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L’histoire de l’Église catholique est indissociable de celle de l’Occident. Institution millénaire, elle a façonné les consciences, les lois, les empires. Mais derrière la lumière de la foi et les œuvres de charité, se cache une ombre longue : celle des violences commises au nom de Dieu. Croisades, inquisitions, colonisations, abus sexuels… autant de chapitres où l’Église n’a pas seulement été complice, mais souvent instigatrice. Ce texte n’a pas pour but de nier les dimensions spirituelles ou culturelles de l’Église, mais d’interroger sa responsabilité historique et morale. Peut-on parler de criminalité institutionnelle ? De génocide spirituel, culturel, physique religieux, linguistiques, identitaires ? De complicité active dans des crimes contre l’humanité ? Et surtout : comment une institution censée incarner l’amour et la justice a-t-elle pu devenir, à certains moments, un vecteur de destruction totale — des corps, des cultures, des âmes ? Statistiques et impact humain : une mémoire des corps et des cultures Les chiffres ne disent pas tout, mais ils donnent une échelle. Derrière chaque nombre, il y a des vies, des souffrances, des civilisations détruites. L’Église catholique, en tant qu’institution, a été impliquée dans des événements dont les conséquences humaines sont comparables à celles des régimes totalitaires modernes. Croisades et exterminations La croisade des Albigeois (1209–1229) aurait causé jusqu’à 1 million de morts dans le sud de la France. Les croisades en Orient ont tué des centaines de milliers de musulmans, juifs et chrétiens orientaux. Les massacres de Jérusalem en 1099 sont décrits comme des bains de sang, y compris par des chroniqueurs chrétiens. Inquisition En Espagne, en Italie, en France, des milliers de personnes ont été brûlées vives, torturées, emprisonnées. Estimations : 10 000 à 12 000 exécutions, sans compter les morts indirectes, les suicides, les exils forcés. Colonisation et évangélisation forcée En Amérique latine, les conquêtes espagnoles et portugaises ont été accompagnées par des missionnaires. Des millions d’Amérindiens sont morts, par guerre, esclavage ou maladie. En Afrique, l’Église a légitimé l’esclavage transatlantique par des bulles papales. Des dizaines de millions de vies ont été brisées. En Asie, des cultures entières ont été interdites, des langues effacées, des spiritualités détruites. Abus sexuels et dérives modernes Depuis les années 2000, des enquêtes ont révélé des dizaines de milliers de victimes dans le monde entier. En France, le rapport Sauvé (2021) estime à 216 000 le nombre de victimes de prêtres ou religieux depuis 1950. Ces chiffres ne tiennent pas compte des victimes non déclarées, ni des conséquences psychologiques à vie. Génocide culturel et spirituel Des peuples entiers ont perdu leur langue, leur mémoire, leur spiritualité. L’Église a souvent imposé une vision du monde unique, effaçant les cosmologies locales. Ce génocide culturel est aussi une forme de mort : celle de l’identité. La notion de criminalité : entre loi humaine et loi divine La criminalité est généralement définie comme la transgression d’une loi en vigueur. Mais cette définition devient insuffisante lorsqu’on examine les actes de l’Église catholique, qui s’est longtemps placée au-dessus des lois humaines, revendiquant une fidélité exclusive à une loi divine : celle des Écritures. Une loi au-dessus des lois ? L’Église s’est toujours présentée comme gardienne de la vérité révélée, soumise à une loi supérieure : la Bible. Les Évangiles prônent l’amour du prochain, le pardon, la justice, la miséricorde. “Tu ne tueras point”, “Aimez vos ennemis”, “Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’avez fait.” Pourtant, les croisades, les bûchers, les conversions forcées, les abus sexuels sont en contradiction flagrante avec ces principes. Une contradiction interne Loin d’être des écarts isolés, ces actes violents ont été systématiquement organisés, légitimés, sanctifiés par l’institution. Cette contradiction entre la loi biblique et les faits historiques soulève une question vertigineuse : l’Église a-t-elle trahi son propre message ? Peut-on encore parler d’autorité morale quand les actes contredisent les fondements mêmes de la foi chrétienne ? Une criminalité sans nom ? Les notions de crime contre l’humanité, génocide, crime de guerre sont modernes, codifiées après 1945. Mais