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Guillaume_des_CS

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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

 

à l’instant, g.champion a dit :

la jouissance est immédiate. N'existe-t-il pas des choses qui nous transcendent et qui nous appellent ? 

Qu'est ce que la jouissance?

Selon le CNRTL (Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales) la jouissance est un un  plaisir physique et moral.

 

Mais qu'est ce donc que le plaisir alors ? État affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante.

Peut être que si nous essayions de nous détacher de l'image que nous avons d'une jouissance COURTE ET INTENSE, nous pourrions nous rendre compte que chaque pensée pour elle meme , ou de laquelle découle un acte peut être source de plaisir.

 Le plaisir s'apparente à l'émotion de JOIE, de plénitude. Nous somme plein, nous sommes ronds, nous sommes une unicité (unique!) --> comblés.

Il y a des multitudes de plaisirs. Le cheminement vers ce plaisir n'est il pas tout aussi jouissif que le plaisir lui meme.  Ma phrase n'a aucun sens. Car alors la route et le terme sont tout deux sources de plaisir. Il ne faut peut être pas attendre la fin pour éprouver de la joie. 

Ce qui nous transcende et nous appelle, nous le decidons.

Pour ma part, je dirais que la métabolisation des savoirs en connaissances et la création de liens/connexions entre differentes notions (CAD la découverte des Relations d'Interdependance et de Compléméntarité [RIC]) m'apportent un bien  essentiel.

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Meublou a dit :

Le cheminement vers ce plaisir n'est il pas tout aussi jouissif que le plaisir lui même.

cheminer vers le plaisir ou bien cheminer vers l'arbre en fleur ? 

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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, g.champion a dit :

cheminer vers le plaisir ou bien cheminer vers l'arbre en fleur ? 

Ou bien, faire fleurir l'arbre.

Lui donner la lumière dont il a besoin pour que ses branches croissent infiniment. Et que la succession des saisons renforcent ses racines, toujours plus profondément dans la terre. Qu'il y puise les nutriments essentiels à son évolution.

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 26 minutes, Meublou a dit :

Lui donner la lumière ...

ce n'est pas alors le plaisir que vous cherchez ..  le plaisir vient ou ne vient pas, c'est agréable s'il vient mais ce n'est pas vers lui que vous cheminez ? 

Modifié par g.champion
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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, g.champion a dit :

ce n'est pas alors le plaisir que vous cherchez ..  le plaisir vient ou ne vient pas, c'est agréable s'il vient mais ce n'est pas vers lui que vous cheminer ? 

La recherche de plaisir fait partie des mécansimes fondamentaux de l'homme. Je ne cours pas après obsessionnellement non. Je fais en sorte de préciser ce qui m'en apporte ou pas. Et j'agis en fonction. Oui, je veux faire de ma vie une source de plaisir constante et non je pense que nousne pouvons pas l'être constamment. Sinon ce concept n'existerait pas.

Selon moi.

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Meublou a dit :

Selon moi.

ce moi, n'est pas du plaisir, il est lié au plaisir puisque le plaisir le comble et qu'il cherche en effet à le retrouver pour rétablir cet état si plaisant. Ce qui cause le désir, la vue de la beauté, voilà qui n'est pas le fruit d'un calcul en vue de l'obtention du plaisir. Cette transcendance, cette quête qui nous prend et surprend, n'est-ce pas aussi le moi et ça l'est peut-être de façon bien plus intéressante que le ronronnement du plaisir ..

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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, g.champion a dit :

ce moi, n'est pas du plaisir, il est lié au plaisir puisque le plaisir le comble et qu'il cherche en effet à le retrouver pour rétablir cet état si plaisant. Ce qui cause le désir, la vue de la beauté, voilà qui n'est pas le fruit d'un calcul en vue de l'obtention du plaisir. Cette transcendance, cette quête qui nous prend et surprend, n'est-ce pas aussi le moi et ça l'est peut-être de façon bien plus intéressante que le ronronnement du plaisir ..

N'est ce pas le MOI,(ma structure, corps/ cerveaux), qui créent cette notion de plaisir, en fonction de mes environnements ?

 l'un ne va pas sans l'autre.

Cette transcendance n'est elle pas en elle même un plaisir ? 

Peut être nous éloignons nous du sujet premier lancé (4 principes pour changer le monde).

 

Le notion de plaisir mériterait un espace pour elle seule. Evidemment purifiée de tous jugements inférentiels, dans un premier temps.

 

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Invité Junayd
Invités, Posté(e)
Invité Junayd
Invité Junayd Invités 0 message
Posté(e)
Le 08/11/2019 à 23:53, g.champion a dit :

vous voulez dire que l'objet peut être dit exister alors qu'il n'est que conçu ? Que savons-nous alors si nous pouvons nous tromper de la sorte ? comment être sûr que nous n'inventons pas les objets dont nous disons qu'ils existent ?

