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Bonjour, Alexis Kohler a refusé de se présenter ce mardi 8 avril devant la commission d’enquête sénatoriale sur les eaux en bouteilles. Le bras droit d’Emmanuel Macron a invoqué la séparation des pouvoirs. L’Élysée a "ouvert les portes de ministères" à Nestlé Waters alors qu’il "savait" que le groupe "trichait depuis plusieurs années" sur les traitements de ses eaux minérales Perrier ou Hépar, a déclaré mardi le rapporteur de la commission d’enquête sénatoriale sur les eaux en bouteille. En son absence, l'audition a été remplacée par une brève présentation de 74 pages de documents transmis par l’Élysée, démontrant selon le rapporteur la densité des échanges entre Nestlé et la présidence. L’Élysée a ouvert les portes de certains ministères au groupe suisse. La présidence avait pourtant connaissance des contaminations bactériologiques voire virologiques sur certains forages", a assené le sénateur PS en citant certains passages de notes, d’emails et d’échanges entre des conseillers de l’Élysée et de Matignon. Article entier : https://www.lindependant.fr/2025/04/08/scandale-des-eaux-en-bouteille-lelysee-savait-que-nestle-trichait-ces-documents-publies-par-le-senat-qui-mettent-en-cause-le-bras-droit-demmanuel-12623851.php Et encore : Scandale des eaux minérales : L’Elysée a facilité le lobbying de Nestlé alors qu’il « savait » qu’il « trichait » https://www.20minutes.fr/societe/4147692-20250409-scandale-eaux-minerales-elysee-facilite-lobbying-nestle-alors-savait-trichait
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Bonjour, Mercredi 30 avril, un membre du personnel du Nouvel hôpital civil de Strasbourg a tenu des propos racistes à l'égard de la famille de trois fillettes mortes dans un incendie. Une enquête administrative a été ouverte. Article entier : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/il-y-a-une-mosquee-ici-ou-quoi-une-famille-victime-de-propos-racistes-a-l-hopital-une-enquete-administrative-ouverte-3147566.html
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Des députés ont enquêté sur les manquements des politiques publiques de protection de l'enfance pendant près d'un an. Dans leur rapport publié mardi, ils concluent que le secteur est traversé "par une crise profonde", dont les "premières victimes" sont les enfants placés. Le constat est sans appel. Après une année de travaux et plus de 60 auditions, la commission d'enquête parlementaire sur "les manquements des politiques publiques de protection de l'enfance" conclut que le secteur est traversé "par une crise profonde de son écosystème qui hier était à bout de souffle et aujourd'hui dans le gouffre". "Les premières victimes de cette situation, ce sont bien évidemment les enfants et les jeunes majeurs de l'aide sociale à l'enfance" (ASE), peut-on lire dans son rapport, publié mardi 8 avril https://www.francetvinfo.fr/societe/enfance-et-adolescence/aide-sociale-a-l-enfance-ce-qu-il-faut-retenir-du-rapport-de-la-commission-d-enquete-parlementaire-sur-les-conditions-d-accueil-des-enfants-places_7165920.html
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Bonjour. Dans le cadre de ma thèse, je cherche à diffuser une enquête sur l'alerte à la population dans un monde connecté. Voici le lien d'accès à l'enquête : https://enquete.univ-avignon.fr/index.php/146942?lang=fr Je vous remercie grandement si vous pouviez répondre/diffuser cette enquête. Bien cordialement, Enquete alerte num.
