Le Wokisme dans les écoles

Il y a 1 heure, chanou 34 a dit :

merci pour la biblio!

A partir du moment où on met en évidence des différences neurophysio, oui il commence à y avoir du biscuit pour dire que ce n'est pas une mode en effet.

Les causes de la transsexualité sont inconnues.

En revanche on sait qu'il y a de plus en plus d'enfants qui se déclarent transsexuels.

La faute à l'éducation sans aucun doute. De l'environnement c'est certain car nous n'avons pas évolué biologiquement ou génétiquement si fortement en une génération.

D'où voulez-vous que cela vienne ?

Pourquoi la génération Z et pas celle des millenials déjà bien imbibés d'internet ?

L'éducation est la seule chose qui peut avoir changé entre les deux époques. En tout cas il me paraît clair qu'elle est le suspect numéro 1. On voit bien que c'est un phénomène social qui se propage dans les pays occidentaux principalement, les uns après les autres, mais pas exactement simultanément.

L'évolution des chiffres de la transsexualité prouve presque à elle toute seule qu'il y a bien une composante environnementale et probablement éducationnelle dans le phénomène.

Il y a 2 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Mais puisqu'on te dit que c'est clair! Que la corrélation est évidente! Personnellement, je ne comprends juste pas qu'on continue à nous "emmerder" avec ces histoires de transsexualité par exemple (car je suppose que ça fait parti des choses dénoncées par l'auteur du sujet). Ce que je veux dire par là, c'est qu'il y a des enfants qui ont réellement une dysphorie de genre et que ces enfants souffrent, voir par exemple le papier scientifique :

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2016/revue-medicale-suisse-510/le-point-sur-les-etiologies-biologiques-de-la-transsexualite.

Donc on a des enfants qui souffrent, qu'est-ce qu'on fait? On essaye de prendre conscience que c'est un problème réel et non un problème idéologique, i.e. de wokisme. Donc de jeunes personnes souffrent d'une transidentité, on fait quoi? On peut ne rien faire en effet et laisser ces personnes là souffrir. Est-ce la meilleur solution? Oui suivant les intellectuels critique du forum @hell-spawn, @Quasi-Modoet @Gouderien qui prônent en général une idéologie à l'opposée du wokisme et dont je tairais le nom mais qu'on peut au moins taxer de libérale. Pour moi cette solution, ou plutôt non solution n'est pas optimale dans le sens où,  on peut soutenir les transgenres, et, quel miracle, il s’avère que quand on les supportent, ces enfants là vont mieux, voir le papier scientifique:

https://publications.aap.org/pediatrics/article-abstract/137/3/e20153223/81409/Mental-Health-of-Transgender-Children-Who-Are?redirectedFrom=fulltext.

Mes dernières phrases vont vers ceux qui voudraient que l'on ne fasse rien. Vous n'avez réellement pas honte d'instrumentaliser la souffrance de personnes réelles pour servir votre idéologie?

Ps: j'ai pris l'exemple de la transsexualité. Mais il en va de même avec les différences entre hommes et femmes.

Nul ne dénonce la transsexualité, mais cependant il n'est pas évident de parler de dysphorie de genre à des enfants pendant leur construction identitaire, sexuelle, etc.

Il est clair que cela va influencer leur vie et la perception qu'ils ont d'eux-mêmes. C'est même dans le programme !

Et les jeunes générations, sous l'influence de l'école, sont très friandes d'idéologie woke.

Qui parlait de fabrique du crétin de nouveau ?

il y a 35 minutes, Maurice Clampin a dit :

   Non !

Ils faisaient leur choix eux même sans avoir à les orienter .

A par les nounours quand ils étaient petit et quelques jeux de société . Ils choisissaient eux même et aucun de mes garçons n' ont jamais choisi une poupée et aucune de mes petites filles (je n' ai eu que des gars) n' a jamais choisi pistolet ou arc et flèches ....

Bref des choix naturels et cohérents . 

