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Bonjour, Alors que la génération Z est souvent décrite comme étant la plus seule, les témoignages de jeunes sans amis se multiplient sur les réseaux sociaux. Un isolement qui n'est pas sans conséquences sur leur bien-être mental et physique. «Je trouve qu'il y a des gens qui ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont d'avoir plein d'amis. Parce que clairement, aujourd'hui, ce n'est pas mon cas», regrette d'emblée Sniéjana, 27 ans, dans une vidéo vue près de 554.000 fois et publiée en décembre 2023 sur son compte TikTok (@lejournaldemaguérison). «Je pense que c'est le cas de plein de gens de pas avoir d'amis ou d'avoir une vie sociale bien pourrie», avance-t-elle. (Autres témoignages dans l'article joint). «Le sentiment d'isolement social est une donnée évaluée, pas seulement au niveau de la France, mais aussi au niveau international», confirme la psychologue Aude Caria, également directrice de Psycom, un organisme national public d'information sur la santé mentale. Cette donnée est d'autant plus alarmante que cet isolement, souvent associé aux personnes âgées, touche principalement les jeunes. Chez SOS Amitié, le relationnel est l'une des trois raisons principales des appels. Preuve que cet isolement social subi par les jeunes n'est pas sans conséquences sur leur santé mentale, à une période importante de leur vie sociale. «C'est entre 15 et 25 ans que l'on crée un réseau relationnel et social différent de l'environnement familial», indique Aude Caria. Mais l'isolement social a également d'autres effets néfastes. «Il est un facteur majeur de mauvaise santé physique et mentale et ce, quel que soit l'âge, alerte la psychologue de formation. Même l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis la question des liens sociaux de qualité à l'agenda et a considéré que c'était un problème de santé global.» Article entier : https://www.slate.fr/story/266638/honte-jeunes-sans-amis-galere-trouver-amitie-gen-z-isolement-social-solitude-relations-temoignages-sante-mentale C'est vrai ça ?
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On les aime beaucoup, vraiment. Ils sont sympas, drôles, n'arrivent (presque) jamais les mains vides, rien à dire. On les a conviés une fois, puis deux, et soudain la machine s'est enrayée. L'année suivante, ils ont appelé pour demander s'ils devaient prendre leurs billets pour le vendredi ou le samedi quand on se prévoyait la semaine en amoureux. On n'a rien osé dire, ils semblaient si contents ! On a culpabilisé aussi : tout le monde n'a pas la chance d'avoir une maison sur la côte. Depuis, ils débarquent contre vents et marées au premier rayon de soleil et week-end prolongé. Et ce n'est pas tant leur présence que l'anticipation de leur venue systématique qui, petit à petit, nous les rend, avouons-le, insupportables. [...] Si les squattés se bousculent pour témoigner de leur ordalie, les squatteurs se font plus discrets, à l'exception de Julien, qui assume totalement son statut : « Je capitalise pour des voyages de dingue à l'autre bout du monde, donc si je veux bouger en France, c'est forcément chez les autres. Et c'est toujours plus sympa s'il y a une piscine, reconnaît l'ingénieur de 35 ans. Mais je fais de gros efforts pour compenser. En amont, je trouve toujours un nouveau prétexte, pour avoir une forme de 'prime à l'originalité' : rupture, inondation, annulation… C'est la moindre des choses, même si personne n'y croit. Et puis une fois sur place, je bosse à fond dans la maison et le jardin ». Article complet : https://www.lefigaro.fr/voyages/conseils/et-sinon-vous-serez-en-normandie-le-week-end-du-1er-mai-ces-amis-champions-de-l-incruste-en-vacances-20240428 Vous en connaissez vous des comme ça ?
