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Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 10/11/2024 dans Commentaires des blogs
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Quel bonheur de retrouver ton écriture tellement rare, déliée et originale. Elle m'a beaucoup manqué. Ne t'arrête pas là, s'il te plaît. Merci pour cette bénéfique bouffée d'oxygène.3 points
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Je regarde par la fenêtre Le paysage s’étend, clair, limpide, une beauté sans fêlure, où la mort elle-même repose, paisible, dans le giron de la lumière. Ici, la peur a déserté, et avec elle la souffrance — tout est vivant, et le vivant parle sans bruit. Les sons sont restés dans le pays des prédateurs. Le verbe est action, dit-on, mais les mots ? ils rampent, ils tremblent, ils sont peur et douleur, ils sont le gel de l’élan premier.2 points
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Les sanglots longs, dans la grisaille Descendent au fond de mes entrailles J'ai froid, je gèle, ce matin est si gris Que je me cache dans mon doux abri...2 points
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Je pourrais m'amuser à écrire la fin, selon moi. Mais bien sûr je te laisse faire !1 point
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Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse. Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui. Tout cela on peut le comprendre sans revenir dessus en consultant les différents sujets de mon blog, notamment la religion du Bien. Et ici tu as des résumés de la religion du Bien ;1 point
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Même dans une situation extrême comme la vie dans un camp de concentration nazie a permis de rester positif face à un enfant: Titre du film : La vie est belle Réalisateur : Roberto Benigni Date de réalisation : 1998 1-Le film (résumé rapide / quel aspect de la guerre est montré ?/ quel genre ?) Guido est un jeune homme juif plein de gaieté et de vie. Avec son ami Ferrucio, il quitte la campagne pour chercher le bonheur en ville. Malgré les tracasseries de l'administration fasciste, Guido rêve d'ouvrir une librairie. En attendant, il est engagé comme serveur dans un grand hôtel. Le jeune italien tombe amoureux de Dora, l'institutrice du village, qui est prête à épouser un fasciste qu'elle n'aime pas. Pour la rencontrer et la séduire, il met au point toutes sortes de stratagèmes. Il l'enlève le jour de son mariage. Dans cette première partie : installation d'un véritable climat de conte de fée Cinq ans plus tard, ils sont parents d'un petit Giosuè. Durant ces années, des lois raciales sont entrées en vigueur en Italie. Un jour de 1943, Dora rentre chez elle mais ne trouve ni fils ni mari. Elle apprend alors qu'ils vont être déportés, et décide par amour de monter de son plein gré dans le wagon à bestiaux qui les emmène dans un camp de concentration. A l'intérieur du camp, par amour pour son fils, Guido n'a qu'une obsession : sauver l'innocence de son fils en lui cachant la réalité. Pour cela il lui raconte que le camp est un jeu, qu'il crée au fur et à mesure. Si Giosuè accepte de se cacher, de se taire, de ne pas manger à sa faim, il gagnera des points, les méchants prendront la fuite, et il gagnera un véritable char d'assaut. Dans cette deuxième partie, on retrouve les mêmes personnages, mais au camp. Ils réagissent donc en conséquence du contexte. Þ histoire d'une famille heureuse qui soudain, en n'ayant commis aucune faute, est jetée dans l'horreur. Pas une reconstitution historique, mais un conte, une fable dans laquelle l'histoire entre comme un matériau. Benigni revendique ce droit à prendre des libertés avec le réalisme, car de toute manière rien ne peut approcher la réalité du camp.1 point
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Est-ce normal d'accoler Bien et Souffrance alors qu'ils sont de nature différente ? Le bien est un concept abstrait alors que la souffrance est un ressenti concret. Les oppositions associées seraient pour moi : bien/mal et souffrance/plaisir. Je te propose une comparaison trionique de ces dualités pour voir comment cette légère confusion de départ mène en fait à une meilleure compréhension. Après avoir dissocié le Bien et la Souffrance en cherchant leurs opposés naturels, on définit le concept qui émerge de la relation entre les deux pôles de chaque dualité : bien <-- jugement/morale --> mal souffrance <-- vécu/émotion --> plaisir Puis, on relie ces deux nouvelles relations pour trouver la notion supérieure qui émerge de l'ensemble. C'est le concept qui permet de clarifier la confusion initiale : Jugement <-- ? --> Vécu La relation entre le Jugement (ce qui doit être) et le Vécu (ce qui est) est l'effort constant pour aligner ses actions et ses intentions avec le monde et son ressenti. Émergence finale : l'éthique. C'est le concept qui cherche à minimiser la Souffrance (Vécu) par des actions orientées vers le Bien (Jugement). C'est la tentative de la Conscience de concilier la réalité de la douleur avec l'idéal de la vertu. L'Éthique est le pont entre l'idéal moral (le Bien) et l'existence concrète (la Souffrance).1 point