les actes commis par l’Église — exterminations, esclavage, torture, viols, destruction culturelle — correspondent pleinement à ces définitions. Il ne s’agit pas d’anachronisme, mais de relecture morale et juridique à la lumière des droits universels. Responsabilité morale Même en l’absence de lois civiles, la conscience morale existait. Des voix dissidentes ont dénoncé les abus, parfois au péril de leur vie. L’Église ne peut se réfugier derrière l’histoire pour nier sa responsabilité : elle a agi en contradiction avec sa propre loi, celle qu’elle prétendait incarner. . Réflexion éthique et théologique : entre foi et responsabilité L’Église se présente comme une institution fondée sur l’amour, la compassion, la justice divine. Pourtant, son histoire est jalonnée de souffrances infligées au nom de Dieu. Cette contradiction appelle une réflexion profonde : comment concilier la foi chrétienne avec les actes commis en son nom ? Le silence des victimes Pendant des siècles, les victimes n’ont pas eu de voix. Les hérétiques brûlés, les peuples colonisés, les enfants abusés ont été réduits au silence. L’Église a souvent préféré la préservation de son image à la reconnaissance des souffrances. Ce silence est une seconde violence : il nie l’existence même des victimes. La mémoire comme devoir Reconnaître les crimes ne suffit pas : il faut les inscrire dans la mémoire collective. La repentance ne doit pas être un geste symbolique, mais un acte de justice, une réparation morale. L’Église, si elle veut rester fidèle à son message, doit assumer son passé avec lucidité et courage. Une foi trahie ? Les actes commis sont en contradiction directe avec les enseignements du Christ. “Aimez vos ennemis”, “Heureux les doux”, “Pardonnez soixante-dix fois sept fois” : ces paroles ont été trahies par les bûchers, les épées, les abus. La foi chrétienne n’est pas en cause — c’est son instrumentalisation qui l’est. Vers une réforme de la conscience ecclésiale Une réforme profonde de la conscience ecclésiale est nécessaire : reconnaître les crimes, écouter les victimes, changer les structures. Le discours de Jean-Paul II du 12 mars 2000 est un premier pas. Mais il doit être suivi d’actes. Une foi en tension Les enseignements du Christ — amour du prochain, pardon, humilité — sont souvent cités comme fondement moral de l’Église. Pourtant, la Bible elle-même n’est pas univoque. Elle contient des zones de tension, des champs d’exclusion, et des prescriptions violentes. L’Ancien Testament comporte des récits de guerres saintes, de massacres ordonnés par Dieu, de lois discriminantes (contre les femmes, les étrangers, les homosexuels). Même dans le Nouveau Testament, certains passages évoquent l’exclusion des “impurs”, la damnation éternelle, ou la soumission aux autorités. Ces textes ont parfois été utilisés pour justifier des actes violents, des exclusions, des dominations. Cela ne signifie pas que la foi chrétienne est intrinsèquement violente, mais que son interprétation peut l’être. L’Église, en tant qu’institution interprétative, a souvent choisi les versets qui servaient ses intérêts politiques ou sociaux, au détriment du message d’amour universel. Vérité, mémoire, responsabilité L’histoire de l’Église catholique est une histoire de grandeur et de douleur. Elle a inspiré des œuvres sublimes, porté des élans de solidarité, mais elle a aussi été le théâtre de violences massives, souvent sanctifiées par le pouvoir spirituel. Ce texte n’a pas pour but de juger, mais de établir les faits, de poser les contradictions, et de rendre visibles les victimes. Il interroge une institution qui, tout en prônant l’amour, a parfois agi avec une brutalité institutionnalisée. La tension entre les deux Testaments — l’un porteur de justice implacable, l’autre de miséricorde — illustre cette ambivalence. L’Église a souvent choisi selon ses besoins : le Nouveau pour prêcher, l’Ancien pour punir. Mais l’histoire ne peut être réduite à une stratégie de citations. Elle exige une lecture honnête, une mémoire lucide, et une reconnaissance des souffrances infligées. Le discours de Jean-Paul II, présenté en annexe, constitue un aveu officiel, une confirmation institutionnelle des fautes commises. Il ne clôt pas le débat, mais l’ouvre à une réflexion profonde sur la responsabilité, la foi, et la vérité. L’Ancien Testament, hérité de la tradition juive, qui contient la Torah (Pentateuque), les livres historiques, prophétiques