Je n'avais pas vu vos questions. J'apprend encore à utiliser ce forum.

Avez-vous déjà vu une girafe sans cou, la tête flottant loin du corps ? Cet animal magique existe pourtant et ce pour deux raisons, la première parce que j'ai les mots pour le dire. Il existe donc au moins dans ma pensée. La deuxième c'est que cet animal, c'est l'homme. Toi, moi, nous. Vous nous reconnaissez ? Une tête haute et des jambes maigrichonnes ? 

Blague à part, nous parlions des mots et j'en vois au moins de deux sortes (c'est le chiffre du jour). Celui qui ne correspond à aucune sensation véritable mais, au mieux, à un résidu. Je pense par exemple à ces jeux mentaux de l'intellect qui s'aventure dans le champs des idées sans assises.

Puis il y a cet autre langage, dont les mots nous manquent bien souvent. Ce n'est pas le latin ou le grec, non, mais une langue qui me parle avec les mots que la chair utilise dans sa perception.

Modifié par Junayd
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Membre, 34ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 084 messages
Mentor‚ 34ans‚
Posté(e)
Le 07/11/2019 à 19:50, Guillaume_des_CS a dit :

En fait, pardonne-moi de te dire cela, mais tu pourrais être ma mère. Tu parles comme elle [parlait]... :( I mean it... Combien de fois n'ai-je entendu ce discours fataliste (et judéo-chrétien?)... Tu te sens donc (si je comprends bien) totalement impuissante à changer quoi que ce soit sauf à suivre docilement le troupeau?... Et le troupeau, évidemment, sera finalement guidé par la main d'un Dieu tout puissant dans la bonne direction?... Ai-je bien compris?

Ou lala! Je n'avais pas vu ta réponse!!! Et je vois que tu n'as pas du tout cerné ce que je disai...ou alors je l'ai bien mal dit.

Je n'ai pas eu cette impression fataliste quand je t'ai adressé ce mot (ces mots).

Je ne me sens pas du tout impuissante à changer quoi que ce soit, bien au contraire, et j'en ai fait mon devoir-croire. Mais ce changement ne sera pas un changement de masse, des masses et des autres, mais bien un changement de moi-même, au plus profond de moi-même. Ces profondeurs, ou ces hauteurs (il n'y a plus de mots à cet endroit, ni d'endroit d'ailleurs) où je ne représenterai plus du tout une entité à part entière, mais où je ne serai que fusion avec Tout. A ce moment précis je serai en mesure de changer Tout, mais seulement si c'est ça mon rôle (je veux juste dire que ce peut-être moi ou un autre, qu'importe). Je ne dis pas que j'attends d'être en mesure de décider quoi que ce soit, mais tout les jours je me bats pour ne plus être celui qui veut quelque chose. Je n'attends pas, je fais.

Vouloir quelque chose en tant qu'individu ne peut qu'être imparfait et égoïste. L'égoïsme est ce qui nous mène à notre perte aujourd'hui (je ne parle pas de s'effacer au profit de l'autre, mais de s'effacer au profit de la "Nécessité".

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Ambre Agorn a dit :

je ne serai que fusion avec Tout

une goutte d'eau dans une bassine disparait en tant que goutte d'eau, il n'y a plus qu'une bassine pleine d'eau. Quel est l'intérêt de disparaitre dans une bassine ? 

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le 09/11/2019 à 00:55, Meublou a dit :

l'un ne va pas sans l'autre

je ne vais pas sans le plaisir, certes. Mais suis-je quête du plaisir ? 

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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)
il y a 48 minutes, g.champion a dit :

je ne vais pas sans le plaisir, certes. Mais suis-je quête du plaisir ? 

Le but fondamental de JE est de conserver sa structure (corps-cerveaux). 

Je ne peux pas être autre que quête de plaisir. Même si, à priori, JE part en quête de déplaisir, ce sera toujours par plaisir. 

Exemple: un suicidaire qui tente de se suicider. Il cherchera le plaisir de mettre fin à ses souffrances corporelles et/ou psychiques. (oui c'est un exemple extrême). 

Un autre exemple moins extrême: ça me casse les pieds d'écrire des lettres de motivations. Je le fais quand même car au bout de cet effort (déplaisir) , il y aura une récompense, un plaisir. 

Je peux user  ICI et MAINTENANT (temps/espace) de généralisation/globalisation/ TOUTISME car j'énonce un mécanisme fondamental universel humain:

TOUT est question de PLAISIR/PUNITION/INHIBITION selon les neurosciences.

