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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 26/12/2024 dans Commentaires des blogs
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Quel bonheur de retrouver ton écriture tellement rare, déliée et originale. Elle m'a beaucoup manqué. Ne t'arrête pas là, s'il te plaît. Merci pour cette bénéfique bouffée d'oxygène.3 points
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Je regarde par la fenêtre Le paysage s’étend, clair, limpide, une beauté sans fêlure, où la mort elle-même repose, paisible, dans le giron de la lumière. Ici, la peur a déserté, et avec elle la souffrance — tout est vivant, et le vivant parle sans bruit. Les sons sont restés dans le pays des prédateurs. Le verbe est action, dit-on, mais les mots ? ils rampent, ils tremblent, ils sont peur et douleur, ils sont le gel de l’élan premier.2 points
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Les sanglots longs, dans la grisaille Descendent au fond de mes entrailles J'ai froid, je gèle, ce matin est si gris Que je me cache dans mon doux abri...2 points
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Tu généralises beaucoup trop, je te montre. Le sujet, c'est le rapport de Trump à la démocratie, on le sait depuis longtemps, plutôt problématique. Le coup de fil au gouverneur de Géorgie (grand morceau), le Capitole, etc. Il a toute ma confiance pour mettre à l'épreuve la démocratie américaine. Maroudiji a écrit : " Les récentes attaques américaines contre des embarcations vénézuéliennes, prétendument chargées de drogue, en sont une preuve supplémentaire et flagrante. Cette administration tue des hommes qu’elle juge coupables sans fournir la moindre preuve au public, qui assiste, médusé, à une violence d’une brutalité inouïe et apparemment gratuite ". Ce sont des meurtres. Point. Même si c'est des narcos. Est-ce que Donald Trump a complétement entériné la différence fondamentale entre une action de police et un acte de guerre ? Bien sûr que non.1 point
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Il n'y a pas recouvrement. Quant un Sujet, générateur de Sens dans certaines situations, fait des mathématiques, domaine du sens, on n'aura aucun souci de subjectivité. Etc. Je me vois très mal tenter de " concilier ", alors que globalement nous n'avons pas encore appris à distinguer. Tu as remarqué, j'utilise des outils, concepts, etc., de la philosophie occidentale classique, je continue. Je préconise de distinguer " étant " ( "chose " au sens le plus exhaustif qui soit) d'Étant (majuscule pour faire la différence avec le premier cas, absolument général) généré par un être vivant, et donc, aussi, de distinguer sens et Sens (fruit de Sujets au sens philosophique). Un Étant, donc produit par un être vivant, appartient au grand ensemble des étants, des choses. Je fais une distinction à l'intérieur d'un ensemble. Absolument partout. Il y a des connaissances qui relèvent du sens (1+1=2) ou du Sens (j'aime, je n'aime pas). Ça dépend lesquelles. Quand il est question de fraise ou de banane, de mathématiques, etc., nous, le plus globalement qui soit, trouvons rapidement de terrains d'entente et donc des conventions, etc. Pour la justice, la politique, etc., tu as déjà deviné la suite, c'est une autre paire de manches. Elle concerne toujours l'un des deux. Il peut y avoir désaccord quant à placer telle ou telle connaissance dans un domaine ou dans l'autre. Spinoza met le Dieu partout, pas moi, etc. Oui, je reformule avec mes outils, ceux que j'ai choisi parmi tous ceux qui sont disponibles : il s'agit toujours de la connaissance d'une chose par un être vivant et pour lui. Pas de vie, pas de connaissance de quoi que ces soit par tel ou tel être vivant. Même une bactérie pour pouvoir vivre sa modeste existence de bactérie a intérêt à " savoir ", c'est la première forme de savoir (empirisme), modeste, humble, faillible, tout ce qu'on veut, mais c'est d'abord celle qui permet de rester en vie, hein. " Logos " = discours. Mais tout formalisme est un " discours ", dit quelque chose. Les animaux ne verbalisent pas, mais ils formalisent suffisamment, il y a " logos ". Ils s'insultent, se menacent, font ami -ami, s'aiment, etc. Il appartient pleinement à la vie : je ne le mettrais donc pas à part.1 point