et poétiques. Il est commun au judaïsme et au christianisme, bien que l’interprétation chrétienne en fasse souvent une préfiguration du Christ. Le Nouveau Testament, propre au christianisme, centré sur la vie, les paroles et les actes de Jésus, ainsi que les lettres des apôtres et l’Apocalypse. Les passages les plus violents ou exclusifs se trouvent majoritairement dans l’Ancien Testament, mais l’Église catholique les a intégrés dans sa doctrine, les considérant comme inspirés et compatibles avec la révélation chrétienne. Elle les lit à la lumière du Christ, mais ne les rejette pas. Cela signifie que, même si Jésus prône l’amour du prochain, l’institution ecclésiale a pu s’appuyer sur des textes de l’Ancien Testament pour justifier des exclusions ou des violences — en particulier dans les périodes de croisade, d’inquisition ou de colonisation. Un silence universitaire ? Il est frappant de constater que, malgré l’ampleur des faits, peu de thèses universitaires ou d’études ecclésiastiques abordent frontalement la question : L’Église catholique peut-elle être qualifiée d’internationale criminelle ou génocidaire ? Les travaux historiques se concentrent souvent sur des épisodes isolés (croisades, inquisition, colonisation), sans les relier à une logique institutionnelle globale. Les études théologiques privilégient la doctrine, la spiritualité, ou la réforme interne, sans interroger la responsabilité historique. Les institutions ecclésiales elles-mêmes reconnaissent des “fautes”, mais évitent les termes juridiques ou moraux les plus lourds. Ce vide discursif interroge : est-il le fruit d’un tabou ? D’un respect excessif ? D’une peur de la rupture ? Ou bien d’une difficulté à penser une institution religieuse comme potentiellement criminelle, malgré les faits ? L’établissement de la vérité ne dépend pas du nombre de thèses, mais leur absence souligne la nécessité d’un débat courageux, libre, et rigoureux.
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En Meurthe-et-Moselle, l'église de Crusnes a été racheté par un mécène parisien, un homme tombé amoureux du lieu et de son histoire. Cet édifice métallique, unique au monde, incarne la mémoire des hommes et des mineurs du bassin ferrifère du nord de la Lorraine. L'église de Crusnes (Meurthe-et-Moselle), faite en métal est unique au monde Le choeur de l'église de Crusnes Des travaux de rénovation sont nécessaires pour rénover l'église SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/societe/video-elle-ne-partira-pas-en-ferraille-une-eglise-metallique-sauvee-par-un-passionne-et-la-memoire-des-mineurs-4242800
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C'est dernièrement que j'ai compris. C'est ça que je pensais: ce n'est pas l'être à suivre. Et vous, comme le père Noël, vous avez compris quand?
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Alsace : le mur de la discorde dans l'église de Zehnacker
sovenka a posté un sujet dans Religion et Culte
Le maire de Zehnacker, petite commune de 300 habitants dans le nord du Bas-Rhin, ne comprend pas: les travaux devaient commencer début 2025 pour démolir le mur interne qui sépare l'église de la commune en deux, avec une partie catholique, et une partie protestante. Mais finalement, les représentants des Églises catholique et protestante ont retiré leur accord. L'église de Zehnacker avec son côté protestant et son côté catholique L'un des objectifs, était d'avoir plus de place. "Les enterrements ou les grands mariages ne se font plus ici, ils se font dans les communes voisines parce que l'église est trop petite", regrette le maire, Patrick Bastian. Et si au départ il y avait accord, un comité de soutien à la disparition du mur s'est monté dans le village au moment du lancement de projet de démolition. Il rassemble des habitants catholiques, protestants, et même des non croyants. En attendant la résolution de cette histoire, la mairie risque de devoir payer des pénalités aux entreprises qui avaient des contrats signés pour les travaux, soit environ 5% des 500.000 euros du budget total. SOURCE: https://www.francebleu.fr/infos/insolite/alsace-le-mur-de-la-discorde-dans-l-eglise-de-zehnacker-3886454- 9 réponses
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Je pense que ça prends une bonne connaissance du monde. Des humains et de leur activités. Je ne vais pas en profondeur mais je suis d'accord avec eux. Je pense que je vais me dire un Catholique.