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, Meublou a dit :

selon les neurosciences

sans doute, que ces sciences décrivent ce qu'elles expérimentent en termes de plaisir et de douleur. Mais ce qui compte, n'est-ce pas ce que nous expérimentons nous dans notre propre vie. Or, nous n'allons pas forcément vers le plaisir et nous ne fuyons pas forcément la douleur. Par exemple, je peux avoir une rage de dents et malgré cela sortir en plein froid pour vous parler. Je ne cherche pas le plaisir, je le trouve (ou pas) : ce que je cherche c'est telle personne. Une personne, ce n'est pas du plaisir, c'est une personne. Idem, si je sors regarder le ciel. Je regarde le ciel, je ne cherche pas le plaisir, je cherche le ciel ...Remplacer l'objet cause du plaisir par le plaisir  est un moyen pour la science de décrire le subjectif par du mesurable. Cela lui permet de fabriquer des molécules cause du plaisir mais c'est une fausse piste : une molécule crée du plaisir mais pas l'objet cause du désir. Une vie de plaisir est une vie vide d'objet, vide de subjectivité, inhumaine, une vie de machine fabriquée par la technique. 

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Membre, 34ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 084 messages
Mentor‚ 34ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, g.champion a dit :

une goutte d'eau dans une bassine disparait en tant que goutte d'eau, il n'y a plus qu'une bassine pleine d'eau. Quel est l'intérêt de disparaitre dans une bassine ? 

Une goutte d'eau ne peut pas laver, une bassine d'eau peut laver. Nous sommes limités en tant qu'être individuel.

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Membre, 27ans Posté(e)
Zerethoustre Membre 330 messages
Forumeur balbutiant‚ 27ans‚
Posté(e)
Il y a 20 heures, Junayd a dit :

Je n'avais pas vu vos questions. J'apprend encore à utiliser ce forum.

Avez-vous déjà vu une girafe sans cou, la tête flottant loin du corps ? Cet animal magique existe pourtant et ce pour deux raisons, la première parce que j'ai les mots pour le dire. Il existe donc au moins dans ma pensée. La deuxième c'est que cet animal, c'est l'homme. Toi, moi, nous. Vous nous reconnaissez ? Une tête haute et des jambes maigrichonnes ? 

Blague à part, nous parlions des mots et j'en vois au moins de deux sortes (c'est le chiffre du jour). Celui qui ne correspond à aucune sensation véritable mais, au mieux, à un résidu. Je pense par exemple à ces jeux mentaux de l'intellect qui s'aventure dans le champs des idées sans assises.

Puis il y a cet autre langage, dont les mots nous manquent bien souvent. Ce n'est pas le latin ou le grec, non, mais une langue qui me parle avec les mots que la chair utilise dans sa perception.

Ceux qui sont unis par ce lien de charité se comprennent, et ce quels que soit les mot qu'ils emploient.

Je crois qu'il est impossible de bien parler de la chair -- les mots manqueront tout le temps de précision pour définir avec qualité d'où ils viennent --, car le "besoin" de parler -- devrais-je dire la "nécessité" ? -- prend source dans ce langage perceptible uniquement dans le lien.

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 19 heures, Ambre Agorn a dit :

Ou lala! Je n'avais pas vu ta réponse!!! Et je vois que tu n'as pas du tout cerné ce que je disai...ou alors je l'ai bien mal dit.

Je n'ai pas eu cette impression fataliste quand je t'ai adressé ce mot (ces mots).

Je ne me sens pas du tout impuissante à changer quoi que ce soit, bien au contraire, et j'en ai fait mon devoir-croire. Mais ce changement ne sera pas un changement de masse, des masses et des autres, mais bien un changement de moi-même, au plus profond de moi-même. Ces profondeurs, ou ces hauteurs (il n'y a plus de mots à cet endroit, ni d'endroit d'ailleurs) où je ne représenterai plus du tout une entité à part entière, mais où je ne serai que fusion avec Tout. A ce moment précis je serai en mesure de changer Tout, mais seulement si c'est ça mon rôle (je veux juste dire que ce peut-être moi ou un autre, qu'importe). Je ne dis pas que j'attends d'être en mesure de décider quoi que ce soit, mais tout les jours je me bats pour ne plus être celui qui veut quelque chose. Je n'attends pas, je fais.

Vouloir quelque chose en tant qu'individu ne peut qu'être imparfait et égoïste. L'égoïsme est ce qui nous mène à notre perte aujourd'hui (je ne parle pas de s'effacer au profit de l'autre, mais de s'effacer au profit de la "Nécessité".

