizarre cette manie de citer les pratiquants de la sorcellerie au féminin, d'emblée, comme s'il n'y avait que des femmes à le faire.
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Lyon : la sulfateuse à saucisson du Matmut Stadium fait déraper Internet
Doïna a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Insolites
Il suffisait de faire remonter le topic qui existait déjà : -
L'élu dont je parle pointe le doigt aussi sur "les médecins qui manquent dans les campagnes françaises", entre autres. Si je l'approuve en parlant de désertification médicale ou de déserts médicaux, qu'est-ce que cela change ? Ensuite, le premier lien de l'intro est libre d'accès : pas besoin d'accepter de cookies publicitaires ou d'être abonnée. C'est le cas pour le second, désolée, mais tout le monde peut au moins lire les premières lignes. Je ne comprends pas ce qui te perturbe dans mon topic : je n'ai fait que lancer un débat sur une actualité. D'un côté les pour qui estiment que les bistrots sont vitaux pour créer du lien en zone rurale, défendent cette opinion sur le fait que nul n'est obligé d'aller au bistrot pour s'enivrer, etc. et d'un autre côté les contre qui trouvent que les bistrots ne sont pas vraiment utiles, regrettent qu'on ne promeut pas davantage le retour d'écoles, de médecins, de pharmacies, de magasins d'alimentation, de bureaux de poste... en zone rurale, ce qui serait selon eux plus utile que d'y faciliter l'ouverture de bistrots. L'absence de médecins évoquée par Hadrien Clouet a tout de même un sacré rapport avec la désertification médicale. Ensuite, désertification des campagnes et santé publique sont deux points qui ont animé le débat entre députés (et continuent le l'animer d'ailleurs). Les uns visant les bistrots comme endroit où l'on sert des alcools mauvais pour la santé, les autres visant l'absence de bistrots comme une des causes de la désertification des campagnes. @castet-barou n'a pas dit que les bistrots étaient des lieux où les pauvres allaient se bourrer la gueule, il a dit que des gens y perdaient de l'argent jusqu'à finir fauchés. Donc pas de mépris de classe de sa part.
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Lyon : la sulfateuse à saucisson du Matmut Stadium fait déraper Internet
Doïna a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Insolites
L'info date de l'année dernière, quand même ! -
Je n'avais pas à présenter ce sujet différemment : il s'agit d'un article relatant des propos d'élus que vous n'êtes pas obligés d'approuver pour nourrir le débat. D'ailleurs j'ai posté un second lien pour équilibrer entre le pour et le contre. Perso, je suis du côté des élus qui sont contre, notamment avec cette parole ironique de Hadrien Clouet adressée à Guillaume Kasbarian : "Les médecins manquent dans les campagnes françaises, 62 % des communes n’ont plus de commerces, un bureau de poste ferme chaque semaine. Mais vous voulez qu’on boive pour oublier votre bilan ?". Relis l'intro et les deux articles s'il te plaît.
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Lyon : la sulfateuse à saucisson du Matmut Stadium fait déraper Internet
Doïna a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Insolites
Oh purée, ça faisait un bout de temps qu'on n'avait pas reparlé de cet engin, la sulfateuse à saucissons ! -
Ce que ça a à voir, c'est que la désertification médicale est un problème, l'absence de bistrots n'en est pas forcément un considérant qu'il peut y avoir en zone rurale des points de ravitaillement alimentaires (boulangerie, épicerie) sans débit de boisson alcoolisées, qu'il peut également exister des lieux pour se réunir et tisser du lien social sans débit de boisson alcoolisées. Malgré tout, on a des gens au gouvernement qui se soucient de la raréfaction des débits de boisson alcoolisées en zone rurale mais pas du reste. https://www.caducee.net/actualite-medicale/14732/50-en-3-ans-la-spectaculaire-progression-des-deserts-medicaux-en-france.html Tu dis : "Pas de pharmacie et pas de médecin, ça, c'est en ville, à 8 bornes. C'est comme ça depuis toujours un peu partout (1200 habitants). On va pas mettre une maison médicale dans tous les patelins, enfin.. Je ne comprends pas la comparaison." Et pourquoi chaque patelin d'au-moins un certain nombre d'habitants ne bénéficierait pas d'au moins un médecin et une pharmacie ? Bien sûr que c'est un problème de devoir faire tant de kilomètres pour une consultation ou récupérer des médicaments quand on est malade ! C'est certainement plus grave que d'avoir à faire des kilomètres pour trouver un bistrot, à mon sens du moins. Du coup, je comprends l'indignation des élus qui n'approuvent pas cet assouplissement de l'attribution de la licence IV en zone rurale. En revanche, ce que je ne pige pas, c'est que des élus se fichent de la désertification médicale tout en se faisant un devoir de multiplier les bistrots en zone rurale, comment ces gens-là peuvent-ils estimer que les bistrots soient un besoin vital alors qu'ils ne se démènent pas pour des choses plus importantes ? Une pharmacie, un cabinet médical n'est-il pas plus vital qu'un bistrot ? Mais ça n'avance pas ! Ils ne font rien de concret pour lutter contre les déserts médicaux !
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Tu pourrais varier en fonction de l'heure aussi : bonsoir, bonne nuit, excellente fin de journée, que cette matinée vous soit douce et agréable, bon appétit si vous passez à table, etc. non ?
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Est-ce que monsieur Kasbarian à côté de ça se soucie du manque de cabinets médicaux et de pharmacies dans ces zones rurales ? Est-ce qu'il se soucie de tous ces petits hôpitaux qui ont fermé, contraignant les ruraux à faire parfois plus de 100 kilomètres pour aller se faire opérer, accoucher ou visiter un proche hospitalisé ?
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Il est question de santé publique effectivement, mais pas en interdisant la vente d'alcool puisque les contre veulent simplement que l'attribution de la licence IV ne soit pas plus facile en zone rurale. D'abord, au nom de qui ou de quoi il serait plus facile d'ouvrir un débit de boisson en zone rurale qu'en zone urbaine ? Qu'est-ce que cela sous-entend ? Que la santé des campagnards serait moins importante que celle des citadins ?