En quoi est-ce un choix naturel et cohérent qu'une fille ne joue pas avec un arc et des flèches et un garçon ne joue pas à la poupée ou à la cuisine ? 

Naturellement l'un ou l'autre n'est pas équipé pour s'adonner aux activités de l'autre ? 

à l’instant, Maurice Clampin a dit :

   La technologie , les moyens financiers , et la vision des choses n' ont rien a voir avec il y a seulement 40 ans .

Je n' ai jamais eu de moto à 16 ans et mes enfants non plus .

Vous avez occulté les jeux communs y compris à mon époque...nous avions des vélos! des ballons, des poupées, des landaus, des poussettes,  des balles, des hula hoop, des trucs qu'on lançait et rattrapaient sur un fil, je ne me souviens plus du nom, des patins à roulettes en ferrailles, des patinettes, des billes, nous allions en barque pour pêcher à 5 ou 6 et avons failli nous noyer je ne sais combien de fois.... j'en oublie surement!

Nous jouions tous ensembles filles et garçons!

Les intervenants dans ce sujet sont tellement ignorants qu'ils prétendent que les mouvements woke sont humanistes et universalistes alors qu'ils sont communautaristes et identitaires. C'est le retour de la French theory avec la mort de l'Homme de Foucault (comprenez : la mort de l'humanisme) qui nous revient par les campus américains. Je crois qu'à ce degré là de connerie ou d'ignorance certains devraient surtout s'abstenir d'intervenir pour raconter n'importe quoi.

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Nous jouions tous ensembles filles et garçons!

   Nous , pas tellement jusqu'à l' adolescence . les garçons restaient avec les garçons et les filles entre elles aussi , y compris dans la cours d' école ou la séparation se faisait naturellement . C' est un peu plus tard que ça a changé .

Il y a 3 heures, Quasi-Modo a dit :

Donnez-moi donc une proposition woke.

Les woke ne savent que déboulonner des statues, détruire des réputations, faire des autodafés, hurler tels des hystériques sur les réseaux sociaux.

Ils n'ont aucune proposition. Ils ne dressent donc aucune statue et ne font que les déboulonner.

Si ils avaient des propositions sérieuses, dans une société comme la notre avec sa soif égalitaire, cela se saurait. C'est un ensemble disparate de luttes identitaires qui utilisent les médias et la bienveillance des gens pour prospérer dans l'extrémisme.

Si ils avaient des propositions ça ressemblerait à : enfermer les blancs dans des camps de rééducation (ça existe si si), imposer une lecture de l'Histoire à l'école, enfermer tout homme sur simple accusation de sa femme, interdire des livres et des auteurs, etc.

Ce sont des témoignages de parents et d'enfants pas des insultes envers les professeurs.

Ce que tu as pris pour une insulte ne l'est donc pas. L'injure cependant (accusations de crétinisme et de débilité) est objectivement une insulte.

J'ai droit à des excuses maintenant que le malentendu est levé ?

Pas du tout.

L'obscurantisme me fait horreur et le terme woke tel que les vieux salopiauds du forum l'utilisent est lui même une insulte

Il y a 6 heures, Gouderien a dit :

Le wokisme, c'est le fascisme du XXIe siècle. 

(Mais avec la bonne conscience en plus.)

Le fascisme est par définition adossé à la bonne conscience. On ne peut pas déshumaniser l'autre et le condamner pour cause d'existence tout en servant l'idéal égalitaire. Si la haine est juste, elle est bienvenue. 

L'immense majorité des maladies ou problèmes génétiques ont une proportion à peu près stable dans la population.

Par exemple la schizophrénie touche environ 1% de la population partout dans le monde. Et c'est très stable à travers les générations parce qu'on sait qu'elle a une forte composante génétique.

Pour le transsexualité c'est différent. Nous avons eu une hausse de 1000% à 4000% selon les pays en une seule génération. Et en plus de manière légèrement différée selon les pays occidentaux. La France commence mais aux Etats-Unis c'est déjà le cas. Cela plaide très clairement pour des facteurs étiologiques environnementaux.