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Peux-t-on faire confiance a ses propres meilleurs amies ? Je vais vous répondre par ma propre expérience , étant élève dans un lycée(général) on est souvent confronté à des catégories les gens populaires,les gens inintéressants et les gens avec un peux d'importance. Quand je suis arrivé aux lycée j'étais aimer par tout le monde sans être populaire mais depuis 2 semaines l'une de mes meilleures amies fait tourner une réputation en disant "salope " alors que je sort avec un garçon depuis 1 mois et je suis très sérieuse et cette amis qui m'a fais une réputation a mis tout mes amis a dos contre moi , des amies avec qui on partage notre vie, nos délires, nos souffrances... choisissez bien vos amis pour lesquels vous partagez tous, en un rien de temps ils peuvent devenir votre ennemi et vous détruire. La vie est un brouillon qu'on ne peut remettre aux propre. PS: Partagez vos expériences comme moi je serais ravie de les lire. Et peu-être vous aider en privé.
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Le titre annonce la couleur. Et maintenant par quoi commencer ? Par le début déjà : Avec mon compagnon tout va bien depuis le premier jour. Un seul hic : ses amis (et les femmes de ses amis). Quand il a compris que nos liens étaient fait pour durer, il m'a présenté à sa famille et j'ai fait de même avec la mienne : jusque là pas d'anicroche. Mais plus loin, il a tenu à faire de même avec ses amis. Là je n'ai pas voulu faire ma sauvage et j'ai accepté, en le prévenant néanmoins que les potes c'était pas du tout mon truc et que si nous allions tous deux les voir cela m'arrangerait autant qu'on n'en reparte pas trop tard. Alors ça s'est fait comme ça : un des amis invitait chez lui un soir et mon conjoint et moi nous venions mais en l'avisant que nous ne resterions pas plus tard que 22 h parce que nous devions nous lever tôt le lendemain pour un rendez-vous pénible qu'on s'était inventé afin de ne pas nous attarder chez lui sans vexer personne. Et puis de fait (comme je l'avais redouté) j'ai trouvé ces gens inintéressants, un peu vulgaires même, trop portés aux conversations qui fâchent, me déballant des trucs sans rougir par moment comme s'ils étaient certains que je serais forcément d'accord avec eux (genre les 80 km heures ça leur donne de l'urticaire, je me demande pourquoi vu que moi ça me plait de rouler à 60 km heures maximum). Je les ai trouvés sales (haleine forte, ne vont pas se laver les mains après avoir éternué grassement dedans...) En prime leur bouffe était dégueu, vraisemblablement l'œuvre d'une maîtresse de maison qui ne sait pas cuisiner (pâtes collées, mets insipides...) et puis ces réflexions et la figure qu'ils ont tirée quand ils m'ont entendu leur dire que je ne mangeais pas de viande. Enfin la moindre des choses quand on invite la femme d'un ami c'est de respecter ce qu'elle est. Trop portés sur l'alcool aussi ces gens ! Je n'ai pas aimé leur insistance pour me resservir des verres et j'étais à deux doigts d'envoyer yech mon hôte avec ses "Ah une fois n'est pas coutume !" "Encore une petite goutte t'as presque rien bu" (...) Bref j'arrêtais pas de me demander ce que je foutais là, puis à 22 h j'ai dit à mon conjoint qu'il était temps qu'on reprenne la route. Comme je m'y attendais ses maudits potes ont fait leur cirque pour qu'on reste, notre hôte nous a même proposé une chambre. Tout ça commençait à me courir sérieusement sur le haricot mais pour calmer les braises j'ai expliqué que c'était plus facile pour nous de partir de chez nous à ce rendez-vous parce qu'il avait lieu plus près. Je pense qu'ils ont tous senti mon agacement et que c'est à partir de là qu'ils ont commencé à me détester. Je le sais parce que depuis quand ils nous voient ensemble c'est à peine s'ils ne fuient pas, juste le temps de serrer la main à mon conjoint et de me regarder de travers et puis basta. Par contre quand il est seul ils discutent avec lui. Je pense qu'ils ont dû me trouver bien fière. En plus nos goûts, nos manières, enfin comment vous dire : en tout et n'importe quoi un fossé nous sépare. J'ai su dès cette soirée que je n'aurais jamais d'atomes crochus avec ces personnes-là. J'étais même surprise totalement que mon conjoint puisse avoir des amis comme ça. Avec eux il semblait parfaitement à l'aise, je le trouvais même différent que quand il est seul avec moi. En fait j'étais déçue qu'il puisse se sentir à l'aise avec des individus si différents de moi : je lui ai découvert un visage que je ne lui connaissais