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La vie, c'est un peu comme la météo.Les jours se suivent et le temps change.Mais un dicton raconte:"Après la pluie vient le beau temps. De cette façon, les mauvais jours de la vie, trop nombreux j'imagine, cesseront un jour pour laisser place à des jours meilleures. Et puis, si nous faisions une réserve dans notre esprit de jours heureux pour les faire remonter lorsque ce sera nécessaire. En y réfléchissant, de nombreuses petites choses au quotidien peuvent nous apporter paix et sérénité encore faut-il les voir et en prendre le temps. En allant au travail ou au retour, en allant conduire les enfants à l'école, en revenant du club des seniors, nous pouvons avoir l'esprit en alerte pour revoir ces petits cadeaux de la vie. Alors pourquoi ne pas commencer aujourd'hui ?1 point
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Pas forcément possible quand on n'a jamais mis les pieds en Russie et/ou qu'on ne parle pas le russe.1 point
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Et si présentement on cause de tous les pays qui ont rétabli des relations diplomatiques (c'est à dire deux états qui ont décidé de s'adresser la parole) avec la Syrie, je pense qu'on peut également causer de tous les états qui ont rétablis des relations diplomatiques avec les Talibans (et je m'en tiendrais à ce seul exemple, il y en a énormément d'autres).1 point
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Je lis : " Syria, Ukraine restore diplomatic ties at UN General Assembly " (même moi, je comprends). A partir de là, de ça, tu titres : " Le fil des amitiés terroristes ". Faut-il en conclure que tout ceux qui ont repris des relations diplomatiques avec la Syrie sont des terroristes ? Et comme je pose une question, j'aimerais encore bien une réponse. Et ta formulation nous dit que tu considères que Zelensky est un terroriste. Tu peux développer un peu sur ce thème : " Zelensky terroriste ". En quoi, etc. Merci.1 point
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Faudrait poser la question à " Mémorial ", à Anna Politkovskaïa (cette femme est devenue une sorte " d'icône ", mais des journalistes éliminés par Poutine, y'en a des tas), à Navalny, Nemtsov, etc. " On marche sur la tête " : .1 point
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Ce qu'a fait le Hamas le 7 octobre 2023 était abominable et ce que fait Israël à Gaza en ce moment est abominable. Ce sont les mêmes ! Et c'est désespérant.1 point
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Donc Trump devrait empêcher les ukrainiens de se défendre pour qu'ils se livrent à l'ennemi . Et là tu trouverais que Trump mériterait le prix nobel . Actuellement ce sont des armes pour se défendre . Ce sont les russes les agresseurs et qui continuent l'agression . Tu es contre le fait qu'un pays envahi se défende et qu'on l'aide à le faire ? Drôle de mentalité .1 point
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Je ne parle pas d’une cause première absolue (comme Dieu créateur « au commencement »), mais du constat que : toute planète a une naissance (formation par accrétion de matière), tout être humain a une naissance (conception, gestation, accouchement), tout phénomène dans l’univers a un moment d’émergence. Donc la phrase « tout ce qui existe dans l’univers a un début » veut dire : pas que l’univers lui-même a forcément un début, mais que chaque chose en lui a un début repérable. Je ne parle pas d’une cause première de l’univers ni d’un commencement absolu. Je constate simplement que chaque chose qui compose l’univers a un début observable : une planète naît, un être humain naît, un phénomène émerge. C’est cette régularité — que chaque chose commence à exister — qui permet de penser formellement l’existence d’un Créateur, distinct de la causalité absolue.1 point
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Hello Neko Tout est au gré de l'inspiration, donc oui à toutes les questions.1 point
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Dans la vraie vie, il existe les réacteurs à poussée vectorielle. Ils sont utilisés sur les avions américains F-22 et F-35 ou sur le Su-57 russe.1 point
