Greenouille

Menu gastro @Elisa* ? Mal au coeur, mal au bide ...

C'est tout ce que l'on peut te souhaiter : un super glaçon, pour beaucoup, beaucoup de bonheur T'es vraiment trop cool !

La machine à fantasme ? Elle démarre toujours tranquille, sympa, puis ça commence à être bon, de plus en plus bon, oui .... hum ... oui, pas mal, oui, Ooooh oui, c'est ça, oui, oui, oui, OUiiiiii ..... !!!! C'est bien quand le fantasme s'emballe, bien sûr ! Mais c'est mieux quand ce n'est plus du fantasme, non ?

Oui !!! Je ne peux que plussoyer

Je comprends, pourtant ce devrait être normal de pouvoir en parler plus librement, que l'on soit homme ou femme. Mais les arrières pensées cavallent plus vite que les mots, et nous, de penser aussitôt en mode programmé "Oh oh ... mais y a moyen !!!" Perso, je vivrais presque douloureusement qu'une femme me parle de ce qui lui plaît, de ce qu'elle aime tout particulièrement, en détails précis et visuels ... La machine à fantasmes risquerait de s'emballer plus que de raison. Glaçon ... chaud ... trop ...

Pourquoi dis-tu cela ? On s'y prend comme des manches ?

Intéressant ton concept @Usi47, Mais pas facile à développer comme business ...

Pour te réchauffer un peu, peut-être qu'une photo en mp de @PtitAngelinaen maillot ... Tu vois avec elle

J'enferme les gens dans un statut de victime ? Par idéologie ? Ecoute Morfou : je suis maître d'école, et chaque jour je trime pour faire trimer les mômes : qu'ils puissent épanouir leurs potentiels et être libre de faire leurs propres choix dans l'avenir. Le respect que je leur dois, c'est de les faire travailler au maximum : tu imagines si je commençais à trier les élèves par origine ethnique, QI, profession des parents ??? Mon idéologie, c'est qu'ils soient fiers de leur travail, épanouis en classe et surtout de les faire progresser. Pas victimes, mais libres. La curée, c'est le féminin de " le curé " ?

Comme je viens de l'écrire, si on évoque ici des "fausses victimes", alors le sujet de ce post ne rime pas à grand chose. Ce seraient des râleurs, jamais contents, comme on lit souvent sur ce forum... Moi ce qui me gêne, c'est justement cette facilité à disqualifier les gens qui se sentent victime, en leur disant que c'est un rôle qu'ils se donnent . Et ... pourquoi disqualifier d'emblée mes idées, mon expérience, mes valeurs ? Es-tu supérieure à moi par la qualité de tes analyses, ta puissance de réflexion, surtout par tes actions au quotidien ? Viens-tu d'une autre galaxie ? Ah, les fameux profiteurs du système ... ne te fais pas d'idées : beaucoup profitent en effet, à tous les échelons de la société.

C'est exactement cela ! a quel prix ? Peut-on envier ces vies brisées, parfois piétinées et niées ? La compassion peut nous permettre, sinon de saisir vraiment leur quotidien, du moins d'essayer de comprendre, un peu. Et de ne pas juger en bloc et trop hâtivement.

Bien d'accord : un nouveau discours devient de plus en plus bruyant, du moins sur ce forum. Les pauvres sont responsable de leur pauvreté, par médiocrité et facilité. C'est tellement injuste et partiel, tellement ridicule en somme. Je ne connais aucun enfant de ma classe qui souhaiterait ... être pauvre et ne pas avoir un emploi

La seule personne que je connaisse qui reçoit une rente lui permettant de vivre sans avoir à travailler est : Un jeune étudiant en maths qui s'est fait renverser par un chauffeur ivre il y a 25 ans. La tête a été touchée et après un coma et de lourdes opérations, il a été déclaré invalide : hémiplégie, aphasie, fonctions cognitives lourdement atteintes. Depuis il se déplace en fauteuil, son frère s'occupe de lui journellement et grâce à cela il est encore vivant et sourit quand on vient lui dire bonjour. Son frère a dû batailler auprès des assurances pour qu'elles versent la pension prévue par la loi par l'intermédiaire d'un avocat, sinon c'était accord implicite pour ne verser que le minimum. Ce serait intéressant de confronter nos expériences respectives : l'assisté qui vit au crochets de la collectivité : mythe ou classe sociale importante ? Une victime, c'est une victime, point. Ne pas le reconnaître , c'est moralement insoutenable et franchement désagréable à lire.

Ok, mais alors le sujet est un non-sujet.

Certains sont victimes, oui ... Parce que la famille ou l'entourage n'a pas fait éclore la confiance en soi que nous devrions tous avoir. Parce que nous n'avons pas tous la même force de résilience qui nous permet de nous accrocher à ce qui est positif. Parce que certains souffrent au quotidien et n'ont pas les moyens d'échapper à leur enfer. Notre civilisation est grande si elle sait protéger et encadrer les plus faibles (enfants, personnes âgées, malades ...), vous ne trouvez pas ?