pas, et je lui en ai voulu d'avoir fait en sorte que je les rencontre pour leur faire plaisir parce qu'ils n'avaient jamais eu l'occasion de nous recevoir ensemble. Après tout moi aussi j'ai quelques copains, copines, et je ne les lui impose pas. Donc à partir de là pour moi c'était tout vu : ces gens ne me reverraient plus. Et j'ai interrogé mon conjoint : mais pourquoi faudrait-il que tes potes et moi on s'entendent ? Pourquoi -faute de pouvoir m'entendre avec eux- faudrait-il que je m'entende avec leurs femmes pour causer avec elles pendant que vous causez entre mecs ? Je lui ai demandé "on est pas bien tous les deux ensemble ? Pourquoi ceux-là devraient débarquer dans notre vie de couple ? C'est tes potes pas les miens, et ça le sera jamais. Il est d'accord mais je ne suis pas rassurée parce qu'il continuera à passer les voir. Je l'ai prévenu : Si jamais l'un ou l'autre tente un truc contre moi (genre une réflexion désobligeante vis-à-vis de moi) ou pour foutre le bordel entre nous deux tu l'arrêtes. Il a promis qu'il ne les laisserait pas dire de méchancetés sur moi, que je n'aurais rien à craindre. Pourtant je me demande si je ne ferais pas mieux d'insister purement et simplement pour qu'il n'aille plus du tout chez l'un ou chez l'autre. Pour ne rien cacher quand je l'imagine avec eux ça m'écœure. Puis d'un autre côté si j'insiste en ce sens je vais le couper d'amis de longue date, est-ce que j'en ai le droit juste parce que je suis devenue sa femme ? Que feriez-vous à ma place ?
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Bonsoir, j'aimerais vous exposer un problème qui commence sérieusement à peser lourd.. J'ai 17 ans et je vis actuellement avec ma mère en appartement. Nous sommes dans un petit HLM de province, ce qui est très différent des HLM parisiens, il n'y a que 6 étages, ce n'est pas insalubre ni très mal fréquenté, il y a surtout des personnes âgées qui y vivent. Mon problème ne réside pas dans le fait d'être en HLM mais dans l'appartement en lui même... Ma mère n'a jamais été très ménage et rangement même lorsque nous étions en maison avant que mes parents ne divorcent. Je ne peux inviter personne et çela me gène terriblement car je suis sociable et si cela ne tenait qu'à moi il y aurait souvent des amis chez moi.. Mais j'ai réellement peur d'être jugée et qu'on ait pitié car chez moi cela ne ressemble vraiment à rien et en plus de ça, c'est sale. J'ai 2 chats dont un qui est hyper-actif qui a niqué toute la tapisserie, donc je vous laisse imaginer l'état des murs, de plus ma mère a mis tout ce qui concerne leur nourriture et leur litière dans la cuisine, l'odeur est infecte, c'est dégueulasse par terre, ca moisit et ce depuis longtemps. Depuis le divorce de mes parents, nous n'avons pas énormément de moyens financiers donc les meubles sont vraiment laids, pas accordés, abîmés, honteux. Comme si cela ne suffisait pas, ma mère a du mal à jeter les choses inutiles et ne range pas, il reste pleins de choses qui n'ont pas été rangées alors que nous sommes installées depuis plus de 6ans! C'est juste terriblement bordélique! En fait, elle ne s'occupe JAMAIS de l'appartement, elle travaille et ne trouve pas le temps de le faire, mais même lorsqu'elle ne travaillait pas c'était pareil... Dans la salle de bain il y a des toiles d'araignée dans les coins, de la moisissure dans la douche ( que j'ai heureusement nettoyée récemment) ... ... Des que je le peux j'essaye de nettoyer certains trucs et de ranger mais vraiment c'est pas facile. Je suis en terminale j'ai pas mal de travail et de choses à faire, m'occuper moi-même de tout un appartement ce n'est pas possible sachant qu'il faudrait plusieurs jours pour que ca ressemble à quelque chose de présentable. Des fois je pique une crise sur ma mère pour qu'elle se bouge, elle pourrait inviter ses amies pour l'aider, fin faire quelque chose quoi... Impossible, elle regarde la télé, elle hoche la tête et basta.. Elle invite quelques amies parfois sans honte ce qui est paradoxale car moi si j'invitais des gens ça la générait, dans le fond elle ne s'en fiche pas réellement. Je n'en peux plus de cette situation, je commence à avoir de la pression de la part de mes potes pour venir dormir chez moi, qui ne comprennent pas pourquoi je ne veux pas, je ne leur dis pas la vérité, c'est trop honteux. Les gens de mon lycée et que je fréquente en général sont aisés financièrement parlant, ce qui me rajoute une pression en plus et je ne suis pas du genre à vouloir faire pitié, je hais exposer mes problèmes. Et puis