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Je t'assure que je suis très au fait de la distinction entre matérialité et conceptualisation, avec de plus en plus de finesse et de profondeur au cours du temps. Ce qui m'a aidé dans ce domaine, c'est l'étude du yin yang. Il est saisissant de voir que dessiner uniquement la partie noire fait apparaitre la partie blanche ...1 point
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Il y a des contre-exemples à cette phrase. Comme les courbatures, qui sont douloureuses mais symptôme bénin d'une amélioration musculaire suite à l'exercice. On peut aussi considérer l'injection d'un vaccin qui provoque de la douleur mais pour notre bien. Cette prémisse ne peut supporter un raisonnement universel. Pas seulement en logique du pivot, en logique binaire aussi. En revanche les choses changent dans une logique non-binaire, graduelle ou relationnelle. Dans ce genre de logique, il y a des états intermédiaires ou ambigus. Je comprends ton idée : tu définis le Bien comme l’inexistence de la souffrance, et tu dis qu’il n’a pas besoin d’elle pour exister, seulement de la concevoir comme contradictoire. C’est une logique binaire, où chaque pôle se dit oui pour lui-même et non pour l’autre. Ce que je remarque, c’est que tu passes d’un plan conceptuel (on peut imaginer la souffrance comme contradiction du Bien) à un plan ontologique (le Bien existerait sans souffrance réelle). C’est une distinction importante : penser une contradiction n’est pas la même chose que vivre dans un monde où elle n’existe pas. Ton raisonnement est cohérent dans une logique binaire, mais il reste une question ouverte : est-ce que le Bien peut se définir sans référence à ce qu’il nie ? Autrement dit, peut-on parler de Bien sans jamais avoir rencontré ou pensé la souffrance ? En fait nous analysons le même phénomène -la dualité- mais avec des logiques différentes. La logique du pivot est basée sur l'exclusion mutuelle "si c'est oui alors ce n'est pas non" alors que j'utilise une version où tout est dépendant d'une relation entre deux pôles (ça n'a pas été prouvé, c'est juste la vision que je défend). La logique binaire est basée sur la contradiction (l'un et pas l'autre) et la logique relationnelle est basée sur la complémentarité (les deux ou rien). Les deux logiques produisent des informations dans des domaines différents, aussi valides l'un que l'autre. Nous devrions poursuivre chacun de notre coté et comparer de temps en temps ce que nous découvrons, pour notre bénéfice mutuel Ici, tu associes le Créateur à une vérité formelle, dont l’expression empirique serait l’harmonie et la santé. Puis, tu présentes la souffrance comme une intruse extérieure au plan du Bien. De mon côté, la souffrance est une polarité nécessaire pour que le Bien ait un sens. Peut-être que la différence entre nous est que tu conçois le Bien comme absolu et autosuffisant, alors que je le conçois comme relatif et défini par sa tension avec le mal. La loi trionique "deux choses font quelque chose ensemble" m'encourage à synthétiser nos visions en une nouvelle qui les transcende toutes les deux. Il me faudrait reconnaitre l'existence du Bien en soi (ontologie), mais sans oublier qu'il ne peut être reconnu, pensé ou vécu sans relation avec le mal (épistémologie / existentialisme). Je n'abandonne pas le système de polarité mais je dois essayer de ne pas m'y enfermer. Le Bien et le mal se définissent l'un l'autre mais le Bien ne se résume pas à cette opposition, il est aussi un objectif. En termes d'action, cela implique de ne pas nier la souffrance mais de ne pas lui laisser le dernier mot non plus.1 point