Il y a 3 heures, Plouj a dit :

J'ai l'impression que la majorité semble d'accord sur l'idiotie et la nullité du mot, (on devrait d'ailleurs utilisé la langue française assez riche) mais que comme il n'existe pas de définition bien claire et logique, chacun y va de la sienne et tente d'avoir raison.

L'expression voyant le jour à la fin su XX ème siècle vers 1965 comme aide aux Afro-américains, puis revenu vers 2014, 2016, s'est transformée en dénonciation de toutes formes d'injustice "subies" par les minorités ethniques, sexuelles et religieuses...

En fait comme le précise bien @Mite_Railleuse, un mot fourre-tout !

Ce qui est parfaitement normal puisque le wokisme est l'idéologie de la lutte intersectionnelle qui est par définition un fourre-tout.

Mais un fourre tout avec une forme, la lutte du Bien contre le Mal, la déshumanisation et la haine hystérique de l'ennemi. Un ennemi qui porte un nom : "le mâle hétéro blanc".

Le woke est celui qui prone la haine et la destruction de cet ennemi. [Edit]à l'appui de la pseudo-science dite "sociologie" et du concept de "privilège" mais un privilège qui ne relève pas du droit mais du fait.

Et il existe un mot français pour désigner les woke : les illuminés.

Citation

Transidentité : deux spécialistes de l’enfance alertent sur l’augmentation des « dysphories de genre »

Dans un essai engagé, la pédopsychiatre Caroline Eliacheff et la psychanalyste Céline Masson alertent sur l’augmentation des cas d’enfants voulant changer de genre.

par Alice Le Dréau sur lacroix.fr le 11 février 2022

https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Transidentite-deux-specialistes-lenfance-alertent-laugmentation-dysphories-genre-2022-02-11-1201199817

Un scandale sanitaire annoncé. C’est ainsi que Caroline Eliacheff et Céline Masson, les autrices de La Fabrique de l’enfante transgenre(1), qualifie la multiplication, ces dernières années, des cas de « dysphories de genre » chez les mineurs. La dysphorie de genre est ce trouble ressenti par des enfants ne se reconnaissant pas dans leur sexe de naissance, fille ou garçon, et voulant appartenir au sexe opposé. « Selon les pays, sur une période de dix à quinze ans, les diagnostics ont augmenté de 1 000 à 4 000 % » écrivent la pédopsychiatre et la psychanalyste dès leur introduction.

Que les enfants se questionnent sur leur identité, qu’une petite fille joue les garçons manqués, qu’un petit garçon dise qu’il préférerait être une fille, soit. Ces interrogations sont propres aux périodes de transition que sont l’enfance et l’adolescence, et ont toujours existé. « Nous ne nions pas, non plus, le malaise identitaire ressenti par certains enfants.

Ce qui a changé, c’est la réponse qui est apportée à ces questionnements par les parents, la société, les médecins. Au nom de l’autodétermination, de la puissance de la volonté, on dit à ces enfants : ce que tu désires, tu peux le faire », dénonce Caroline Eliacheff. Mais l’enfant est-il à même de réellement consentir ? Mesure-t-il les conséquences de son désir ? « Les enfants ont le droit d’exprimer tous leurs désirs. Tous leurs désirs ne sont pas pour autant réalisables. »

[...]

Source : https://www.juristespourlenfance.com/2022/02/15/transidentite-deux-specialistes-de-lenfance-alertent-sur-laugmentation-des-dysphories-de-genre/

il y a 29 minutes, hybridex a dit :

Pas du tout.

L'obscurantisme me fait horreur et le terme woke tel que les vieux salopiauds du forum l'utilisent est lui même une insulte

Encore raté, ce n'était pas une insulte mais un cri de ralliement à la base.

Décidément vieillir ne te réussit pas.

il y a 42 minutes, Quasi-Modo a dit :

Les causes de la transsexualité sont inconnues.

En revanche on sait qu'il y a de plus en plus d'enfants qui se déclarent transsexuels.