les gens ne peuvent pas se douter de ce qu'il se passe réellement, je ne suis pas du tout à l'image de l'appartement! Et puis vous savez comme les adolescents peuvent être cruels parfois! Lorsque je dis " chez moi " je ne le pense même pas réellement, je hais cet appartement, je hais y être, je le déteste, et donc je ne vois pas comment d'autres gens pourraient l'accepter ! Vous n'auriez pas des idées pour m'aider à débloquer cette situation.. ? Je vais à l'université l'année prochaine et je serai sûrement en collocation et donc n'aurai plus de problèmes concernant l'appartement de ma mère mais c'est difficile de tenir et de toujours devoir inventer des excuses bidons ! Merci à ceux qui auront lu !
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- peur
- appartement
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Salut tout le monde :) Voilà, j'habite près de Guingamp et je voudrais faire des rencontres (amicales ou plus), quelqu'un est-il intéressé pour organiser ça ?
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coucou! si il y' a ici des jeunes du nord ou du pas de calais voulant faire de nouvelles connaissances, vous pouvez laisser vos messages ici ou sur ma boite privée a bientot
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- Lille
- pas de calais
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Bonjours à tous :DAlors voilà je vous explique ma situation : Je suis rentrée en 3eme l'année dernière et je me suis retrouvée dans une classe avec des camarades que je n'avais jamais eus auparavant. En début d'année, j'avais remarqué une nouvelle, j'ai donc été dès le 1er jour faire sa connaissance. Le seul problème, c'est qu'il n'y a eu que moi qui suis venue la voir... Tout cela parce que les autres l'avaient classé dans la catégorie des "gens bizarres" parce qu'elle n'est pas jolie du tout et qu'elle ne prend pas soin d'elle.:bad: Elle est devenue ma copine, on s’asseyait à côté en cours, on passait la récré ensemble,etc. Mais à cause de ça, et du fait que cette personne soit terriblement timide, nul à l'école, en sport et qu'elle n'a non plus aucun courage, les autres m’ont automatiquement aussi rangé dans cette catégorie des "gens bizarres"... Alors on nous critique, on nous traite de débiles, de coincées, on se moque de nous et de tout nos faits et gestes, et on nous critique sur notre façon de nous habiller.Ils ne le font jamais en face, mais toujours dans notre dos ! Au début de l'année, je m'en foutais et je me disais que c'étaient eux les cons, et que moi, au moins, je ne m'étais pas arrêtée à l'apparence physique. Sauf que maintenant, je supporte de moins en moins cette fille, que je trouve complètement immature, incohérente et qui ne fait pas du tout partie de mon univers. Mais elle n'a que moi comme amie dans tout le collège ! Elle parle souvent de se suicider ou des trucs de ce genre... Mais moi, je ne me sent pas bien avec elle, elle me fout le cafard et m'exaspère ! Et j'en ai marre que les gens se moquent de moi et disent que je suis bizarre... J'ai d'autres amies, mais qui ne sont pas dans ma classe... Et je me sens perdue et isolée quand nous devons faire des devoirs en groupe : personne ne veut de moi... Pourtant je ne comprend pas ! j'essaie de m’intégrer, de leurs parler, mais à chaque fois, ils m'ignorent complètement ! Ils me traitent comme elle alors que elle c'est : mal habillée qui porte exactement la même tenue pendant au moins 2 mois. Elle est maigre, elle ne se maquille pas, ne se coiffe pas, ne s'épile pas, ne se lave pas. Elle a une fausse dent qui s'enlève et dès fois elle oublie de la mettre pour aller à l'école, ce qui lui vaut des moqueries. Elle est très timide, pas courageuse, se laisse marcher sur les pieds. Elle est nul à l'école, ne parle à personne, et a une attitude très fermée. Moi je suis tout le contraire ! Et je ne comprends même pas pourquoi on me dit que je suis mal habillée, alors que j'adore être à la pointe de la mode et m'habiller originalement ! En plus beaucoup de personnes, famille, amis,voisins, disent que je suis très jolie,mature et très sympatique ! alors j'ai du mal à comprendre pourquoi on me traite comme ça...Même mes amies ne comprennent pas ! Je n'ai plus envie d'aller en cours, et je pleure souvent... Merci d'avoir pris la penne de me lire jusque au bout:blush:, je pouvais pas faire plus court... J'attends vos réponses ou vos conseils qui m'aideront à mieux comprendre les autres et à mieux me comprendre moi même... MERCI et désolée d'avance pour les fautes d'orthographe..