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Bonjour, L’artiste James Colomina présente "Silentium", une installation mettant en scène l’abbé Pierre, accusé d’agressions sexuelles, en érection, dans une église toulousaine. Article entier : https://www.ladepeche.fr/2024/11/01/labbe-pierre-en-erection-loeuvre-choc-de-james-colomina-pour-denoncer-les-abus-dans-leglise-12297520.php
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Attention aux «miracles» Multiplication des pizzas, larmes de sang... le Vatican met en garde De la multiplication des pizzas aux larmes des statues, le Vatican a mis à jour vendredi ses règles concernant les événements surnaturels. Il avertit que l'imagination débordante et le «mensonge» risquent de nuire aux fidèles. Les nouvelles normes, publiées par le puissant dicastère (équivalent d'un ministère) du Saint-Siège pour la doctrine de la foi et approuvées par le pape François, privilégient une interprétation plus «prudente» de manifestations inexpliquées. ........ Faire grossir une pizza Les nouvelles directives interviennent deux mois après que l'Église a déclaré qu'une série de miracles attribués à une statuette de la Vierge Marie, notamment celui de faire grossir une pizza, étaient faux. ...... https://www.bluewin.ch/fr/infos/faits-divers/miracles-le-vatican-met-en-garde-contre-l-imagination-2207444.html https://www.dhnet.be/actu/2024/03/06/miracles-en-italie-multiplication-de-pizzas-de-gnocchis-et-une-vierge-versant-des-larmes-de-sang-le-diocese-conteste-UTHUEUEGYVGDJEL775AIJPCU5A/ https://www.lesoir.be/572898/article/2024-03-06/larmes-de-sang-multiplication-de-pizzas-leglise-italienne-desavoue-des-miracles
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Offre une tuile de l'ancienne toiture de l'église du village , a toute personne qui effectuera un don pour sa rénovation ; aurez vous le fion de faire partie des récipiendaires ? Le maire de Saint-Amand-sur-Fion (Marne) a mis en place une opération insolite pour financer la rénovation de l’église du village, en partenariat avec la Fondation du patrimoine. Toute personne qui effectue un don recevra une tuile de l’ancienne toiture de l’édifice. Les donateurs pourront aussi laisser un message personnalisé sur une nouvelle tuile qui sera déposée sur le toit. https://www.ouest-france.fr/culture/patrimoine/une-tuile-contre-un-don-lidee-originale-dun-maire-pour-financer-la-renovation-de-son-eglise-d53d74ca-62c4-11ee-baff-05c4272f4825
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Une femme nommée à la tête de l’Eglise protestante unie de France
Nephalion a posté un sujet dans Religion et Culte
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Alsace-Moselle : les cours de religion pourraient devenir optionnels
Doïna a posté un sujet dans Religion et Culte
Bonjour, L'enseignement catholique, protestant et judaïque en Alsace-Moselle pourrait être relégué en dehors du programme scolaire obligatoire. Fruit des aléas de l'histoire, l'enseignement religieux fait toujours partie de l'enseignement public dans ces trois départements puisque le Concordat de 1801 y est toujours en vigueur. En effet, ce bout de territoire de l'est de la France était rattaché à l'Allemagne en 1901 lors du vote de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Ainsi, les élèves alsaciens et lorrains du primaire et du secondaire ont chaque semaine une heure de cours de religion, intégrée dans les 24 heures de cours hebdomadaires. Seul l'islam ne bénéficie pas de ce régime spécial, dans la mesure où le Concordat a été conclu à une époque où il était très peu présent en France. L'enseignement religieux est donc obligatoire pour tous les élèves d'Alsace-Moselle jusqu'à la terminale, sauf dérogation expresse demandée par les parents. Mais cette spécificité régionale est aujourd'hui mise en cause par l'Observatoire de la laïcité. L'organisme rattaché au premier ministre s'est prononcé en faveur d'une inversion des «modalités de choix». Suite & source -
Une enquête menée par les services du procureur de Pennsylvanie accuse 300 prêtres de pédophilie, des actes qui auraient été couverts par l'Eglise catholique. Au moins 1000 enfants en seraient les victimes. Un nouveau scandale qui met en lumière la faible protection des victimes et l'ignorance de l'Eglise Plus de 300 prêtres, 1000 enfants victimes, une Eglise coupable d'inaction.... c'est un phénomène d'ampleur qui est décrit par le rapport publié mardi 14 août par le procureur de Pennsylvanie. Épais de 884 pages, ce rapport est le fruit de deux ans d'enquête et porte sur une période de 70 ans. Il se fonde notamment sur des archives conservées par les diocèses eux-mêmes. Source et suite de l'article
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CARICATURE - La Une du numéro à paraître mercredi s'attaque aux catholiques qui s'opposent au mariage homo et particulièrement au cardinal André Vingt-Trois... Près de deux mois après la publication controversée de caricatures de Mahomet, l’hebdomadaire satirique s’en prend aux catholiques qui s’opposent fermement au mariage homo. La couverture du numéro de Charlie Hebdo à paraître mercredi représente Dieu en plein ébats avec Jésus, lui-même en train d’avoir une relation sexuelle avec le Saint Esprit. Cette Une provocatrice s’intitule «Mgr Vingt-trois a trois papas». Charlie Hebdo se moque ainsi du cardinal André Vingt-Trois, qui s’est positionné ce week-end contre le mariage homo. Ouvrir le mariage aux couples de même sexe serait une «supercherie» qui instaurerait une discrimination entre les enfants, a estimé samedi l'archevêque de Paris. Avant même sa publication, ce numéro de l’hebdomadaire satirique suscite déjà de nombreuses réactions sur Twitter.