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Des débris d'avion repérés au large du Sénégal Mardi 02 Juin - 10:05 © KEYSTONE | Le président français Nicolas Sarkozy et, à l'arrière-plan, le ministre des transports Jean-Louis Borloo. Les traces ont été observées par l'équipage d'un vol de ligne de la compagnie brésilienne TAM. L'armée enquête sur cette information. > Le sujet d'origine ATS/AFP Suite de l'article... Source: tdg.ch
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... Dans ce reportage pour "Enquête exclusive" que l'AFP a pu visionner, la soeur du tueur a été filmée par une caméra cachée. Elle apparaît voilée, discutant à deux reprises avec son frère aîné, Abdelghani, dans un parc et une rue à Toulouse, après les sept meurtres. Abdelghani Merah, qui publie mercredi un livre très dur sur sa famille, sert de fil conducteur au reportage. La jeune femme, qui dit pourtant soupçonner qu'on l'enregistre, répète à plusieurs reprises être "fière" des actes meurtriers de Mohamed Merah. "Je suis fière de mon frère, il a combattu jusqu'au bout (...) je pense du bien de Ben Laden, je l'ai dit aux flics, je peux te le dire à toi." Elle ne cache pas ses sentiments antisémites: "Les juifs, tous ceux qui sont en train de massacrer les musulmans, je les déteste". "Les salafistes, ils agissent", dit-elle encore. "Moi et (Abdel)Kader, on soutient les salafistes, Mohammed a sauté le pas. Je suis fière, fière, fière", crie-t-elle. ... Dans "Merah, mon frère ce terroriste" co-écrit avec le journaliste Mohamed Sifaoui et à paraître mercredi, Abdelghani Merah dresse un portrait terrible de sa famille, entre éducation défaillante, violence et antisémitisme. Lire l'article intégral
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Ouverture d’une enquête après la mort suspecte de prisonniers turcs PAR MEHMET DINC | MAR, 19/03/2013 - 14:41 Un nouveau scandale éclabousse les prisons françaises. Régulièrement pointées du doigt pour la précarité de leurs établissements, elles sont aujourd’hui accusées par des familles turques de dissimuler la mort de prisonniers sous le motif officiel de suicide. Les services consulaires turcs ont été avertis et une enquête a été ouverte. L’inquiétude règne chez les familles franco-turques. Depuis 1994, les cas de prisonniers turcs décédés mystérieusement se multiplient dans les prisons françaises. Alors qu'une bataille juridique a été lancée par plusieurs familles, les agents diplomatiques turcs ont annoncé pour leur part qu'une enquête a été ouverte dans divers établissements carcéraux à la suite des contestations émises par ces familles sur les causes déclarées de ces morts, à savoir par suicide. Les parties civiles accusent notamment les prisons françaises de négligence. Anomalies dans les dossiers Durant ces 3 dernières années, 296 personnes condamnées sont mortes en France de manière douteuse. Les familles reprochent aux autorités françaises de ne pas avoir été informées directement ou de l’avoir été par téléphone. Dans d’autres affaires, ce sont les rapports d'autopsie nécessaires aux procès qui n’ont pas été envoyés aux familles qui attendent jusqu’à trois semaines avant de pouvoir récupérer les corps de leurs défunts. Parfois, c'est par l’intermédiaire des autres détenus que les familles ont appris la mort de leur proche. La famille d’Erdogan Hanbas décédé le 22 novembre 2012 alors qu’il ne lui restait que 9 mois de prison après 6 années d’incarcération se prépare ainsi à une bataille judiciaire avec les autorités carcérales de Toulouse. Son grand frère a précisé que peu de temps avant sa mort, une altercation avait eu lieu avec un gardien qui lui avait coûté la perte d’une dent. Autre cas similaire : Yalçin Demir (21 ans) retrouvé pendu 3 jours avant sa libération après 3 années d'incarcération. La famille affirme ne pas croire au suicide car le plafond était beaucoup trop haut pour qu'il puisse mettre fin à ses jours. Les décès de Samet Baki et Kubilay C. (21 ans) ont également été annoncés quelques semaines avant leur libération. Des procédures juridiques vont être lancées également à propos des morts suspectes d’Abdullah Ceylan et Erhan Celik. Ce dernier avait fait une dépression en prison, il avait été retrouvé mort dans une cellule de discipline alors que les psychologues contre-indiquaient son isolement. Son décès à 18 ans, 2 mois avant sa libération, avait suscité une vive émotion. La famille d’Erhan Celik avait obtenu