ça c'est le discours des philosophies orientales ( Bouddhisme, Hindouisme, Taoisme...) a peu de choses prés, et c'est assez étonnant si cela vient uniquement de vous.

Se battre pour ne plus désirer, mais cela n'est possible que si on comprend la réalité ultime et cela doit prendre beaucoup de temps ( plusieurs vies si on accorde du crédit a la réincarnation ).

Ce que l'on peut réaliser quand ça ne va plus du tout c'est que le détachement ou lacher prise, y compris et surtout vis a vis de soi-meme, n'est pas une diminution mais une augmentation, un élargissement.

C'est possible mais en général c'est fugace.

Vous éprouvez toujours l'envie de communiquer ( tout comme moi), c'est a mon avis, encore de l'attachement aux autres et a vous meme.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 36 804 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
il y a 49 minutes, Ambre Agorn a dit :

Une goutte d'eau ne peut pas laver, une bassine d'eau peut laver. Nous sommes limités en tant qu'être individuel.

Une goutte d'eau peut désaltérer une fourmi, maintenir en vie tout un microcosme. C'est pas si mal...

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Membre, 29ans Posté(e)
Meublou Membre 11 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, g.champion a dit :

sans doute, que ces sciences décrivent ce qu'elles expérimentent en termes de plaisir et de douleur. Mais ce qui compte, n'est-ce pas ce que nous expérimentons nous dans notre propre vie. Or, nous n'allons pas forcément vers le plaisir et nous ne fuyons pas forcément la douleur. Par exemple, je peux avoir une rage de dents et malgré cela sortir en plein froid pour vous parler. Je ne cherche pas le plaisir, je le trouve (ou pas) : ce que je cherche c'est telle personne. Une personne, ce n'est pas du plaisir, c'est une personne. Idem, si je sors regarder le ciel. Je regarde le ciel, je ne cherche pas le plaisir, je cherche le ciel ...Remplacer l'objet cause du plaisir par le plaisir  est un moyen pour la science de décrire le subjectif par du mesurable. Cela lui permet de fabriquer des molécules cause du plaisir mais c'est une fausse piste : une molécule crée du plaisir mais pas l'objet cause du désir. Une vie de plaisir est une vie vide d'objet, vide de subjectivité, inhumaine, une vie de machine fabriquée par la technique. 

Je comprends votre point de vue. 

 

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Membre, 34ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 084 messages
Mentor‚ 34ans‚
Posté(e)
il y a 38 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Une goutte d'eau peut désaltérer une fourmi, maintenir en vie tout un microcosme. C'est pas si mal...

 

Je te l'accorde. Pour moi il n'y a pas de mal à être une goutte d'eau, et pas de mal à se perdre dans un océan de gouttes d'eau...

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Membre, 34ans Posté(e)
Ambre Agorn Membre 2 084 messages
Mentor‚ 34ans‚
Posté(e)
il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

ça c'est le discours des philosophies orientales ( Bouddhisme, Hindouisme, Taoisme...) a peu de choses prés, et c'est assez étonnant si cela vient uniquement de vous.

Comme je vous l'ai dit, je suis très peu instruite... mais ce n'est pas pour autant que je me revendique que ce que je dis vienne uniquement de moi. Même j'affirmerai que rien ne peut venir uniquement de moi. Mais, en effet, ce que vous citez n'est pas ma source d'inspiration...

il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

Se battre pour ne plus désirer, mais cela n'est possible que si on comprend la réalité ultime et cela doit prendre beaucoup de temps ( plusieurs vies si on accorde du crédit a la réincarnation ).

Je peux me battre pour ne plus désirer sans pour autant connaître l'ultime réalité (pour utiliser vos mots), parce que je ne sais pas ce qu'est l'ultime réalité et pourtant je me bat!

il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

Ce que l'on peut réaliser quand ça ne va plus du tout c'est que le détachement ou lacher prise, y compris et surtout vis a vis de soi-meme, n'est pas une diminution mais une augmentation, un élargissement.

Bon heu...sinon on peut le faire sans attendre que ça n'aille plus du tout, non?

il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

C'est possible mais en général c'est fugace.

Qu'importe que ce soit fugace, l'important c'est que c'est possible

il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

Vous éprouvez toujours l'envie de communiquer ( tout comme moi), c'est a mon avis, encore de l'attachement aux autres et a vous meme.

Oui j'éprouve l'envie de communiquer, le besoin de clarifier mes pensées, parce que je débute sur la voie du guerrier. Vous avez entièrement raison: je suis toujours attachée à tant de choses, qui pourraient en réalité se résumer à une seule attache, celle de ma propre importance. Mais cela n'est pas important, ce qui est important, c'est d'avancer et d'agir vers ce but.

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