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pourquoi l'eglise est elle contre l'homosexualité?
Sophie200 a posté un sujet dans Religion et Culte
bonjour je m'adresse particulierement aux chrétiens: pourquoi etes-vous contre l'homosexualité? pourquoi perdre votre temps à vous battre contre ça? vous avez rien de mieux à faire, vous qui prétendez défendre l'amour? je vous pose cette question parce que c'est important d'en parler j'imagine qu'il doit déjà y avoir des sujets similaires mais tant pis. -
Salut, Qu'est ce que doit faire un musulman pour se marier avec une chrétienne catholique ? l'Eglise catholique acceptent elle les mariages mixtes ? Je connais un musulman qui veut épouser une chrétienne catholique et il ne sait pas comment faire, car cette dernière veut se marier à l'Eglise.
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Bonjour, Pourquoi l'Eglise ne peut pas marier les gens sans passage à la mairie pour faire le mariage avec les papiers ?
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Quand on affirme l'athéisme, on a beaucoup de réactions plaintives des croyants et de non-croyants. En d'autres termes, il y aurait un préjudice subit par les croyants dès lors que l'on affiche son athéisme. Mais alors peut-on évaluer cette souffrance des croyants ? Ensuite, quand bien même l'affirmation de l'athéisme susciterait des sentiments négatifs chez les croyants, on peut justifier que l'on a la liberté de pensée. Or à partir du moment où l'on pense quelque chose, cela transparait dans nos paroles. Les athées devraient-ils refouler ou cacher leur athéisme, ou bien est-il légitime de vivre pleinement et de l'exprimer même si cela suscite des émotions négatives chez les croyants ? Et puis, on pourrait retourner la question. Des athées se plaignent de la présence de la religion. Quel est le préjudice subit par les athées ? Par la présence de l’Église dans les média et dans les instances morales ? Les bâtiments religieux, les sonneries d'églises etc. ? Ensuite, en supposant que la présence de la religion suscite des sentiments négatifs chez les athées, dans quelle mesure les croyants peuvent-ils vivre pleinement leur religion et donc l'exprimer dans leurs propos ? N'y a-t-il pas en fin de compte quelque chose de maladif dans une société où l'on ne peut pas exprimer, sans imposer, la façon dont on se représente le monde ? N'est-ce pas donner une importance exagérée à la parole, qui n'est pas nécessairement dominatrice d'autrui, mais peut simplement être la description d'une façon de voir les choses ? En résumé, pourquoi un athée ne pourrait pas dire qu'il pense qu'il n'y a pas de Dieu et que les croyants se trompent ? Et pourquoi un croyant ne pourrait pas dire qu'il pense qu'il y a un Dieu et que les athées se trompent ?
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Un petit groupe de radicaux religieux a manifesté mardi soir devant l’église Notre-Dame-de-Bon-Port à Nantes pour empêcher la tenue du concert de l’artiste suédoise Anna von Hausswolff suite et source de l'article : https://www.sudouest.fr/france/nantes-des-catholiques-integristes-empechent-la-tenue-d-un-concert-juge-sataniste-7270935.php
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