La faute à l'éducation sans aucun doute. De l'environnement c'est certain car nous n'avons pas évolué biologiquement ou génétiquement si fortement en une génération.

D'où voulez-vous que cela vienne ?

Pourquoi la génération Z et pas celle des millenials déjà bien imbibés d'internet ?

L'éducation est la seule chose qui peut avoir changé entre les deux époques. En tout cas il me paraît clair qu'elle est le suspect numéro 1. On voit bien que c'est un phénomène social qui se propage dans les pays occidentaux principalement, les uns après les autres, mais pas exactement simultanément.

L'évolution des chiffres de la transsexualité prouve presque à elle toute seule qu'il y a bien une composante environnementale et probablement éducationnelle dans le phénomène.

Nul ne dénonce la transsexualité, mais cependant il n'est pas évident de parler de dysphorie de genre à des enfants pendant leur construction identitaire, sexuelle, etc.

Il est clair que cela va influencer leur vie et la perception qu'ils ont d'eux-mêmes. C'est même dans le programme !

Et les jeunes générations, sous l'influence de l'école, sont très friandes d'idéologie woke.

Qui parlait de fabrique du crétin de nouveau ?

Il me semble entendre le même discours que ceux qui parlent de « propagande » quand on parle d’homosexualité. 
Combien d’homosexuels(les) « déclaré(es) » il y a 30 ans par exemple, et maintenant ??

Doit-on en déduire que la « propagande » a porté ses fruits et que certains sont «  devenus » homos » ? Je trouve ça d’un grotesque achevé.

Ne peut-on pas faire l’analogie ?

il y a 2 minutes, Quasi-Modo a dit :

Source : https://www.juristespourlenfance.com/2022/02/15/transidentite-deux-specialistes-de-lenfance-alertent-sur-laugmentation-des-dysphories-de-genre/

Encore raté, ce n'était pas une insulte mais un cri de ralliement à la base.

Décidément vieillir ne te réussit pas.

On part d'un prétendu "wokisme" dans les écoles et tu me renvoies vers un article où des spécialistes dénoncent, peut-être à juste titre, des pratiques médicales hors normes de charlatans qui exploiteraient  un filon lucratif au détriment des enfants.

Pas besoin d'invoquer un quelconque "wokisme", il s'agit d’escroquerie sordide comme hélas le secteur de la santé en connaît d'autres.

Il y a 3 heures, Plouj a dit :

J'ai l'impression que la majorité semble d'accord sur l'idiotie et la nullité du mot, (on devrait d'ailleurs utilisé la langue française assez riche) mais que comme il n'existe pas de définition bien claire et logique, chacun y va de la sienne et tente d'avoir raison.

L'expression voyant le jour à la fin su XX ème siècle vers 1965 comme aide aux Afro-américains, puis revenu vers 2014, 2016, s'est transformée en dénonciation de toutes formes d'injustice "subies" par les minorités ethniques, sexuelles et religieuses...

En fait comme le précise bien @Mite_Railleuse, un mot fourre-tout !

Comme pour tout, le wokisme n'est pas mauvais en soit, ce sont les débordements qui le sont.

il y a 6 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Il me semble entendre le même discours que ceux qui parlent de « propagande » quand on parle d’homosexualité. 
Combien d’homosexuels(les) « déclaré(es) » il y a 30 ans par exemple, et maintenant ??

Doit-on en déduire que la « propagande » a porté ses fruits et que certains sont «  devenus » homos » ? Je trouve ça d’un grotesque achevé.

Ne peut-on pas faire l’analogie ?

 

Nier que l'étiologie est au moins partiellement environnementale c'est de l'obscurantisme à ce niveau là.

En génétique des populations on sait qu'une maladie ou un trait génétique a une proportion stable dans la population mais ne change pas brusquement de 1000% ou 4000% d'un coup.

C'est tout simplement la preuve que l'étiologie est environnementale et je n'ai rien dit d'autre.