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D'accord. Même si je n'ai pas lu chaque ligne de chaque billet, j'ai globalement lu ce que tu as posté au fur et à mesure. J'avais justement noté la "souffrance qui évite une plus grande souffrance" et c'est là dessus que je m'appuyais en disant qu'il faudrait définir la souffrance car dans ce que j'ai compris, elle est tantôt mauvaise, tantôt utile. S'agit-il de deux aspects du même objet ou de deux concepts différents, ou plus ? Tu réponds que c'en est un seul et que s'il n'existait pas, on ne souffrirait pas. Je suis d'accord, car si le négatif n'existait pas, le positif non plus et rien n'existerait. Pas d'antiparticule, pas de répulsion magnétique, pas de matière donc pas de Vie. Dans ta dernière phrase, tu dis Je ne crois pas avoir vu avant cette tournure "être l'un l'autre", comment ça se présente exactement ? Dans mon esprit (définitivement subjectif) ce sont des dualités, elles "font quelque chose ensemble". Ou plutôt, du fait de leur existence une valeur peut osciller entre elles et quelque chose est créé. Désolé si je suis trop direct. J'aime ton approche, tu théorises le bien et la création, nous sommes alliés. Mais je me suis lancé en mode rhétorique parce que j'aime aussi discuter les idées. Je vois sincèrement les erreurs comme de superbes pistes d'amélioration, c'est pourquoi je me permet de contester.1 point
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J'ai remarqué que la méthode d'utiliser l'IA pour explorer des pistes de réflexion avait fait des émules. Il faut reconnaitre à l'IA sa rapidité à trouver les phrases que nous mettrions un certains temps à rédiger. Pour "explorer" de gros volumes, c'est un bon partenaire. Si je peux me permettre une critique de ce billet, j'ai encore des interrogations sur le postulat de départ. Par exemple "Tout ce qui existe se crée, sauf la souffrance." comment le démontrer ? S'il y a un principe créateur et qu'il évite soigneusement de créer la souffrance, comment fait-il ? Si la souffrance existe, c'est qu'il existe au moins deux principes créateurs. Et ces deux créateurs parviennent à abonder le même monde, l'un avec tout ce qui existe l'autre uniquement par la souffrance, mais leurs créations respectives se partagent sans heurts le même espace ? Cela fait encore beaucoup d'interrogations pour moi. Je trouve plus pratique de considérer un seul principe créateur, à l'origine du positif comme du négatif, de notre ressenti bon ou mauvais, de nos actes et pensées en bien et en mal. Je ne peux le démontrer bien sûr, j'utilise simplement le rasoir d'Occam, et je me laisse guider par mon appétence pour les dualités. Je suis en revanche d'accord avec l'essentiel de ce texte et des idées qu'il développe. Par exemple qu'il existe un historique de la recherche du Bien : Je vois dans ce triptyque ma BGRA. La recherche dans la vertu est la conceptualisation. Dans la raison universelle, c'est le Logos. Dans le résultat, c'est la matérialité. Si Aristote avait pu travailler à partir des théories utilitaristes ! Je trouve que ta production est bonne, si on l'applique à l'individu et ses pensées, ses actes face au monde qui l'entoure. Je la trouve moins pertinente lorsqu'il s'agit de dessiner les contours de l'univers dans son ensemble. Les principes de souffrance ou de bien ne sont applicables qu'à l'humain, qui n'est qu'une miette dérisoire dans l'existence. Cette dualité devient fortement inutile dans l'étude des astéroïdes par exemple. Elle l'est tout autant dans la reproduction des poissons ou dans la forme fractale des fougères, qui sont bien existants mais sans se préoccuper de souffrance ou de bien. Ces notions ne sont applicables ni en maths, ni en physique, ni en chimie, ni en biologie. Elles ne deviennent pertinentes qu'à partir de la psycho et la socio. Ce ne sont que mes opinions, je suis en tout cas heureux de voir que ton questionnement se poursuit, que ta compréhension s'affine, je pense que c'est l'expression la plus forte de l'intelligence : converger vers des idées de plus en plus proches de la vérité que l'on cherche. Je pense que c'est la raison d'être de notre faculté de cognition et c'est lui faire honneur que de l'utiliser à plein.1 point