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Bonjour, Je crois que je suis déprimé depuis mon enfance. Alors que j'essaye d'être enthousiaste, sociable, proactif dans ma vie pro et perso, je retombe dans une sorte "d'obscurité". Pourtant, je n'ai rien de grave qui puisse me causer tant de peine. J'ai des problèmes comme tout le monde mais rien qui me tourmente. Je suis dépressif sans raison, pourtant rien dans mon vocabulaire le laisse penser. J'ai même plutôt une certaine estime de moi-même. Mais je parle avec une voix basse ou en tout cas pas très "éclaircie". Alors que je souhaite sourire continuellement, mon visage me donne un air dépressif. Il m'arrive de rigoler quand je vois des sketchs mais tout de suite mes lèvres retombe ainsi . Sur les photos de moi petit, jusqu’à l'âge de 3 ans, j'étais tout le temps souriant, j'étais farceur. A 4 ans, j'ai eu ma circoncision au Maroc (mes parents sont musulmans) et j'ai vu des photos de moi pleurer, triste, renfermé. Mon frère, qui a 2 ans et demis de moins que moi, et qui a fait sa circoncision le même jour que moi, avait l'air normal sur les photos, comme s'il ne s'était rien passé. Je pense qu'il était vraiment très petit pour comprendre quoi que ce soit et aujourd'hui il a dans la vingtaine et est hyper sociable, a plein d'ami, alors que moi, je n'en ai plus qu'un véritable et encore, on ne vit pas dans la même ville. Comment se sera quand ça sera le cas? Je me souviens, après être rentré du Maroc, me dire cette phrase l'air étonné : "tiens, ça fait 4 ans que j'existe sur cette planète!" Aucun enfant ne se pose ce genre d'exclamation! Toute ma jeunesse, j'ai tiré la gueule sans raison et j'ai perdu petit à petit mes amis camarade de classe. Il s'éloignait. Aujourd'hui, je suis étudiant dans une région ou personne me connait pour une période de 6 mois (après je suis en stage) et j'ai essayé d'être enjoué, souriant, heureux. Je sortais en soirée. ça a duré 2 mois. Petit à petit, mes camarades de classe ont cessé de m’appeler pour des soirées et moi, j'ai arrêté de sortir. Il n'y a aucun froid mais voilà, les faits sont là. Je suis en face d'un problème que je n'arrive pas à résoudre malgré ma bonne volonté. Cette dépression m'empêche d'être proactif dans mes études: je ne travaille pas comme il le faudrait, j'en fais très peu, je "zone" sur Internet, je n'arrive pas à aller en salle de sport alors que je sais que c'est bon pour moi et que je dois perdre du poids mais voilà, je ne bouge pas. J'ai peur que ça porte préjudice à ma vie dans le monde du travail. Aujourd'hui, je suis allé a la boulangerie a coté de ma fac et je me suis installé au milieu de mes camarades de classe au nombre de 8, qui eux aussi était entrain de manger. Et bien croyez-le ou non, ils ont formé naturellement, au bout de 5 min, 2 groupes de 4 entrain de discuter de choses et d'autres et entrain de manger et moi, j'étais au milieu entrain de manger mon sandwich, j'étais sidéré. Leur corps étaient incliné de telle façon qu'ils étaient presque dos à moi. Et pourtant, aucun ne me déteste et je n'ai rien fait pour. Je n'ai pas parlé à un seul instant, je n'ai fait que manger mon sandwich et je suis allé ensuite en salle de td pour bosser mes cours. Je n'ai pas de problème avec ma famille, pas de gens qui me détestent, pas de soucis particulier. Je suis en bonne santé, plus ou moins. J'ai l'impression que ma dépression vient de ma circoncision (au vue des photos