gain de cause et reçu un dédommagement de 20.000 euros. « Notre enfant avait des projets d’avenir » Mehmet Ceylan, le père d’Abdullah Ceylan, a décidé quant à lui de mener le combat judiciaire au nom de son fils décédé le 30 août 2000 à la Cour européenne des droits de l’Homme. «On nous a dit qu'il s’était suicidé à l'aide d'un câble de télévision. Nous ne sommes pas convaincus de cela car il avait des marques d'altération sur la tête. Notre enfant avait des projets d’avenir », confie-t-il à Zaman France. Ses proches avaient été dédommagés par la justice française de la même manière que la famille d’Erhan Celik mais ils ont décidé de poursuivre le procès afin que les responsables soient réellement sanctionnés. En 2003, le ministère de la Justice avait mis en place une série de réformes pour lutter contre les suicides en prison. Le consul général de Strasbourg a annoncé qu’il allait s’entretenir avec les directions des différentes prisons ainsi qu’avec les condamnés turcs. 13 mortes suspectes déjà en 2013. D’après le rapport de l’Observatoire international des prisons, les conditions de détention en France sont les plus exécrables d’Europe. Des morts mystérieuses et des suicides sont signalés tous les trois jours. Ban Public, l'association qui soutient les familles dans les procédures judiciaires des condamnés suicidés, a précisé que depuis 2010, 309 prisonniers sont morts ou se sont suicidés suite aux négligences constatées dans les prisons. 13 autres condamnés seraient déjà morts de manière suspecte en 2013. UNE SÉRIE DE MORTS SUSPECTES YALÇIN DEMIR (21 ANS) Condamné à 3 mois de prison en 1994, se suicide 3 jours avant sa libération. Prison : Strasbourg/Elsau. ABDULLAH CEYLAN (24 ans) Condamné à 18 mois de prison, se suicide le 30 août 2000, 4 mois avant sa libération. Prison : Saint-Mihiel. BAYSAL GÖKOGLAN (40 ans) Marié, père de 3 enfants Condamné à 18 mois de prison, se suicide le 17 septembre 2002, 3 mois avant sa libération. Prison : Epinal. ERHAN ÇELIK (19 ans) A 18 ans, il a été interpellé puis emprisonné pour 4 mois. Par la suite, cette durée d'incarcération a été prolongée à 2 reprises de 4 mois supplémentaires. Suicide le 3 avril 2004. Prison : Epinal. FATIH TURAN (26 ans) Condamné à 5 années d'emprisonnement, se suicide 2 années avant sa libération en 2006. Prison : Ecouvre. KUBILAY C. (21 ans) En 2010, se suicide peu de temps avant sa libération. SAMET BAKI (21 ans) Condamné à 18 mois d'incarcération. Le 25 juin 2011, se suicide 2 mois et demi avant sa libération. Prison : Ecouvre. ERDOGAN HANBAŞ (34 ans) Condamné à 6 années d'emprisonnement, père d'un garçon de 10 ans, il voulait se marier. Suicide 9 mois avant sa libération le 22 novembre 2012, appris par un autre prisonnier incarcéré. Prison : Toulouse. " Source : Zaman France.
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Les questions "ahurissantes" de l'enquête de l'Insee Samedi 29 janvier - 13:42 L'Insee a distribué un questionnaire "Famille et logements" à 1600 communes. Le maire de Deauville refuse de procéder à cette enquête. Explications. L'enquête 2011 de l'Insee, intitulée "Famille et logements" et qui accompagne la vague de recensement de cette année, est-elle trop intrusive? Pour le maire de Deauville, Philippe Augier, le questionnaire à destination des habitants de sa commune est "ahurissant" et porte atteinte à la vie privée. "De quel droit demande-t-on à une femme les raisons de sa rupture avec son compagnon? Si elle a un ami qui vient la voir? Quand? Combien de fois?" confie-t-il à LEXPRESS.fr. L'élu ajoute que l'anonymat des personnes interrogées n'est pas totalement garanti: "Dans les petites communes, les agents recenseurs envoyés pour distribuer et collecter les questionnaires connaissent les sondés...", estime-t-il. "Les questions sont, certes, d'ordre privé, mais elles permettent, le plus véridiquement possible, de rendre compte des réalités sociales, répond Xavier Niel, chef de la division Enquêtes et études démographiques auprès de l'Insee. De plus, s'il existe un questionnaire "homme" et un questionnaire "femme", les questions ne diffèrent pas de l'un à l'autre." Aucune dissemblance n'est en effet notable entre les deux questionnaires, accessibles sur le site de l'Insee qui précise "selon les zones enquêtées, le questionnaire s'adresse soit aux hommes soit aux femmes, né(e)s avant 1993". Par Sarah Ganon, avec Eric Mandonnet Suite de l'article... Source: lexpress.fr