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Je m'étais formé une image pour cela. Je cherchais comment représenter le passage du potentiel à l'actuel, d'une sorte de "rien" vers une forme de "tout". J'ai pensé à un dé à zéro faces qui retourne une infinité de nombres. Et en cherchant comment représenter ce dé, ce qu'il pourrait être, je suis tombé sur ... l'intelligence. Elle n'a aucune matérialité (zéro faces) et retourne une infinité d'idées pour trouver ce qu'elle cherche. Je pense qu'intelligence et conscience sont deux aspects du même objet. Nous ne savons définir correctement ni l'une ni l'autre, car nous n'isolons pas cet objet. Peut-être parce qu'il est inaccessible à notre perception (immatériel) mais aussi à notre conception (trop abstrait) ?1 point
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Ce n'est pas si sûr pour moi. Èvidemment cela va dépendre de la définition de la conscience, mais je trouve cela fort juste de la voir en dehors de toute existence. L'existence est une forme, la conscience n'a aucune forme ou alors elle les contient toutes.1 point
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Bonjour @Emergence, Je ne puis hélas rien vous conseiller pour étayer ou continuer ce dont je parle ici, j'ai inventé tout cela en fonction de mes seules observations. En revanche, depuis que j'essaie de communiquer la trionique au monde extérieur, j'ai eu l'occasion de me renseigner sur ce qui existe déjà en ce sens, mais pas de façon exhaustive bien sûr et je n'ai pas d'exemple sous l'angle sociologique. Je suppose, vu votre pseudo, que vous connaissez déjà Edgar Morin, pionnier dans le domaine de l'émergence et de la complexité. Il a écrit des livres et parmi ses postures, il y a celle de la trialectique, assez proche de ce que je propose. Les systèmes complexes sont des interactions rétroactives entre au moins 3 éléments simples. On m'a aussi plusieurs fois signalé que "It from bit" de John Wheeler décrit une réalité similaire à celle que j'esquisse. L'existence en tant qu'information. Les matrices épistémiques de Philippe Krebs sont aussi une approche de compréhension systémique. Enfin, un de mes collègues féru de sociologie m'indique qu'il ne jure que par Pierre Bourdieu, "La reproduction" par exemple. J'espère que cette réponse contiendra des informations utiles pour vous.1 point
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Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse. Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui. Tout cela on peut le comprendre sans revenir dessus en consultant les différents sujets de mon blog, notamment la religion du Bien. Et ici tu as des résumés de la religion du Bien ;1 point
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Même dans une situation extrême comme la vie dans un camp de concentration nazie a permis de rester positif face à un enfant: Titre du film : La vie est belle Réalisateur : Roberto Benigni Date de réalisation : 1998 1-Le film (résumé rapide / quel aspect de la guerre est montré ?/ quel genre ?) Guido est un jeune homme juif plein de gaieté et de vie. Avec son ami Ferrucio, il quitte la campagne pour chercher le bonheur en ville. Malgré les tracasseries de l'administration fasciste, Guido rêve d'ouvrir une librairie. En attendant, il est engagé comme serveur dans un grand hôtel. Le jeune italien tombe amoureux de Dora, l'institutrice du village, qui est prête à épouser un fasciste qu'elle n'aime pas. Pour la rencontrer et la séduire, il met au point toutes sortes de stratagèmes. Il l'enlève le jour de son mariage. Dans cette première partie : installation d'un véritable climat de conte de fée Cinq ans plus tard, ils sont parents d'un petit Giosuè. Durant ces années, des lois raciales sont entrées en vigueur en Italie. Un jour de 1943, Dora rentre chez elle mais ne trouve ni fils ni mari. Elle apprend alors qu'ils vont être déportés, et décide par amour de monter de son plein gré dans le wagon à bestiaux qui les emmène dans un camp de concentration. A l'intérieur du camp, par amour pour son fils, Guido n'a qu'une obsession : sauver l'innocence de son fils en lui cachant la réalité. Pour cela il lui raconte que le camp est un jeu, qu'il crée au fur et à mesure. Si Giosuè accepte de se cacher, de se taire, de ne pas manger à sa faim, il gagnera des points, les méchants prendront la fuite, et il gagnera un véritable char d'assaut. Dans cette deuxième partie, on retrouve les mêmes personnages, mais au camp. Ils réagissent donc en conséquence du contexte. Þ histoire d'une famille heureuse qui soudain, en n'ayant commis aucune faute, est jetée dans l'horreur. Pas une reconstitution historique, mais un conte, une fable dans laquelle l'histoire entre comme un matériau. Benigni revendique ce droit à prendre des libertés avec le réalisme, car de toute manière rien ne peut approcher la réalité du camp.1 point