de famille que j'ai regardé) et que le problème est resté depuis. Pourtant, je ne suis pas contre la circoncision. Je n'ai aucun problème avec cela. Si on m'avait circoncis à l'âge d'1 ans comme mes frères, est-ce que cela aurait changé quelque chose? je me le demande. Est-ce que le problème vient de là ou est-ce que je me trompe de piste? Je suis allé voir 2 psy, un hypnotiseur, rien n'y fait. Et quand je suis allé voir ces professionnels, je pouvais aller mieux 2 jours et ensuite je revenais à ma dépression. Je me vois comme un enfant, et pas comme un adulte. Rien n'avoir avec mon comportement mais plutôt avec ma façon de voir les choses. Je vois des gens qui ont des postes à responsabilités, qui sont connu ou pas et je suis sidéré quand je vois qu'ils sont né la même année que moi ou qu'ils sont plus jeune que moi (alors que je leur donnerais 10 ans de plus que moi). Ma perception est bloqué à l'âge de l'enfant et ma dépression me retient. Je cherche à débloquer ce qui ne va pas pour enfin vivre ma vie.
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Peut-on s'aimer quand on vote différement ? Samedi 16 Juin - 00:05 Les discussions politiques sont souvent les plus virulentes, les plus animées, et les plus fracassantes aussi. Difficile parfois de ne pas s’emporter entre amis ou en famille, tant les prises de position divergent. Mais dans le couple qu’en est-il ? Doit-on forcément partager les mêmes Affinités politiques que son partenaire ? A défaut, le couple peut-il se briser ? « Absolument pas. Si on est suffisamment intelligent, ça ne pose aucun problème » déclare Romain, de gauche et complètement ouvert à la possibilité d’aimer une femme de droite. Même son de cloche du côté pour Jeremy, votant UMP en couple avec Lise qui, elle, soutient le… PS : « Bien sûr que c’est possible, mais il faut bien se trouver, certains peuvent être plus susceptibles que d’autres ». Le second tour risque-t-il pourtant d’être tendu ? « Forcément lors des présidentielles, l’enjeu est de taille mais le fait que ni elle ni moi ne soyons militants, et que nous soyons plutôt souples, aide aussi » poursuit le jeune homme. L'avis du psy Céline de donno, psychologue pour Parship.fr précise : « La souplesse d’esprit et l’ouverture intellectuelle seraient donc nécessaires afin de supporter une différence d’orientation politique au sein du couple. Du point de vue psychologique il s’agirait d’accepter son partenaire comme profondément divergent de soi-même concernant des valeurs idéologiques : la solidarité, l’effort, la valeur travail, l’organisation sociale, économique, la répartition des richesses. La difficulté réside alors à faire coexister des valeurs humaines fondatrices individuellement au sein d’une dualité divergente. Le couple d’orientation politique différente peut donc subsister en respectant la règle de base autour de la « bulle couple » : 1+1=3. Cette troisième entité, le couple, formé par deux individus différents pourrait être le lieu de la mise en commun de tout ce qui réunit les partenaires : valeurs, objectifs, projets de vie, indépendamment de ce qui les oppose comme la politique ou la belle-famille ! Après bien sûr, deux extrêmes auront logiquement plus de mal à accepter le penchant politique de l’autre, aux antipodes l’un de l’autre. Le principal est surtout de faire la distinction entre les idées soutenues et l’intégrité de la personne (...) Suite de l'article... Source: Libération