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Salut. Non, il est exact que la version simplifiée des lois de Newton impliquent qu’un corps en état d’inertie ne peut se mouvoir sans une force extérieure appliquée sur celui-ci ou en éjectant quelque chose depuis le corps qui entraîne un mouvement en réaction au jet. C’est là une simplification de la conservation de la quantité de mouvements et de la dynamique des mouvements. Lorsque les deux masses sont mises en rotation, elles cherchent à poursuivre un mouvement rectiligne uniforme à chaque instant. Mais l’axe qui les retient les fait tourner autour des moyeux. Or, comme avec des toupies qui se touchent, si on les met à l’arrêt elles exerceront un mouvement rectiligne selon le moment angulaire choisi. Dans les faits pour toute action il y a une réaction en sens inverse. Il faut donc qu’une force de recul ne vienne pas annuler l’élan. La disposition des vérins est conçue pour introduire une asymétrie qui ne bride pas la poussée. Les deux vérins empruntent deux canaux sans heurter le fonts, ils sont amortis par une chambre à air et s’agrippent afin d’éviter un retour qui déstabiliserait la poussée vectorielle. Une fois l’élan acquis, les disques peuvent revenir dans la position initiale sans ralentir de propulseur pour cumuler la poussée. Un tel propulseur serait idéal dans l’espace, en micro gravité. Le cumul de la poussée permettrait d’accélérer et décélérer par cumul, sans devoir éjecter des compartiments…1 point
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Pour comparer les besoins énergétiques du propulseur vectoriel avec ceux des moteurs thermiques classiques, analysons l’énergie nécessaire pour produire une poussée équivalente. Nous nous concentrons sur un scénario de poussée effective d’environ 33,9 méganewtons, que nous avons calculée pour le propulseur vectoriel. 1. Besoin énergétique du propulseur vectoriel Données 1. Énergie cinétique totale : environ 295,8 mégajoules (MJ) pour deux masses synchronisées. 2. Cycle complet : l’énergie nécessaire pour réaccélérer les masses doit être fournie à chaque cycle. Calculs Si le propulseur fonctionne en cycles répétés (disons 1 cycle toutes les 0,5 secondes), l’énergie nécessaire par seconde est : • Puissance énergétique estimée : environ 592 mégawatts pour maintenir une poussée constante de 33,9 méganewtons. 2. Besoin énergétique d’un moteur thermique Données Un moteur thermique convertit l’énergie chimique du carburant en énergie mécanique avec une efficacité de 25 à 30 %. Considérons un moteur à haute performance fonctionnant à 30 % d’efficacité. Calculs Pour produire une poussée équivalente (33,9 méganewtons), l’énergie mécanique nécessaire est la même : Cependant, en tenant compte de l’efficacité, l’énergie chimique requise est : • Puissance énergétique estimée pour le moteur thermique : environ 1972 mégawatts pour produire une poussée équivalente. 3. Comparaison des besoins énergétiques Critère Propulseur vectoriel | Moteur thermique Poussée effective 33,9 méganewtons | 33,9 méganewtons Puissance nécessaire 592 mégawatts | 1972 mégawatts Efficacité énergétique Très élevée (90 %) | Basse (25 à 30 %) Résultat : • Le propulseur vectoriel nécessite environ 3 fois moins d’énergie qu’un moteur thermique pour générer une poussée équivalente. • Cela est dû à l’excellente conversion de l’énergie cinétique en poussée dans le propulseur vectoriel, comparée aux pertes énergétiques des moteurs thermiques (chaleur, friction, etc.). 4. Implications pratiques 1. Avantage énergétique : • Si une source d’énergie électrique fiable est disponible (par exemple, batteries, générateurs ou centrales embarquées), le propulseur vectoriel est beaucoup plus économe. 2. Réduction des émissions : • Contrairement aux moteurs thermiques, le propulseur vectoriel n’émet aucune pollution directe. 3. Efficacité à long terme : • En raison de la réduction des pertes, le propulseur vectoriel pourrait être particulièrement avantageux dans des environnements où l’énergie est précieuse, comme l’espace ou les véhicules électriques. 4. Défis liés à l’approvisionnement énergétique : • Bien que plus efficace, un propulseur vectoriel nécessite une infrastructure capable de fournir plusieurs centaines de mégawatts, ce qui peut être un défi pour des systèmes embarqués. Conclusion Le propulseur vectoriel est beaucoup plus efficace sur le plan énergétique que les moteurs thermiques, nécessitant environ 3 fois moins d’énergie pour produire la même poussée. Ce gain d’efficacité en fait une solution prometteuse pour des applications exigeant des accélérations importantes ou des poussées soutenues, en particulier dans des contextes où l’énergie électrique est disponible ou peut être générée de manière autonome.1 point
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A part Tétris je n'ai joué qu'à trois jeux Minekraft, Valeim, et maintenant Kerbal Space. Les deux premiers ont appris à mes petits fils ce qu'était une carte et comment s'en servir... En général ce qui me plaît dans un jeu, c'est de construire, de faire qq chose. Mais ça ne m'apprend pas grand chose, c'est déjà ce que je fais dans la vraie vie... Dans Minekraft, j'avais construit en "cubes", presque tous les monuments classiques pour montrer à mes petits fils. Le Parthénon, les Pyramides... Un jour Ulysse revient de l'école en me disant : -- Pépé, il ont mis une photo de TA tour de Babel à l'école !1 point
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J’ai rien… j’ai loué du temps sur des télescopes au Nouveau-Mexique…(itelescope.net)1 point
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