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Est-ce normal d'accoler Bien et Souffrance alors qu'ils sont de nature différente ? Le bien est un concept abstrait alors que la souffrance est un ressenti concret. Les oppositions associées seraient pour moi : bien/mal et souffrance/plaisir. Je te propose une comparaison trionique de ces dualités pour voir comment cette légère confusion de départ mène en fait à une meilleure compréhension. Après avoir dissocié le Bien et la Souffrance en cherchant leurs opposés naturels, on définit le concept qui émerge de la relation entre les deux pôles de chaque dualité : bien <-- jugement/morale --> mal souffrance <-- vécu/émotion --> plaisir Puis, on relie ces deux nouvelles relations pour trouver la notion supérieure qui émerge de l'ensemble. C'est le concept qui permet de clarifier la confusion initiale : Jugement <-- ? --> Vécu La relation entre le Jugement (ce qui doit être) et le Vécu (ce qui est) est l'effort constant pour aligner ses actions et ses intentions avec le monde et son ressenti. Émergence finale : l'éthique. C'est le concept qui cherche à minimiser la Souffrance (Vécu) par des actions orientées vers le Bien (Jugement). C'est la tentative de la Conscience de concilier la réalité de la douleur avec l'idéal de la vertu. L'Éthique est le pont entre l'idéal moral (le Bien) et l'existence concrète (la Souffrance).1 point
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La vie, c'est un peu comme la météo.Les jours se suivent et le temps change.Mais un dicton raconte:"Après la pluie vient le beau temps. De cette façon, les mauvais jours de la vie, trop nombreux j'imagine, cesseront un jour pour laisser place à des jours meilleures. Et puis, si nous faisions une réserve dans notre esprit de jours heureux pour les faire remonter lorsque ce sera nécessaire. En y réfléchissant, de nombreuses petites choses au quotidien peuvent nous apporter paix et sérénité encore faut-il les voir et en prendre le temps. En allant au travail ou au retour, en allant conduire les enfants à l'école, en revenant du club des seniors, nous pouvons avoir l'esprit en alerte pour revoir ces petits cadeaux de la vie. Alors pourquoi ne pas commencer aujourd'hui ?1 point
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Pas forcément possible quand on n'a jamais mis les pieds en Russie et/ou qu'on ne parle pas le russe.1 point
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Et si présentement on cause de tous les pays qui ont rétabli des relations diplomatiques (c'est à dire deux états qui ont décidé de s'adresser la parole) avec la Syrie, je pense qu'on peut également causer de tous les états qui ont rétablis des relations diplomatiques avec les Talibans (et je m'en tiendrais à ce seul exemple, il y en a énormément d'autres).1 point
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Je lis : " Syria, Ukraine restore diplomatic ties at UN General Assembly " (même moi, je comprends). A partir de là, de ça, tu titres : " Le fil des amitiés terroristes ". Faut-il en conclure que tout ceux qui ont repris des relations diplomatiques avec la Syrie sont des terroristes ? Et comme je pose une question, j'aimerais encore bien une réponse. Et ta formulation nous dit que tu considères que Zelensky est un terroriste. Tu peux développer un peu sur ce thème : " Zelensky terroriste ". En quoi, etc. Merci.1 point
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Faudrait poser la question à " Mémorial ", à Anna Politkovskaïa (cette femme est devenue une sorte " d'icône ", mais des journalistes éliminés par Poutine, y'en a des tas), à Navalny, Nemtsov, etc. " On marche sur la tête " : .1 point