Probablement éducationnelle ai-je précisé, mais on pourrait imaginer que cela vienne des perturbateurs endocriniens par exemple.

il y a 28 minutes, Quasi-Modo a dit :

L'immense majorité des maladies ou problèmes génétiques ont une proportion à peu près stable dans la population.

Par exemple la schizophrénie touche environ 1% de la population partout dans le monde. Et c'est très stable à travers les générations parce qu'on sait qu'elle a une forte composante génétique.

Pour le transsexualité c'est différent. Nous avons eu une hausse de 1000% à 4000% selon les pays en une seule génération. Et en plus de manière légèrement différée selon les pays occidentaux. La France commence mais aux Etats-Unis c'est déjà le cas. Cela plaide très clairement pour des facteurs étiologiques environnementaux.

La transsexualité n'est pas une maladie ni un problème génétique.

Le problème c'est les guignols qui veulent se mêler de définir une normalité  sexuelle pour autrui alors que la seule chose qui compte dans ce domaine c'est le respect de l'altérité.

à l’instant, hybridex a dit :

La transsexualité n'est pas une maladie ni un problème génétique.

Le problème c'est les guignols qui veulent se mêler de définir une normalité  sexuelle pour autrui alors que la seule chose qui compte dans ce domaine c'est le respect de l'altérité.

Mais oui, et quand je pense que ça parle d'obscurantisme ça me fait rigoler.

Je viens de démontrer que tu étais un crétin. Toi tu m'as juste insulté sans preuves.

il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

Nier que l'étiologie est au moins partiellement environnementale c'est de l'obscurantisme à ce niveau là.

En génétique des populations on sait qu'une maladie ou un trait génétique a une proportion stable dans la population mais ne change pas brusquement de 1000% ou 4000% d'un coup.

C'est tout simplement la preuve que l'étiologie est environnementale et je n'ai rien dit d'autre.

Probablement éducationnelle ai-je précisé, mais on pourrait imaginer que cela vienne des perturbateurs endocriniens par exemple.

Ce n'est pas du savoir reconnu que tu étales mais la preuve d'une incompétence totale entièrement basée sur des préjugés

il y a 54 minutes, Quasi-Modo a dit :

Les intervenants dans ce sujet sont tellement ignorants qu'ils prétendent que les mouvements woke sont humanistes et universalistes alors qu'ils sont communautaristes et identitaires. C'est le retour de la French theory avec la mort de l'Homme de Foucault (comprenez : la mort de l'humanisme) qui nous revient par les campus américains. Je crois qu'à ce degré là de connerie ou d'ignorance certains devraient surtout s'abstenir d'intervenir pour raconter n'importe quoi.

Le Forum ne sert-il pas à débattre? A moins que tu ne préfères te retrouver qu'avec des gens qui sont d'accord avec toi et ne te contrediront pas.

il y a une heure, Morfou a dit :

Les élèves de collège sont sensés recevoir une "éducation sexuelle"...limitée sans doute vu ce que je peux en entendre! la faute à qui? aux enseignants? aux élèves et/ou leurs familles?

 Ce qui est appelé éducation sexuelle est de la prévention. En 6 éme il y a des interventions sur les règles les changements hormonaux par des infirmières en général. Il y a aussi de la prévention en 4 eme sur le tabagisme l’alcool la drogue et enfin en 3 éme la vie affective : le consentement, les dangers des réseaux, les moyens de contraception.. ce genre de choses et aussi le respect de l’autre peu importe son orientation sexuelle. Ils ne tournent pas de films x ou ne prennent pas de cours de masturbation comme le disait la rumeur il y a quelques années. 

il y a 46 minutes, Maurice Clampin a dit :

   Nous , pas tellement jusqu'à l' adolescence . les garçons restaient avec les garçons et les filles entre elles aussi , y compris dans la cours d' école ou la séparation se faisait naturellement . C' est un peu plus tard que ça a changé .

Moi école religieuse, que des filles...mais avec les autres enfants nous jouions avec tous!