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Ce qu'a fait le Hamas le 7 octobre 2023 était abominable et ce que fait Israël à Gaza en ce moment est abominable. Ce sont les mêmes ! Et c'est désespérant.1 point
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Donc Trump devrait empêcher les ukrainiens de se défendre pour qu'ils se livrent à l'ennemi . Et là tu trouverais que Trump mériterait le prix nobel . Actuellement ce sont des armes pour se défendre . Ce sont les russes les agresseurs et qui continuent l'agression . Tu es contre le fait qu'un pays envahi se défende et qu'on l'aide à le faire ? Drôle de mentalité .1 point
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Je ne parle pas d’une cause première absolue (comme Dieu créateur « au commencement »), mais du constat que : toute planète a une naissance (formation par accrétion de matière), tout être humain a une naissance (conception, gestation, accouchement), tout phénomène dans l’univers a un moment d’émergence. Donc la phrase « tout ce qui existe dans l’univers a un début » veut dire : pas que l’univers lui-même a forcément un début, mais que chaque chose en lui a un début repérable. Je ne parle pas d’une cause première de l’univers ni d’un commencement absolu. Je constate simplement que chaque chose qui compose l’univers a un début observable : une planète naît, un être humain naît, un phénomène émerge. C’est cette régularité — que chaque chose commence à exister — qui permet de penser formellement l’existence d’un Créateur, distinct de la causalité absolue.1 point
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Hello Neko Tout est au gré de l'inspiration, donc oui à toutes les questions.1 point
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Dans la vraie vie, il existe les réacteurs à poussée vectorielle. Ils sont utilisés sur les avions américains F-22 et F-35 ou sur le Su-57 russe.1 point
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Salut. Non, il est exact que la version simplifiée des lois de Newton impliquent qu’un corps en état d’inertie ne peut se mouvoir sans une force extérieure appliquée sur celui-ci ou en éjectant quelque chose depuis le corps qui entraîne un mouvement en réaction au jet. C’est là une simplification de la conservation de la quantité de mouvements et de la dynamique des mouvements. Lorsque les deux masses sont mises en rotation, elles cherchent à poursuivre un mouvement rectiligne uniforme à chaque instant. Mais l’axe qui les retient les fait tourner autour des moyeux. Or, comme avec des toupies qui se touchent, si on les met à l’arrêt elles exerceront un mouvement rectiligne selon le moment angulaire choisi. Dans les faits pour toute action il y a une réaction en sens inverse. Il faut donc qu’une force de recul ne vienne pas annuler l’élan. La disposition des vérins est conçue pour introduire une asymétrie qui ne bride pas la poussée. Les deux vérins empruntent deux canaux sans heurter le fonts, ils sont amortis par une chambre à air et s’agrippent afin d’éviter un retour qui déstabiliserait la poussée vectorielle. Une fois l’élan acquis, les disques peuvent revenir dans la position initiale sans ralentir de propulseur pour cumuler la poussée. Un tel propulseur serait idéal dans l’espace, en micro gravité. Le cumul de la poussée permettrait d’accélérer et décélérer par cumul, sans devoir éjecter des compartiments…1 point
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A part Tétris je n'ai joué qu'à trois jeux Minekraft, Valeim, et maintenant Kerbal Space. Les deux premiers ont appris à mes petits fils ce qu'était une carte et comment s'en servir... En général ce qui me plaît dans un jeu, c'est de construire, de faire qq chose. Mais ça ne m'apprend pas grand chose, c'est déjà ce que je fais dans la vraie vie... Dans Minekraft, j'avais construit en "cubes", presque tous les monuments classiques pour montrer à mes petits fils. Le Parthénon, les Pyramides... Un jour Ulysse revient de l'école en me disant : -- Pépé, il ont mis une photo de TA tour de Babel à l'école !1 point
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J’ai rien… j’ai loué du temps sur des télescopes au Nouveau-Mexique…(itelescope.net)1 point
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